Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJe ne crois pas en l'amour. Je crois en toi, en nous, Hippolyte Dunford.
-50%
Le deal à ne pas rater :
[Adhérents Fnac] -50% Casque Pro Gaming HyperX Cloud Alpha Noire et ...
49.99 € 99.99 €
Voir le deal


Je ne crois pas en l'amour. Je crois en toi, en nous, Hippolyte Dunford.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Soirée avec Abé.  Dans nos chemises à carreaux kitch à souhait, avec nos lunettes d'intello sur me nez, endossant les rôles de Brent le dunster pour mon BFF et de Pluton pour ma part, Pluton que j'avais plus que jamais dans ma ligne de mire, ce dernier ayant semer le trouble entre Athé et Cam, bref cette soirée avait été salvatrice. J'avais oublié mon portable dans ma veste et passé quelques heures de délire complet avec mon belge préféré. Mais à l'heure de rentrer, la réalité m'avait rattrapé : une avalanche de sms d'Hades. Et ça se voyait tout de suite qu'il se sentait mal... Je lui répondis brièvement, sans m'étaler sur mon ressentiment, conscient qu'on n'échappera pas à une explication lui et moi. Seulement pour l'heure, c'était le sms d'Hippo qui m'interpellait... Je lis et relis notre fil de discussion de la journée, depuis sa révélation concernant sa nuit avec Hadès. Et j'arrivais qu'à une seule conclusion : je ne pouvais pas la laisser filer, la laisser partir,  je savais que c'était du figuré. Elle avait les élections, ses études à achever, sa grossesse... Mais j'avais bien compris la menace dans ses derniers messages : c'était un trait sur nous qu'elle allait tirer, que j'allais tirer si je continuais dans mes reproches et ma mauvaise humeur quant à leur dérapage à Hadès et elle. Alors j'indiquai à Charles non pas mon adresse mais la sienne, et une fois sur son porche, je lui écrivis de m'ouvrir avant de toquer à sa porte. C'était le milieu de la nuit mais qu'importe. Il n'y a pas d'heure pour sauver l'histoire de sa vie...

@N. Hippolyte Dunford
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le cerveau en feu toute la journée, pensant à toi à nous, arrivant même des fois à me blâmer pour cet écart avec Hadès. Même là, j'arrive encore à me remettre en question pour, alors que je n'ai pas le droit de le faire, tu n'as jamais rien dit, rien fait pour que je t'appartienne alors j'étais libre. Et puis vient le moment où je décide de tout abandonner, de lâcher prise, de te lâcher toi et tout ce que j'ai dans le coeur. Mes yeux sont fermés depuis une heure ou deux, c'est le seul moment où je ne pense pas à toi. Mais la sonnerie d'un texto nocturne me réveille en sursaut, la main qui se pose instinctivement sur mon ventre alors que j'essaye d'ouvrir petit à petit les yeux. La lumière de mon cellulaire vient m'agresser, j'ai du mal à te lire, me concentrant sur tes mots sans vraiment comprendre au début. Jusqu'à ce que tu tapes à la porte, et je me lève lentement en attrapant un gilet en laine que j'enfile rapidement. - T'as vu l'heure Cole ?.. Que je demande en ouvrant la porte, la fatigue qui se ressent, la voix encore trop endormie. Je passe ma main sur mon visage, me frottant les yeux pour finalement venir les planter sur toi. Toi et ton déguisement du soir, fronçant les sourcils sans chercher à comprendre ce que t'avais bien pu faire avant de venir ici. - Qu'est ce que tu veux ? Que je demande de manière plus ferme, restant devant l'entrée. Qu'est ce que tu veux ? Cette question que je t'ai plus d'une fois demandé.




