Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJames & Erin - déclencher l’alarme à incendie d’Harvard
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James & Erin - déclencher l’alarme à incendie d’Harvard

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    Lundi 27 novembre 2017– Cela faisait une journée que nous avions eu ce message anonyme. Aussitôt lu, aussitôt effacé. Cette soirée de bal de Thanksgiving était devenu un réellement cauchemar, même encore trois jours plus tard. Toujours aucune nouvelle de Brent et son nom était maintenant sur les bandes défilantes d’information des disparus. Depuis le bal, je n’étais pas rentrée à la colocation. Ce qui c’était passé au bal avait terrifié ma mère qui tenait à ce que je reste un moment chez elle. Je n’avais pas refusé à un seul instant. Au contraire. J’étais plus loin de l’université. D’ailleurs, j’avais été reprendre les cours mais mon esprit était ailleurs. Absorbée par la disparition de Brent et maintenant ce message, ou l’avenir de Nate était entre nos mains. C’était trop pour ma jolie tête blonde.
    La journée se terminait et je devais mettre les choses au clair avec James, si lui avait eu des souvenirs de cette soirée. Pour ma part, c’était toujours le gros trou noir. Ayant les clés de la salle de tutorat, je me réfugiait dedans, et me décidait à envoyer un message à James, lui demandant de venir me rejoindre.
    Pas longtemps après, James arrivait enfin de la salle de tutorat, il faisait assez sombre et je devais avouer que je n’avais pas pris le soin d’allumer les lumières de la salle, m’éclairant juste la lumière du couloir. La dernière image que j’avais du Winthrop, nous étions tous les deux dans le gaz, je le serrais dans mes bras, contente de le retrouver en meilleur état tout de même. « Je suppose que tu as eu le message toi aussi. » Je ne trainais pas rentrer dans le vif du sujet. « Je peux pas faire ça ! Si on se fait prendre, je perds ma bourse, on va se faire renvoyer, et dire adieu à tous mes rêves. » Sur l’instant je me la jouais égoïste. Les études étaient la quasi-totalité de mon passe-temps, j’adorais cela. Je rêvais de ma marque de cosmétiques à mon propre nom. Puis en même temps… « Mais Nate… Je ne veux pas qu’il lui arrive quoi que ce soit… » Tout se chamboulait, j’espérais avoir l’aide de James pour y voir un peu plus clair. Mais dans le fond, je sentais que je n’avais pas vraiment le choix.


@James Thompston
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Les recherches n'avaient rien données concernant Brent et tous les autres étudiants disparus lors de la soirée du bal. Certains persévéraient tandis que d'autres avaient décidés de reprendre leur petite vie tranquille en essayant d'ignorer cette étrange situation. Plusieurs membres de ma confrérie faisaient partis de la liste des disparus, et je recherchait activement depuis plusieurs jours toutes informations susceptibles de faire avancer l’enquête. Mais surprise, un étrange message m'avait été envoyé la veille. Sur le coup j'avais pensé a un canular, mais lorsque le nom d'un de mes confrères Winthrops apparu dans ce message, un chantage évident se tenait devant mes yeux. Le message provenait d'un numéro masqué, impossible d'en connaitre l'expéditeur, mais ce maître chanteur me proposait un petit jeu, qui en cas de refus entraînerait la divulgation d'une soit disant photo qui pourrait être en mesure de m'accuser de la disparition d'Elliot. Pris de rage en repensant a tout ça, j'adresse un violent coup de poing dans le mur de l'appart', profitant de l'absence d'Erin qui m'aurait sans doute incendié pour ce geste. Justement, un message de sa part venait de s'afficher sur mon téléphone, celle-ci me demandant de la rejoindre en salle de tutorat. Je fais alors immédiatement le lien entre son message et celui reçu par le maître chanteur, celui-ci me demandant de faire équipe avec ma colocataire pour relever son petit "défi". Ce qu'il voulait de moi? Oh trois fois rien, juste déclencher l'alarme a incendie d'Harvard... rien de mieux pour risquer de se faire arrêter! Erin avait donc reçu également le même message de la part de ce maître chanteur, étais-ce également dans le but d'aider mon confrère Winthrop? Très rapidement, je fouille dans mes affaires afin d'y retrouver une vieille lampe torche, prenant soin par la même occasion de vérifier que les piles fonctionnent toujours, et j'empoigne également la batte de baseball planquée dans mon sac de sport, pour finalement partir rejoindre Erin. Arrivé sur les lieux, celle-ci me serre dans ses bras, sans doute contente de me retrouver vu la situation dans laquelle nous nous trouvions. "J'ai également reçu le message... et je doute que nous soyons les seuls à l'avoir reçu. Je ne sais pas si l'expéditeur est sérieux mais étant donné le nombre de disparus, je préférerais éviter de risquer la vie de qui que ce soit." Erin me fait alors comprendre qu'elle n'est pas prête a risquer sa bourse d'étude. Je ne la connaissait que trop bien, les études faisaient parties de ses priorités, et le risque de se faire renvoyer en déclenchant l'alarme a incendie était important... mais la vie de plusieurs personnes était en jeu! Quand elle évoque le nom de Nate, je suis quelques peu surpris, comprenant alors que l'enjeu de ce défi impactait la vie d'un camarade différent pour chacun d'entre nous. "Ecoute, on ne peut pas se permettre de risquer quoi que ce soit, il faut obéir, rentrer dans ce petit jeu. La vie d'un de mes confrères est en jeu... Elliot, je ne peux pas l'abandonner!" Je montrais clairement dans le ton de ma voix un certain agacement, je savais d'avance que convaincre Erin allait être très compliqué. "Fais moi confiance, nous n'avons pas le choix. Faisons en sorte que ce soit fait rapidement et on foutra le camp d'ici sans se faire attraper. Je te le promet, on sera en sécurité..." Je n'étais que partiellement convaincu de mes propres propos, mais il fallait bien sortir les arguments pouvant convaincre ma partenaire, sous peine de décevoir le maître chanteur.
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    James arrivait encore plus vite que je ne l’aurais cru. Je le voyais juste arriver avec un sac assez grand, me demandant bien d’où il revenait pour être aussi charger. Peut-être d’un de ses entrainements. Mais pour l’instant, je m’en moquais à vrai dire. Pour le peu que j’étais passé à la colocation, je ne savais pas si James avait réellement été touché par les événements. Moi je tournais comme un lion en cage chez ma mère, attendant patiemment des nouvelles de ceux qui étaient retenus. « Pourquoi nous ? Non mais regarde-moi James. Je suis une des premières de ma promotion, je suis assez discrète, la plupart des étudiants de ce campus ne me connaisse même pas ! » « Je, je et je ». Bien joué Erin, niveau égoïsme, j’atteignais des niveaux, alors que je n’étais pas réellement comme cela dans la vie. Puis ce maître chanteur avait une photo de moi et Nate. Je n’avais même pas le souvenir de l’avoir vu de la soirée. Je l’écoutais me parler des personnes disparus, et je comprenais assez vite que d’accord ou pas, je n’aurais pas le choix. Nate et maintenant Elliot. Deux personnes n’attendaient que nos actes pour être libre sain et sauf. Je fronçais les sourcils quand James élevait la voix sur moi. Cela ne s’était encore jamais produit, et je n’aimais pas cela. J’aimais avoir un certain contrôle de la situation. Chose que je n’avais clairement pas. « Tu as déjà plus l’habitude de moi de faire des bêtises. » J’abdiquais officiellement, laissant pour le coup le Winthrop prendre les devant. « Comment tu veux faire ça sans qu’on se fasse prendre ? » Mes mains devaient tremblotantes, mon visage se décomposait totalement, j’étais bientôt aussi blanche que les carrelages des couloirs de l’université. J’avais peur comme jamais. Je risquais tellement gros.
