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Une belle surprise (Ezley)

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UNE BELLE SURPRISE.

 EZLEY 


You burn everything you see, Gold are your fingers, Leaving traces everywhere you go. Diamonds in your skin, my bood flows. Down of the water, Beads drippin' down your face, calling out my name.




Ca me semblait logique. Je regarde deux, trois fois mon bâtiment en grimaçant, et si ce n’était pas ce qu’il voulait ? Je veux dire, il y a plusieurs cadeaux, et je suis obligé de me sentir comme ça ? Pourtant, je sais qu’au fond, c’est quelque chose qu’il pourrait apprécier, et je suis certain qu’il viendrait à aimer. Je sors de la voiture, vêtu d’un costard assez simple, serré au niveau de mes hanches et de mes mollets ainsi que les chevilles. Je venais de détacher ma veste pour avoir plus de confort, et je montais les marches pour me diriger vers notre appartement. Ca fait pas longtemps qu’on s’est remis ensemble, depuis que je suis parti, je ne pense pas qu’on aille vraiment eu des moments intimes, sans parler de sexe. Mais juste le fait de partir de chez soi, et d’aller ailleurs pour se concentrer sur nous, et non pas se sentir assez lourd. Je sais, même ma conscience ne comprend rien de ce que je raconte, même moi, je suis un peu paumé. J’entre la clé, et mes pupilles se baladent rapidement sur les alentours à la recherche de Mae. Mais il ne semble pas être au salon, il doit sans doute se trouver au bureau en train de rédiger des lettres ou continuer son bouquin. « Bébé ? » Ce n’est pas que je suis un peu pressé, mais je dois avouer que j’ai un programme à respecter et je ne voudrais pas qu’on arrive en retard. Je me précipite vers le bureau, je le vois. Et mon sourire apparaît aussitôt. Il est si beau, et si dénudé que j’aurais bien voulu faire éterniser le moment. « Tu fais quoi ? » Je marche jusqu’à lui, jusqu’à que mes mains viennent happer les siennes et le redresser pour pouvoir déposer mes lèvres sur sa bouche, en passant mes phalanges sur la longueur de son corps. Je le touche, comme il aime tant. Et comme moi, j’aime. Je fais basculer ma bouche sur sa mâchoire, descendant rigoureusement sur sa nuque en y déposant de fréquents coups de langue. « On doit partir, je te laisse quinze minutes. Tu as quinze minutes pour préparer tes affaires de trois jours. » J’y laisse une petite claque, assez timide. Avant de me reculer avec un sourire des plus provocateur. Le fait qu’il ne sache rien, c’est si plaisant. Même si au fond, je flippe légèrement. Je sors de la pièce, pour m’installer sur le canapé avec une bière. Tout en regardant vaguement mon téléphone pour regarder si le programme est toujours d’actualité.
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Vendredi 17 novembre, 16h30 •

Mes doigts frappent frénétiquement le clavier de mon ordinateur où j'ai les yeux rivés. Installé sur la chaise de bureau, je venais de sortir de la douche et n'avait qu'une serviette nouée autour de mes hanches. En fait, ça faisait environ une heure que j'étais sorti de la douche, mes cheveux étaient encore légèrement mouillés pour le prouver. Mais sous la douche, j'ai eu d'excellentes idées d'intrigues et de chapitres, alors je me suis seulement hâté d'écrire tout ça. L'odeur de cigarette avait embaumé la pièce, le bâton de nicotine brûlait encore dans le cendrier à moitié plein. Je fume peut-être beaucoup trop, mais en réalité, si en une heure j'ai fumé tout ça, c'est simplement parce que j'en allumais une et restais concentré sur ma tâche, si bien qu'elle se consumait sans même que je ne la touche une seule fois. Une cigarette, une bouffée, en gros. Trop concentré pour entendre quoi que ce soit, je finis tout de même par relever le visage sur Ezra qui se tient dans l'encadrement de la porte, avec un sourire à tomber. Mes doigts retombent lentement sur le clavier et je lui souris en retour. « J'écrivais un nouveau chapitre. Tu rentres tôt aujourd'hui, ça me fait plaisir. » Je me relève de mon siège après avoir méticuleusement cliqué sur la disquette de sauvegarde, mes mains partent immédiatement autour de lui et ma bouche rencontre sans tarder la sienne. Un long baiser comme je les aime, et ses mains sur mon corps nu me font frissonner de plaisir. Un soupir s'écrase contre ses lèvres et je tends mon cou pour qu'il ait la liberté d'y faire tout ce qu'il voulait. Son annonce me fait froncer les sourcils. Nous n'avions pas prévu de partir en week-end ... Mais lui, si. Une de ses surprises que j'aime tant. « Oh ! On va où ? On va faire quoi ? Allez dis moi ... » Je me rapproche de lui le regard suppliant, mais je sais qu'il ne me dira rien ... « Si tu me dis tout, j'enlève ma serviette. » Dis-je avec un regard des plus pervers et le sourire qui va avec. Une dernière tentative salace pour qu'il révèle ses secrets. Sauf qu'il sait me résister, et je ne sais pas comment il fait.