(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

La porte finit par s'ouvrir après quelques minutes à patienter et Hippolyte apparut alors. Mine endormie, cheveux décoiffés, d'une beauté toujours aussi fracassante, même comme ça, à je ne sais quelle heure, tirée de son lit et de son sommeil. J'aurais pu m'en vouloir presque, en entendant sa voix qui me faisait justement remarquer l'heure tardive. Mais le fait qu'elle soit là, devant moi, qu'elle m'ait ouvert, même après les échanges tendus de la journée, ça avait le don de me conforter dans ma décision de ne pas rentrer chez moi, de faire ce crochet par chez elle pour ces explications nocturnes. "J'ai pas fait attention à l'heure désolé. Il fallait que je te vois..." Commençai-je , récoltant alors un 'qu'est ce que tu veux ?' logique et prévisible. Mais ce n'est pas quant aux motifs de ma venue que je choisis de répondre à son interrogation. Non, c'est dans un sens bien plus large. "Toi." Mon regard planté dans le sien. Mon ton plus qu'assuré. "C'est toi que je veux Hippolyte Dunford." Répétai-je. Et pour ne pas se méprendre sur le sens,  pour qu'elle n'aille pas croire que je quémandais là une nuit d'ébats dans ses bras, ou juste son amitié, je repris : "Je ne veux plus que tu couches avec Hadès. Je ne veux plus que tu couches avec qui que ce soit d'autre." La jalousie perçait dans ma voix. Pourtant, ce n'était pas pour colèrer ou lui faire des reproches que j'étais là, non. Alors je poursuivis : "Je veux que tu sois à moi. Épouse moi Hippo. Épouse moi. Pas pour la bague. Pas pour la robe. Pas pour notre fils..."  Et je fis un petit pas vers elle, un pas dans l'entrée de sa maison en continuant : "Épouse moi pour ça..." Ma main tomba au creux de ses reins, l'attirant à moi pour venir emprisonner ses lèvres des miennes. Pas de détour.  Pas de joues à moitié visées, c'est clairement sa bouche qui se fit la cible de mon baiser. Un baiser brûlant, chargé d'envie, de désir, d'une passion ardente trop souvent réprimée...
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Plantée sur le pas de la porte, le regard froid, n'ayant pas encore digérer ton silence face à mes messages, ton amitié ne me suffisait plus, tes promesses frivoles non plus. Et on en est là, à ne plus réussir à se parler, à se dire les choses quand il s'agit de vérité, nous qui avions la parole si facile autrefois. Si facile dans ce mensonge dans lequel je me plaisait au début. J'écoute tes excuses, arquant un sourcil en attendant la suite. La suite à cette question qui tourne toujours en boucle, cette fameuse question dont t'as jamais eu le courage pour me donner la réponse. Une seule réponse, n'importe laquelle..  Et ta bouche s'ouvre, les yeux accrochés à tes lèvres, à tes mots qui en sortent un par un par un et que j'aimerais enregistrer pour les écouter en boucle. Aucun son ne sort, aucune réaction mise à part la surprise qui s'écrit dans les traits de mon visage. Tu continues, encore de parler et plus tu parles plus j'ai le coeur qui fait des bonds plus forts à chaque fois. Mes doigts qui encerclent la poignée de la porte, se resserrent autour d'elle. Et sur tes dernières c'est ton baiser qui vient m'achever, un baiser trop longtemps attendu, trop longtemps masqué.. Un baiser que je te rends avec encore plus de fougue, plus de chaleur, avec rage, avec douceur, avec tout ce que j'ai. Ma main s'accroche à ta nuque, t'entrainant avec moi à l'intérieur en refermant la porte de manière bâclée. - Dis le Cole.. Que je murmure entre deux baisers, dans une respiration haletante contre tes lèvres. - Dis moi avec des mots pourquoi je devrais te dire oui.. Je veux t'entendre me le dire au creux de l'oreille, dans les yeux, te l'entendre dire encore et encore jusqu'à overdose.