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why so serious (ezion)

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Ezio sortit de son Range Rover et se dirigea vers le coffre pour y sortir les nombreux paquets qu'ils avaient achetés. Il s'arma des trois quart des sachets et se tourna vers Louison. « Bébé, est-ce-que tu peux prendre les deux derniers sachets qui restent dans le coffre s'il te plait ? C'est les plus léger, il doit y avoir les guirlandes dedans ou j'sais pas. » lui demanda-t-il en affichant un large sourire innocent. La blondinette s'était foutue de sa gueule toute la journée avec son pull mais en attendant, elle fut bien contente de pouvoir prendre sa veste qui était restée dans la voiture lorsqu'il avait acheté sa magnifique trouvaille. Il faisait plutôt froid aujourd'hui. Ezio était satisfait de ne pas s'être promené avec sa dulcinée en mini short. Pour être tout à fait honnête, il avait encore du mal à digérer la photo qu'elle avait posté sur instagram. Mais bon, par fierté il encaissait, il saura le ressortir le moment venu. Une fois en haut, il posa les sachets et vint s'étirer le dos. « Ah merde le con, j'ai oublié le sapin, j'arrive. » Ni une, ni deux, il laissa la blondinette à l'intérieur et alla chercher le sapin qui était resté à l'intérieur de sa voiture. Louison avait réussit à le convaincre d'acheter un vrai sapin. Décidément, il ferait n'importe quoi pour ses beaux yeux.

@Louison Chamberlain
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« Je m’en charge ringardos ! »  le taquinas-tu en t’armant des derniers paquets. Après être remontés jusqu’à votre étage, tu t'étais faufilée dans l'appartement pendant que l’italien était allé récupérer la pièce maîtresse dans le coffre. Le temps qu’il remonte avec le monstre, tu avais déjà rangé les affaires à l’intérieur, songeant à l’endroit où vous alliez le mettre. Puis, alors que tu avais finalement choisi l’emplacement, tu avais entendu ton homme rouspétait près de l’entrée. Tu t’étais retournée vers lui en l'apercevant avec l’arbre sur le dos  « Hé sexy bucheron, mets le là ! » lui indiquas-tu en pointant ton doigt vers le fond du salon, réprimant ton rire pour ne pas le froisser. Après qu'il l'ait déposé sans une once de grace, tu t’étais précipitée vers lui pour lui sauter dans les bras. Furtivement, tu lui avais volé plusieurs baisers, le regard pleins d’étoiles « J’moccupe des guirlandes ! Et tu me porteras pour mettre l’étoile tout en haaaaaut ? »  lui demandas-tu en redescendant du jeune homme pour fouiller dans les nombreux sacs, encore recouverte de l’énorme veste du beau brun. « Bébé d’amour de ma vie… J’peux avoir un verre de jus de raisin ? Je ferais passer ça pour un bon verre de vin... » Tu t'étais ensuite munis d'une première guirlande que tu avais enroulé autour de l'arbre. Malheureusement, la seconde avait rapidement fini autour de ton cou. Tu brillais de mille feux comme ça, l'agitant autour de toi tout en retirant tes mocassins pour être enfin à l'aise « Yo chéri ! J’suis une danseuse de cabaret sans nichons t’as vu ? Mais ça va bientôt changer je m'en fiche ! » l'interpellas-tu en faisant remuer bizarrement ta poitrine pour l'amuser.