koa


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Je n’ai jamais su garder mon calme, j’ai jamais su être patient. Même quand je faisais un truc, c’était pour moi, obligé de le savoir directement ensuite, je ne supportais pas apprendre en plusieurs mois, ou en plusieurs jours. Je faisais partie de ceux qui voulaient tout d’un coup, et que les gens le comprennent ou non, ce n’était pas mon problème. Cependant, en compagnie de Mae, j’ai su forger une certaine patience que je n’aurais jamais pu avoir avant, je veux dire que je sais que lui et moi sommes très différents et nous fonctionnons d’une façon étrange, même si au fond on pense vouloir la même chose à la fin. Je m’arrêtais en lui jetant un coup d’œil, il doit penser que je sais me tenir, mais au fond… Il devrait me connaître et savoir que c’est juste de la torture de me faire ça. Je secoue le visage de droite à gauche, un soupire lourd traversant mes chaires masculines. Cependant, en compagnie de Mae, j’ai su forger une certaine patience que je n’aurais jamais pu avoir avant, je veux dire que je sais que lui et moi sommes très différents et nous fonctionnons d’une façon étrange, même si au fond on pense vouloir la même chose à la fin. Connaître Marley a été la plus belle chose qui aurait pu m’arriver, mais même après tant de temps en sa présence, il réussissait à me surprendre, me faisant découvrir de nouvelles facettes. Il me fascinait, à chaque mot, chaque geste, il s’en donnait, il pouvait éprouver un sentiment et la seconde d’après, ce sentiment pouvait brutalement changer. Rien n’était définitif. Et c’est ça, que j’aimais chez lui, cette façon de tout vouloir faire, mais c’est aussi ça, qui me fout la trouille. J’ai souvent imaginé l’amour qu’il éprouvait à mon égard partir, d’un revers de main, d’un simple regard. J’ai toujours fait ce cauchemar où il m’annoncerait qu’il devrait faire son deuil, que cette fois, c’était bien terminé. Mais on n’a jamais pu, on a jamais su s’en sortir sans l’autre, c’était comme si l’univers tout entier nous montrait face à nous, plusieurs raisons qui faisaient que nous étions ensemble. Que ce n’était pas juste deux humains, un amour banal, une relation. C’était comme si deux âmes se retrouvaient, qui se liaient entre elles, et que désormais à chaque séparation. Ce sont des douleurs atroces en sentant nos âmes se déchirer, sangloter en s’évaporant dans le temps. Je reste silencieux, quelques fois, je peux être simplement ici, mais mon esprit est absent. Sans même m’en rendre compte, je buvais l’intégralité de ma bière avant de prendre mon paquet de cigarettes pour m’en fumer une. J’attendais Marley, avec impatience. Je voulais profiter de lui, sans réfléchir si une fin ou non, de nous deux nous attendait. Persuadé qu’on pouvait combattre chaque tempête, chaque épreuve. « Il te reste dix minutes jeune homme. »
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Vendredi 17 novembre, 16h30 •

