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Ma journée s'annonçait plutôt tranquille : deux heures ce matin et une cet après-midi, avec un peu de chance je pourrais sécher en faisant les yeux doux à une de mes camarades pour récupérer le cours qui se déroulait en fin de journée. Je n'étais pas en retard ni en avance, je décidais donc de prendre l'ascenseur au lieu des escaliers que j'avais l'habitude de parcourir en courant, essoufflé parce que j'avais déjà une dizaine de minutes de retard. Depuis toujours, j'avais un problème avec la ponctualité, ça se faisait pas trois minutes de se préparer chaque matin pour ressembler à un dieu grec, non mais. Les portes se refermaient lentement et je commençais à monter, mais avant d'atteindre le troisième étage, elles s'ouvraient au premier. Une jeune femme attendait, c'était Elbeth, super. Je n'étais pas déçu de la voir, ni heureux, ça me faisait toujours bizarre d'être confronté à elle. Je ne pouvais m'empêcher de sourire timidement lorsque se dirigeait vers moi. « Tu vas bien ? » demandais-je simplement à l'égard de la jeune femme. Je ne savais pas quoi lui dire d'autre, en fait depuis notre rupture, et même avant, je ne savais plus quoi lui dire. Je ne savais même pas ce qu'elle devenait mais au fond de moi j'espérais qu'elle allait bien, parce qu'elle restait une personne que j'avais aimée et qui avait toujours une petite place dans mon coeur.
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Voilà que ce matin, tu t'es encore levé en retard pour ne pas changer, tu te reconnais bien là depuis que tu enchaînes les nuits au club. Tu t'es enfin trouvé un job et t'espère pouvoir trouvé rapidement un appartement pour en finir avec sdf ville. Seulement, tu sais que tes études c'est super important t'as fait tellement de chose pour pouvoir resté à Harvard et tu t'es tellement battu que tu peux pas tout jeter comme ça. T'es crevé lorsque tu finis par arrivé à l'université et t'as vraiment pas le courage de grimper jusqu'à troisième. Ton regard croise le regard de l'ascenseur et un sourire se faufile au coin de tes lèvres. Appuyant sur le bouton, il fini par s'ouvrir quelques instants plus tard, alors qu'Alistair apparaît tu rentres mal à l'aise. Depuis quelques temps, tu l'évites parce que ça te fait toujours mal de le croiser et te rappeler les mauvaises raisons qui t’ont poussé à le quitter. Finalement c'est lui qui brise le silence et tu te pince les lèvres croisant son regard. « Fatigué mais oui, je vais bien. » Tu venais de rentrer dans l'ascenseur pour aller en cour, tu tombais nez à nez avec ton ex petit ami comment pouvais tu allé bien. Rupture encore fraîche même si elle datait parce que, que tu le veuilles ou non tu étais tombée amoureuse de lui et tu l'avais quitté prétextant le contraire parce que tu ne supportais plus de devoir lui mentir sur qui tu étais réellement. Tu as toujours penser qu'Alistair avait le droit à la vérité te refusant à lui laissé croire que tu ne l'avais pas aimé mais tu n'avais jamais trouvé le courage. Il avait été ton premier amour et ça ne pouvait que compter. Puis tu réalisais que tu étais entrain de le fixer. Puis soudain, l'ascenseur ce stop net tandis que la lumière grignote quelques instants, dans ce moment de panique tu finis par t’accroche à lui.
