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I want desire Cause your love only gets me abused (tahar)

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Tu regretter encore, cette nuit à passer debout sur un de tes devoirs. Et la nuit d'avant aussi et celle encore d'avant. Tu regrettes amèrement le goût de ses nuits blanches sur ta langue, et tes lèvres secher par l'envie de dormir ou de te laisser mourir sur le canapé. C'était ton troisième jours sans dormir, deuxième jours sans manger, mais tu devais faire un effort car tu avais demander à tahar de venir avec toi faire des courses et te promener. Tu avais proposer car il le fait tout le temps et que tu décline tout le temps et qu'au final tu te retrouver en boule dans ton lit à regrette qu'il ne soit pas là c'est étrange, car il a tout pour te plaire, mais une barrière c'est crée entre vous, comme un pont imaginaire que tu as peur de traverse. Tu le revoit sur les photos avec sa copine, tout sourire, tout heureux et tu t'imagine au téléphone avec toi à se demander ce qu'il fou avec une fille aussi étrange que toi. Alors tu fait un effort, tu manges un yaourt, le goût est prèsque nouveau après n'avoir rien gouter pendant deux jours, tu essaie de te faire jolie, mais tu n'es pas Fallon, tu ne sais pas ce qui est jolie sur toi, alors tu met juste de quoi cacher tes cernes et ta fatigue et avoir l'air plus fraiche, plus jolie, bien que ce soit impossible. C'est étrange encore une fois, car arriveru point de rendez-vous tu te demande si tu doit lui faire la bise ou pas, lui faire un calin ou pas, prendre sa main ou pas, rien ne te dérange chez lui, tu aimes son odeur, sa peau est douce et son toucher est égréable, mais tu ne sais pas, quelque chose bloque, tu as peut être peur qu'il passe ses mains sous ton pull et voit à quel point tu es grosse et laide, qu'il observe ton ventre grassouillet et tes cuisses énorme et que ça le repousse, tu n'es pas Fallon, tu n'es pas aussi jolie. Tu as des trait agressif et un double menton, tu n'es pas capable d'être fine et légère car tu es tout le contraire. Encore une fois tu as ceder au gros pull qui cache bien tout, que ce soit tes bras épais ou ton ventre potelé. Tu  lui fait un signe de l'autre côté du chemin, en lui adressant un grand sourire. « Tu vas pas me croire, mais j'ai attraper mon pikachu sur pokemon go. T'es jaloux ? » tu ne lui a pas fait la bise, bien que tu aimerais l'embrasser, ou juste toucher sa peau du bout de tes doigts. « J'avais besoin de deux trois trucs pour mes robots, c'est sympa de venir avec toi. » dis-tu dans un sourire.

@Tahar Al-Zahar I want desire Cause your love only gets me abused (tahar) 1001568715
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Tu lui envoies un message, comme tous les soirs, tous les jours. Rituel, nécessaire. Un simple message, peut être parfois un appel, tu lui demandes de sortir, avec toi, pas galant, nan, juste se promener. Vous deux, tous les deux, le monde à vos pieds, en simplicité. Elle ne comprend pas ce qu’elle est, belle, marrante, même attirante. Pas conscience. Solaris, ce nom pas commun, comme cette fille inconsciente, celle que t’as abandonnée y’a quelques années. Quel connard, comme toujours, tu fuis, pour autre chose, tu veux pas t’attacher aux bonnes choses. T’es pas cool, t’es pas un mec bien. Tu ne veux pas lui faire de mal, à elle, non. Trop fragile, petite chose à protéger, c’est ton rôle, celui que tu prends naturellement. Quelques courses, pour l’aider, peut-être, juste la faire sortir, la voir, qu’elle prenne l’air, qu’elle sorte sa