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i need to tell you something (milezion)

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Ezio n'avait pas réussit à arrêter de fumer. Il avait pourtant essayé pour soutenir Louison dans sa grossesse mais c'était plus fort que lui, il n'y arrivait pas. Pour ne pas passer pour l'égoïste de service, il ne fumait pas en présence de sa belle blonde mais dès qu'elle n'était plus là, il se ruait sur ses clopes pour en savourer une ou deux. En sachant qu'elle n'allait pas tarder à rentrer, il se dépêcha de s'en griller une sur le tout petit balcon qu'ils avaient. « Vas-y saute, abruti. » râla-t-il en regardant Trevi qui semblait faire un numéro d'équilibriste sur la rembarre du balcon. Il avait abaissé l'avant de son corps, comme s'il voulait prendre de l'élan pour sauter dans le vide. « Bah vas-y, qu'est ce que tu attends, tu vas t'exploser en bas mais c'pas grave. » dit-il en rigolant. Voilà qu'Ezio parlait au chat maintenant. Il prit les dernières taffes de sa clope avant de jeter le mégot par dessus la rembarre. Il attrapa le chat par l'abdomen et l'embarqua à l'intérieur. « Laisses moi te dire que t'es nul à chier comme chat Trevi. » dit-il en rigolant. Ezio alla se laver les mains pour éviter de puer la clope. Il attrapa une serviette et vint les frotter pour les essuyer. Rapidement, il entendit taper à la porte. Il se racla la gorge avant de dire « c'est ouvert » assez fort pour que Mila l'entente. Le bel italien mit le four en marche et s'approcha de l'entrée pour accueillir sa cousine.

@Louison Chamberlain @Mila Scorsese
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feat. Louison & Ezio

J’avais envoyé un sms à Ezio, je voulais le voir, mais je voulais voir Louison aussi. Alors ni une ni deux je fonce à la Mather House après les cours pour me prendre une douche, et me changer. J’enfile un bas de survêtement, une paire de basket, un tee-shirt et une veste. Rien de bien glamour, mais une tenue hyper confortable.  Je ne voulais pas arriver en retard, surtout que mon cousin venait de me dire par sms qu’il faisait une pizza faite maison, une vraie de vraie comme au c’elle de notre belle Italie. Je monte dans un taxi, la flemme de conduire ma moto, et je donne l’adresse. Une fois devant le bâtiment je paye la course. Je n’aimais pas être dépendante de l’argent familiale alors j’avais un travail le soir, et plaqué ma tune dans un taxi, finalement je n’avais pas aimé. Mais je suis comme ça, impulsive, et je réfléchi après. Je monte les marches de l’escalier quatre à quatre, j’avais la phobie des ascenseurs et des endroits trop exigus. Je toque à la porte, et la douce voix de mon cousin raisonne dans son appartement. « C’est ouvert » j’ouvre la porte et je vois sa silhouette qui se dessine, ni une ni deux je referme la porte et lui ouvre mes bras, me jetant sur lui pour lui faire un câlin. Oui je suis très tactile avec mon cousin, je l’ai toujours été. « Salut Zozio. » lâchais-je d’une voix enjouée. J’étais heureuse de le voir. Je dépose un bisou sur sa joue et m’écarte d’un pas ou deux. « Louison est là ? » questionnais-je mon beau cousin.
@Louison Chamberlain @Ezio Scorsese
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Ta séance de sport touchait malheureusement à sa fin. Après cette session complète où bébé avait bien dû bouger, tu étais passée par la douche de la salle, prenant ton temps pour repousser l'échéance. Oui, ce soir, Mila débarquait et elle voulait apparemment parler ! Tu te demandais bien de quoi, peut être de la raison de son éloignement... Avant que tu ne te mettes soudainement en couple avec son cousin, vous étiez très proches mais depuis, elle avait subitement disparu de ton radar. Pourtant tu n'avais rien changé à ta façon d'être, tu étais toujours la même petite française emmerdeuse et amicale qu'à l'époque. Peut être plus gnangnan certes, mais moins rêche et agressive. Bref, l'heure tournant de plus en plus vite, tu t'étais finalement mise en route vers le quartier de Beacon Hill, apercevant assez rapidement l'immeuble où tu vivais désormais. Avec un peu de courage, tu t'étais hissée jusqu'à l'étage de l'appartement, te plantant devant la porte en collant ton oreille contre cette dernière pour tâter le terrain. Et merde, Mila était déjà là. L'isolation était pourrie en fait, tous les voisins devaient t'entendre prendre ton pied ! N'étant pas forcément prête à les affronter, tu avais préféré écouter un tout petit peu plus avant de faire ton entrée, histoire de savoir s'il y avait un procès en cours auprès de ta personne. La joue collée à la porte, tu te caillais en silence sous ta fausse fourrure tigrée, prête à bondir à l'intérieur à n'importe quel moment.    