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Franchement, j’avais juste envie que ce moment passe vite et même très vite. On était pas si loin du troisième étage lorsque Elbeth déniait enfin décrocher un mot en répondant à ma question. Je voyais qu’elle n’était pas très à l’aise, moi non plus d’ailleurs mais il n’y avait plus à rien dire. La preuve en était qu’elle ne me demandait même pas comment j’allais moi, ça ne l’avait sûrement jamais intéressé, comme quand on était ensemble. Mais je n’avais pas de rancune, ni rien, c’était un certain vide qui tournait autour de nos souvenirs et de notre relation, comme si j’avais rangé cette aventure dans une case bien au fond de mon cerveau et de mon coeur. Elle était fatiguée, cela crevait les yeux, de lourdes cernes s’étaient formées sur son visage mais je n’avais pas très envie de lui demander le pourquoi du comment. « Tant mieux ». C’était sûrement la pire réponse du monde, mais elle suffisait pour faire le trajet entre deux étages. J’étais prêt à pousser un soupir de soulagement lorsque je voyais qu’on passait le deuxième, mais d’un seul coup l’ascenseur s’arrêtait. Les lumières clignotaient et un bruit sourd se faisait entendre, au même moment je sentais Elbeth s’emparer de mon bras avant de carrément s’accrocher à moi tel un chimpanzé même si ses pieds touchaient encore le sol. Elle avait l’air maligne comme ça, mais ça faisait bizarre de la sentir contre moi. « Panique pas, ça doit pas être bien grave, regarde là il y a un bouton avec une cloche, on va appeler ». J’appuyais sur le bouton mais rien ne se passait, absolument pas un bruit. Merde. « J’ai plus de batterie, tu as pas ton téléphone ? ».
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Dans cette ascenseur, t'aurait voulu t'enfuir le plus vite possible, seulement t'avait la sensation que les secondes devenaient des minutes. Tu n'avais même pas songer à lui poser la question en retour parce que tout ce dont tu pensais à cet instant c'est à le serrer contre toi, ou pouvoir juste un instant sentir à nouveau son odeur. Il te fallait du courage, il allait bien falloir que vous discutiez à la fin. Tu voyais le numéro du deuxième s'afficher et pensais que vous alliez manquer de temps ça serait pour une autre fois ou bien que tu te défilais encore une fois. Jusqu'à ce que l'ascenseur fasse des siennes et ne finissent pas vous bloquer tous les deux. Instinctivement, tu étais venue t'accrocher à lui, retrouvant le contact physique qui te manquait tant. Alistair tenta de te rassurer au mieux alors que le bouton ne fonctionnait pas. Lorsqu'il te parla de ton téléphone, tu te mettais à chercher partout dans tes affaires. « Oh non, comme j'étais à la bourre j'ai totalement oublié de le prendre ! » Tu essayes de rester calme et ne pas paniquer bien que tu détestes les endroits clos comme tout le monde, toujours collé contre lui, tu lèves les yeux pour le regarder. Tes yeux passes de son regard à ses lèvres, tu ne peux que te demander si leur goût t'es toujours familier jusqu'à ce que tu le regardes une nouvelle fois lâchant ces quelques mots sans réfléchir : « Je te demande pardon, Alistair.. »
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Alors que j'étais dans un ascenseur avec Elbeth, tout se passait presque pour le mieux puisque j'allais être bientôt délivré de ces quatre murs mais ça c'était avant qu'il décide de ne plus fonctionner. J'avais en vain essayé d'appuyer sur le bouton qui était normalement destiné à nous sortir d'une galère pareille mais lui aussi ne fonctionnait plus. Je me retrouvais donc avec la jeune femme dans les bras, un malaise ambiant et un ascenseur en panne, super. Autant dire qu'on pouvait sentir la tension dans l'air, il y avait toujours une certaine gêne… un certain truc qui clochait depuis notre rupture. Je lui demandais si elle avait son téléphone mais elle me répondait par la négative après une recherche rapide. Encore mieux. J'essayais tant bien que mal de ne pas croiser son regard même si avec notre proximité, ce n'était pas facile à faire. Évidemment lorsque ses yeux croisèrent enfin les miens, je ne pouvais me détacher de son regard. Ses lèvres étaient si proches, je pouvais sentir son odeur et reconnaître les signes distinctifs de son visage. Je ne savais pas quoi lui dire, ni quoi faire, alors lorsqu'elle se décidait à prononcer les mots que j'aurais aimés attendre il y a bien longtemps, je perdais légèrement mes moyens. Elle se confessait comme si j'étais un prêtre et je me demandais bien de quoi elle voulait s'excuser. Mais au fond de moi, derrière la façade d'Alistair le mec drôle, mon petit coeur me criait de ne pas chercher à en savoir plus pour ne pas replonger dans la maladie invasive qui se prénommait Elbeth. « Oh c'est pas grave tu sais, ça arrive à tout le monde d'oublier son téléphone, tu as pas à me demander pardon pour ça… », je répondais à côté de la plaque, parce que c'était du Alistair tout craché et que c'était la meilleure réponse que je pouvais lui donner face à mes émotions.
