Let's cook some ... revenge - Nona

Cette soirée avait pourtant bien commence. J'étais rentré depuis quelques heures, m'étais douché pour dénouer mes muscles, m'étais installé au salon à écouter Eva me raconter sa journée, et avait mis la télévision en mute. Jusqu'a ce qu'une notification attire mon attention vers mon téléphone.
"Eliots" était écrit sur mon écran. Je compris donc que quelque chose en rapport avec ma confrèrie avait déclanché l'alarme que j'avais mis sur google. Une alarme qui me préviens quand quelque chose en rapport avec les bleu, arrive sur le web.
Ce soir, ce ne sont pas des rumeurs sur instagram, ou sur le blog de Cambridge Secret, qui affole mon alarme... ce soir c'est la nouvelle emission radio, de comères avèré, qui aimaient casser du sucre sur le dos des autres. Et qui, dans leurs grande imagination ont rien trouve de plus interessant que de pourrir les Eliots.
Soupirant j'ouvre l'emission, et demande à Eva si elle à envie de regarder le roi lion. Sans attendre son exclamation joyeuse, j'ouvre la télévision et la regarde hipnotisé devant le dessin animé. Brabraccio la rejoins, et la tête de Benji passe par le cadre de la porte, me demandant silencieursement ce qui me prenait de mettre ce dessin animé pour la 120556 fois.
Un regard contrit, il comprends que je vais m'isoler dans mon bureau, ou sur le balcon,
et que ça va être une longue nuit.

A la fin de l'emission, je serre tellement le dossier de ma chaise, que mes phamanges blanchissent. Je les avait écouté tout au long, en faisant es cents pas, et avait fini devant mon bureau, à me retenir à ma chaise. Puis, ayant un déclic, je prends mon téléphone, et me met a envoyer des SMS. Hesitant à contacter Noah, avant de finalement le faire ... Je me trouves entrain de l'inviter chez moi.

Debout dans notre cuisine, je prends la veste de Noah, et lui demande s'il a besoin de quoi que ce soit. En entrant il a salué Eva, et Benji, affalé dans le salon, et je l'ai tout de suite passé dans un terrain neutre : La cuisine. Parce que, mine de rien, je ne sais pas comment il peut être avec les enfant, ou les chiens, ou les maris... ou moi. Je prefere le savoir loin de ma famille, entrain de faire quelque chose de neutre comme cuisiner.
"Comment tu vas?" Demandais je finalement.

Faut avouer que cette émission t'a énervé. Tu as discuter vite fait avec Ana mais rien, sans plus. Elle est sans doute encore fragile à cause du décès de son meilleur ami et ça te brise de la voir comme ça. Alors oui, énervé, tu as répondu violemment à pas mal de monde et encore à Jonathan qui n'avait rien demandé à personne et voilà que tu te retrouves chez lui. Et bien sur, en vue des dernière paroles qu'il a osé te dire, cette question fait parti de la pire demande dégueulasse que tu n'as jamais vécu. Ta main se pose dans tes cheveux alors que tu soupires et ton regard se tourne vers Jonathan Tu m'as pas dis que ton mari avec un sac de frappe ? Après tout, autant discuter avec quelqu'un pendant que tu t'énerves sur autre chose. Et chose est sure, c'est quand tu vois le sac de frappe, ça ne fait qu'un tour. T'es pas pudique pour deux ronds, il a juste pas intérêt à te mater, c'est tout ce que tu lui demandes. Tu enleves ton t-shirt avant de frapper un premier coup contre le sac et au moment où il revient, un deuxième avec ton autre point. J'ai horreur qu'on parle sur ma gueule alors tu frappes, et tu parles. Tu ne confies jamais, mais là, c'est autre chose. Encore plus quand c'est caché derrière un micro un coup et deux coups, et trois Crois moi que si je les ai en face de moi ses enfoirés, ils vont regretter le jour où ils sont venus au monde Parole de Ferrari, et tu sais très bien que tu lâcheras pas l'affaire. Tu refrappes un coup, avant de bouger légèrement et d'ajouter T'as le droit de juger Jonathan, je m'en tape, mais si tu le fais, fais le en face de moi ! et tu refrappes un coup, puis un deuxième, après tout, tu n'as pas nié ce qu'ils avaient dis ..

Il est ennervé. J'ai bien fait de le passer à la cuisine en entrant... Ou pas finalement puisqu'il demande directe de passer à la partie attaque.
Moi et mon envie de le calmer par la cuisine... c'est vite passé à la trappe.

