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Wildinford - There's nothing like us

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Cole SW n’est pas nerveux. Jamais. Voilà ce que je me répétais en observant mon reflet, en ajustant le nœud de ma cravate autour de mon cou. Pas nerveux ? Pourtant, c’était indéniable, mes doigts s’agitaient malgré moi. C’était juste de l’excitation. Oui voilà. Aujourd’hui, journée de l’échographie, j’allais voir mon enfant pour la première fois sur cet écran… Et rien à voir avec le fait que mon fils, celui que Lucky avait porté, que j’avais appelé tant de fois ‘vermicelle’ était décédé des mois plus tôt. Rien à voir avec le fait que je redoutais une mauvaise annonce. Que je craignais que le toubib déclare que son cœur avait cessé de battre. Ou que quelque chose clochait et que la vie d’Hippo était en jeu, de la même façon que celle de Lucky l’avait été lorsqu’elle avait tenté d’avorter… Non. Rien à voir avec ce travail de deuil jamais accompli, tout simplement parce qu’on avait jamais pris le temps d’en parler, mon ex et moi, qu’on avait pas pris le temps de le prénommer ou d’organiser sa sépulture, pris à l’époque dans les tourments et le tourbillon de notre rupture, et l’organisation de coups bas alors pour se venger l’un de l’autre, ou comment se faire du mal quand on était déjà au plus bas. Non, rien à voir. Je refusais même d’y penser, d’ailleurs, je secouais la tête, chassant ses pensées, attrapant fermement ma veste pour l’enfiler et quitter mon chez moi. Aujourd’hui, samedi 4 novembre, allait être une journée parfaite. L’écho se déroulerait à merveille. Hippo serait en grande forme. Notre bébé aussi. Et ce soir on passerait une soirée idéale, en tête à tête, et j’allais lui demander sa main. Je m’engouffrai dans ma voiture, annonçant à Charles, mon chauffeur, l’adresse de miss Dunford, et ma main se glissa naturellement dans la poche de ma veste, caressant un instant l’écrin du bijou acheté quelques jours plus tôt avec la complicité et l’aide de mes deux meilleurs amis : Nina et Abé. Les deux premiers à qui j’avais annoncé mon projet fou : demander à Hippolyte de m’épouser. La maison de ma meilleure amie ne tarda à se dessiner devant nous et je sortis du véhicule, ouvrant galamment la portière pour l’accueillir, et pour que l’on file ensuite ensemble à l’hôpital pour cette première rencontre avec notre bébé…

@N. Hippolyte Dunford
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Un jour important pour moi, j'allais enfin faire connaissance avec l'enfant qui grandit en moi depuis quelques mois maintenant. Un moyen de me rassurer, de prendre réellement conscience que j'allais devenir mère.. Mère. Rien que d'y penser j'en tremblais, j'avais peur, j'appréhendais et en même temps c'était l'euphorie dans ma tête. Tout un tas de sentiments qui se mélangent, et de voir Cole ça n'arrangeait rien du tout. C'était comme si rien n'avait existé avant aujourd'hui, comme si j'allais le rencontrer pour la première fois.. Le coeur qui bat la chamade, la bouche sèche. Parce que je me rends compte aujourd'hui, je me rends compte de tout ce temps que j'ai passé à nier la vérité. À maquiller ce que je ressens en parfaite amitié. Je n'arrive plus à faire semblant, je n'arrive plus à te regarder dans les yeux sans avoir toutes ces envies, sans avoir cette boule au ventre qui me tord l'estomac. Et le pire, c'est ce que tu fais à mon coeur. Je déteste ça, je déteste tout ce que tu me fais et qui me rend si vulnérable. Ce genre de sensations que j'ai jamais connue, et toi t'arrive et tu changes toute ma vie. Je suis égoïste, la plus égoïste et pourtant.. Tu passes avant tout, même avant moi. Il est l'heure, jupe cintrée rouge sang, chemiser blanc en soie, escarpins, j'attrape mon sac avant de jeter un dernier coup d'œil dans le miroir. Lissant ma jupe, la lèvre tremblotante, je reste une demie seconde figé devant mon reflet avant d'y aller pour de bon. La porte à peine ouverte, mes yeux se lèvent vers toi, et là c'est une vague d'émotions qui me prends de plein fouet. Tu peux le voir, le lire dans mon regard, dans ce moment où je n'arrive plus à bouger. Juste te regarder, de loin avant de reprendre mes esprits et refermer la porte avant de te rejoindre. Tu es beau, plus que d'habitude, ou pareil sauf que je n'ai jamais voulu te regarder vraiment. - Wildingham.. Que je souffle avant de venir poser mes lèvres au coin de tes lèvres. Tu les connais ces baisers qu'on assume pas. Qui nous torture mais dans lesquelles on se réconforte. - Très élégant pour une échographie. Je souris avant de grimper à l'arrière de sa voiture.




