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UNE BELLE SURPRISE. EZLEY You burn everything you see, Gold are your fingers, Leaving traces everywhere you go. Diamonds in your skin, my bood flows. Down of the water, Beads drippin' down your face, calling out my name. Ca me semblait logique. Je regarde deux, trois fois mon bâtiment en grimaçant, et si ce n’était pas ce qu’il voulait ? Je veux dire, il y a plusieurs cadeaux, et je suis obligé de me sentir comme ça ? Pourtant, je sais qu’au fond, c’est quelque chose qu’il pourrait apprécier, et je suis certain qu’il viendrait à aimer. Je sors de la voiture, vêtu d’un costard assez simple, serré au niveau de mes hanches et de mes mollets ainsi que les chevilles. Je venais de détacher ma veste pour avoir plus de confort, et je montais les marches pour me diriger vers notre appartement. Ca fait pas longtemps qu’on s’est remis ensemble, depuis que je suis parti, je ne pense pas qu’on aille vraiment eu des moments intimes, sans parler de sexe. Mais juste le fait de partir de chez soi, et d’aller ailleurs pour se concentrer sur nous, et non pas se sentir assez lourd. Je sais, même ma conscience ne comprend rien de ce que je raconte, même moi, je suis un peu paumé. J’entre la clé, et mes pupilles se baladent rapidement sur les alentours à la recherche de Mae. Mais il ne semble pas être au salon, il doit sans doute se trouver au bureau en train de rédiger des lettres ou continuer son bouquin. « Bébé ? » Ce n’est pas que je suis un peu pressé, mais je dois avouer que j’ai un programme à respecter et je ne voudrais pas qu’on arrive en retard. Je me précipite vers le bureau, je le vois. Et mon sourire apparaît aussitôt. Il est si beau, et si dénudé que j’aurais bien voulu faire éterniser le moment. « Tu fais quoi ? » Je marche jusqu’à lui, jusqu’à que mes mains viennent happer les siennes et le redresser pour pouvoir déposer mes lèvres sur sa bouche, en passant mes phalanges sur la longueur de son corps. Je le touche, comme il aime tant. Et comme moi, j’aime. Je fais basculer ma bouche sur sa mâchoire, descendant rigoureusement sur sa nuque en y déposant de fréquents coups de langue. « On doit partir, je te laisse quinze minutes. Tu as quinze minutes pour préparer tes affaires de trois jours. » J’y laisse une petite claque, assez timide. Avant de me reculer avec un sourire des plus provocateur. Le fait qu’il ne sache rien, c’est si plaisant. Même si au fond, je flippe légèrement. Je sors de la pièce, pour m’installer sur le canapé avec une bière. Tout en regardant vaguement mon téléphone pour regarder si le programme est toujours d’actualité. code by lizzou — img/gifs by TUMBLR — 000 WORDS. |
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