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C'était comme une succession d’événements, tout depuis la matinée t'avais poussé à être dans cette ascenseur à ce moment précis. Tu le savais les choses allaient se compliquer dans les minutes à venir parce qu'être enfermé bah ça te rendait nerveuse et tu te connaissais dans ces moments là bah tu lâchais la pression à parlant. Puis te retrouver si près de lui, ça te faisait frémir, vos souffles se mélangeant, tandis que l'ambiance était de plus en plus pesante. Alistair représentait une longue période de ta vie, période ou tu avais du lui cacher ta condition de sdf et ton passé douloureux celui qui te rendait différentes des autres. Te retrouver enfermé avec lui, dans un sens tu l'admettais te permettait de le retrouver parce qu'il te manquait énormément, tu regrettais cette décision qui avait tout fait basculé, par peur qu'il ne t'accepte pas en sachant ton train de vie. Pourtant, contre lui entre ses bras, tu te sentais courageuse prête à te livrer même si t'étais une fille compliqué qui l'avait sans doute fait souffrir, tu lui devais au moins la vérité. Seulement, il a pas l'air de comprendre lorsque tu lui demandes pardon et ça te facilite pas du tout la tâche, c'est tout le contraire. Tu maintiens son regard parce que t'as plus envie de faire semblant, plus envie de continuer à l'éviter et à faire comme si vous vous connaissiez pas parce que ça te fait mal. « Je faisais pas allusion au téléphone, mais à nous, notre relation.. Je te demande pardon d'avoir tout bousillé.. » Tu baisses les yeux quelques instants parce que c'est pas facile à dire, ça veut pas forcément sortir parce que tu l'as longtemps gardé en toi. Tu finis par le lâcher et par glisser le long de la paroi pour t'asseoir, ne sachant pas si il en fera de même. « Ce que tu dois savoir, c'est que je suis tombée amoureuse de toi, je t'ai jamais menti sur tout ce qu'on s'était dit.. Seulement, je ne t'ai pas tout dit et j'ai eu peur que tu me quittes si tu apprenais certaines choses de ma vie.. »
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C’était qu’une fois que j’étais nez à nez avec Elbeth que je réalisais que je n’étais peut-être pas entièrement guéri - quoique je le savais au fond de moi, je préférais sûrement nier l’évidence pour me protéger, avancer. D’un côté je n’avais jamais bien compris le pourquoi du comment, du jour au lendemain tout s’était terminé sans que j’en comprenne les raisons, mais ce qu’elle m’avait balancé en pleine tête, ça, je m’en souvenais. J’avais décidé après une mûre réflexion de ne pas en tenir compte car ce n’était pas le dernier souvenir que je voulais avoir d’elle. Je préférais retenir les bonnes choses… sans forcément me les remémorer. Alors, lorsque je sentais son souffle se mélanger au mien, son odeur qui envahissait l’espace réduit de l’ascenseur, c’était une sensation étrange. Comme si je faisais un retour en arrière sans le décider. Mais lorsqu’elle voulait devenir sérieuse, me dire pardon… je préférais jouer l’idiot. C’était ma spécialité ça, jouer l’idiot pour ne pas parler des choses qui fâchent, je ne voulais pas me fâcher et pourtant j’en mourrais d’envie rien qu’en repensant à ses paroles lors de notre rupture. Alors, quand elle me déballait ses vérités, je restais silencieux. Je me demandais un instant ce qu’elle attendait de moi et pourquoi elle décidait de faire ça maintenant. Le pire dans tout ça, c’est qu’on en était là à cause d’une panne d’ascenseur et non parce qu’elle avait enfin décidé de faire pénitence d'elle-même. C’était un concours de circonstances, ni plus, ni moins. Je fronçais les sourcils. « Si je comprends bien, parce que tu avais peur que je te quitte, tu as préféré me quitter avant ? Notre soit-disant amour ne représentait rien face à ton amour propre ? ». Même si j’avais envie d’y croire, j’avais du mal. Si la seule raison de notre rupture était la peur de se faire plaquer à cause de non-dits, c’était que sa fierté était plus importante que tout pour elle et j’avais pas très envie d’en entendre plus.