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Sexy bûcheron, sexy bûcheron. Ezio soupira silencieusement pour éviter de râler. Manque de chance, il sentit le besoin de s'exprimer. « T'es sure hein Louison ? Tu vas pas m'le faire changer de place après ? C'est là ou rien, t'es sure de ton coup ? » la prévint-il. Le jeune Scorsese commençait à connaître sa fiancée, il savait qu'elle était du genre folle et qu'elle changeait d'avis toutes les trente secondes et demi. Il se traîna jusqu'à l'endroit indiqué par madame et le posa lourdement sur le sol. Ezio arrangea tout comme il le fallait. Louison s'approcha de lui et vint le bombarder de baisers. Cela avait suffit à lui rendre son sourire. Il l'embrassa aussi un peu partout sur le visage, se prêtant volontiers au jeu. « Bien sûr mon coeur, tout ce que tu voudras. » s'amusa-t-il à dire en rigolant, amusé par la situation. Ezio la lâcha et se débarrassa de son magnifique pull qu'il posa sur l'un des fauteuils du salon. Il se mit à l'aise avant d'aller lui chercher sa petite commande. « On a du jus de raisin ? Vas y je vais nous servir deux verres. » Le Quincy se dirigea vers la cuisine et ouvrit le frigo pour y sortir la bouteille de jus de raisin qu'il versa dans deux verres. Louison fit la folle. Il jeta un rapide coup d'oeil dans sa direction et éclata de rire. Ezio s'approcha d'elle et posa les deux verres sur la table basse. Il arriva à sa hauteur et l'aida à démêler la guirlande qu'elle s'était enroulée autour d'elle. « Mais comment t'as fait ton compte Chamberlain ? » s'amusa-t-il à dire. Il leva les yeux pour plonger son regard dans le sien. Il déposa un chaste baiser sur son nez. « Tu vas avoir des gros nichons ... D'ailleurs le bébé n'y touchera pas hein, y'a que moi qui ait le droit d'y toucher. » Ezio passa l'une de ses mains sous sa couche de vêtements et vint caresser son sein à travers le bonnet de son soutif. Il enleva sa main de là pour ensuite caresser son ventre. De son autre main libre, il prit le premier verre de jus de raisin qu'il lui donna avant de prendre le sien. Tout en continuant de caresser son ventre, il leva légèrement son verre pour trinquer avec elle. « A nous trois ? Et à ce sapin de noel qui ne va jamais se faire si on ne se concentre pas un peu ? » s'amusa-t-il à dire. Il bu une gorgée de jus de raisin puis posa son verre sur la table basse. Il se retourna lorsqu'il entendit son portable sonner. Sans attendre une seconde de plus, il le prit et vit le nom de son grand-père apparaître. « Tu m'excuses cinq minutes ? C'est Martin. » dit-il en décrochant. Ezio apporta son portable à l'oreille et parla en italien, laissant la petite blonde seule avec le sapin.
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« Oui je suis sûre, ce sera juste super ici » affirmas-tu en le laissant arranger la position de l’arbre. Tu t’étais ensuite ruée sur lui pour le remercier à ta manière et tu lui avais aussi demandé de quoi t’hydrater après votre petit marathon de Noël. « Enfin tu me vires ce pull immonde, hallelujah ! » commentas-tu en pouffant de rire. Tu le laissas ensuite rejoindre la cuisine en te focalisant sur les sacs « Ouais on a ça, sur la porte, dans le frigo » lui indiquas-tu tout en sortant les décorations dont les fameuses guirlandes. Après une seule posée, tu en avais enroulé une autour de ton corps en faisant la maline devant ton homme qui rapportait ta boisson violacée. « Olala Ezio Scorsese, vous avoir si près de moi me… » tu n’avais pas eu le temps de terminer ta phrase que ce bougre avait empoigné ton sein sous ton pull « Ça veut donc dire que tu ne veux pas que j’allaite ça » chuchotas-tu le souffle court, déjà excitée par ce contact et surtout par sa possessivité qui pointait le bout de son nez. Captive sous sa main, tu avais attrapé le verre qu’il te tendait pour porter un toast « À nous trois ! Le sapin peut attendre même si j'ai trop hâte de le voir tout allumé ! » avais-tu répondu toute enthousiaste, sirotant doucement mais sûrement ton jus. Tu t’étais d’ailleurs retournée vers l’arbre encore nu, perdant de vu le Quincy l’espace d’une seconde. « Bébé je voulais te dire… » avais-tu commencé par lui dire avant que son téléphone ne sonne et t’interrompe dans ta phrase. Si c’était Martin, alors cela pouvait attendre. « Oui oui, je vais m’avancer, dis lui que je l’embrasse ! » Prête à retrouver la magie de Noël, tu avais commencé à disposer plusieurs boules sur l’arbre, toujours munis de ton verre. Et alors que tu avais tenté d’en mettre une beaucoup trop haute, tu avais fini par renverser le fond de ton