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Pour Erin, la situation semblait difficilement gérable. Je pouvais comprendre cette injustice, d'avoir été choisi pour relever ce défi alors que sa nature discrète et son parcours exemplaire en faisait une étudiante presque parfaite. Oui mais voilà, le destin en avait décidé autrement et ne nous laissait pas le choix. Enfin si, le choix était bien sûr possible, mais cela valait-il vraiment la peine de risquer la vie de deux autres étudiants? Risquer ses études pour sauver quelqu’un? Pour moi bien sûr, la décision était déjà prise, j'accordais bien plus de valeur à la vie d'autrui qu'à mon parcours scolaire... étant donné que celui-ci était déjà un peu chaotique. Mais pour Erin, tout cela était loin d'être facile, et je pouvais le comprendre. Réalisant que le ton que j'avais employé était un peu déplacé, je tente de calmer la situation, ne bronchant même pas face à la remarque d'Erin concernant mon fort penchant pour les bêtises. Puis celle-ci me demanda comment je comptais m'y prendre. "Je t'avoue ne pas y avoir encore réfléchis. Peut-être tout simplement déclencher l'alarme et s'enfuir par là où nous sommes rentrés, en courant comme des sauvages." En réalité, cette solution était un peu risqué, car la fuite par les couloirs prendrais un peu de temps dans ce labyrinthe, et ce soir le temps était précieux. J'observe la pièce où nous nous trouvons, remarquant immédiatement les grandes fenêtres donnant sur l'obscurité extérieur. Mais... la salle dans laquelle nous nous trouvions se situait au première étage, et les fenêtres étaient verrouillées par mesure de sécurité! Prenant le risque de nous faire repérer, je tente tout de même d'éclaire à l'aide de ma lampe torche le contrebas de la fenêtre. La distance du premier étage semblait raisonnable et un saut par cette fenêtre nous permettrait d’atterrir sur du gazon. Mais restait tout de même ce problème de fenêtre verrouillée. "Je pense avoir une idée, ce n'est pas la plus plaisante mais tu va devoir me faire confiance. Tu vas te placer dans le couloir, déclencher l'alarme incendie en appuyant sur le bouton de l'alarme, et tu reviens ici en courant. Pendant ce temps, je profiterai du bruit provoqué par la sonnerie de l'alarme pour briser la fenêtre en utilisant ma batte de baseball et je sauterai. Quand tu sera revenue, saute également par la fenêtre, je serais là pour te rattraper, tu ne risque rien je te le promet." Ce plan semblait quelques peu délicat, mais assez efficace pour nous assurer une fuite rapide. "Tu es prête?"
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    Je faisais les cents pas dans la pièce pendant que James me parlait d’un premier plan. Il évoquait cela comme si c’était la chose la plus banale à faire. Mes sourcils restaient froncés encore plus. C’était le meilleur moyen pour se faire chopper, filmés par les caméras qu’ils pouvaient y avoir dans l’université. « Non … » Zero justification. Déjà que je ne me voyais pas déclencher cette alarme à incendie, j’aimerai prendre le moins de risque possible. J’observais James. Certes je venais de lui dire non, mais en même temps je n’avais pas d’autres solutions à proposer. Mais le Winthrop tournait, regardait la pièce. Incapable de penser, le jeune homme semblait le faire pour deux. Je me sentais nulle, je savais que la vie de Nate était entre mes mains, et pourtant, je n’arrivais pas à trouver de solutions pour excuser les souhaits du Maître Chanteur. Je culpabilisais clairement. Les larmes me montaient aux yeux. James sortait sa lampe pour regarder le contrebas, nous étions au premier, il y avait tout de même une certaine hauteur. Puis il m’évoquait enfin son plan. Plus il parlait, et plus je reculais. Les larmes que je contenais coulé le long de ma joue. Je ne pouvais refuser une énième fois son plan. Le pire, c’était que c’était peut être le meilleur plan pour ne pas se faire chopper. « Je… Mais… C’est haut tout de même. » On allait se tuer dans ce genre de plan. Je n’étais pas une sportive, pour moi mon sport c’était le shopping, le maquillage et les squad console chez Paris. En soit, rien de dangereux. Etais-je prête ? Pas du tout. Mais il fallait se lancer. Je tenais la poignée de la porte pour sortir de la salle de tutorat. « Pour Nate. » murmurais-je à moi-même pour me donner un minimum de courage. En soit, déclencher l’alarme à incendie ne pouvait être rien. Mais pour une université comme Harvard, on approchait du crime. En sachant qu’on allait faire déplacer nos soldats du feu… pour rien. J’essuyais les larmes qui restaient sur mon visage, je soufflais un bon coup. « Je vais regardais où se trouve l’alarme incendie la plus proche et s’il n’y a personne. » Techniquement les heures de tutorat se faisaient après les cours, et peu d’étudiants pouvaient être présents. Cela dépendait du planning de mes collègues du Club de tutorat. Par chance, en un coup d’œil, j’apercevais le boitier rouge. Je me décidais à quitter cette salle, je marchais normalement juste au cas où je croiserais quelqu’un. Le couloir était vide. Un craquement sur le boitier déclenchait un bruit assourdissant, et je n’avais plus qu’à me dépêcher pour rejoindre James. Pas une seule fois, je n’avais pensé à protéger mon visage de la caméra. Il me semblait même avoir peut-être été vu, je n’en savais rien. Tous des films se déroulaient dans ma tête, plus rien ne s’ordonnait, seuls mes pas me guidaient.