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Ezio avait déjà préparé les pizzas, c'était sa grande spécialité. La pâte était maison et la garniture débordait de tous les côtés, elles étaient légendaires ses pizzas. Pour le coup, il en avait fait deux grandes, ne sachant pas trop si Louison allait avoir faim ou non aujourd'hui. C'était les montagnes russes avec elle. Un coup elle avait la dalle et mangeait plus que lui, un coup elle vomissait toute la soirée. Il ne savait jamais sur quel pied danser avec ses sautes d'humeur mais ne râlait pas et se contentait d'être là pour elle. Exactement comme lui avait dit de faire Lucky. Il disait presque amen aux multiples caprices de sa blonde, il restait quand même ferme sur quelques trucs. Histoire de garder un semblant de virilité et de crédibilité. Quoi qu'il en soit, il avait prévu l'option goinfre, en faisant déjà deux pizzas. Mila fut la première à arriver à l'appartement. Elle tapa à la porter et, sous l'accord de son cousin, elle entra à l'intérieur. Un fin sourire se dessina sur la bouche d'Ezio lorsqu'il la vit arriver. L'italien restait quand même très famille. Ses cousines étaient ses cousines, pas touche. Il avait grandit avec elles donc forcément, il en était très proche. « Mila ! » lança-t-il sur la même intensité pour la saluer. La brunette courra dans ses bras pour lui faire un câlin. Le jeune Scorsese l'enlaça très fort, content de voir sa cousine débarquer. « Heu non, elle est au sport mais elle ne devrait pas trop tarder je pense. D'ailleurs, c'est quoi cette histoire ? Elle m'a dit que tu voulais lui parler ? » commença-t-il en croisant les bras contre son torse. Ezio restait une force tranquille, il était difficilement perturbable. Il vint donc amener le sujet sans la moindre gène, sans prendre aucun gant. Il en rajouta même une petite couche. « Qu'est ce que tu lui veux ? Rien de grave j'espère ? Fais gaffe à ce que tu vas lui dire Mila, Louison est super instable en ce moment avec les hormones ou j'sais pas quoi. Elle part vite dans les extrêmes donc ne me la fait pas pleurer ou péter un câble, s'il te plait ! » la prévint-il. Ezio avait un peu de mal à suivre sa future femme. Il voulait juste mettre en garde sa cousine pour qu'elle y aille doucement avec ses mots. Parce qu'après, c'est lui qui récupérait les pots cassés.

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feat. Louison & Ezio

Je vois que mon cher cousin se plante devant moi, bras croisé sur le torse. Alors Louison lui a dit que je voulais lui parler. Je soupire. « Promis je ne te la ferais ni pleurer ni péter un câble. Je veux juste lui parler d’elle et moi, notre amitié avant que vous vous mettiez ensemble et ce qu’il en reste depuis … Fin rien de méchant promis. C’est juste que ta fofolle de copine elle me manque … Mais je veux lui en parler en face, ce genre de truc ça ne se fait pas par sms tu vois. » Je viens déposer un bisou sur sa joue et lui ébouriffe les cheveux, c’est plus fort que moi, lui et sa bouille toute bien pomponnée, je ne peux pas m’en empêcher. Je lâche un rire et sens sur ma jambe des petites griffes qui me font mal. « PUTAIN TREVI ! » Je chope la petite boule de poil par-dessous les pattes avant, un peu comme si je tenais un bébé face à moi. « Tu m’as niqué la jambe boule de poil. » Je lui souffle brièvement sur a tronche avant de finalement le poser sur mon épaule et le caresser. « Il serais bien en piaf. » dis-je à Ezio. Son chat est une terreur de la nature, toujours là à me ronronner dans les oreilles. Je regarde rapidement mon téléphone, je connais vite fais les horaires de Louison, qui avait été une très bonne amie, enfin l’est toujours même si je la boude un peu. Je m’aperçois qu’elle devrait être rentrée à cette heure si, ou en tout cas ne plus tarder. « Tu veux un coup de main pour mettre la table ? » demandais-je poliment à mon amour de cousin, tout en déposant Trevi sur le sol.