verre sur la veste d’Ezio. « Oh merde ! Ta fin est proche Louison » chuchotas-tu en constatant la tâche qui s’agrandissait sur la poche. L’attention du brun étant occupée, tu en avais profité pour foncer vers la buanderie pour te débarrasser de ta bêtise. Avant de la foutre dans la machine, tu avais fouillé les poches. Tu en avais d'ailleurs extirpé un paquet de chewing gum, son briquet et ... et un morceau de papier chiffonné. Ta curiosité était piquée, tu l’avais alors déplié en une fraction de seconde pour y découvrir un mot suggestif accompagné d’un numéro de téléphone. Ton regard s’était subitement aiguisé, sans réfléchir et sous ton impulsivité mythique, tu avais dégainé ton mobile pour envoyer un message à cet inconnu que tu soupçonnais déjà être une fille. Pourquoi il y aurait un petit coeur sinon ? De par ta paranoïa aigue, les scénarios les plus catastrophiques t'étaient apparus et se mélangeaient. Ce petit manège d’aujourd’hui était peut être juste une manière de t’éloigner de ses nouvelles conquêtes... Totalement paniquée et humiliée, tu avais foutu un coup de pompe dans la machine en froissant le papier dans ton poing. Tu l’avais ensuite enfoui dans la poche de ton pantalon tout en revenant dans la pièce principale où discutait encore le Quincy. Furieuse, tu t’arrêtas net devant lui et avec toute ta finesse, tu lui avais lancé un magistral doigt d’honneur avant de ramasser tes cheveux sur le sommet de ton crâne. La colère grimpait mais tu la tempérais, car il discutait encore avec Martin. « Vas te faire foutre Ezio, tu te fous de ma gueule putain... » articulas-tu en silence avant de glisser ton pouce en travers de ton cou, signe de sa mort prochaine.
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Martin devait se douter de quelque chose. Depuis une semaine il n'arrêtait pas d'appeler, pour tout et n'importe quoi. Il semblait être avide des conversations parfois futiles qu'il pouvait avoir avec son unique petit fils. Le portable délicatement coincé entre son épaule et son oreille, Ezio essayait tant bien que mal de défaire l'étiquette d'une décoration achetée un peu plus tôt. Aller jusqu'à la cuisine pour prendre des ciseaux semblait être trop fatiguant pour lui. Alors il essaya de l'enlever le bout de plastique avec ses doigts. Un combat sans pitié s'en suivit entre le tour tenant l'étiquette et lui. Il se niqua les doigts et tenta même d'apporter le truc à sa bouche pour l'enlever avec ses dents mais, il ne le fit pas. Ca serait dommage d'abîmer un alignement aussi parfait. Lorsque le Quincy parvint enfin à arracher le plastique, il leva les yeux vers Louison et afficha un large sourire satisfait. Son sourire s'estompa très rapidement en voyant la gueule qu'elle tirait. Oh non. Pas encore. Ezio connaissait que trop bien ce regard furieux et accusateur. Elle allait encore le faire chier parce qu'une fille passait dans la rue. Il inspira longuement avant de se racler a gorge. « J'te rappelle. » dit-il dans sa langue natale avant de raccrocher. Il haussa les sourcils et posa lourdement le téléphone sur le comptoir. « Qu'est ce qu'il y a encore ? » lui demanda-t-il, conscient qu'elle allait péter un câble, pour rien. Comme d'habitude.

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Tu étais assez respectueuse finalement. Disons que tu ne voulais pas alerter le pauvre Martin, il n'y était pour rien lui. Enfin si, avec ses gènes à la con, il avait indirectement permis de concevoir ce Dieu sur pattes ! Une fois qu'Ezio avait daigné raccrocher tout en posant sèchement son téléphone sur le comptoir, tu avais sursauté, déjà craintive de ses réactions quant à ta nouvelle crise de jalousie. " Ce qu'il y a ? " t'étais-tu indignée en fuyant son regard pour fixer le sapin encore tout nu " Regarde bien ce qu'il y a " avais-tu repris en extirpant le message broyé dans ta poche arrière. Totalement énervée, tu avais jeté la boulette de papier sur son front en passant à ses côtés avec rage. Tu t'étais ensuite retournée, les bras croisés sur tes seins qui devenaient de plus en plus sensibles ces derniers temps, fusillant le dos imposant de l'italien " Tu te fous vraiment de moi ! J'suis sûre que tu continues à sortir dans des bars à putes quand j'ai le dos tourné " délivras-tu fébrilement, les larmes au bord de tes cavités oculaires. Le regarder était encore plus douloureux, tu étais alors partie récupérer tes chaussures que tu avais enfilé au bord du canapé, prête à t'enfuir, encore une fois. Comme le disait si bien Morgan Matson, fuir était devenu TA solution préférée face à la contrariété.
