Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityWhat happened? • Athénaëlle - Page 2
-38%
Le deal à ne pas rater :
Ecran PC gaming 23,8″ – ACER KG241Y P3bip à 99,99€
99.99 € 159.99 €
Voir le deal


What happened? • Athénaëlle

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je souriais en voyant qu'elle s'intéressait sur ce que je pouvais faire en ce moment même. C'est vrai que le droit c'était pas non plus son truc, moi j'aimais beaucoup, apprendre les lois, les mettre en situation. J'avais tellement hâte d'en finir avec les études pour pouvoir démarrer mon activité et surtout commencer à grandir un peu ma notoriété. Il va falloir un peu de temps et de mise en place, mais je vise un empire. Je veux honorer mon père et ma mère qui travaille dure mais qui n'ont jamais eu leur propre études. Ils ont voulu que je fasse des études, que je sois le meilleur pour être au dessus des autres et vivre une vie magnifique. Ils ont de l'argent c'est vrai mais ils on préféré me le donner et que je profite moi. Je leur dois vraiment tout, mon bonheur, mes études mais aujourd'hui je faisais ma vie sans eux et loin d'eux, malgré que je leur parlais souvent par Skype.  C'était mes parents généralement, je les aime bien sur, je suis leur fils unique. Ils n'ont jamais réussis à avoir d'autres enfants après moi malgré le fait qu'ils voulaient que j'ai une petite soeur ou un petit frère. Ma mère a eu des soucis et voila. Maintenant ils ont abandonné et ils m'ont dit "le destin a voulu que ça soit seulement toi et que tu réussisses ta vie que tu laisses une marque dans ce monde". C'était pour cela que j'étais pas loin de devenir un avocat. Elle me parle de mon chocolat chaud, puis me dit que le thé c'est vraiment pas bon. J'hoche la tête. "Je suis d'accord avec toi au niveau du thé.. J'avoue." J'étais anglais mais réaliste de toute façon mes parents sont irlandais donc ils ne boivent pas du thé. Je suis peut-être né à Londres mais dans le fond de part mes parents je suis irlandais aussi. Je vais d'ailleurs voir pour changer ma nationalité et avoir la double. C'est pas gagné. Je dois retrouver à Londres pour aller voir ça ainsi qu'en Irlande dans la ville d'origine de mes parents. Et oui quand je vous dis que je veux qu'ils soient fiers de moi. Mais bon j'aurais toujours cet accent anglais, je ne sais pas d'ailleurs comment Athénaëlle peut l'aimer. Je le trouve trop snob, même si j'essaye de le changer pour m'habituer à celui des américains ou prendre celui de mon père. Bref je sors de mes pensées quand elle me demande comment je peux défendre un client si je sais qu'il a fait quelques choses dont il est coupable. J'hausse les épaules. "Le client te paye pour que tu le défendes même si tu sais que dans le fond il est coupable t'es obliger de trouver des preuves comme quoi il n'a rien fait même des fois tout tourner contre l'autre et faire durer les procédures comme ça les charges tombent et il sera libéré si l'enquête prend trop de temps... Mais oui tu le défends quand même." Pour l'argent qu'est ce qu'on ferait pas. Puis un client est un client, il faut être bon pour ne pas se faire bouffer par les autres. Je suis jeune, il y a les vieux avocats qui sont la depuis la nuit des temps qui sont au dessus. Je vais devoir prouver que j'ai les même compétences mais en étant plus jeunes certes avec mon d'expériences mais avec une vivacité d'âge. Je dois profiter avant de fonder une famille et passer du temps en famille le soir. Comme ça je bosse à fond. D'ailleurs fonder une famille? Oula non trop tôt pour y penser, jamais de la vie. Je suis trop jeune. C'est pas pour moi.

