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Ian et Langley
« J’étais très bien comme j’étais, j'étais trés bien sans toi. Mais non, il a fallu que nos chemins se croisent... »
Il devait être aux alentours de neuf heures du matin quand Langley s'était réveillée, totalement paniquée. La jeune femme avait fait pour la énieme fois de la semaine ce même rêve étrange, dans lequel elle n'était plus rien. Et autant vous dire que pour Langley, n'être plus personne était aussi horrible que de perdre un être qui lui était chére.
La jeune femme s'était donc reveillée en sueur dans son lit. Heureusement pour elle, personne ne s'était rendue compte de la situation. Il faut dire que pour Langley, être en position de faiblesse devant autrui était... inimaginable. Quoi qu'il en soit, elle se hâta de se rendre à la douche et de s'habiller pour sortir prendre l'air. Elle n'avait pas envie de rester cloîtrer entre quatre murs à réfléchir sur ce fameux rêve. Non, elle voulait s'ahérer l'esprit et penser à autres choses. Et quoi de mieux pour ça que de sortir faire du shopping ? Certes il était encore tôt, mais personne n'interdisait le shopping matinale.
Aprés s'être donc habillée, la jeune femme quitta d'un pas rapide la maison des Cabots afin de se rendre sur le parking. Là, elle y retrouverait la magnifique voiture que lui avait offert son pére. Cette derniére lui avait coûté trés cher, mais Monsieur Jewel cédait aux moindres caprices de sa fille. En même temps, Langley ne lui rendait pas la vie facile, loin de là. Elle ne se gênait pas pour lui rappeler à chaque occasion qu'il était un mauvais pére qui négligeait sa famille. Et comme pour se réconforter des paroles de sa fille, le pére lui offrait un cadeau. En général, c'était des cadeaux trés coûteux, mais il arrivait parfois qu'il ne lui achéte qu'une simple pacotille. Et lorsque c'était le cas, Langley était trés en colére. Pourrie gâtée ? Non jamais...
Arrivée sur le parking, elle se pressa de rejoindre sa voiture. Elle espérait que les autres étudiants ne l'avaient pas rayée, même si le contraire l'étonnerait beaucoup. Il faut dire que le parking d'Harvard était toujours en mouvement, avec des voitures qui sortaient et d'autres qui se garaient, mais il n'y avait pas de quoi s'inquiéter pour la voiture de Langley puisque elle était garée au fond du parking, n'est-ce pas ? La belle blonde jeta un rapide regard derriére son épaule avant de s'avançer vers sa voiture. Au même moment, elle entendit une voix qu'elle ne connaissait pas l'appeler par son nom de famille : « Hey, Jewel ! ». Langley s'arrêta et hurla : « Quoi ? ». Le ton de la jeune femme s'était voulu aggressif et désagréable et elle se retourna, agâcée. C'est là qu'elle comprit réellement la situation. Le garçon qui l'avait appelé ne l'avait pas interpellé elle, mais plutôt un étudiant qui passait par là. Et si cet étudiant s'était retourné alors que quelqu'un hurlait Jewel, ce n'était pas pour rien. C'est qu'il portait lui aussi, ce nom de famille. Langley restait figée sur place à regarder la scéne. Elle ne pouvait pas bouger, même si elle l'aurait voulue. Peut-être qu'elle n'avait pas été discréte en se retourant et en hurlant car désormais, les deux garçons la fixaient aussi.
La jeune femme s'était donc reveillée en sueur dans son lit. Heureusement pour elle, personne ne s'était rendue compte de la situation. Il faut dire que pour Langley, être en position de faiblesse devant autrui était... inimaginable. Quoi qu'il en soit, elle se hâta de se rendre à la douche et de s'habiller pour sortir prendre l'air. Elle n'avait pas envie de rester cloîtrer entre quatre murs à réfléchir sur ce fameux rêve. Non, elle voulait s'ahérer l'esprit et penser à autres choses. Et quoi de mieux pour ça que de sortir faire du shopping ? Certes il était encore tôt, mais personne n'interdisait le shopping matinale.
Aprés s'être donc habillée, la jeune femme quitta d'un pas rapide la maison des Cabots afin de se rendre sur le parking. Là, elle y retrouverait la magnifique voiture que lui avait offert son pére. Cette derniére lui avait coûté trés cher, mais Monsieur Jewel cédait aux moindres caprices de sa fille. En même temps, Langley ne lui rendait pas la vie facile, loin de là. Elle ne se gênait pas pour lui rappeler à chaque occasion qu'il était un mauvais pére qui négligeait sa famille. Et comme pour se réconforter des paroles de sa fille, le pére lui offrait un cadeau. En général, c'était des cadeaux trés coûteux, mais il arrivait parfois qu'il ne lui achéte qu'une simple pacotille. Et lorsque c'était le cas, Langley était trés en colére. Pourrie gâtée ? Non jamais...
Arrivée sur le parking, elle se pressa de rejoindre sa voiture. Elle espérait que les autres étudiants ne l'avaient pas rayée, même si le contraire l'étonnerait beaucoup. Il faut dire que le parking d'Harvard était toujours en mouvement, avec des voitures qui sortaient et d'autres qui se garaient, mais il n'y avait pas de quoi s'inquiéter pour la voiture de Langley puisque elle était garée au fond du parking, n'est-ce pas ? La belle blonde jeta un rapide regard derriére son épaule avant de s'avançer vers sa voiture. Au même moment, elle entendit une voix qu'elle ne connaissait pas l'appeler par son nom de famille : « Hey, Jewel ! ». Langley s'arrêta et hurla : « Quoi ? ». Le ton de la jeune femme s'était voulu aggressif et désagréable et elle se retourna, agâcée. C'est là qu'elle comprit réellement la situation. Le garçon qui l'avait appelé ne l'avait pas interpellé elle, mais plutôt un étudiant qui passait par là. Et si cet étudiant s'était retourné alors que quelqu'un hurlait Jewel, ce n'était pas pour rien. C'est qu'il portait lui aussi, ce nom de famille. Langley restait figée sur place à regarder la scéne. Elle ne pouvait pas bouger, même si elle l'aurait voulue. Peut-être qu'elle n'avait pas été discréte en se retourant et en hurlant car désormais, les deux garçons la fixaient aussi.
© Chieuze
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