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La tension était à son comble, et bien que cette idée venait entièrement de moi, je commençais à être pris de tremblements. Tout ce que l'on faisait ce soir était risqué, du début à la fin. Que ce soit déclencher l'alarme, le risque de se faire prendre, d'être reconnu par les caméras, sauter par cette fenêtre, fuir, chaque étape n'était pas anodine. J'attendais nerveusement que la sonnerie retentisse et pouvoir ainsi commencer ma partie du plan. Quand le signal sonore me perfora les tympans, j'attrapai rapidement ma batte de baseball avant de me précipiter vers la fenêtre. Avec force, j’assénai un premier coup dans la vitre, qui se fissura sans pour autant céder. "Merde, plutôt solide!" . La crainte que la batte cède avant la vitre me traversa, mais je n'avais pas d'autre choix que de persévérer. Deux autre coups stratégiquement placés eurent raison de cette fichu fenêtre qui se brisa avec fracas mais de manière inaudible avec la puissance de la sonnerie de l'alarme a incendie qui hurlait. Je me retourne brièvement, mais n’aperçoit toujours pas Erin, cela me laissai le temps de sauter par la fenêtre pour ensuite attendre Erin et l'aider à descendre. J'escalade le rebords de la fenêtre et je saute rapidement, avant de finalement me réceptionner dans l'herbe... d'une manière totalement improbable. Je perd l'équilibre aussitôt et retombe sur mon poignet. Une douleur insupportable me foudroie, mais l'adrénaline prend très vite le dessus, me permettant d'atténuer celle-ci. Je jette un coup d’œil aux environs, mais rien à signaler, personne dans les parages. Ne me reste plus qu'a attendre Erin et l'aider à sauter de cette fichu fenêtre. Avec un peu de chance, peut-être allait-elle réussir à mieux se réceptionner que moi. Nous pourrons ensuite nous enfuir, à travers l'obscurité, et filer jusqu'à la colocation.
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    Je venais d’appuyer sur l’alarme à incendie, qui envoyait un bruit assourdissant dans tout le campus. J’avais qu’une envie, c’était de pleurer pour ce que je venais de faire. Si j’étais prise en flagrant délit, je serais renvoyée de l’université, et je n’aurais aucun moyen de justifier mes actes. Le bâtiment de tutorat était vide, peut-être qu’avec James nous aurions pu sortir tout simplement par une porte de sortie la plus proche. Malheureusement, nous ne pouvions prendre aucun risque. Et moins de personnes ne nous verrons, moins nous aurions de chance de nous faire prendre. Je rejoignais la salle de tutorat, où je voyais la fenêtre qui venait juste d’être brisé par la batte de James. Je m’approchais de celle-ci, et cette fois-ci, la peur me gagnait pour de bon. Les larmes coulaient, et je me sentais incapable de sauter par cette fenêtre. James m’attendait en bas, je savais qu’il serait me récupérer. Du moins, je l’espérais. Je ne pouvais pas dire que je faisais une confiance absolue en ce Winthrop. Surtout après certains mensonges de sa part. Décidément, chaque bal avec lui finissait en drame, où je finissais par y verser des larmes.
    Je n’avais plus le choix, je ne pouvais plus reculer. Je prenais appuie sur le bord de la fenêtre. Passant une jambe puis l’autre. A partir de là, je devais faire vite au cas où les pompiers arriveraient rapidement ou si un étudiant passait par là à cause du bruit. Sans m’en rendre compte, l’adrénaline trop présente ne me faisait pas réaliser que je venais de me couper la main avec les bris de verre. Je m’en rendais compte qu’une fois en bas. Je venais de sauter, James me rattrapait comme il avait pu, mais je terminais ma chute dans l’herbe quand même. C’est le sang que je venais de laisser sur son tee-shirt qui me faisait comprendre que je saignais fortement au niveau de la main. J’espérais ne pas avoir besoin de point de suture, j’aurai eu du mal à expliquer aux urgences le pourquoi de ma présence. On prenait ensemble la direction de la colocation. L’un comme l’autre, nous devions nous soigner. Plus qu’à voir les conséquences de nos actes.
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