@Louison Chamberlain @Ezio Scorsese
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C'était important pour Ezio de mettre en garde sa cousine contre son irrépressible besoin de mettre les choses au clair avec sa copine. Louis on était extrêmement instable et sa fragilité la rendait parfois assez insupportable. Il ne voulait pas que Mila débarque avec ses gros sabots pour foutre la merde et après se barrer en le laissant seul avec la tornade blonde. « Ouais je comprends, ça marche Scorsese, si c'est juste pour lui parler de ça, tu peux. Si tu la fais pleurer, j'te tue de toute façon. » dit-il en rigolant légèrement avant de faire de grands gestes en essayant de la chasser de sa bulle de confort. « Bouge de là. C'est défendu de toucher l'oeuvre d'art, merci pour l'artiste. » s'amusa-t-il à souligner en se dirigeant vers le miroir le plus proche pour replacer correctement ses cheveux. Il passa quelques secondes à faire des mouvements précis pour plaquer sa mèche rebelle comme il le fallait. Ezio ne détourna même pas le regard quand Mila râla sur le chat. « Il fait ça parce qu'il t'aime bien. » dit-il lentement, toujours bien concentré sur ses cheveux. Lorsque sa coupe fut implacablement mise, il se redressa et se dirigea vers sa cousine. « Ouais c'est moi qui lui ai appris ça, j'me fou dans le canapé, il se fou dans mon cou et ronronne. Ça fait une bouillotte vibrante. » lança-t-il bêtement. Le Quincy se tourna vers sa cousine et afficha un mince sourire. « T'inquiète, on va la manger sur la table basse la pizza, comme à la maison. » Ezio se voyait encore lorsqu'il était jeune, à manger sa pizza sur la table basse du salon et à en foutre partout. Rien n'avait vraiment changé depuis. « Tu sais que j'ai pas encore prévenu la famille pour mon mariage. Même grand-père n'est pas au courant, il sait pour les fiançailles tu vois mais pas pour le mariage ... » se confie-t-il à sa cousine. Ezio ne craignait pas la réaction de son grand-père mais plus celle de ses parents qui s'étaient montrés odieux avec Louison la dernière fois qu'ils l'avaient vu. La seule fois qu'ils l'aient vu d'ailleurs.
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Planquée derrière la porte, tu tendais l'oreille le maximum possible pour écouter leur conversation. Tu avais même souri délicatement lorsque ton brun avait mis en garde ta petite Mila. Ils étaient mignons les deux. Tu espérais néanmoins que ton entrée n'allait pas ruiner l'ambiance. Au bout d'un moment, le son de leur voix s'était d'ailleurs si éloigné que tu avais décidé d'arrêter tes gamineries en entrant enfin à l'intérieur " Bonsoiiiiiir à tous, la star de la soirée est là, ouvrez bien les yeux et les oreilles !! " gueulas-tu en traversant le hall pour rejoindre le salon en ôtant ton écharpe. Tu avais alors rapidement aperçu Mila et sa tignasse brune ainsi qu'Ezio qui paraissait bien sérieux. " Je vous interrompe dans un truc ? Je peux repartir et je reviens... " proposas-tu en t'approchant de ton amie pour lui faire la bise chaleureusement avant de te rapprocher furtivement d'Ezio pour lui faucher un baiser du bout des lèvres " Hmm... j'enlève mon manteau ou pas alors ? "
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Ezio voulait avoir l'avis de sa cousine sur la situation. Il lui avait vaguement raconté comment l'entretien avec ses parents et sa future femme s'était déroulé. Plutôt mal pour être tout à fait honnête. Mais connaissant ses géniteurs, le Quincy ne s'était pas attendu à des explosions de joies ou de larmes. Au contraires, ils furent presque à la hauteur de ses attentes. Le contraire aurait vraiment été très bizarre. Mila n'eut pas le temps de répondre que la porte d'entrée s'ouvrit dans un fracas et sa poupée blonde fit son apparition. Ezio afficha un large sourire, il aimait quand elle était joyeuse et complètement folle comme ça. Il rigola même à sa remarque. « La star de mes fesses ouais ! » s'amusa-t-il à répondre en oubliant légèrement la présence de sa cousine. Louison s'approcha enfin de lui et vint lui voler un baiser furtif. Il plissa les yeux, pas content de ne pas avoir les élans d'amour et de passion de d'habitude, même si, au vu de la situation, cela pouvait se comprendre. « Non, tu restes là, on discutait juste des pizzas que j'ai fait pour nous ce soir. » La Mather était au courant qu'Ezio n'en avait pas encore parlé à sa famille mais bon, les deux filles allaient déjà avoir une sérieuse discussion, il n'allait pas rajouter de l'huile sur le feu. Le jeune Scorsese enleva le manteau de Louison et alla le foutre dans l'entrée. Il était hors de question qu'elle ne reparte. « Vous voulez quelque chose à boire ? » leur demanda-t-il pour détendre un peu l'atmosphère. Il sentait la petite Chamberlain un peu stressée à l'idée d'être confrontée à son amie.
