Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityQuand on veut, on peux. Je te veux, je peux ? || ft. Louise
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Quand on veut, on peux. Je te veux, je peux ? || ft. Louise

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Quand on veut, on peut. Je te veux, je peux ?! ~

Louise & Valentin

Quand on veut, on peux. Je te veux, je peux ? || ft. Louise Sans_t11


I want you, and if it's a crime, so I would like to be a criminal


J'aime pas être enfermé dans ces amphis. Ils ont pas compris que les sportifs sont fait pour être dehors, sur un terrain, n'importe lequel, et qu'ils ont besoin de se dégourdir les jambes et de se défouler ?! Apparemment non, puisqu'ils nous ont foutu tout une journée de cours, enfermé dans un amphi. De quoi vous rendre complètement taré ! Enfin, pour nous. C'était presque la pause du déjeuner, et on devenait de plus en plus turbulent, et le prof ne savait plus quoi faire de nous, du coup il nous a fait faire un peu de "pratique". Rien de bien exceptionnel à vrai dire, mais j'admire son implication. Malgré le fait qu'on soit toujours aussi dissipé, le prof pouvait faire une pause pour sa part. On le rendait dingue, et ça nous faisait rire, bien qu'on devenait dingue nous les premiers. Mais faut bien avouer que les travaux de groupe ça nous poussait pas à être plus calmes. Enfin bon, heureusement l'heure du déjeuner arriva bien vite.

Et on est sorti de cours comme des bourrins, comme une classe de terminale qui en a plus que marre d'aller en cours. Le niveau d'âge mental n'est pas bien plus élevé, j'en suis conscient, mais c'est ça être des sportifs. Malgré tout, on est quand même à Harvard, alors on a pas que le cerveau dans les muscles, c'est déjà ça. Une fois notre foule de fou furieux rugbymen dissipée, je vis qu'on avait dérangé quelques personnes, élèves sortant de cours juste en face. Je souriais, regardant leur pauvre expression de peur quand je vis une personne dans cet amphi. Une personne que j'avais déjà rencontré. Au début je croyais que c'était une élève, mais on lui disait au revoir, et elle restait au bureau. J'en croyais pas mes yeux. C'était la femme la plus craquante que j'avais rencontré dans cette ville, et voilà qu'elle était prof ici. J'en restais bouche bée, et si un de mes potes ne m'avait pas donné une tape dans le dos, je ne me serais pas remis de mon choc aussi vite.

Je lui lançais alors que j'arrivais, que je les rejoindrais plus tard et passa à travers les élèves, qui me laissaient bizarrement beaucoup trop de place pour passer. Je n'y fis pas vraiment gaffe et me cala dans le cadrant de la porte, les bras croisé, petit sourire en coin, une fois que tous les élèves furent sortis. J'attendis qu'elle voit enfin. Elle finirait bien par sortir ce l'amphi ou par lever la tête. J'en revenais pas, mais j'étais sacrément heureux de la revoir. Je n'avais pas eu trop de chance dans ce bar. Je n'avais pas réussi à conclure ou même à avoir son numéro et j'avais trouvé ça tellement dommage.


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quand on veut, on peut. je te veux, je peux ?

} L'horloge désignait midi, et dans un soupire partagé étudiants et professeur se disaient au revoir. Quatre heures de suite que Louise donnait cours, si cet exercice l'ennuyait en tant qu'élève, c'était encore pire de l'autre côté de la barrière, surtout quand vous avez face à vous des personnes très peu intéressés par ce que vous leur déblatérez. Surtout quand vous éprouvez un certain dédain pour la condition sociale dont appartienne la majorité de ces personnes. Cette journée semblait ressembler à toutes les autres, et pourtant....

Alors qu'elle rassemblait l'ensemble des feuilles qui meublaient son bureau, les réunissant en un paquet qu'elle fit claquer contre le bois de façon à les ordonner parfaitement, son regard se perdit sur l'amphi vide. C'était toujours comme ça après un cours. Un mélange de soulagement et de grand vide. A se demander ce que ça serait dans dix, dans vingt ans, quand la demoiselle aurait de bonnes raisons d'être blasée de son métier. Mais il n'y avait rien à faire, Louise voulait toujours plus, et avait du mal à se satisfaire de ses réussites. Bien plus intéressant que cet ensemble de chaises sans étudiant, une silhouette attira son attention au sommet du paysage. Ses billes sombres remontèrent jusqu'à se poser sur l'objet de sa curiosité, bien calé dans l'encadrement de la porte. Chasseur attendant sa proie. L'air remplit brutalement ses poumons, tandis que ses muscles se crispaient sensiblement, son corps tendu alors que les lèvres s'entrouvraient dans une expression de surprise. Un liquide glacé semblait couler le long de son dos, alors que la professeur essayait de passer outre son comportement primaire. Après tout, elle était prof, elle se devait de pouvoir gérer ce genre de situation en adulte, non ? Alors on respire normalement, on continue de ranger ses affaires sans précipitation. Puis, on revérifie discrètement qu'on a pas rêvé, et qu'un homme se trouve bien en haut de l'amphi. Damn.