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Tu devais lui parler depuis des mois mais t'avais jamais trouvé le moment, ni même le courage mais maintenant que t'avais trouvé un boulot, tu pensais avoir moins honte. Il faut dire qu'il ne savait rien de toi, sur ton passé et peut être que le destin voulait que tu lui parles maintenant. Assise dans l'ascenseur, tu commençais par t'excuser et forcément il réagissait pas bien à ce que tu lui disais. Tu pouvais pas lui en vouloir même si ces paroles te blessaient parce que c'était pas une question d'amour propre mais une question d'abandon et de sentiment. T'avais jamais aimé personne avant lui, t'avais même jamais compter pour personnes. Tu te relevais et lui faisait face parce que tu pouvais pas accepté qu'il pense ça pas après tout ce que t'avait vécue. « Je peux pas te laisser pensé ça parce que de la fierté ou de l'amour propre ça fait des années que j'en ai plus. Tu sais ce que ça fait de devoir dire au gens qu'on est sdf, ou bien encore qu'on à été battu et plus encore ? Alors non c'est pas de l'amour propre c'est juste essayé de gardé un semblant de dignité » Tu avais les larmes qui te montaient aux yeux parce que dans le fond c'est toi qui avait le plus honte de toi-même et ça te faisait mal de devoir lui dire à lui. T'avais toujours voulu qu'il t'aime et te voit comme une belle personne et pas comme une fille paumé. Tu tapais sur les portes de l'ascenseur en espérant que tu pourras t'enfuir parce que maintenant t'avait peur de voir son regard dans le tien, peur de ce qu'il allait penser. Tu pouvais pas le regarder, ce mec c'était le plus important encore aujourd'hui ça comptait et maintenant qu'il savait la vérité, tu craignais qu'il ne te juge ou pire encore. Pourtant tout ce que tu voulais c'était pouvoir le retrouver même quelques instants. « Hey ohh, on est enfermé. »
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En fait, durant un temps j'avais pensé pouvoir arranger les choses avec elbeth, puis au final ça me paraissait mieux comme ça cette situation : on ne se parlait plus, je n'avais pas à voir son visage angélique tous les jours. Arranger les choses non pas pour se remettre en couple mais au moins pour pouvoir communiquer, enfin. Mais après tout, j'en étais venu à la conclusion que moins je la voyais, mieux je me portais, même si c'était horrible à reconnaître : mon petit coeur avait trop souffert, et je devais protéger mon petit coeur. Puis lorsqu'elle essayait de m'expliquer ses raisons, je me braquais parce que je ne trouvais pas ça très classe, de me quitter pour éviter que je le fasse avant elle. Puis d'abord pourquoi j'aurais voulu la quitter ? Je l'aimais moi, c'était la première fois de ma vie que je m'attachais à une fille alors je n'étais pas prêt de la lâcher, pour rien au monde. Elle se relevait, je reconnaissais son regard déterminé mais je ne changeais pas d'attitude. J'avais le droit d'être en colère, j'avais le droit de ne pas dire amen à tout. Mais lorsqu'elle ouvrait la bouche pour m'expliquer que ce n'était pas une question d'amour propre mais tout à fait autre chose… je tombais des nues. Les yeux écarquillés, j'essayais de capter quelque chose dans son regard, j'étais perdu. Elbeth sdf, battue ? Je fronçais les sourcils, le