petite mine grisâtre de son cocon trop hermétique. Tu la rejoins, les mains au fond des poches, ton jean délavé, la dégaine du bad boy, t’en ai pas un, qu’est-ce t’en as foutre d’être un mauvais garçon, celui qui plait aux filles, pas ton genre. Juste une habitude. Tu vas pas me croire, mais j'ai attrapé mon pikachu sur pokemon go. T'es jaloux ? Tu ricanes en t’approchant d’elle, qu’est-ce que t’es censé faire, la prendre dans tes bras, serrer ta doudoune bien chaude contre son sweat triste qu’elle met toujours. C’est comme ça qu’elle te plait, sa dégaine non chalante, inconsciente de la p’tite âme dissimulée dessous les couches protectrices, les couches qui masquent. Un jour t’y crois, elle y arrivera, elle comprendra qu’elle est belle, Solaris. Ton pikachu ? T’es au courant que y’en a pas qu’un dans la ville hein ? Tu lui fais un sourire, sans t’approcher d’un pas de plus, tu ne veux pas la brusquer, elle ne veut pas, elle ne sait pas, tu ne fais rien, t’en sais rien. J'avais besoin de deux trois trucs pour mes robots, c'est sympa de venir avec toi. Tu commences à t’avancer, à ses côtés, longeant le trottoir, les mains qui caressent toujours le tissu brut de ton jean. Ses robots, ça te fait rire. Petits bonshommes métalliques qu’elle sait bien arranger, assembler. Depuis le temps que j’essaye de te faire sortir de ton trou à rat et que tu me poses des lapins, je commence à douter un peu douter du côté sympa d’être avec moi. Presque un peu triste, ouais. Peut-être qu’elle se sert de toi, parce qu’elle a personne, qu’elle s’en fout au final.
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Petit sourire en coin quand tu le voit arrivée, étoile pétillante tel un verre de champagne dans les yeux, cœur battant comme après avoir courrue après un bus, après l'amour, après la nuit. Tu pourrais te jeter dans ses bras mais ton corps refuse, comme contrainte de garder toute cette peine qui t'habite, peut être que si tu le touche il allait ressentir cette peine, et peut être que ça va l'abimer aussi, pourtant l'envie est grande et les occasions ne manque pas. « Tu te moques, mais pour une débutante, c'est déjà pas mal un pikachu ! » et surtout pour une fille qui ne sors jamais de chez elle. Vous commencez à marcher vers le supermarcher, il te lance un pique, enfin, tu le prend comme ça, tu lui adresse un sourire avant de rire, oui, tu lui avait mis des vents, des ouragants même, mais tu essayer tant bien que de mal de te rattraper. Et puis, c'est toujours bizarre de passer du virtuel au réel. « Je suis désolée pour ça. » dis-tu dans même, tu entres dans le magasin en première et le traine doucement jusque dans le rayon des bricoleurs. « Je sais que ça doit pas être facile de m'avoir dans sa vie. Et j'en suis désolée. » il te supportait depuis tellement d'année que ça devait être pesant, tout ça, d'être spectateur de ta destruction. Tu sert ton pull entre tes doigts, celui qui flotte entre ton ventre et la laine qui te protège, il y avait trop d'épaisseur, parfois tu la ressentait comme elle doit se ressentir, le reste du temps tu te sent trop épaisse et laide et ça te bloque dans la vie que tu doit mener. « Mais je suis là aujourd'hui, et je t'autorise, juste après que j'ai trouver les bonnes ampoules pour mon robot, de faire de moi ce que tu veux. » tu montres ta personne en entier, suivit d'une révérence. « On peut faire tout ce que tu as voulu faire les trois, quatre voir cinq fois ou j'ai refusée de venir à un rendez-vous. » tout ce qu'il voulait, meme si tu doit manger un hamburger ou te foutre poil, tu lui devait bien ça.
