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The girl behind the mask (victoria)

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Je t'entraîne, ta main dans la mienne, vers la chambre que je viens de nous louer. L'hôtel est classe et, je le sais, la chambre l'est tout autant. J'avoue, ce n'est pas la première fois que j'emmène une femme ici. Le club où je vis pourrait faire peur à certaines. Je te laisse entrer, sourire joueur sur le coin de la bouche. T'es cheveux sont légèrement emmêlés après ce petit tour derrière ma moto. T'es superbe. La porte n'est même pas entièrement fermée que ma main glisse sur ton bras nu et que mes lèvres charnues se pressent délicatement sur les tiennes. J'pourrais être plus direct et arracher tes vêtements, mais je te sens déjà assez fébrile comme ça chérie. Ma main trouve ta nuque que je caresse du pouce. Or, j'te sens bien nerveuse et je m'écarte pour te lancer un regard doux et interrogateur. "Ça va?" Ouais, j'suis un coureur de jupons, mais j'suis pas un trou de cul.
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Tout se passe assez vite. Je passais ma soirée tranquille dans un bar, profitant de l'expérience universitaire à fond, enfin libre de la sévérité de mon pensionnat anglais. Du coup, il se peut que j'ai abusé des cocktails. Quand ce gars m'a approché pour me parlé et a commencé à me dragué, je n'ai pas pu m’empêcher de remarquer mes amis qui pouffaient derrières leurs mains, visiblement amusée et me poussant à jouer le jeu. Alors évidement, c'est ce que j'ai fait parce que si je l'avais repoussé, ça aurait été trop suspect, non ? J'ai donc répondu à ses avances, tout en continuant de vider verre après verre pour atténuer ma nervosité qui ne semblait pas vouloir s'en aller. Et puis soudain, sans vraiment m'en rendre compte, j'accepte de le suivre hors du bar et je me retrouve dans une chambre d'hôtel, ses lèvres sur les miennes, ses mains sur mon corps, et alors je me bloque totalement. "Tout va bien, t'inquiète," je répond difficilement, me forçant à l'embrasser. Mais c'est difficile de faire semblant, le baiser ne ressemblant en rien à ceux que j'échangeais avec Celine. J'ai la tête qui tourne, le cœur qui bat la chamade et je finis par le repousser, une main sur son torse, l'autre sur mon front. "Non, attend. Je peux pas," j'admet, entre deux grandes respirations.
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Tu me dis de ne pas m'inquiéter et tes lèvres viennent timidement chercher les miennes. Je réponds à ton baiser et ma main droite vient se poser au creux délicieux entre tes reins. Ma langue initie une danse avec la tienne et, entre deux baisers, je mordille légèrement ta lèvre tout en douceur. Je te sens pas réceptive et j'ai clairement pas envie de me perdre en toi si t'y prends pas plaisir. Ça non. Tu finis par me repousser, une main sur mon torse et l'autre sur ton front. T'as pas l'air bien. Tu me dis que tu peux pas... Mes prunelles interrogatives cherchent les tiennes et quand j'ai enfin ton attention je me lance. "C'est ta première fois, right?" T'as peut-être pas l'habitude des histoires d'un soir. Ou bien... T'as peut-être déjà un mec, qui sait. "J'croyais que t'en avais envie..." J'suis confus. Habituellement je sais reconnaître les signaux. Je m'assois dans le lit et t'invite à faire pareil. "Et si tu m'disais exactement ce qui va pas, mh?" J'ai horreur de tourner autour du pot.
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Je panique mais je suis aussi trop bourrée pour réellement paniqué. Je suis dans un état second, entre deux, et il m'est difficile de former une idée claire dans ma tête. J'entend ce que Hyde me dit, enregistre mais je n'arrive pas à répondre quoi que ce soit, comme coincée dans une spirale. Je finis par dire la chose la plus simple - et pourtant la seule phrase que je ne dois jamais, O grand jamais, dire à haute voix. "Je suis gay." Aussitôt que ces mots sortent de ma bouche, c'est comme si j'étais soudainement à nouveau parfaitement sobre. Je regarde Hyde les yeux écarquillés au maximum, la bouche légèrement entre ouverte, l'air horrifié. Je n'arrive pas à croire que je viens de balancer à un parfait inconnu mon plus grand secret, juste comme ça, parce que j'ai bu un verre de trop. "Et j'arrive pas à croire que je viens de te dire," j'ajoute, avant de me laisser tomber sur le lit, complètement vidé. Ce parfait inconnu va tout gâcher. Tout ça pour faire plaisir à des filles que je connais à peine depuis quelques mois. S'il m'a reconnu, rien ne l’empêche de tout raconter sur twitter, maintenant.
