Avec Piper on rêvait d'avoir un chat. Alors à son départ, comme pour combler un manque, j'avais sauté le pas. Au début je voulais l'appeler Piper, mais quand j'ai su que c'était un mâle, je me suis dis que si un jour elle l'apprenait, elle allait me râler après. Ceci dit, maintenant qu'elle était face à moi, explosant de rire à ma réflexion sur le pavé de colon d'alaska, je reprend mon sérieux et sans aucun sourire ni rien de ma part je lui avoue enfin. « Il a faillit s'appeler Piper. Mais je me suis dis que si je l'appelait comme ça alors que c'est un mâle, tu allais m'étrangler. » Je met ma main devant ma bouche et je ricane, trouvant que c'est drôle. Enfin, on se met à parler des choses sérieuses je lui confirme d'un signe de la tête que j'aurais aimé qu'elle soit la avec les évènements du mal. Elle était une de mes plus proches amies avant la dispute. Et si elle était là, c'est bien que rien était perdu pour qu'elle le reste. Je comprend cependant qu'elle me dit qu'elle aurait voulu être au bal. Piper c'est une jeune femme très coquette. Elle s'habille bien, elle aime le bon goût, elle se maquille. Alors forcément, comme toute jeune femme, étudiante dans un bal de la fac, elle aurait voulu y assister. « Je comprend. Mais je pense que tu pouvais inviter un non étudiant. Ca se voit pas qu'il l'est pas si ? » Je souris avant d'ajouter. « Au pire, la prochaine fois si tu veux vraiment aller à un bal de la fac, je serais ta cavalière. » Entre fille, c'était drôle aussi. Et puis soudain tout naturellement, Piper me dit que je lui manque. Immédiatement je lui répond qu'elle aussi et alors que nous ne sommes pas très tactile l'une l'autre, elle fond dans mes bras et je profite de la serrer contre moi. Elle est chère à mon coeur, elle est importante dans ma vie et ces mois sans elle, c'était triste. Piper c'est le petit rayon de soleil qui dès le matin te donne le sourire. Son sens de l'humour, ses vannes de merde et son mauvais petit caractère me manquait. Je ne sais pas si on va parler un jour de Jedekia ou pas. Mais à la façon dont on s'est câlinée, j'ai la sensation que cette histoire est derrière nous et que dans un accord tacite, on s'excuse toutes les deux du mal qu'on à pu se faire sans vraiment le vouloir. Elle me propose de me faire une boisson chaude et je trouve cette attention adorable. « Ouais je veux bien un chocolat s'il te plait. Tout est encore à la même place qu'à ton départ. » En attendant je vais dans le salon, sort des petits gâteaux et m'installe sous le plaid en attendant mon amie. A présent je veux profiter d'elle et tout savoir sur ce qu'il lui est arrivée depuis qu'elle à quitté la coloc.
(Jayne Atkinson)
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