Après quelques mois dans notre nouveau loft, on a fait plein de traveaux. Les bienfaits de vivre avec un bricoleur habile de ses mains.
Au début, Benji avait installé un crochet au plafond du Salon, et gardait son sac de box dans la buenderie. A chaque fois qu'il avait besoin de se défouler, il déplaçait toutes les fournitures, et attachait son sac, pour une heure ou deux d'éxércices, avant de remettre le tout à sa place... Mais voila, avec une petite fille sur les pattes, et un chien qui à l'habitude de squatter cette salle, c'est devenu de plus en plus dure. Surtout quand il s'est mis à devoir, aussi, bouger les jouets de la petite.
Je lui ai donc proposé mon sanctuaire. La pièce qui me servait de bureau, et auquel notre fille avait un acces restreint... Ca ne me dérangeait pas de voir mon homme en sueur, ses muscles jouer dans son dos, et emettant des bruits d'efforts, pendant que je m'occupais de quelques papiers ou d'un code à écrire. Au contraire, c'était toujours un motivateur pour que je termines au plus vite...
C'est donc dans cette pièce que, ce soir, fut suspendu le sac de boxe. Et, porte fermé, je laissais Noah se mettre à l'aise, se dépenser, parler comme bon lui semblait
"Je ne juge pas. Et je n'ai pas à te juger. La preuve, tu as été assez mature pour venir ici, et ne pas aller leurs faire regretter le jour ou ils sont née." Je le laisse frapper un coup contre le sac, et continue sans lui donner le temps de répondre "Ecoute moi bien. Rien ne pourra être gagné par la violence. Tu vas te sentir bien pendant quelques secondes, avant que tout te retombe dessus. Harvard à une politique tolerence zero contre la violence. Ton père va t'en vouloir, tu vas t'en vouloir, et ... franchement... tu vas leur faire ennormement plaisir, en les attaquant de front" Je m'approche à côté du sac, comme pour lui montrer que je suis avec lui, et que j'ai pas peur "Ils s'attendent à ça, ils veulent nous faire passer pour les méchants, pour les ingrats, alors qu'ils sont les seuls à condamner ta relation avec ta copine Mather" ... Je me tait avant de reprendre "Mais ce n'est que provocation, pour justement te faire sortir de tes gonds" lui expliquais je.  

Tu frappes, en premier, et tu parles, encore. Tu ne te confies pas réellement, à quelqu'un en qui tu n'as pas confiance. Dont, tu frappes, sans réellement t'en rendre compte mais tu te fais quand même pas mal au main. Tu aurais du mettre ta bande, t'es con aussi. Alors, tu soupires quand il te commence à te parler et tu lèves les yeux au ciel. Tu auras des problèmes avec moi, tu le sais ça. ajoutes-tu avant de reprendre Tolérence zéro peut-être mais, c'est moi qui frappe et les autres encaissent, ça a toujours été comme ça, que tu le veuilles ou non. Et là, je suis calme. enfin juste presque quoi. Après tout, si tu étais énervé, tu ne serais pas comme ça ..Tu soupires Ma relation avec cette Mather. C'est une blague ! tu frappes violemment le sac avant de le regarder Elle s'appelle Anastasia ! Et n'évoque plus jamais le fait qu'elle est une simple Mather ! Maintenant t'es énervé et tu recommences à frapper. Et bien sur, l'italien sort de ta bouche. Et finalement, je me rends rien compte que ça fait plus chier les Mathers que les Eliots alors qu'il n'y a rien de mal ! Willa se fait mettre en cloque par un Mather, c'est le pire moment de la vie de la EH. Mais je me mets avec Ana, et ça y est, la Mather crache sur ma gueule, derrière leur micro. Franchement, c'est n'importe quoi ! A croire que c'est qui décide de ma vie ! et finalement quand ton italien s'arrête, tu donnes un seul coup dans ce sac de frappe avant de soupirer. Tu vas mieux maintenant, enfin tu penses ...

J'en soupire de frustration, roule des yeux et suis presque prêt à abandonner. Mais j'évite, préférant seulement le laisser frapper "j'ai déjà des complication avec tout les eliots. Un de plus ne me dérange pas . Et c'est normal. Étant une maison de fortes têtes et personnalités, on peut pas en espérer autrement. Si t'es prêt à te foutre dans la merde pour les mots, de langues de vipères qui seront contents de te voir le faire alors vas y ! Go! Rien ne t'en empêche." Le provoquais je. D'une certaine manière, je sais que s'il en a envie je pourrais pas l'en empêcher. Puis il commence à parler de sa petite amie, Anastasia ... " Mais putain" m'exlamais je " être Mather n'est pas une insulte! Merde !" Et voilà que ça devient italier. Oula... Je comprends à peine quelques mots... Je sais seulement qu'il me raconte ce qu'il ne veut pas que je comprenne. J'entends Willa ... Anna , mathe, micro... " Et en anglais ? Ça donne quoi?" Demandais je sans vraiment espérer qu'il reponde.