Ce type, elle s'en souvenait très bien. Ils s'étaient croisés dans un bar et avaient sympathisé, pas mal plaisantés ; bref, passé un bon moment. Ce n'est pas pour autant que le bougre s'en était sortit avec son numéro ou une quelconque indication pour la recontacter. Le jeune homme avait pourtant tout pour lui plaire, mais voilà, Louise aimait son monde bien rangé, sans perturbation. Enfin, elle avait finit par s'en persuader. Elle ne lui avait pas indiqué sa profession, mais là, assise à ce bureau, les choses devaient être clair désormais pour lui. La poisse. Après avoir tripoté ses affaires pendant de longues minutes -espérant surement que l'intrus s'en aille-, la demoiselle dût bien se rendre à l'évidence qu'elle ne pouvait décemment pas faire comme si de rien était, et restée enfermer toute la journée ici. C'était ridicule, même pour elle. Une profonde inspiration plus tard, elle releva une énième fois son visage pour fixer le garçon, se maudissant intérieurement d'être sortie ce soir là. Feignant une décontraction absolument absente : « Je ne crois pas que vous soyez dans ma classe, vous avez dû vous tromper d'amphithéâtre. De toute façon vous arrivez un peu tard, le cours est finit. » Ignorer qu'elle l'avait reconnu, ignorer qu'ils se connaissaient.. puis peut-être qu'il viendrait à douter, et ferait marche arrière. Oui voilà, c'était peut-être aussi facile que ça de se débarrasser de ce moment gênant.


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I want you, and if it's a crime, so I would like to be a criminal


J'attendais toujours à l'entrée de l'amphi, regardant la plus jolie de tous les professeurs de cette université. Et moi qui l'ai dragué il y a quelques jours de cela. Si je continue, je risque bien des problèmes, surtout si ma drague fonctionne. La meilleure des choses à faire serait de me barrer illico presto et de faire comme si on ne se connaissait pas. Alors pourquoi est-ce que je suis toujours planté dans cet encadrement de malheur ? Tout simplement parce que je suis hypnotisé par la belle et que mes jambes refusent de bouger. Et puis comme une transmission de pensée, elle fit comme si elle ne me connaissait pas. Me reconnaissait-elle donc vraiment pas ? Ça me semblait louche. J'aurais mieux fait de prendre ceci comme un signe, mais tout ce que je réussis à faire c'était de froncer les sourcils, et de répondre :

- Oh, je vois ... Je me relevais, loin de l'encadrement et rentra dans l'amphithéâtre, mains dans les poches, et rejoignit la prof, tout en continuant Ça ne vous posera donc pas de problème de venir manger avec moi ? Je la regardais, et lui souriait. Oui je la draguais déjà, mais ce n'était pas vraiment une gêne puisque j'avais déjà commencer le soir dernier dans ce bar. Vous ne vous rappelez donc pas de moi ? J'ai vraiment un visage si commun que ça ? Alors que votre visage, et votre voix, ont été impossible à supprimer de mes rêves. J'y allais peut-être un peu fort, sachant qu'elle était prof et moi élève ici. Mais c'était ce qu'il rendait la chose encore plus excitante. J'étais à présent en face d'elle et attendait de voir comment elle allait réagir. Une part de moi sentait qu'elle allait me rejeter et faire encore comme si elle ne me connaissait pas, ce qui ne ma déplairait pas au fond, ça pouvait être drôle. Mais j'avais quand même envie qu'elle se souvienne de moi, et qu'elle l'assume.


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quand on veut, on peut. je te veux, je peux ?

}Ah, il voit ? Alors pourquoi Louise entend des pas en sa direction ? Il ne doit pas voir si bien que ça. Rentre-t-il pour mieux ressortir ? Apparemment non, puisqu'il continue, nullement décontenancé, ou au moins un peu refroidit par l'apparent trou de mémoire de la demoiselle. A chaque pas, les mains de la belle semblent se serrer autour du bois, ses griffes cherchant à s'enfoncer dans le bureau. Oh, elle reculerait bien pour maintenir la même distance entre leurs deux corps, mais c'est qu'elle avait un sérieux problème d'égo. Se laisser dominer par un simple étudiant était un peu trop dur à supporter pour son orgueil. N'est pas encore né celui qui parviendra à faire reculer dame Da Silva. Même si, clairement, elle en mourrait d'envie. De prendre son sac et de courir vers la sortie, aussi. Vous parlez d'une humiliation ! Bref, tandis que la jeune femme s'étouffait à moitié avec sa propre respiration, prise entre stress et un sentiment de colère dût.. dût à quoi, d'ailleurs ? Peut-être au fait qu'il se jouait clairement d'elle, la narguant sans prendre la peine de le cacher.

