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Life is ours, we live it our way
Hippolyte et Athénaëlle.
J’avais appris depuis peu que mon cousin allait être papa, sur le coup je n’en revenais pas, Cole papa ?! J’adorais Hippolyte en plus, je voyais en elle un modèle, une fille tellement forte et classe, un ange sur terre. Je n’avais qu’une envie, filer chez elle. La journée m’avais semblais interminable auprès de mon père, en effet mon paternel avait exigé ma présence aujourd’hui. Je n’avais rien contre le fait de passé du temps avec lui, mais j’avais si peur qu’il m’annonce la venue d’une belle-mère ou autre. Finalement le seul sujet sensible que monsieur Wildingham aborda avec moi sa tendre fille était le suivant : ma fâcheuse tendance à semer Ferdinand, mon chauffeur garde du corps. Outre passé la surveillance de cette armoire à glace était devenue un petit jeu pour moi. Je ne supportais pas être protégée tout le temps, mes amis me chouchouter déjà bien assez. Enfin libre, mon père montait dans son jet pour se rendre à Paris. Je monte tout de suite dans la limousine et indique à Ferdinand l’adresse d’Hippo. J’étais surexcitée rien que à l’idée de la voir. Je voulais savoir comment elle allait, et si bébé wildingham dans son petit bidou allais bien. J’échange quelque sms avec Cléolya sur un évènement récent entre moi et Andrew le bizut d’Hadès. La limousine s’immobilise. « Ne m’attendez pas Ferd’ » je sortais en toute vitesse du véhicule. Je remonte l’allée, et me plante devant la porte. Je me pince les lèvres, je chasse rapidement des pensées de ma tête. Je n’ai qu’une envie prendre de ces nouvelles et bien entendue je n’avais pas envie de faire ça par sms, non ! Je voulais qu’elle se sente plus important, je voulais qu’elle voie qu’elle compte plus que n’importe qui, et qu’elle mérite mieux que des sms. Je portais ma petite robe noir Zadig & Voltaire avec des talon noir aussi. Aller il était temps. Je frappe à la porte, puis j’entremêle nerveusement les doigts de mes mains, Hippolyte allait être la mère d’un petit être que j’allais chérir plus que tout au monde, plus que ma propre vie, moi et les enfants, c’est une grande histoire d’amour.
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