Et voilà qu'il te chauffe, alors tu sers les poings. Sympa le président. Tu es quelqu'un d'impulsif, c'est comme ça, tu ne vas pas le nier. Alors, tu frappes pendant ses paroles avant de retenir le sac pour le regarder Et pourtant je le ferais pas. C'est comme l'envie de t'en foutre un, là maintenant mais je me retiens, et tu ne sais pas à quel points je suis rendu pour m'éviter de frapper et de me faire virer de chez toi ! Impulsif, violent et caractériel. C'est toi, tout à fait toi. Ca a toujours été. Et c'est le sang italien qui fait malheureusement. Tu soupires avant de l'écouter C'est ce que je suis en train de te dire ! Ce n'est pas une simple Mather à mes yeux okay ! Que tu le veuilles ou non et il est hors de question que je la laisse tomber pour ma famille ! Parce que oui, à force la EH était devenue ta famille après tout.. Mais c'est trop tard, tu es en colère et tu parles Italien, t'es peut-être cru dans tes paroles, mais tu te rends compte qu'il n'a pas compris un seul mot. Et tes mains se posent sur ton visage, tu souffles un coup, tu souffles un gros coup. Fais chier C'est bien de l'anglais qui sort de ta bouche alors que tu frappes une dernière fois ce foutu sac de frappe et tu le regardes alors. Si il croit que tu vas le traducteur, il peut rêver. Alors que tu souffles, mains dans tes cheveux, en regardant le ciel avant de tourner la tête vers Jonathan Qu'est que tu veux au juste ? demandes-tu à ton président alors que bien sur, tu avais le souffle légèrement coupé et l'envie de meurtre qui était encore présente dans ton esprit

Je ne le provoque même pas ! Pourtant je vois bien ses coup de poing contre le cuir du sac de box deviennent de plus en plus violent. Et il m'affirme son envie de me frapper, alors même qu'il est chez moi.
Le sourire que je lui envoie est sans joie. Mes yeux fixent les siens, tandis que je lui réponds "Te faire virer de chez moi sera la meilleur chose qui puisse t'arriver, si tu m'en fou un . Si tu ose mettre ne serais ce qu'un doigt sur moi, je n'aurais ni l'envie ni le pouvoir d'empécher Benji de te refaire ton visage qui fait tomber ces dames" Je garde encore le sourire.
Il me menace? moi aussi, et je penses qu'il a beaucoup plus à craindre de Benji, vu son passé, que je n'ai à craindre de lui vu ... sa taille.
Mes notions d'auto défence sont au points, et mes muscles, aussi peu visible fussent-ils, sont bien la.
"Ce n'est pas une simple Mather non,  je suis désolé d'avoir utilisé ce terme, je suis seulement influencé par l'emission. Anastasia n'est ce pas? Tu n'as a choisir entre elle, et personne d'autre." Lui assurais je. Il part donc dans un monologue trés italien, mais quand je lui demande ce qu'il veut dire, il me demande ce dont j'ai besoin "De rien. J'ai besoin de rien de ta part, je t'offre un sac de box, et tu m'as promis un diner, mais à part ça j'ai besoin de rien " Affirmais je encore "si t'as besoin de parler ou de te défouler, je peux te dire que je suis la, mais on n'est pas assez amis pour que j'éspére que tu te confie à moi. Alors..."   j'hausse les épaules. L'air de lui dire : faire ce que tu veux .  