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Il n'allait pas y échapper. Louison avait encore repéré un énième détail insignifiant et elle allait s'en servir contre lui pour décharger la jalousie excessive qu'elle ressentait à son égard. Ezio en avait marre de tout ça. Il faisait tous les efforts possibles et inimaginables mais cela ne servait visiblement à rien. Dès que la blondinette reprit la parole sur un ton odieux, il se mordit l'intérieur de la joue pour essayer de rester calme. Les changements d'humeur qu'elle ressentaient n'étaient pas tous dues aux hormones. Oh que non. La petite frenchie en faisait très régulièrement, c'était même à se demander si elle n'était pas bipolaire ou quelque chose dans ce style là. Le Quincy resta silencieux et fronça les sourcils en attendant la sentence. Contre toute attente, elle lui balança un papier au visage. Le bout de feuille tomba par terre tandis que Louison le contourna avec rage. Excédé, Ezio soupira. « Quoi ? C'est quoi ça ? » grogna-t-il pas content en se penchant vers l'avant pour ramasser le papier. Il le déplia rapidement et vit un numéro inscrit dessus. Son sang commençait à bouillir dans son organisme mais Louison continua dans sa lancée et le provoqua toujours un peu plus. « Attends, tu ne crois quand même pas que j'suis allé draguer en ... » Il se retourna vers elle. « Tu fais quoi là Louison ? » marmonna-t-il froidement. Ezio plissa les yeux avant de déglutir silencieusement. Madame commençait à mettre ses chaussures dans l'optique de partir. « Ah non, non. Ecoute moi bien parce que je ne vais pas me répéter. Le cirque tu m'as fait l'autre coup en rentrant de Monaco, c'est une fois pas deux. » Il vint pointer la porte du doigt. « Tu franchis cette porte maintenant, ce n'est plus la peine de revenir plus tard en pleurant. C'est clair ? Si tu pars maintenant au lieu qu'on s'explique, c'est terminé. J'en ai plus que marre de tes crises de jalousie pour rien. J'sais même pas ce que c'est ce putain de bout de papier de merde. Ok ! J'sais pas d'où ça vient ! »
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Une fois la preuve jetée, tu l’avais laissé prendre connaissance de l’intérieur du mot, les oreilles bouillantes. Rapidement, sans avoir reçu de réponse à tes accusations, tu étais partie sur le fauteuil pour glisser tes pieds dans tes chaussures. Tu préférais couper court plutôt que te donner en spectacle une énième fois. Tu t’étais ensuite relevée pour t’approcher du couloir de l’entrée, te faisant stopper net par Ezio et ses menaces. La bouche entrouverte, prête à gober une mouche, tu lorgnais tour à tour la porte et l’italien en ébullition « Je suis prisonnière alors ? Tu me fais du chantage encore ? » contournas-tu en secouant nerveusement ta tête « Le cirque de Monaco était spécial ! Je me fais un sang d’encre depuis parce que je suis enceinte et toi, toi tu es courtisé par hasard c’est ça ? Mon oeil » terminas-tu par soupirer avant de t’approcher de lui pour tenter lire dans ses prunelles « J’y arrive pas… C’est trop compliqué. Je dois juste ignorer ça ? Ignorer que chaque jour, une fille essaie de te récupérer ou de carrément t’attraper dans ses filets… Ça me rend folle Ezio… Mon coeur il saigne, c’est plus fort que moi » confias-tu à bout de souffle. Tu avais ensuite glissé ton index un de tes yeux qui avait lâché une larme « Désolée de ne pas être assez solide pour supporter ces menaces extérieures. J'suis faible quand il s'agit de toi. » avouas-tu faiblement en éclatant en sanglots. Tu avais ensuite fui vers la salle de bain et t’y étais enfermée violemment, te laissant choir sur le sol, dos à la porte.
