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Nom : Keller. Nom de ce père qu'elle aime tant. Un père qu'elle ne voit pas assez à son goût. Keller, synonyme d'une famille désormais éclatée. ◇ Prénom : Si la majorité des personnes l'appellent Lou, son vrai prénom est Louise. Une information qu'elle se garde bien de dévoiler préférant largement le diminutif de celui-ci. Robbyn. Elle ne comprend toujours pas pourquoi ses parents ont tenu à lui donner un second prénom mais au fond elle s'en fout. ◇ Âge : 24 ans qu'elle prend un malin plaisir à emmerder les autres. ◇ Date et lieu de naissance : La jeune femme a vu le jour le 8 juillet 1993 dans la belle ville de San Francisco. ◇ Nationalité : Américaine ◇ Orientation sexuelle : Hétérosexuelle. Les hommes sont les seuls à réveiller en elle le désir et la passion. ◇ Statut amoureux : Célibataire qui ne veut pas s'attacher. Le cœur marqué par une histoire qui fut intense et douloureuse. ◇ Statut social : Aisé. Sa mère a touché le jackpot en se remariant avec un mec blindé de tunes. C'est à peu près le seul point positif qu'elle a trouvé chez cet homme qui a tout du véritable enfoiré. ◇ Job étudiant : Aucun. Elle bosse quelques heures par semaine dans une salle de sport histoire de ne pas être totalement dépendante de l'argent de son beau-père. Elle est loin de devenir riche mais bon, c'est toujours ça de pris. ◇ Études majeures : Psychologie. Lou, elle veut comprendre le monde qui l'entoure et parvenir à déchiffrer les pensées et comportements des gens qu'elle rencontre. ◇ Études mineures : Sociologie. Il était logique pour elle de rester dans le même domaine afin d'acquérir davantage de compétences et de pouvoir choisir au mieux sa spécialisation.
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Lou R. Keller - 24 ans - Septième année - Social - Bosse dans une salle de sport
Lou Robbyn Keller
feat camille rowe-pourcheresse
feat camille rowe-pourcheresse
Student
Jouons cartes sur table, Lou se fiche royalement des maisons d'Harvard. La jeune femme est bien trop indépendante et égoïste pour vouloir rejoindre l'un de ces "clans". Elle a plutôt tendance à trouver cela stupide voire inutile et ne se reconnait absolument pas dans toutes ces histoires. Autant vous dire qu'elle ne s'est pas fait énormément d'amis avec un avis pareil mais la jolie Keller n'a que faire des opinions des autres.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Je me souviens de cette période, de cette ambiance lourde qui pesait sur le campus. Je me rappelle les regards suspicieux échangés entre les étudiants et la crainte qui ne semblait plus pouvoir nous quitter. Malgré les doutes qui planaient sur chacun de nous jamais je ne me suis sentie aussi proche des autres étudiants. Parce que nous vivions la même chose. Nous étions dans le même bateau. Je jouais la fille forte, tentais de donner l’impression que rien ne pouvait m’atteindre mais au fond j’étais comme les autres. J’avais peur moi aussi. Peur de devenir la victime d’une de ses histoires tragiques. Peur de tomber dans le piège de ces esprits tordus. Chaque jour les mêmes questions me revenaient en tête, attisant l’angoisse pourtant bien présente. Comment pouvait-on en arriver là ? Comment pouvait-on vouloir à ce point faire du mal aux autres ? Je ne suis pourtant pas du genre aimante comme fille, bien au contraire même. Pour être honnête, je ne peux pas me voir la grande majorité des étudiants. Malgré tout, je ne comprenais pas qu’on puisse en arriver là, qu’on puisse franchir si facilement les limites. On ne se rend pas compte à quel point le mal être de quelqu’un peut changer une personne, à quel point la haine nous aveugle. On ne réalise pas la folie qui nous saisit quand la solitude se fait trop forte. Mais nous l’avions appris à nos dépends… La réalité était venue nous frapper de plein fouet le 17 janvier. Je n’étais pas présente ce jour-là mais le souvenir de cette tragédie reste un véritable traumatisme pour tous. Il suffit d’un rien pour que tout dégénère, d’un rien pour que tout s’arrête. Bam. Un coup et c’est fini. Terminé. Je pensais que la leçon serait apprise, que les choses changeraient. Mais au final, tout redevient toujours comme avant. Ces instants-là ne semblent être désormais que de douloureux souvenirs d’un passé pas si lointain. Rappel tragique de ce qu’il y a de plus mauvais chez l’homme.