Des menaces, tu adores, tu en ris même en fait. D'ailleurs, quand tu passes ta main sur ton visage, tu ne veux pas t'empêcher de rire encore et encore. Et tu frappes une nouvelle fois le sac. On verra ça alors. Disons que j'aime les défis. Mais tu vas pas le frapper, t'es pas dingue à point là en fait, tu ne veux pas non plus d'emmerdes en fait. Mais voilà, tu veux faire comprendre à Jonathan que ce n'est pas une simple Mather parmi tant d'autres, c'est Ana. Et personne d'autre, personne ne pourra te l'enlever et tu ne quitteras pas la EH ou même tu n'auras pas d'ultimatum débile. Hors de question, ce n'est pas ta politique et ça ne le sera jamais. Si tu as besoin d'infos, viens me les demander. Je ne veux que personne s'en approche ou lui fasse de mal. Parce que crois moi, ce n'est pas bon de voir un Ferrari en colère et surtout de devoir l'avoir dans le mauvais camp. Menaces ? Non, juste une mise au point. Mais voilà, tu soupires. Il a besoin de rien. De rien. Bien sur que non, tout le monde a besoin de quelque chose dans la vie De rien du tout ? Sur de toi ? tu le tentes, tu veux savoir après tout. Tu veux réellement savoir. Tu passes ta main dans tes cheveux, un peu en sueur, mais bon, tu prends ton t-shirt avant de le remettre. Tu aurais du penser à prendre un sac de rechange, idiot que tu es et finalement tu le regardes ensuite puis le sac de frappe, tu réfléchis C'est gentil merci, mais je préfère frapper que parler et le silence aux paroles aussi. Tu souffles un coup, avant de craquer légèrement des poings Bon t'as tout ce qu'il te faut pour faire de l'italien ? Qu'est que tu as ? Parce que je cuisine pas avec des sachets et de la sauce en boite ! Quoi ? C'est vrai, soit tu fais ça bien, soit tu cuisines pas

Il aime les defis? Je ne crois pas que ce soit un défi, je suis certain que je n'ai pas exagéré en le prévenant des conséquences de ses actes. Vraiment pas.
Quant tu vis avec une personne au passé aussi chargé que Benji, tu commence a faire des efforts, pour ne pas te mettre dans la merde. Pas pour éviter la merde en elle même, mais pour éviter de provoquer ses vieux démons. Quand je me suis fait tabassé par Jaysael l'an dernier, j'ai du fournir des efforts de persuasions, pour ne pas que mon petit ami, à l'époque et mari actuel, aille lui rendre la pareille. "On verra" dis je simplement. Il continue de frapper, et me préviens que je ne devrais pas avoir un Ferrari sur le dos "Oh! crois moi je le sais! Ta soeur me l'a trés bien fait comprendre" rèpondis je avec un sourire "Quant à ta meuf, personne ne va la toucher" finis je par affirmer.
Continuons notre discussion, après un monologue italien que seul lui comprends, Noah m'avoue préférer frapper que parler... ce qui ne me surprends pas plus que ça. Il me demande si j'ai les ingrédients nécessaires pour de l'italien. "Dés lors que tu vis avec un homme qui sait cuisiner, t'apprends que les trucs en boite c'est de la merde" ... Personnellement, je ne le savais pas, n'ayant presque jamais cuisiné avant. A part quelques fois ou j'ai suivi des tutoriel en ligne... notamment pour faire de la Pizza... Je me suis brûlé les yeux avec le piment ce jour la, pas du tout glamour. "Viens suis moi" Je le fais repasser à la cuisine.  

Finalement, tu abandonnes l'envie de le frapper. Evitons un scandale avant l'heure. Déjà que le fait que Ana et toi vous sortiez ensemble, c'était déjà la merde alors si tu frappais ton président, c'était pire. Tu passas ta main dans tes cheveux. Ta soeur. Un sourire de fierté sur le visage alors que tu rigoles doucement Alors imagine deux comme elle, je pense que tu seras pas aussi heureux de me savoir chez toi ajoutes-tu alors qu'il ajoute la phrase que tu avais besoin. Et si l'un la touchait d'une manière ou d'une autre, c'était à toi de t'en charger et personne d'autre. Personne ne te retiendra. Tu en étais sur. Tu soupiras doucement, bien décider à faire à manger maintenant. Parce qu'il y a deux choses qui te calment, la boxe et la cuisine. Mais ce n'est qu'un détail après tout. Tu sors ainsi du bureau, bien qu'il te sortait ce genre de remarques. Tu connaissais les gens. Une boite et c'était parfait pour un repas. Mais pas toi, jamais, tu ne le ferais jamais et tu ne l'as jamais  fait d'ailleurs. Tu arrives enfin dans la cuisine, regardant un peu autour de toi, avant de faire la remarque, presque à toi même, même si c'était une vraie question J'ai le droit de fouiller ? Ouais parce que tu supportes pas avoir un assistant, sauf quand il s'y connait bien quoi. Tu le regardes ensuite, attendant sa question, prêt à t'éclater tout seul bien sur, sauf si il voulait apprendre. Et puis, finalement, tu fis tout, tout seul, parce qu'il le fallait bien. Un repas simple pour une famille. Des pâtes fraiches, maison avec le tout qui va avec. Quand tu eus terminé, tu remercias Jonathan avant de quitter son habitation, tu n'avais aucun intention de rester en même temps, autant partir avant le début des présentations...