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feat. Louison & Ezio
Je le regarde en je me met à rire. « Une œuvre d’art ? Mon dieu Scorsese tu m’étonnera toujours, c’est de l’art abstrait cette choucroute ! » Je rie à en avoir des larmes au bord des yeux. C’est fou ce que Ezio pouvais me faire rire avec sa coupe de cheveux, et avec ses cheveux tout cours. Je dépose le chat, mon cousin me dit qu’il m’aime et je souris en regardant la boule de poil. « Je l’aime bien aussi le petit Trevi. Mais heureusement que moi je ne lui griffe pas la tronche pour lui monter mon affection. » Je laisse mon regard se poser sur mon cousin, qui est très concentré sur son miroir. « Bouillote vibrante ? Je veux essayer ! » disais-je en étant fermement décider à inscrire ce chat à l’émission un incroyable talent si jamais c’est si confortable que ça. Comme à la maison ? Je soupire. Grand Mama me manque, et mon grand père aussi. « Ezio, la maison me manque parfois, Papi et Mama me manque. » Oui ma grand-mère je l’appel Grand Mama ou simplement Mama, car c’est elle qui m’as le plus souvent gardé et donc élevé. Ezio me confie que personne de la famille est au courant pour son mariage. Je fronce les sourcils. « Ezio, tu devrais le leur dire, plus tu attendras et plus ils le prendront mal, surtout Tonton et Tatie, tu le sais. Je te soutiendrais s’il faut. J’ai toujours été la terreur de la famille, s’il faut leur tenir tête je suis volontaire. » Je lui souris pour le rassurer et soudain c’est le vacarme ! Je ris à son entrée. « On ne peut pas te louper grande star ! Tu me file un autographe ? » La demoiselle viens me faire la bise, et je lui souris en la saluant d’une bise bruyante et chaleureuse. Mais cette petite fofolle parle de repartir, chez les Scorsese c’est instinctif, Ezio lui prend son manteau pendant que je joue les vigile, bras croisé sur ma poitrine, bloquant l’accès à la porte d’entrée. « no tu rimani. » lui disais-je sur un ton doux. Je lui attrape la main et l’entrain avec moi sur le canapé. « En plus Zozio prépare une pizza. » Lui disais-je des étoiles dans les yeux.
@Louison Chamberlain @Ezio Scorsese
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Tu n’aimes pas spécialement te donner en spectacle, toutefois, tu aimes te faire remarquer à ta façon. En définitive, Louison Chamberlain est un sketch sur patte, surtout quand elle est de bonne humeur. Ton entrée a donc été faite à ton image, surtout pour ne pas te montrer trop angoissée vis à vis de la venue de Mila. « Un autographe ? Pour que tu le revendes sur E-Bay ? Non merci » plaisantes-tu en embrassant chaleureusement la brune. Tu brûles d’envie de rouler une pelle à ton homme mais tu t’abstiens pour la santé mentale de la petite Mila. Tu te sens aussi mal à l’aise, comme si tu venais d’interrompre un truc entre eux… Mais apparemment, ils t’attendaient alors tu te laisses débarrasser de ton manteau par le brun tout en retrouvant l’italienne en tête à tête. Cette dernière t’apprend alors que ton fiancé vous a concocté une pizza, voilà une bonne nouvelle pour toi et le bébé qui pousse dans ton bide « Ah chéri t’es parfait ! Merci pour les pizzas ! J’veux bien du vin. Hahahahaha » lui réponds-tu en riant terriblement jaune « J’ai le droit à rien ça me saoule » soupires-tu en cherchant du réconfort auprès de la cousine Scorsese. Dans un élan de douceur, tu fonces vers elle pour la serrer dans tes bras « Tu m’as manqué soeurette, on va s’asseoir ? Le sport m’a flingué… » lui glisses-tu près de l’oreille en te rapprochant ensuite du canapé dans lequel tu t’écroules « Ezio !! Ce soir j'exige un massage ! Je t’aime ! » cries-tu pendant qu’il s’agite dans sa cuisine. « Bon alors Mila, tu me stresses, t’es venue pour moi non ? J’ai fait une bêtise ? » lui demandes-tu en reprenant enfin ton sérieux, pas forcément prête à encaisser des remarques car tu ne l'as pas vu depuis une éternité. Tu te demandes d'ailleurs encore pourquoi elle a disparu ces derniers mois...  
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