regard moins sombre voir assagi mais tout de même sous le choc. Des larmes commençaient à envahir son joli visage, elle se détournait, me fuyant. J'attrapais délicatement son bras afin de la faire revenir vers moi puis je plantais mes yeux dans les siens. « Elbeth… tu penses que je suis qui au juste ? Un gosse de riche comme la plupart des étudiants d'harvard ? J'ai pas un rond, je viens d'une famille plus que modeste et tu devrais savoir que je ne juge jamais personne. Imagine si je devais me juger avec toutes les conneries que je fais ! » dis-je pour détendre l'atmosphère, parce que c'était mon truc l'humour quand j'étais mal à l'aise, même si je passais pour un con - comme en ce moment même. Néanmoins avec plus de sérieux je reprenais. « Jamais, tu m'entends jamais je t'aurais lâché pour ça, je t'aurais aidé, j'aurais tout fait pour toi elbeth, sdf ou pas sdf. Tu réalises pas à quel point je t'aimais. Puis tu vas me dire qui a osé lever la main sur toi, je suis peut-être pas un super-héros ni un bagarreur mais tu vois, même après tout ça, ça me rend fou ». Je prenais ma tête entre mes mains, c'était trop, trop d'informations, j'étais perdu, désemparé.

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Dans cet ascenseur, tu commences à suffoquer parce que tu viens de lui balancer sans réfléchir que tu es sdf et en plus que t'as été une enfant battu. Seulement, d'un côté tu te remerciais de ne pas lui avoir parler du viol et des attouchements. Déjà, tu voulais disparaître très loin, tu voulais pas qu'il change de regard sur toi et en même temps tu pouvais plus cacher la vérité. Lorsqu'il te saisissait par le bras, tu plantais ton regard dans le sien alors que tu comprenais qu'il assimilait les informations que tu venais de lui donner. Tu devenais confuse alors que tu souriais tu ne savais même pas pourquoi ? Ce gars il avait le don de te faire perdre tes moyens, le genre premier amour qui vous déstabilise quoi qu'il puisse se passer. Puis y a ces paroles qui t'enveloppent alors que tu te sens conne de l'avoir quitté maintenant que tu sais tout ça, mais en même temps t'as tellement pas confiance en toi. « Je suis tellement désolé de t'avoir brisé le cœur parce que je t'aimais, he te jure que ça n'a jamais été remis en question. Je tombais de plus en plus amoureuse de toi et puis plus ça allait plus je me disais que si tu apprenais la vérité tu te rendrais compte que j'étais pas une fille pour toi t'aurais pu avoir honte.. Je l'aurais compris tu sais. » Tu finissais par lié ta main à la sienne alors que doucement je tentais de trouver du réconfort, puis je décidais de lui dire toute la vérité même si ça allait sûrement me faire pleurer toute cette histoire.. « Je suis orpheline, ma mère a été tué sous mes yeux par mon beau père, celui là même qui me battait et qui parfois s'introduisait dans mon lit la nuit.. Je l'ai envoyé en prison et j'ai vécue deux ans dans la rue à Vegas et j'ai dû voler pour survivre. Malheureusement, j'ai été violé et l'homme m'a laissé de l'argent celui avec lequel j'ai intégré Harvard.. » Tu baisses les yeux parce que tu as mal en repensant à cette vie douloureuse que tu as eu et tu penses qu'il comprendra les marques sur ton corps à présent.
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