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Y'a un truc qui cloche. Je le sens. Tu dégages un profond malaise et une pointe de panique. Est-ce que c'est de ma faute? Je te pose directement la question pour éclaircir les choses et tu prends un petit moment pour répondre jusqu'à ce que les mots sortent de ta bouche comme s'ils te brûlaient les lèvres. Tu es gay. Cette information, je l'analyse et la tourne dans ma tête. Ça explique certaines choses mais pas tout. Je reste silencieux et tu me dis que t'arrives pas à croire que tu viens de me dire ça. Mh. C'est un secret bien gardé alors? Tu te laisses tomber sur le lit et je tente enfin une approche. "Y'a rien de mal à aimer les femmes Victoria." Je m'humecte les lèvres et laisse mon dos tomber sur le lit avant de te lancer un regard. "Par exemple, moi, j'adore les femmes." Je pouffe de rire et tente de dédramatiser. Y'a rien de honteux à être homosexuelle. J'essaie de te faire rire mais je crois bien que c'est un sujet sensible pour toi. Putain... J'étais loin de penser que ma soirée allait finir ainsi. "Mais... Pourquoi tu m'as suivi mh?"
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Je laisse s'échapper un rire sans joie de mes lèvres alors que les larmes me montent aux yeux. Putain, je dois avoir l'air d'une hystérique comme ça. Mais je suis dans tous mes états et l'alcool ne m'aide absolument pas, ayant effacer tout les filtres que j'ai en général en place quand je suis sobre. Cette soirée est une catastrophe. "Y a rien de mal," je répète en un souffle, l'air abasourdi, me manquant un peu de cette phrase. "Tu sais pas... Tu n'as aucune idée..." Je commence par deux fois ma phrase mais ne la fini pas, se sachant pas vraiment quoi dire maintenant que je me suis déjà jeté dans la gueule du loup de toute façon. S'il le révèle... Si mes parents l'apprennent... Je suis fichue. Quand il me dit qu'il lève les femmes, je lui lance un regard comme pour lui dire, "non sans dec". Je sens la colère montée. J'ai l'impression qu'il se moque de moi et c'est la dernière chose dont j'ai besoin a ce moment. "Pourquoi je t'ai suivi ?" Je répète à nouveau l'une de ses phrases, comme si c'était évident. "Tu rigoles ou quoi ? Mes amies m'auraient posé encore plus de questions si je ne t'avais pas suivi." Après ça, je souffle et essaye de retenir mes larmes parce que je ne vais quand même pas en plus me mettre à chialer devant lui.
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Je te sens... Fragile. Fébrile. Je l'entends au son de ta voix et, malgré que je ne vois que ton profil, j'arrive à deviner ton expression faciale qui confirme ce que je crois. Non. Non, je sais pas ce que c'est d'être gay et encore moins comment tu peux bien te sentir. J'me rends compte que l'humour ne fait qu'aggraver les choses et je change de tactique. Je deviens sérieux à mon tour. Tu m'explique que ne pas me suivre aurait paru étrange devant tes amies et j'en conclue que t'as pas le moins du monde envie qu'elles apprennent que tu préfères les femmes. J'peux presque sentir la détresse que tu dégages. Elle est palpable. "J'peux pas comprendre... Effectivement. " Je laisse le silence planer quelques secondes et je me relève partiellement pour que mes prunelles trouvent les tiennes, enbrouillées de larmes. Putain... "Ton secret est bien gardé avec moi." J'utilise ce ton de voix que je réserve souvent à ma soeur. J'suis sincère.  