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Des vents, dans ta gueule, dans ton cul, dans ton âme, dans ta vie. Tout le temps, bourrasques franches qui cognent contre toi ton existence. C’est peut-être vengeance. Depuis quelques mois où tu essayes, tu veux la voir, lui parler, au fond te faire pardonner. Pourquoi foutre, t’es un solitaire toi, tu l’as toujours dit, tu l’as toujours été. Tu refuses de t’attacher, beaucoup trop, toujours trop. Sans demi-mesures, en perpétuelle perdition, ça tourne en rond, dans ton crâne de con. Tu veux pas d’accroché, pourtant t’es doué. Fuir, c’est ton seul remède, continuels sacrifices, tu préfères la solitude pour ne pas te faire mal, faire mal. Parce que ouais, tu fais mal. Tu vis trop fort, trop étouffant, tes émotions. Ton cœur tape tellement fort dans entre tes côtes que t’en exploses de morceaux à la gueule des autres, tu blesses, sans le vouloir. Tu préfères être seul. Exilé, par volonté. Tu t’en es pris des mistrals perdants dans ta gueule. Solaris, tu sais pas pourquoi tu dois passer du temps avec elle, juste une envie, un besoin. Cette différence, qu’elle cultive, fragilité, naïveté. Ses problèmes, ça t’intrigues, ça t’irrite, t’aimerais te battre à ses côtés, être ses épaules plus solides que les siennes pour la relever, il faut pas, tu devrais pas. Tu devrais en avoir rien à foute, c’est tout l’inverse. Je sais que ça doit pas être facile de m'avoir dans sa vie. Et j'en suis désolée. Si elle savait ce que c’est de t’avoir toi. L’indécis, je-m’en-foutiste, d’impression. Le plus insupportable c’est de savoir que tu penses vraiment ça d’toi. Tu baragouines dans ta barbe de trois jours, continuant d’avancer avec elle, dans le magasin. Les néons qui colorent d’un ton pâle grisâtre ta peau du visage, tes yeux ténébreux qui brillent à ses lumières bien trop fortes. Mais je suis là aujourd'hui, et je t'autorise, juste après que j'ai trouvé les bonnes ampoules pour mon robot, de faire de moi ce que tu veux. Un sourcil qui s’arque, mesquinerie gentille qui dessine ton visage. C’est beaucoup trop ambigu au fond, tu ricanes, au fond de toi, tu disais, naïveté, à l’état brut, ou simplement toi, vicieux comme pas deux. On peut faire tout ce que tu as voulu faire les trois, quatre voir cinq fois ou j'ai refusé de venir à un rendez-vous. Tu grattes le bout de ton nez, en regardant autour de vous, amusé. Si je savais que tu prends ça comme un rendez-vous, j’aurais proposé ailleurs qu’un supermarché. Tu taquines, un rendez-vous, c’est vraiment un rendez-vous ? Ça te va bien, comme ça, un rendez-vous au supermarché. Vous continuez d’avancer, jusqu’au rayon des ampoules, un coude sur une étagère, appuyé vulgairement, tes yeux qui fixent cette bouille toute fine. Vraiment tout ? Tu pinces légèrement son pull du bout des doigts, pensif. Quelle connerie tu prépares ? J’ai peut-être une petite idée qui va sûrement pas du tout te plaire. Tu souris, gentiment, presque tendrement. T’en as marre de ce pull, finalement. Tes phalanges qui attrapent une boîte d’ampoule avant de lui jeter entre ses mains. Aller c’est ça qu’il te faut. T’es impatient maintenant merde.