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J’avais raté ma première demande, je l’avais complètement foiré parce que persuadé que l’on serait transportés l’un comme l’autre par la première rencontre avec notre bébé, elle me dirait oui. Rien que pour la famille qu’on formerait alors. Mais on épouse pas quelqu’un pour un idéal de foyer uni, le mariage c’était la passion. Et la vérité, c’était qu’il avait fallu qu’elle me glisse entre les doigts, qu’elle dérape avec l’un de mes meilleurs amis pour que je comprenne à quel point je m’y étais pris comme un manche depuis le début… Mais ce soir, cette nuit, ce matin, je ne sais plus quel mot utilisé pour désigner ce moment, perdu dans les heures qui avaient défilé si vite au cours de cette soirée, là, maintenant, je voulais faire comme il faut. J’avais compris. Je l’avais toujours su surement au fond de moi. Mais maintenant il fallait le lui dire, il fallait le lui montrer, le lui faire comprendre clairement. Je la voulais elle. Pas juste au sens physique. Pas juste pour l’empêcher de fauter avec mes amis. Non je voulais qu’elle m’épouse, qu’elle soit mienne, qu’elle devienne ma femme. Alors exit toutes les mauvaises raisons que j’avais pu lui citer, exit le chantage même ‘si tu m’épouses, je redeviens eliot’. On dit qu’il y a des baisers qui parlent plus que les mots et c’est de mes lèvres capturant les siennes que je venais illustrer cette nouvelle demande. Ses lèvres se pressaient contre les miennes, répondant avec la même urgence, la même envie, la même fougue, à ce baiser dérobé. Attiré à l’intérieur, j’entendis simplement la porte claquer parmi le tumulte de mon pouls qui battait la chamade à l’intérieur de mes veines. Nos lèvres se décrochèrent quelques secondes, quelques secondes où Hippo me souffla de le dire, d’argumenter encore, pourquoi je voulais tant qu’elle accepte de devenir ma femme. Mon front contre le sien, mes prunelles accrochées aux siennes, luisant d’une étincelle de désir, je repris donc : « Parce que personne, jamais personne, ne t’embrassera de cette manière… » Ma bouche captura de nouveau la sienne, mes paupières se refermant pour savourer ce contact exquis, entre douceur et sauvagerie, saveur exquise qu’aucune autre bouche n’avait. Mes lèvres glissèrent alors, sur sa joue, descendant au creux de son cou, aspirant un instant sa peau à cet endroit, dans un suçon possessif, comme pour dissuader toutes autres lèvres de ne jamais venir s’y poser. « Epouse moi parce que t’es l’unique, à la fois ma meilleure amie, ma meilleure confidente, ma meilleure alliée, ma meilleure amante… T’es la femme de ma vie, Hippolyte Dunford. » Ma bouche remonta alors jusqu’à son oreille alors que mes doigts, eux, se perdaient en caresses, glissant sous son gilet, cherchant sa peau, son contact… « Epouse moi parce que c’est toi, ça a toujours été toi… » Ca sera toujours toi… Et chez toutes ces autres, au final, je n’avais fait que te chercher, au point de parfois être à deux doigts de te perdre…
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
La sensation de tes mains qui me touchent, de tes baisers qui viennent se poser droit sur mon cœur pour venir l'enfourcher d'un seul coup. Un coup à la fois douloureux, sensible, et en même temps si plaisant. J'aime cette douleur qui m'enivre, qui me prend aux tripes, qui me compresse comme entre deux étaux au point d'en arriver à suffoquer. À oublier de respirer. Parce qu'elle vient de toi, de tout ce qu'il y a de vrais dans mon monde où le mensonge, la stratégie et les sentiments sont tous robotisés, calculés, tracés. Avec toi tout est différent, je ne calcule rien, je ne contrôle rien, et j'aime ce danger qui me consume en acceptant de t'aimer. Oui, je t'aime. Je t'aime de toutes mes forces, comme je n'ai jamais su faire auparavant, comme je n'ai jamais connu, je t'aime à m'en époumoné, à m'en sacrifier pour voir encore et encore mon reflet au fond de tes yeux brillants. Je ferme les yeux à ce nouvel échange buccal, plus affirmé et je savoure la vérité de tes mots. - Non.. Personne. Que je murmure doucement alors que tes lèvres chutent jusqu'à mon cou dénudé où tu viens aspirer ma peau. Je serre les dents, mes doigts agrippent plus fermement le tissus de ta chemise. Le cœur qui devient complètement fou face à tes révélations, au point d'en perdre mon équilibre, d'avoir des fourmis dans les membres. Je soupire, me mordillant la lèvre, c'est comme si le temps venait de s'arrêter tout autour de nous. - Oui. Que je réponds simplement, tournant légèrement la tête pour coller ma tempe contre la sienne. - Je veux devenir ta femme Cole.. Ça a toujours été toi, ce sera toujours toi. Depuis le début et jusqu'à la fin, personne ne pourra prendre ta place. - Épouse moi Wildingham. Soufflais-je dans un sourire en venant planter mes yeux dans les siens, attrapant sa lèvre inférieure de mes dents, joueuse.




(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)