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Postuler comme strip-teaseuse au Nirvana
( Cléolya A. Strauss )
Parce qu'un malheur n'arrivait jamais seul, il fallait que ma meilleure amie fasse partie des disparues. Mais bordel, il s'était passé quoi cette fameuse nuit ? Ca avait le don de me faire vriller et de me faire perdre totalement pied, de ne pas savoir ou elle était, si elle allait bien et surtout, je me demandais si quelqu'un lui avait fait du mal. J'tournais en rond, j'étais bonne à rien et j'avais même demandé à mon père de reprendre les rennes des filiales américaine le temps qu'on la retrouve. Et pour cause là seule concentration que j'avais elle était bonne qu'à faire les 400 pas dans mon salon avec le journal en boucle en attendant d'en savoir plus. Quelques jours passaient, puis je recevais le fameux message ou plutôt le fameux chantage. Bien évidemment ça me mettait dans une colère monstrueuse, mais si la vie de Cami était en jeu, j'étais prête à tout pour la sauver, alors j'avais contacté Wolf, le propriétaire du Nirvana, qui avait accepter ma requête et qui me proposait donc une petite entrevue pour lui montrer de quoi j'étais capable et si je pouvais correspondre aux critères de sélection des danseuse érotique qu'il engageait. Seule ombre au tableau, Hadès.. Disons que du peu de souvenir que j'avais, l'entente n'avait pas été au beau fixe entre les deux hommes lors du bal et que forcément quand j'expliquais au prince que je devais rejoindre Wolfgang, la réaction ne se faisait pas longtemps attendre. C'était donc, en compagnie d'Hadès que je me retrouvais au Nirvana, je lui demandais finalement de m'attendre à l'extérieur, ne voulant ni raté mon chantage, ni mon entretien, parce qu'il était clair que sa présence n'aurait fait que me troubler. Je retrouvais donc Wolf dans une pièce à part pur lui montrer mes talents de danseuse, même s'il y avait encore un peu de boulot à faire, j'avais la chance d'être très souple grâce au yoga. Alors habillé, j'invitais le patron à s'installer sur une chaise, laissant l'espace libre autour pour pouvoir être libre de mes mouvements. Je bougeais mon corps au rythme de la musique alternant sensualité, cambrure et regard envoûtant pour le faire succomber à l'envi de me prendre. J'ôtais un à un les vêtements que je portais pour finalement le laisser admirer - même s'il l'avait déjà fait dans le passé - chaque centimètre carré ou presque de ma peau. Come on Wolf, t'avais pas le choix que de me prendre là. Quelques instants passaient et très vite, je profitais de l'air extérieur. Je mettais un petit temps avant de venir vers Hadès et de finalement avouer, non sans honte, la décision du dirigeant.
« J'suis prise... »
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