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Ezio s'était montré sérieux et inflexible. Il l'avait menacé sans même prendre le temps de réfléchir. Il était à bout et avait de plus en plus de mal à gérer ce genre de situation. Louison était excessive et enchaînait les crises de jalousie. Certes, s'il avait trouvé un tel mot dans la poche de sa veste, il aurait gueulé aussi. C'était compréhensible dans un sens. Mais comme la blondinette piquait des crises pour un oui ou un non, il n'arrivait même plus à dissocier le vrai du faux, la crise de la peur. Pour l'instant, le Quincy avait réussi à l'éloigner de la porte. « Non t'es pas ma prisonnière, dis pas n'importe quoi, j'veux juste qu'on en parle et qu'on mette les choses au clair plutôt que de fuir. » Ezio n'aimait pas quand elle se barrait et qu'elle ne lui donnait plus de nouvelles. Il devenait parano et sortait de sa zone de confort, il détestait. « Bah ouais par hasard, je n'a jamais vu ce mot avant ce soir, j'sais pas à qui appartient ce numéro et ce qu'il fou là. » marmonna-t-il, pas content de devoir encore se justifier. Et là, contre toute attente, Louison s'approcha de lui et se livra sur toute la crainte qu'elle pouvait ressentir à son égard. Excédé, Ezio soupira en la regardant partir vers la salle de bain. « Louison ! » dit-il en essayant de la rattraper mais manque de chance, elle alla s'enfermer. Sans trop chercher à comprendre, le bel italien prit son portable et se dirigea vers la salle de bain. « Louison, ouvre s'il te plait. » lança-t-il en essayant d'ouvrir la porte. Elle était malheureusement verrouillée. « Bébé j'suis désolé que tu ais vu ça mais .. j'sais pas du tout ce que c'est. Je me doute bien que tu ne me crois pas mais j'ai dragué personne. Putain Louison, j'ai d'yeux que pour toi, je pense tout le temps à toi, je parle que de toi. J'suis pas assez fou pour foutre en l'air notre relation dans les bras de la première venue. » Ezio déverrouilla son portable, composa le numéro et mit le haut parleur. « J'vais appeler le numéro, tu verras. » Les cinq sonneries s'enchaînèrent à la suite avant que l'appel ne se coupe. La personne ne répondit pas à son appel. « Louison ouvre cette porte. » Il tapa du poing sur la porte.
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Écroulée contre ta porte, tu regardais dans le vague au travers de tes larmes. Tu avais honte. Honte de douter de lui en permanence. Qu’il puisse en tout cas le croire. Neuf fois sur dix, ce n’était pas de ses actions que tu avais terriblement peur, mais celle des autres. Sauf que les autres n’étaient jamais là, en face à face avec toi. Tu ne pouvais pas leur jeter à la gueule ta colère. Ezio oui. Ezio était malheureusement le réceptacle de ta haine envers ses filles. Bref, le chagrin t’avait enveloppé et le « bébé » du Quincy n’avait rien arrangé. Tu étais repartie de plus belle en sanglot, te relevant pour contempler ton reflet misérable dans le miroir « J’ai déjà envoyé un message ! » crias-tu mollement lorsqu’il tenta d’appeler cette soit disant « inconnue ». Heureusement, personne n’avait répondu. Tu t’étais alors rapprochée de la porte sur la pointe des pieds, déposant ton front contre. Mais tu l’avais aussitôt retiré lorsque la porte s’était mise à trembler sous le coup de poing du brun. Respirant de manière saccadée, tu avais déverrouillé la porte lentement pour le retrouver, le courage planqué au fin fond de tes pompes. « Je veux pas que tu casses ton propre appartement, le proprio va pas être content » murmuras-tu en essuyant le dessous de tes yeux. Tu avais ensuite traîné tes pieds sur le carrelage de la salle de bain pour rencontrer de nouveau le parquet où se trouvait le beau brun. Étant donné qu’il te barrait la route et que tu étais follement amoureuse de lui, tu avais déposé tes armes pour enlacer sa taille. Tes pleurs régressaient petit à petit même si tu n'étais pas encore totalement rassurée. « Il n’existe pas des bombes anti salopes voleuse d’Ezio Scorsese ? » demandas-tu en poussant un petit rire gêné. « Je me sens menacée en permanence. J’peux pas être une fille qui ferme les yeux et qui puisse se croire en totale sécurité. C'est complètement fou de vivre comme ça. Si je deviens comme ça, je sais qu’un jour, en me réveillant, tu risques de ne plus être là... Parce que j’aurais pas vu que quelque chose clochait, parce que je n’aurais pas été assez méfiante ! Ne me dis pas que tu te méfies jamais de qui peut me tourner autour ? Tu te sens toujours serein Ezio ? Si c'est le cas, donne moi la recette » repris-tu en relevant ton minois vers le sien. Tes doigts explorateurs étaient partis par la suite caresser ses joues avant de se faufiler un peu plus haut dans sa chevelure soyeuse « Je sais... y a des manières de réagir et les miennes t'exaspèrent... »
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