K.Assia Underwood ► avatar

APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
  Les mots divulguer par les médias apparurent dans bref passage pour disparaitre dans une brume épaisse. Ma conscience me dictait d’oublier ces passages médiatiques surveiller de près, mais tout comme elle me charmait par sa diablesse, j’ignorais le tout. Mon jugement tassait ce drame d’un coup du revers de la main. À mes yeux, le fais de devoir interagir avec des gens de cette action digne d’une série téléviser m’apportait peu. Peut-être est-ce le fais que je n’étais pas réellement concernée de près. Cependant, au-delà des propos qui firent vibrer les lèvres de plusieurs, j’écoutais avec un sourire affaibli. Je comprenais très bien la gravité de la chose, mais pour fois tout cela n’était que purs ennuis.  Il faut dire qu’il est très rare de me voir compatissante lors d’un drame, d’une action, d’un deuil qui ne me concerne pas de près. Ma carapace est peut-être un peu trop solide ? Mais, bon ! Je me souviens d’une et unique chose qui se relis à cet évènement du passer. Il y a eu ces nombreux commentaires contre ma personne me citant comme froide, sans sentiments et bien d’autres ! Les mots qui ont été dictés envers ma personne ma blesser lors de quelques secondes avant que mon sourie rosé s’élève bien haut sur mon visage de porcelaine. Cette arme de destruction massive a choqué plusieurs.

APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI
   Spring break 2016, voyage au Chili.
   Les étudiants continuent de profiter du voyage, certains faisant une promenade à cheval dans le parc national Toress del Paine, d'autres du Trekking au bord du lac llanquihue, tandis que les derniers ont préférés partir à la découverte des eaux bleues de la région des lacs. Une chose les rassemblent tous, le tremblement de terre se déclenchant dans la journée. De magnitude 7, il secoue le pays tout entier mettant la vie de tous les habitants en dangers.
PS : t'as plus d'infos à cet endroit !

TON ADMISSION À HARVARD
   Mes yeux parcourus ce document une fois suivi d’une seconde. Ils relisaient sans cesse les mots, mais je ne pouvais réaliser. Je restais debout dans la cuisine ne cessant de regarder ce bout de papier en retenant un cri puissant qui faisait vibrer ma gorge. Je me tournais vers la femme m’ayant offerte la vie et la vibration finit par apparaitre. Un long cri de joie apparut dans le domicile. Un mélange de larmes et de cris de joie fit son apparition dans la demeure familiale. La bourse avait été conquise et voilà que Harvard avait approuvé ma demande. J’avais bien cette de Princeton qui avait été oublié quelques parts dans ma chambre, mais moi premier choix fut concrets. Je fini regarder son sourire et ses traits s’illuminer. Dieu, merci ! Elle pouvait enfin dire que la fierté l’avait conquis. Chère maman ! Ce jour, ton sourire fut le plus  beau !