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Dire que ma soirée a pris une tournure imprévue serait un euphémisme. Jamais de ma vie j'aurais pu penser que j'allais me retrouver en compagnie d'un inconnu dans une chambre d’hôtel, à pleurer après avoir fait mon coming out. La vie a une façon de vous faire redescendre sur Terre parfois... Je peux bien voir que Hyde essaye réellement de m'aider, et au fond, je ne vais pas mentir, je lui en suis très reconnaissante. Toute ma vie, et encore plus après m'être rendue compte que j'aimais les femmes, je me sus toujours attendue à de la haine, du dégoût, et du rejet si jamais je venais à avouer la vérité. Le fait que sa première réaction soit de me calmer et de me rassurer et très apprécié. D'un autre côté, je suis toujours plus ou moins bourrée, à fleur de peau, et complètement paralysée par la peur. Ce gars, je ne le connais pas. Comment est-ce que je peux être sûre de pouvoir lui faire confiance ? Quand le silence s'installe, j'essaye de sécher mes larmes mais ça ne sert pas à grand chose. "On se connais à peine," je lui répond un peu sèchement quand il me promet de garder mon secret. "Pourquoi tu ferais ça ? Si ça se trouve, la première chose que tu feras en sortant d'ici ça sera de balancer que Victoria Nott est une lesbienne. Ou pire. Si ça se trouve, tu vas garder cette info pour toi et me faire chanter. Qu'est ce que tu veux ? De l'argent c'est ça ?" Cela me ferais un peu chier de le payer mais si c'est ce qu'il faut pour qu'il ferma sa bouche, je suis prête à le faire.
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On se connait à peine? C’est un euphémisme, chérie. La seule chose que je connaisse chez toi, c’est ton prénom et ton orientation sexuelle. J’sais pas qui t’es. J’sais pas qui sont tes parents ou si t’es intolérante aux glutens. J’sais pas si tu préfères la vanille au chocolat… t’es aspirations dans la vie. J’en avais encore rien à foutre il y a quelques minutes. Franchement, tout ce que je voulais, c’était qu’on passe une bonne nuit. C’que j’voulais, c’était de t’entendre crier mon nom et on se serait séparés au petit matin, tous les deux satisfaits de savoir qu’on a pas de compte à se rendre. Le problème, c’est que ce n’est pas ce qui s’est passé. Loin de là. « Pourquoi tu ferais ça? Si ça se trouve, la première chose que tu feras en sortant d’ici ça sera de balancer que Victoria Nott est une lesbienne. Ou pire. Si ça se trouve, tu vas garder cette info pour toi et me faire chanter. Qu’est-ce que tu veux? De l’argent c’est ça? » Je te laisse monologuer. J’vois pas ce que je pourrais dire de plus. Mes lèvres frémissent pour s’incurver en un subtil sourire amusé. Ça va, la paranoïa. C’est quoi le problème? T’as des parents super catholiques? T’as une réputation à préserver? Franchement… j’suis motard. T’es le dernier de mes soucis et partir une rumeur n’est pas exactement mon passe-temps favori. « C’est simple : j’en ai rien à foutre que tu sois lesbienne. Rien à foutre que tu sois une fétichiste des pieds ou que ton clitoris soit percé. Rien à foutre que tu sois riche ou qu’tu gagnes ta vie en faisant du striptease. Tu sais pourquoi? Parce que ça veut absolument rien dire. Ça fait pas d’toi une mauvaise ou une bonne personne. Ça t’définis pas. » Si tu comprends pas ça… j’pourrais plus rien faire pour toi poupée.
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Je sens que je commence à désaouler, mon esprit plus clair, mes pensées plus alignés, et mes yeux plus concentrés. Quand Hyde me répond, me déverse ce qu'il pense exactement de moi, je le regarde la bouche légèrement entre-ouverte, choquée, presque offensée par ses mots. Et puis finalement, dans mon état second, je ne peux qu'admettre qu'il n'a pas tout à fait tord alors je fais quelque chose que moi même je ne vois pas venir. J'explose de rire. C'est alors comme ouvrir un robinet. C'est surtout nerveux, même si l'alcool toujours un peu présent dans mon sang doit y être pour quelque chose, mais soudain je me sens lâcher prise. Des larmes coulent toujours sur mes joues mais je ne sais plus trop pourquoi. Avec une grande respiration, je me laisse tomber en arrière sur le lit. "Je suis désolée," je dis, plus sincèrement que je ne le voudrais. "Je parie que t'avais pas prévue que ta soirée se passe comme ça, hein ?" Je continue à rigoler doucement, de moi, de lui, de nous, et de cette situation plus que grotesque qui ne devrait pas arriver dans la vraie vie. Puis, en repensant à ses paroles, je lui demande, "Tu ne sais vraiment pas qui je suis, hein ?" C'est pas comme si j'étais Rihanna ou Beyoncé, non plus, c'est vrai, mais depuis que j'ai 17 ans, je me suis assez retrouvée dans la presse people, puis celle à scandales, pour être habituée à ce que la plus part des gens connaissent mon nom. Si Hyde dit la vérité, et qu'il ne sait vraiment pas qui je suis, je dois avouer que c'est un agréable changement.
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