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J’avais pris la fuite du complexe sportif où le bal avait eu lieu. La soirée ? Je ne m’en souvenais absolument pas. Je sais juste qu’une ou deux heures après mon réveil qui fut très dure, une liste de disparu avait été émise. Dans le lot ? Camila ma cousine, mon bijou. Andrew, mon petit ami. Willa, une amie inattendue mais que j’adore. Pluton et Lily, mes deux rayons de soleil. Hippolyte, la future femme de mon cousin, et surtout une très grande amie à moi. Je me retrouvais comme qui dirais seule. La journée avait été longue, douloureuse, et insupportable. J’avais passé ma journée à avoir des envies de vomir insoutenable, un vrai calvaire. Finalement je me retrouve rapidement en bas de la Eliot House à vingt-deux heure trente. Je ne sais même pas où aller. Cole ne répond pas vraiment à mes messages, avec Cléolya nous somme en froid, Andrew a disparu, et nous n’avions pas eux le temps de nous trouver un appartement pour le moment où il validerait son bizutage. J’aurais pus aller à l’hôtel, mais clairement je n’ai pas envie. Je fini par envoyer quelques sms ici et là pour prendre des nouvelles, et je pense particulièrement à Jona qui avait été là pour moi suite à mon accident. Après un échange bref de message, je me mets à pleurer, il pose beaucoup de questions, dont je ne peux pas lui donner les réponses, et puis il fini par me dire qu’il est dans son bureau. Je soupire, et je rentre dans la Eliot House.
Je suis une personne qui à de la fierté habituellement, mais là non. J’arpente les couloirs jusqu’a faire face à la porte du bureau, je passai ma main sur mes joues et chasse les larmes qui roule sur ma peau. J’ai qu’une seule envie, faire des affiches et les placardais partout en ville, interroger un maximum de passant, je ne trouverais jamais le sommeil tant que je n’aurais pas tout fais pour les retrouver. Je toque, puis j’entre machinalement dans le bureau dont je referme la porte derrière moi. J’ai les yeux rouges, on voie que je viens de pleurer. Je suis toujours en robe de soirée, sous le choc de la nouvelle. Dehors, ont compte seulement cinq degrés. Je laisse mon regard se poser sur celui de Jonathan. « Salut. » lâchais-je timidement, la voix complètement enrouée.
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