« Quel est votre nom déjà ? » Coupa-t-elle soudainement, armée d'un fin sourire narquois, bien heureuse de feindre qu'il n'était pas si inoubliable que cela. Elle avait bien évidemment entendu sa tirade, son blabla sur son visage, sa voix, bref, tout ce qui pouvait lui rappeler la soirée précédente. Le garçon continuait tout simplement dans sa lancée, comme s'il n'y avait aucune différence entre le soir dans le bar, et là, dans cet amphi. D'apparence elle semblait un roc, alors qu'à l'intérieur c'était le désarroi complet. « Je suis convaincue que votre professeur référent sera ravi de savoir que vous tenez des propos absolument malvenu envers un membre de l'enseignement. » Les derniers termes furent particulièrement articulés, tandis que ses prunelles sombres tentaient d'imprégner la notion dans celles tout aussi foncées du jeune homme. En-sei-gnant. Ca y est, t'as compris ? Visiblement non, puisque sa silhouette se tient toujours près de celle de la professeur. « Quand bien même je m'en rappellerais.. et je ne dis pas que c'est le cas (précisa-t-elle prestement), ça changerait quoi ? » Strictement rien. Professeur, élève, leur relation se doit être conventionnelle, et cela n'inclue pas les discussions dans un bar, ou pire encore. Brillait dans les billes féminines une lueur défiante. Reprendre la main, et vite. D'ailleurs, elle se redressait de sa chaise et finissait d'empiler ses cours. Juste histoire de ne pas être en position de faiblesse, assise alors que lui la toisait d'en haut. Puéril, vous dites ?


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Elle ne se laissait vraiment pas faire, et n'arrêtais pas de nier qu'elle ne me connaissait pas. Elle employait une technique autant intelligente, que dangereuse. Parce qu'il faut bien l'avouer, ça ne fait qu'augmenter mon désir. Quel intérêt à ce que ça soit trop facile ?! Jouer de nouveau à la drague avec elle avait un sacré charme et j'étais bien content d'avoir de nouveau cette possibilité. Et là, ça semblait devenir un réel défi. Tant mieux. Parce qu'elle me fit son blabla sur le fait qu'elle était prof ici et tout et tout. Qu'est-ce que je m'en fiche ! Je la veux, c'est tout ! Suffit de ne rien faire de "malvenu" comme elle dit si bien dans l'enceinte de l'université, et tout se passerait bien. Après tout, je ne compte pas lui faire une déclaration et la supplier de m'aimer au grand jour. Non, je veux juste passer une nuit torride avec elle. Un fantasme, oui, c'est tout à fait ça. Je ne lui demanderai pas de s'engager envers moi, non. Je veux garder ma place à Harvard, et je ne veux pas qu'elle se fasse virer par ma faute.

Quand elle me demanda comment je m'appelais déjà, je me mis à glousser, à sourire de plus belle, et à lui répondre Ça n'a pas d'importance ... Parce que c'était vraiment le cas. Si elle voulait jouer à ce jeu de l'ignorance, j'allais y jouer jusqu'au bout. Elle ignore à quel point j'aime ce genre de jeu. Elle va bien vite s'en rendre compte. Sa petite phrase sur le fait que mes paroles étaient déplacées arrivèrent donc et me firent sourire. Si c'était comme ça qu'elle allait me faire peur, elle se trompait bien. Ne savait-elle pas que les mecs comme moi aiment vivre dangereusement ?! Va falloir que je lui monter (a). Puis elle me demanda ensuite, tout en se levant, ce que ça ferait si elle se souvenait de moi. Toujours en arborant mon sourire bien satisfait, je lui répondis Rien. Je veux juste vous inviter à manger mademoiselle, rien de plus. Qui vous dit que je ne m'intéresse pas au droit ? Comment je savais qu'elle était prof de droit ? J'ai simplement jeter un coup d’œil au bouquin et au feuille qui était sur son bureau. Donc évidemment que j'avais menti sur ce coup là, mais je jouais à son jeu, rien de bien méchant. Je la veux, et je l'aurais par n'importe quel moyen. Je ne vous lâcherai pas d'une semelle avant que vous ayez dit oui.


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