Je me souviens de cette période, de cette ambiance lourde qui pesait sur le campus. Je me rappelle les regards suspicieux échangés entre les étudiants et la crainte qui ne semblait plus pouvoir nous quitter. Malgré les doutes qui planaient sur chacun de nous jamais je ne me suis sentie aussi proche des autres étudiants. Parce que nous vivions la même chose. Nous étions dans le même bateau. Je jouais la fille forte, tentais de donner l’impression que rien ne pouvait m’atteindre mais au fond j’étais comme les autres. J’avais peur moi aussi. Peur de devenir la victime d’une de ses histoires tragiques. Peur de tomber dans le piège de ces esprits tordus. Chaque jour les mêmes questions me revenaient en tête, attisant l’angoisse pourtant bien présente. Comment pouvait-on en arriver là ? Comment pouvait-on vouloir à ce point faire du mal aux autres ? Je ne suis pourtant pas du genre aimante comme fille, bien au contraire même. Pour être honnête, je ne peux pas me voir la grande majorité des étudiants. Malgré tout, je ne comprenais pas qu’on puisse en arriver là, qu’on puisse franchir si facilement les limites. On ne se rend pas compte à quel point le mal être de quelqu’un peut changer une personne, à quel point la haine nous aveugle. On ne réalise pas la folie qui nous saisit quand la solitude se fait trop forte. Mais nous l’avions appris à nos dépends… La réalité était venue nous frapper de plein fouet le 17 janvier. Je n’étais pas présente ce jour-là mais le souvenir de cette tragédie reste un véritable traumatisme pour tous. Il suffit d’un rien pour que tout dégénère, d’un rien pour que tout s’arrête. Bam. Un coup et c’est fini. Terminé. Je pensais que la leçon serait apprise, que les choses changeraient. Mais au final, tout redevient toujours comme avant. Ces instants-là ne semblent être désormais que de douloureux souvenirs d’un passé pas si lointain. Rappel tragique de ce qu’il y a de plus mauvais chez l’homme.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI
Je ne peux pas vraiment parler de cet événement puisque je ne faisais pas partie de ceux qui ont fait le spring break cette année-là. Mon beau-père m’avait bien fait comprendre que s’il me payait mes études ce n’était pas pour que j’aille me la couler douce en maillot, vacances ou non. Un vrai enfoiré je vous jure... De toute façon je devais déjà me taper les autres toute l’année alors il était hors de question que je m’impose davantage leur présence. C’était un supplice que je n’étais pas prête à m’infliger et il faut croire que pour une fois j’avais fait le bon choix. J’en venais sérieusement à me demander s’il n’y avait pas une sorte de malédiction sur cette université tant les malheurs semblaient s’accumuler depuis quelques années. J'ai bien une théorie concernant cette malchance un peu trop forte mais je suis pas certaine qu'elle vous plaise. Disons que si tout le monde se la racontait un peu moins par ici peut-être que le karma n'aurait pas besoin de venir nous en mettre plein la gueule à chaque fois, vous croyez pas ? Enfin bon, moi je dis ça, je dis rien.
Je ne peux pas vraiment parler de cet événement puisque je ne faisais pas partie de ceux qui ont fait le spring break cette année-là. Mon beau-père m’avait bien fait comprendre que s’il me payait mes études ce n’était pas pour que j’aille me la couler douce en maillot, vacances ou non. Un vrai enfoiré je vous jure... De toute façon je devais déjà me taper les autres toute l’année alors il était hors de question que je m’impose davantage leur présence. C’était un supplice que je n’étais pas prête à m’infliger et il faut croire que pour une fois j’avais fait le bon choix. J’en venais sérieusement à me demander s’il n’y avait pas une sorte de malédiction sur cette université tant les malheurs semblaient s’accumuler depuis quelques années. J'ai bien une théorie concernant cette malchance un peu trop forte mais je suis pas certaine qu'elle vous plaise. Disons que si tout le monde se la racontait un peu moins par ici peut-être que le karma n'aurait pas besoin de venir nous en mettre plein la gueule à chaque fois, vous croyez pas ? Enfin bon, moi je dis ça, je dis rien.