J'avais tellement hâte de savoir. De savoir ce qu'il me cachait, même si c'était pour mon plus grand plaisir. Et justement parce que c'est pour mon plus grand plaisir, je suis tellement impatient. C'est pour ça que je mettais tout en oeuvre pour avoir mes réponses, même si ça ne marchait pas forcément. Alors, devant son refus catégorique, je fais la moue et pars dans la chambre pour m'habiller. Je ne sais même pas quoi porter, je ne sais pas ce qu'on va faire, si je dois m'habiller bien ou juste comme tous les jours. Décidément ... Je décide quand même de faire un effort quand Ezzie me crie qu'il ne me reste que dix minutes à peine. J'attrape un de ces jeans qu'on a acheté ensemble, un noir, comme il aime. Et en me regardant, c'est vrai qu'il me moule bien. Un T-shirt banal, blanc puis un sweatshirt large. Mais pas comme j'ai l'habitude d'en porter, celui-là est vraiment stylé. Il est long, les manches me collent à la peau mais il me va bien. Et noir. Mes baskets, un coup de parfum, puis je pars préparer mon sac. Je mets des vêtements en vrac dedans, vu que je ne sais pas où on va. J'attrape une veste, mes lunettes de soleil et mes papiers, puis pars dans le salon où je retrouve mon âme-soeur assis dans le canapé, à terminer sa bière et à fumer sa cigarette. Et tel un aventurier, je me hisse sur le dossier du canapé pour m'asseoir finalement à côté de lui, jetant mon sac de l'autre côté. « Prêt mon capitaine ! Quelle est donc notre destination ? » Dis-je les yeux pétillants, m'imaginant même plein d'aventures légales ou pas, d'ailleurs. Le souvenir de la piscine d'une maison inconnue me revient en mémoire et je ne peux être qu'excité face à ça. J'ai tellement hâte de partir avec lui. Parce qu'il n'y aura plus que nous. Plus que lui et moi, contre le reste du monde.

koa


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En regardant Mae arriver, et surtout son sac à mes côtés. Je fronçais subitement les sourcils. Je ne sais pas s’il a tout pris, et au pire j’avais prévu autre chose et surtout des affaires. Histoire qu’il ne devine pas ce que cela pourrait être. Sachant que ce petit gars est bien trop curieux quand il s’agit de cadeaux. « Je vais rien te dire, tu pourras me faire ta tête de chien battu, pleurer, montrer ton pénis et ton cul, que je ne vais pas céder. » Chose rare, mais même si mon regard en disait long, je décidais de tourner la tête en me forçant à ne pas sourire. Je me redressais, happant son sac en le posant sur l’une de mes épaules. Mettant la bière dans la poubelle, je m’arrêtais quelques secondes. « C’est juste hein, tu adores le saut au parachute ? » Je souris, d’un air mauvais et presque taquin. Le malmenant à ma guise tant j’aimais le voir paniquer. Je pense, en toute honnêteté être capable de sauter dans le vide, pour ma part j’ai toujours apprécié les grands frissons et je ne doute pas que j’aurais fortement aimé faire ceci, c’est à noter. Je le vois, presque blanc. Lui, qui préfère avoir les deux pieds bien contre la terre, je l’imaginais prier et me hurler dessus en me disant qu’il m’aime, mais que je suis un véritable connard d’avoir fait ça. Heureusement pour lui, ce n’était en rien de mon projet. Je l’invitais à sortir de l’appartement, le suivant de prêt pour nous retrouver bien vite dans ma voiture, allumant le chauffage. Putain d’hiver. « Bon, pour le jeu tu vas devoir mettre ça. Ce n’est pas longtemps, mais histoire que tu ne saches pas d’avance. » Je me tournais pour que mon bras se retrouve derrière les sièges en attrapant un bandeau rouge de soi. Cochon ? Croyez-vous que j’aie ceci pour rien dans ma voiture ? Même ma conscience ricane en imaginant les scènes. Je le place devant ces yeux clairs en faisant un bon nœud derrière, il est malin. Mon visage en face de lui, j’y fais une petite grimace en prétextant. « J’espère que tu ne me vois pas, si c’est le cas… Tu ne dois pas être déçu. » Je me recule, démarre la voiture.

Je conduis environs une bonne trentaine de minutes, pour arriver à destination. Je me gare, près d’un magnifique bâtiment. Ce n’est pas vraiment ça la surprise, je veux dire il peut penser que ce n’est qu’un hôtel, mais j’ai énormément travaillé sur ce projet. Et j’espère qu’il va l’aimer tout autant que j’aime. Je lui retire le bandeau, adossant mon épaule tout en dévorant ces expressions, logé d’un sourire sincère. « Je voulais que tu gardes le bandeau jusqu’au bout, mais ça va être compliqué avec les bagages et toi, qui est maladroit. » Je ris, en posant ma main tendre sur sa joue douce.

