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Ewan (+) Petit accident domestique.

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Ce matin je m'étais levé du bon pied parce que j'étais de garde à l'hôpital et c'était rare vu que je n'étais qu'étudiante, heureusement pour moi j'adorais ce que j'étudiais et j'étais sûre de vouloir faire ce métier alors c'était de bonne humeur que je me rendis au boulot. J'étais assisté au début de ma journée puis je terminais par finir ma journée seule, en même temps j'avais que des choses banale à m'occuper, j'étais pas sur le point d'entrer dans un bloc et intervenir en tant que chirurgien non j'étais en train de m'occuper de petites blessures superficielles. J'avais donc enchainé les patients avant de devoir m'occuper d'une petite fille qui était là avec son papa, elle était mignonne et bien sûr je craquais et cela me donnait encore plus envie de me tourner vers la pédiatrie. "Bonjour, suivez moi.." On allait dans mon cabinet, enfin pas le mien mais celui où je m'occupais des patients et je questionnais le papa. "Alors qu'est ce qui est arrivé à cette petite princesse?? Et quel âge à t'elle??"
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Ma journée avait bien commencé pourtant. Alors pourquoi je me retrouvais dans un putain d'hôpital, ma princesse dans les bras. Je jetais un regard paniqué vers ma fille, les larmes coulant toutes seules sur les joues. Je ne sais pas ce qu'il s'est passé. En une fraction de seconde, tout à changé. Ma vie a été bouleversée. Une seconde j'étais en train de faire brouiller les oeufs de ma principessa et la seconde suivante un grand fracas se faisait entendre et je retrouvai le corps ensanglanté et sans signe de vie de ma fille, dans le bas des escaliers. J'eu juste le temps de penser à fermer le rond avant de me précipiter vers la princesse, affolé. J'osai à peine toucher son corps, de peur d'empirer encore plus son état. Je décidai tout de même d'appeler la police, leurs demandant d'envoyer une ambulance à mon adresse et ils me dirent que cela prendrait une demi-heure avant leur arrivé à cause d'un accident bloquant la circulation.

Paniquant encore plus, ayant peur que cette demi-heure ne me coûte la vie de la dernière personne qui comptait pour moi dans cette vie, je décidai de foutre en l'air toute prudence, prit ma petite princesse dans mes bras et me ruai vers l'hôpital. Cela me prit, au bas mot, cinq minutes à faire tout le chemin. Me précipitant dans le hall de l'hôpital, j'hurlai que j'avais besoin d'un médecin. La dame de l'accueil fit signe d'aller chercher le médecin le plus proche. Lorsque je vis ce dernier -ou devrais-je dire cette dernière- arriver, je fus tellement soulagé que les larmes se remirent toutes seules à couler. Je suivie cette dernière, puisque c'est ce qu'elle demanda, jetant des regards inquiets sur le corps inconscient de ma princesse. Arrivé dans son cabinet, je déposai avec une extrême douceur le corps de ma petite fille sur le lit d'hôpital et me laissai tomber dans le fauteuil le plus proche, me prit la tête à deux mains et je fondis aussitôt en larme. Je crois que je n'ai jamais autant pleuré depuis la mort de ma femme. Reniflant avec une grâce toute relative, je relevai la tête vers le médecin et déclaré, avec un léger tremblement de voix

-Q...quatre ans, elle a quatre ans et e...elle s'appelle Hope. Je ne sais pas ce qu'il c'est passé. Une seconde j'étais en train de préparer comme chaque matin ses oeufs brouillés et la seconde j'entends un énorme fracas et je retrouve son corps ensanglanté au bas de l'escalier.

Un reniflement disgracieux vint couper court mon discourt et alors que j'allais reprendre, un grognement très -on va le dire franchement- masculin se fit entendre et une petite voix cristalline résonna

- P...papa ? Où on est ? Pourquoi je suis là ? Pourquoi j'ai mal partout ? Pourquoi on est pas à la maison ?