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C'était jutement car c'était lui que tu as fait des efforts, ça aurait été un autre, un autre mec avec qui tu aurait 20% d'affinité, tu aurais continuer à le balader, mais c'était lui, c'était la raison, c'était la bonne équation. «  c'est que je doit être insupportable, alors. » tu laches un rire, plutot nerveux qu'autre chose, tes doigts tirant sur ton pull gris, le regard fixant vers le rayon, tu ne sait pas ce que tu doit faire, comment tu doit réagir, tu te sent comme une adolescente de treize ans qui se trouve avec le garçon qui lui plait et à qui toute l'école à dit qu'ils iraient bien ensemble. Il y a beaucoup de chose dont tu n'avais pas peur, comme la mort, les fantomes, les films d'horreur, tout ce dont les gens en générale avait une phobie, toi tu n'en avait rien, pourtant ça, cette situation, cette scène te terrifier comme jamais. Tu es vagues dans tes explications, tu le fais exprès, tu joue sur les mots, sur leurs profondeurs, tu aimerais qu'il te voit comme une fille normale et non comme un vase fragile à ne pas faire tomber par terre, tu aimerais lui prouver que tu es forte, que tu en as dans l'estomac, mais comment faire et comment agir quand chacun de vos gestes est tremblant et incertain ? « c'est moi qui est proposer ici, c'est pas banal comme premier rencard non ? Entre le rayon electronique et la poissonerie. » c'est glamour, chic, tout ce qu'il fallait pour un premier rencard. À vrai dire t'avais aucune idée de ce que font les gens pour un rencard, alors tu le laisser choisir. Il te redemande, tu secoue positivement la tête, comme prête à réaliser tout ce qu'il te demandera. Il se rapproche et tu hésites à faire un pas en arrière, mais ton corps ne réagis pas, pour une fois que ton cœur est au commande. Tu le laisse faire, tirer sur ton pull, s'approcher au maximum, humer l'odeur et sentir la chaleur qui l'accompagne. Il te tend une ampoule, tu lui sourris, bon on va dire que ça va faire l'affaire. Vos pas se dirrige d'un pas rapide jusq'à la caisse, tu ne compte même pas tes pièces mais jette la totalité sur le tapis de course avant de sortir du supermarcher. Le cœur battant vers ce qui t'attend. « J'ai peur. Mais j'ai envie. Mais j'ai vraiment peur. Mais j'ai vraiment très envie. » de quoi ? De qui ? De toi, j'ai envie de toi. De ta peau, de tes mains, de tout.
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C’est ce que t’aimes chez elle, différente, de toutes les façons, même celles dont elle n’a pas conscience. Qualité, rare tu trouves. D’être différente, à l’opposé de la société, de ces filles toutes superficielles, toutes pareilles. C’est ce que tu trouves attirant chez elle, petite chose solide qui se donne sans le savoir cette fragilité. Manière délicate et inconsciente de tripoter les mailles de son pull, hésitante, elle n’ose même pas te regarder, de peur de se noyer dans le néant de tes yeux. De peur de pas remonter, peut-être, de s’effondrer dans ce tourbillon trop mystérieux. C’est ces airs que tu te donnes, toi aussi. Facette, à l’inverse. Tu fais le mec solide, mais ce n’est rien, de ça. T’es fragile, tu le sais, personne ne doit le savoir. C’est con, t’es con. C’est comme ça. C’est ce que t’aimes chez elle, cette manière de te changer, rentre des iris ébène, un peu plus scintillante. Est-ce que tu devrais tomber tes facettes, te montrer fragile devant elle pour qu’elle se montre solide devant toi ? P’tètre. C'est moi qui est proposé ici, c'est pas banal comme premier rencard non ? Entre le rayon électronique et la poissonerie. Tu lâches un petit rire, amusé. Ouais, pour ça aussi, que t’aimes bien cette fille (que t’aimes ??), elle te propose un rendez-vous dissimulé dans des rayons à la con d’un super marché du quartier. T’es pas à l’aise avec les vrais rencards, nan, te faire beau, paraître un gars bien, ce que t’es pas. Être galant, merde, non. Tu détestes ces formalités, trop ancrées. Changement, différent, c’est ça qui te fait vibrer, qui te plait. C’est ses robots dans des sous-sols pourris qui t’fais kiffer, c’est