Je lui fais un clin d'oeil tout en replongeant dans ma lecture et la fin de mon travail. Je jouais avec mon stylo en fronçant du regard lisant. Elle me déconcetrait, mon dieu, c'était dingue. Je peux pas rester dans mon monde pour bosser quand elle est là près de moi. Qu'est ce qui me rendait comme ça? Je ne suis même pas en couple avec elle et on ne le sera pas. Mais je ne sais pas, on avait une amitié différente c'était ça que j'aimais bien. Hélas depuis qu'on avait goûter au sexe la dernière fois ensemble et maintenant que je l'avais embrassé je voulais juste recommencer. Je lève le regard vers elle, elle mordillait sa lèvre inférieur, ça me fait un effet de fou, cette chemise qu'elle porte, ce corps, ce sourire, ce petit rouge sur ces joues qui l'a trahit. Je pense qu'elle pense à la même chose que moi. Elle plonge son regard dans le mien puis continue de parler du travail.Et surtout de ce qu'elle apprenait en cours. Je l'écoute, c'était aussi ce qu'on apprenait. Mentir. "Tu sais... La politique et le droit c'est lié quasiment. On est tous des menteurs, des baratineurs si on est des bons parleurs et qu'on fait de jolies discours, on arrivera à avoir ce qu'on veut. C'est pareil." Je souris, elle et moi on faisait quasi le même cursus d'études. On aura le monde à tous les deux. Faut que je reste amis avec elle après Harvard, savoir ce qu'elle deviendra et tout. Elle ira loin, elle a le nom de famille pour déjà de toute façon. Elle voulait maintenant regarder un film. Je la regarde en lui tenant la main tournant sur ma chaise la suivant du regard. Elle se met entre mes genoux droite devant moi. Mon regard se perd sur ses lèvres en l'écoutant. "Je te pensais pas avec un coeur en faite et un esprit romantique. Je te découvre de jour en jour." C'est vrai qu'on se connaissait peu et qu'on apprenait à se connaitre déjà rien qu'en "habitant" ensemble, en couchant ensemble. On passait de plus en plus de temps tous les deux. C'était mauvais dans le fond. On ne devrait pas mais je n'avais pas le choix, j'étais comme prisonnier des sentiments en moi qui je pense commençais à naitre.

Je me lève alors, elle avait gagné, je sors rapidement hors de la chambre, je devais aller rapidement aux toilettes pour être tranquille enfin devant le film avec ma belle Athénaëlle. Je parle d'elle comme si elle m'appartenait, alors que non. Elle était aux autres aussi mais je ne voulais pas, je n'aimais pas savoir qu'un autre homme que moi peut la regarder, avoir les mêmes envie que j'ai pour elle. Je n'ai jamais ressentit ça depuis des années je m'étais juré d'être tranquille, rester juste dans un coin, abandonner les sentiments et juste coucher avec les femmes, les jeter et passer à une autre. Sauf que voila avec elle, c'était différent. Je reviens alors qu'elle était dans mon lit Cette vision est magnifique. Je m'allonge près d'elle en rigolant l'écoutant. Elle parlait de ce voisin que je ne pouvais pas voir. Je sais qu'il veut se taper Athé depuis le début, depuis qu'elle vient ici, mais jamais de la vie ça ne va arriver. Oh non je ne veux pas. Elle est mienne. Je suis jaloux et possessif, malgré qu'elle n'est pas ma petite amie. "Je l'aime quand même ton gros cul." Je souris la prenant près de moi, alors qu'elle lance le film. Je lui caresse le dos doucement avec ma main qui était derrière elle. Elle avait sa tête poser dans le creux de mon cou et sa main sur mon torse. Ses doigts entre ma peau et ma chemise, me caressant doucement le torse. Je frissonnais. Je l'a serre un peu plus contre moi. Je crois que ce film je ne vais pas vouloir le finir. Je meurs d'envie de reposer mes lèvres sur les siennes et cette fois-ci le faire de manière tendre et pas seulement pour lui dire de se taire. Elle dit mon prénom, je sors de mes pensées alors que le film avait bien commencé. "Oui chérie?" Je tourne ma tête vers elle. Elle baisse alors son regard, je la regarde ne sachant ce qu'elle pouvait avoir puis elle me demande donc les popcorn. C'est vrai j'en avais pas. J'hausse les épaules. "J'en ai pas, c'est meilleur pour ta ligne. Je fais attention à toi hein t'as vu." Je souris en posant ma main sur son ventre et puis sur ses poignets d'amour, je l'embrasse sur le front, la serrant à nouveau contre moi puis je me reconcentre sur le film. Mais c'était si compliqué quand mon coeur se mettait à battre si fort. Pourquoi j'ai cru à un moment donné quand elle a dit mon prénom qu'elle allait m'embrasser? Pourquoi ce regard qu'elle m'avait jeter était celui du "je peux t'embrasser?" comme si elle avait besoin de me demander la permission alors que j'étais ok pour ça. Et si notre amitié allait passé à une amitié avec bénéfice intéressant? On avait couché ensemble qu'une seule fois, on avait dormit ensemble les autres fois et jamais j'avais ressentit le besoin de l'embrasser comme ça. J'avais gouter ses lèvres et j'en suis devenu accro ou bien? Je l'a sens passé une jambe au dessus de la mienne, pour se coller un peu plus à moi. Je la serre alors en respirant un peu plus fort, ma main dans son dos. Je chuchote l'air de rien dans son oreille. "Athé..." Avec le même ton qu'elle m'avait dit mon prénom juste avant, mon regard sur elle. Elle me regard, puis je m'avance un peu pour déposer à nouveau mes lèvres sur les siennes. Ma main libre sur sa joue la caressant, elle prolonge, je prolonge à nouveau. "Depuis le temps que je voulais faire ça. Depuis le parking..." Je rigole. Je crois qu'on a perdu le fil du film là... Je m'en fous.
(Invité)