Levant les yeux au ciel, un léger sourire me vint aux lèvres en entendant ses questions. La princesse en était à sa phase de "Pourquoi". Chaque journée elle me pose milles et une question débile avec le fameux "pourquoi". Comme par exemple "Pourquoi les papillons ils volent" ou encore "Pourquoi le ciel il est bleu" ou encore "Pourquoi son bidon il gargouille quand elle a faim"... hier elle m'a même demandé "Pourquoi les oiseaux ils pouvaient voler et pas elle".
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Je n'étais pas chirurgienne et je ne pourrais pas m'occuper de patients qui nécessiterait des soins plus intenses, si cette petite fille était ans mon service avec son père c'était qu'il y avait rien de grave, elle était inconsciente mais c'était surement dû au choc alors une fois dans mon cabinet je questionnais le père, je voyais son inquiétude dans ces yeux et je comprenais que j'allais aussi devoir être rassurante tout de suite parce qu'il avait vraiment peur et je comprenais. Je me penchais vers la petite fille et je 'auscultais avant de lui demander. "Elle est inconsciente depuis longtemps??" Elle respirait et ces constances étaient normal, mes questions étaient normal mais voir le jeune homme flipper de la sorte m'obligeait à être rassurante auprès de lui. "Elle va bien, une radio va être nécessaire pour être sûre mais elle va bien aller vous inquiéter pas, un accident de ce genre sa arrive à beaucoup de petits enfants, vous êtes un bon papa." Je le voyais au fait qu'il s'inquiétait autant pour sa petite fille et l'état dans lequel il ce mettait, je me tournais quand j'entendis la petite fille à l'instant ce réveiller et qu'elle questionnait son papa mais je me devais de lui poser des questions. "Bonjour toi, je suis la médecin, tu peut m'appeler Talya, dit moi ma puce est ce que tu as mal quelque part?? Tu te rappelle ce qui s'est passé??" Je laissais son père s'approcher de nous tout de même, il pouvait toujours prendre la main de sa fille.
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Durant le temps que ma princesse fut inconsciente, la dame me questionna et j'essayai de mon mieux de répondre, même si je dus avouer que j'eu du mal.

-Je crois que ça fait vingt minutes à tout casser qu'elle est inconsciente.

J'eu un léger sourire en entendant ses mots suivants. J'avais des doutes concernant le fait de bien m'occuper de ma fille, alors m'entendre dire que j'étais un bon père était vraiment rassurant. Le sourire qu'elle me lança me fit du bien. Je dois dire que voir le sourire rassurant de la femme médecin me rassura énormément. Si elle souriait ainsi c'est que rien de grave n'était arrivé à ma loupiote. Je passais une main douce et apaisante dans les cheveux de ma fille tout en répondant à ses questions

-On est à l'hôpital ma chérie. Tu es tombée dans les escaliers ce matin et tu as perdu conscience durant un moment. Tu as mal à ton petit corps à cause de la rencontre avec les marches de notre escalier. Si on est pas à la maison c'est parce que je m'inquiétais pour toi, ma principessa.

Je voyais dans le regard de ma fille que mes réponses la rassurèrent. Je savais très bien comment elle fonctionnait. En apparence elle allait bien mais dans le fond je savais qu'elle était très inquiète. La main toujours dans ses cheveux, je lui fis la bise sur le front avant de me tourner vers la dame.


P.O.V Hope
En ouvrant mes petits yeux, je vis que je n'étais pas à la maison. J'étais où ? Pourquoi j'étais là ? Pourquoi j'étais pas à la maison ? Toutes ces questions dans la tête et pas de réponse. Tournant avec du mal le regard pour regarder autour de moi, je vis mon papa dans un coin de la pièce avec une belle dame et je décidai de questionner mon papa d'amour. Ses réponses me rassurèrent quant à l'endroit où je me trouvais. Puis la jolie dame me questionna et je décidai de répondre, de toute façon mon papa m'avait bien élever et ne pas répondre aux questions était malpoli.

- Bonjour madame Talya. Vous êtes vraiment jolie. J'ai mal tout partout dans mon corps mais le plus mal c'est derrière ma tête. Je sais que je voulais faire une surprise à mon papa. J'avais mes partitions de musiques en mains et en voulant descendre les escaliers j'ai glissé. Après je me souviens plus du tout.

Un soupir sortit de mes lèvres en sentant mon papa me caresser les cheveux. Ça me calmait depuis toute petite, c'était apaisant, relaxant.
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Quand le jeune homme me dit qu'elle était inconsciente depuis 20 minutes je ne m'alarmais pas plus que cela, j'avais besoin qu'il soit calme, qu'il soit là quand sa fille ouvrirait les yeux et surtout qu'il ne ce sente pas coupable, des accidents domestiques ça arrivaient tous les jours. Je venais à le rassurer sur l'état de santé de sa petite fille et très fille cette dernière ce réveillait en posant pleins de questions à son papa ce qui était normal, je souriais en voyant le tableau mais je fus obligé de les interrompre pour poser quelques questions à cette petite fille et elle me répondit sans grand inquiétude. La douleur était normal et j'allais lui prescrire des anti-douleurs maintenant j'avais surtout besoin d'une radio, je souriais à ces mots et surtout à son compliment, je ne tombais pas toujours sur des petites filles aussi gentil. "Merci ma puce, Okay très bien alors la douleur t'en fait pas elle partira si tu suit bien ton traitement par contre je préfère que tu aille passer une radio, une gentille infirmière va t'y accompagner d'accord,e t ton papa t'attendra ici, c'est pas douloureux c'est juste par précaution,e enfin voir si tu n'as pas de bobo à l'intérieur." Difficile d'expliquer ce genre de chose à une petite fille de quatre ans. j'appelais d'ailleurs une infirmière en demandant l'accord du père.
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