son pull pas sexy qui t’fais l’apprécier. Y’ pas de mensonge, pas de cinéma, tout un bordel de conneries. C’est juste toi, elle, vous, dans un rayon d’ampoules. Vous sortez, du magasin, son ampoule, sûrement pas la bonne entre ses doigts qui n’en ont plus rien à foutre de son robot et la lumière qui déconne. Tu t’amuses de la voir comme ça, ça te fait rire, gentiment. Ses petits yeux paniqués qui te fixent à peine, ses mots tremblants en s’attendant à un truc de dingue. J'ai peur. Mais j'ai envie. Mais j'ai vraiment peur. Mais j'ai vraiment très envie. Tu remets tes mains au fond de tes poches en avançant à reculons pour continuer de la regarder, sans savoir où tu fous les pieds. T’as peur de quoi ? Tu hausses les épaules, une fois. T’as envie de quoi ? Tu recommences, en te retournant, cette fois. La tête rentrée dans tes épaules, le col de ta doudoune qui caresse contre tes joues roses du froid. Vous marchez quelque temps, suffisamment. Tu t’arrêtes, devant ces portes coulissantes. Boutique de fringues, ouais, banale. Pourquoi ? Tu l’as regarde, seuls tes yeux qui ressortent, le reste de ton visage dissimulé sous ta doudoune chaude. Me regarde pas comme ça, t’as dit qu’on fait ce que je veux. Tu lances un coup de tête vers l’entrée, pour la pousser, qu’elle y aille, que vous rentrez. T’as toujours peur ? Ou tu me fais confiance ? T’espères qu’elle a compris. Qu’elle regarde pas les prix, qu’elle te laisse faire, qu’elle n’est plus peur, qu’elle est envie, d’enlever ce pull.
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Et vous dévalez, les escaliers, les rues, dépassez tout le monde, oubliez que le monde existe autour de vous. continuez juste à marcher l'un près de l'autre sans interférer dans la vie de l'autre. c'était ce que tu voulais, ce que tu aimer, le fait qu'il soit là, qu'il soit près mais qu'il laisse une distance ,qu'il te laisse du temps. ce gouffre qu'il y a entre vous deux, c'était le temps, le temps que tu t'adapte, le temps que tu te sente plus à l'aise avec lui. tu voulais absolument changer, devenir une meilleure personne, mais dieu sait que ça va prendre du temps. et lui, il t'en laisse. alors tu laisse un espace, puis il se tourne vers toi, puis il te regarde, et entourer de ton énorme pull et d'un fin sourire, tu te sent toute rouge, et toute nue, et tu sent que tu l'a déjà été avec lui : toute nue. lui dire clairement ce que tu ressent, exposer emotionellement dans ses bras, bien que ses bras soit éloigner, bien qu'il ne soit même pas là. de quoi ta peur ? de quoi ta envie ? « De toi? de nous ? j'ai peur et j'ai envie. que tu me quitte encore pour une personne meilleure, d'être de nouveau seule? » est-ce que tu l'as vraiment dit à haute voix ? tu n'arrives pas à le croire; et alors que tes pas entre dans un magasin, tu fini par te taire, tu en a trop dit. tu regarde autour de toi et tu devines, il veux te rhabiller. « Je savait pas que j'étais si mal fringuée. » tu laches un rire, plus nerveux qu'autre chose, Suzy aurait fait un effort pour s'habiller, Fallon aussi. tout le monde aurait fait un minimum pour l'être qu'il aime alors que toi.. tu passes devant un miroir et tire encore sur ce même vieux pull, et tu comprend que oui, tu as besoin de renouveau. Tu glisses jusqu'au rayon des pull et des blouson et regardes un peu ce qui t'entour. « J'ai peur de l'amnésie. » oui? pourquoi tu le dit ? tu ne l'a jamais dit, mais tu retiens un souffle avant de répété. « Je veux continuer d'exister, car un jour je n'aurais plus assez de force et de souffle pour me battre. et j'aurais oubliée ce que ça fait d'aimer. de t'aimer toi, d'aimer ma mère, ma soeur, tout les gens qui compte vraiment pour moi. j'ai peur d'oublier. oublier cette sensation qui me fait sentir si vivante. et j'ai peur qu'on m'oublie aussi, qu'on me laisse. qu'on me vire. j'ai peur de tout ça. » tu reposes un pull taille m pour en choper un l et xl, puis un autre encore plus gros avec un col rouler, gris et beige. pourquoi des couleurs ternes alors que tu es un soleil, solaris?
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