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Vendredi 17 novembre, 16h30 •

Ses surprises étaient toujours magnifiques. C'est pour ça que je les aimais tant. Et pas seulement parce qu'il y mettait tous les moyens, mais surtout parce que c'était de lui. Il mettait toute son âme à chaque fois pour tout préparer méticuleusement et je me faisais toujours une joie de lui obéir aveuglément. Parce que tout ça, c'est lui. Tout ça, c'est ce qu'il veut toujours me faire découvrir, de nouvelles choses, de nouvelles façons de voir les choses. Le luxe a toujours fait partie de lui et j'aime cette partie là parce qu'il ne la désire pas seulement pour lui-même, mais surtout pour la partager avec ceux qu'il aime. Et il le partage toujours avec moi, sans jamais rien demander en retour. Ses cadeaux sont magnifiques pour ça. Parce que ce ne sont jamais qu'un objet, que de simples souvenirs quand bien même ils soient inoubliables. C'est toujours une partie de son âme qu'il me donne sans relâche, sans jamais se lasser. Et bon sang, qu'est-ce que j'aime ça. J'aime son humeur taquine, quand il est comme ça, j'ai l'impression que nous sommes des enfants. Inséparables, peu importe ce qu'il arrive, ce qu'il arrivera. Et s'il n'arrive parfois pas à me parler, à me dire ses sentiments avec des mots, il communique son amour à sa façon. Et sa façon, je l'aime. J'aime tout de lui. Ses surprises, ses vides, sa bonne humeur, ses crises de jalousie. Tout. Et il m'appartient. Perdu dans ces pensées niaises, je le fixe d'un regard amoureux alors que ses mots me tirent de ma rêverie. Je fais la moue, me mettre nu n'est donc pas suffisant ... Tant pis, je n'insiste pas plus. On se relève et tel le plus galant des hommes, il me prend mon sac et une grosse flaque de Marley s'étend sur le sol. Je fonds, littéralement. Je tombe amoureux de lui à chaque fois qu'il me regarde comme ça. Mais mon élan amoureux disparaît bien vite quand il me parle de sauter en parachute. Je deviens livide, je déglutis. Merde, j'aime aller sur les toits mais me jeter dans le vide comme ça ... C'est une expérience à faire mais je suis tétanisé à cette simple idée. Je fais toujours une tête choquée quand on sort dehors et une fois dans la voiture, il me dit que je vais devoir mettre un ruban sur mes yeux. « On va pas sauter en parachute alors ?.. » Je le laisse me mettre le bandeau et puis c'est le noir complet. « Je te vois peut-être pas mais je te sens bouger bébé. Arrête ou tu vas rester bloqué. » Je me détends un peu. C'est son don à lui, ça. De me détendre avec que dalle.

Sur le chemin, j'essaie de lui poser quelques questions. Entre chaque silence, je fais des allusions, histoire de lui extorquer quelques réponses cachées. Tentant de deviner la signification de ses intonations, le placement de son corps. Mais rien. Je suis un peu déçu de ne rien avoir trouvé comme indice mais finalement, nous arrivons bien vite. La voiture arrêtée, je plisse les yeux et tombe sur son visage. « Quels bagages ? J'ai qu'un sac à dos ... » Mon regard se tourne vers le bâtiment de l'autre côté. C'est un hôtel luxueux, sur le port de Boston, et je n'y crois pas mes yeux. Ce bâtiment est tellement magnifique, je distingue même un peu l'intérieur. « Oh my ... Regarde !! Y'a un portier ! Et un voiturier !! Et des chariots pour les bagages, et des agents de sécurité aussi ! T'as vu ça Ezzie ?! Regarde on dirait de l'or !! » Un grand sourire s'étend sur mon visage. Alors c'est bien là qu'on va dormir pendant ces trois jours ? C'est juste exceptionnel. Je prends soin de me détacher avec une hâte entrainant ma maladresse et arrive finalement à me jeter dans ses bras pour l'embrasser avec tout l'amour du monde. « Oh bébé on va être des princes pendant ces trois jours ? Je t'aime tellement, je veux qu'on mange du homard et qu'on commande ensuite du champagne dans la chambre et qu'on se baigne dans un jacuzzi et qu'on emmerde les voisins en hurlant pendant qu'on fera l'amour sur le lit king-size et qu'on déchire les oreillers !! Oh chaton je suis tellement content ... Je t'aime trop trop trop ! » Je l'embrasse à nouveau avant de le regarder le plus sérieusement du monde. « Dis, tu crois qu'on pourra avoir une fontaine de chocolat ? Avec des bananes. Et du champagne. »

koa


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