TON ADMISSION À HARVARD
Pendant des années il m’a répété que je n’étais bonne à rien, que je n’étais qu’une incapable qui finirait sur le trottoir faute d’avoir trouvé mieux. Il m’a enfoncé plus bas que terre, craché des insultes pour se sentir puissant. J’ai failli croire à ces conneries. J’ai failli céder à cette torture mentale. Mais plus j’encaissais plus la lionne féroce qui sommeillait en moi se réveillait. En voulant m’abaisser il m’a donné envie de me battre, de lui montrer qu’il avait tort. J’étais prête à tout pour qu’il la ferme. Alors j’ai travaillé dur. Je n’ai rien lâché. J’ai fait tout ce qui était en mon pouvoir pour m’en sortir, pour être la meilleure. La rage de vaincre ne m’a jamais quitté. Elle a été mon moteur durant tous ces mois passés à bosser, ma force quand j’étais prête à tout lâcher. Je suis celle que l’on n’attendait pas. Celle qui surprend encore par sa présence. Vous vous demandez probablement comment une femme qui semble ne porter aucun intérêt aux gens qui l’entourent peut étudier la psychologie ? Mais les barrières que j’érige ne reflètent en rien celle que je suis réellement. Elles ne sont que le bouclier que j’ai formé pour ne pas vous laisser la chance de me descendre, pour ne pas vous donner l’opportunité de me détruire. Comme lui. Comme cet homme qui durant tant d’années n’a cessé de m’infliger cette pression mentale, cette douleur violente. Lui dont les mots acerbes ont failli venir à bout de mon ambition. J’ai tenu bon. Encore et encore. Je me suis acharnée pour qu’il voit à quel point il se trompait, à quel point il avait tort. Mes notes excellentes et ma volonté de fer m’ont permis d’entrer dans l’une des universités les plus prestigieuses au monde. Harvard a su voir en moi ce que lui a toujours dénigré, m’offrant la chance d’obtenir la plus belle des revanches.
Pendant des années il m’a répété que je n’étais bonne à rien, que je n’étais qu’une incapable qui finirait sur le trottoir faute d’avoir trouvé mieux. Il m’a enfoncé plus bas que terre, craché des insultes pour se sentir puissant. J’ai failli croire à ces conneries. J’ai failli céder à cette torture mentale. Mais plus j’encaissais plus la lionne féroce qui sommeillait en moi se réveillait. En voulant m’abaisser il m’a donné envie de me battre, de lui montrer qu’il avait tort. J’étais prête à tout pour qu’il la ferme. Alors j’ai travaillé dur. Je n’ai rien lâché. J’ai fait tout ce qui était en mon pouvoir pour m’en sortir, pour être la meilleure. La rage de vaincre ne m’a jamais quitté. Elle a été mon moteur durant tous ces mois passés à bosser, ma force quand j’étais prête à tout lâcher. Je suis celle que l’on n’attendait pas. Celle qui surprend encore par sa présence. Vous vous demandez probablement comment une femme qui semble ne porter aucun intérêt aux gens qui l’entourent peut étudier la psychologie ? Mais les barrières que j’érige ne reflètent en rien celle que je suis réellement. Elles ne sont que le bouclier que j’ai formé pour ne pas vous laisser la chance de me descendre, pour ne pas vous donner l’opportunité de me détruire. Comme lui. Comme cet homme qui durant tant d’années n’a cessé de m’infliger cette pression mentale, cette douleur violente. Lui dont les mots acerbes ont failli venir à bout de mon ambition. J’ai tenu bon. Encore et encore. Je me suis acharnée pour qu’il voit à quel point il se trompait, à quel point il avait tort. Mes notes excellentes et ma volonté de fer m’ont permis d’entrer dans l’une des universités les plus prestigieuses au monde. Harvard a su voir en moi ce que lui a toujours dénigré, m’offrant la chance d’obtenir la plus belle des revanches.
TELL US MORE
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle tik tok et j'ai 24 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à arizona la belle gosse. Je connaissais déjà le forum alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise camille rowe-pourcheresse comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par class whore & ultraviolences. Je fais environ 500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)
Je recense mon avatar ▲
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