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Debout devant ma Rolls, ouvrant la portière et patientant jusqu’à voir l’entrée de sa villa s’ouvrir, et Hippo apparaître sur le porche, resplendissante, comme toujours, un large sourire ourla mes lèvres alors que je la détaillais. Hippolyte Dunford. Et je repensais à cet écrin à bijou dans le creux de ma poche, à cette demande, à cette promesse d’un avenir ensemble… Et mon sourire s’agrandissait davantage. Sûr de moi. Il suffisait d’un regard, qu’elle entre dans mon champ de vision, pour que je me sente mieux. Que les appréhensions et les craintes quant à l’échographie à venir s’évaporent. C’était Hippolyte et moi. Y’avait rien ni personne comme nous, nous deux ensemble, on pourrait toujours tout affronter, tout surmonter. Et lui demander sa main était certainement la meilleure décision de ma vie. Elle s’avançait vers moi, soufflant mon nom, peut être le sien bientôt ? L’idée accentua mon sourire alors que ses lèvres venaient embrasser le coin des miennes, un baiser, une bise, un entre deux dont nous seuls avions le secret. Ma main glissa un instant dans le creux de ses reins, comme pour la retenir un peu, pour prolonger un peu ce contact entre nous, censé être un simple salut, une simple façon de se dire bonjour, mais qui signifiait tellement plus… Parce que peut être que si je m’écoutais, ça serait droit sur ta bouche que mon baiser se dirigerait… « Mademoiselle Dunford… » que je soufflai à mon tour, non sans songer au délice que cela serait de pouvoir l’appeler madame Wildingham. « Tu n’as pas oublié que l’on sortait ensuite ? » repris-je en me glissant près d’elle sur la banquette arrière, refermant la portière dans un claquement. Tournant mon visage vers elle, lueur possessive dans les yeux, j’affirmai : « Tu es à moi Hippolyte Dunford… » Et je marquais volontairement un petit temps d’arrêt, conscient qu’en laissant cette phrase en suspend, elle prenait un tout autre sens, je ne la terminai que quelques secondes plus tard : « …pour la soirée. » Et Charles démarra, direction l’hôpital. La bâtisse de l’établissement de santé se profila vite devant nous, faisant un peu réapparaitre le stress au creux de mon ventre. Et comme pour gérer la chose, je lançai une petite plaisanterie : « Si c’est des jumeaux, on en donnera un à Abé. Et si c’est des triplés, un pour Abé et un pour Hadès. » Team nurserie… Pauvres gosses oui…

@N. Hippolyte Dunford
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Mes lèvres encore sur la réserve. Des baisers que j'aimerais plus réel, plus passionné, que j'aimerais avoir pleinement sans plus se cacher derrière cette barrière que j'ai autant de mal à passer. Ta main dans le creux de mes reins suffisent à me faire frissonner. Et je profite de ta courte étreinte pour gagner des secondes contre toi, dans tes bras, respirant ton odeur et dévorant ton visage des yeux. Trop court, moment que j'aimerais éterniser sur des jours entiers sans jamais me lasser. Sur des nuits entières en snobant le sommeil. Je grimpe sur la banquette arrière, les picotements dans mon corps quand le mien s'éloigne de toi. Et je retrouve mon souffle quand viens enfin t'installer, laissant des paroles à double sens en suspend quand moi, j'aimerais tout entendre. J'aimerais t'entendre dire tellement de choses, toutes les choses que moi même je ne dis pas. Le regard rivé vers toi, laissant une minute de silence plané, la respiration coupée avant que tu ne termine ta phrase. Pas comme je l'aurais souhaité, et j'ai pris l'habitude de tes non dit, des miens aussi d'ailleurs alors je baisse juste la tête, un sourire puant la déception au coin des lèvres. Lèvres que je mords nerveusement, tout comme mes doigts que j'enroule dans le tissus de ma jupe. - Je n'ai pas oublié.. Je n'oublie jamais rien de ce qui te concerne. Jamais. Sache-le. - Tu m'emmènes où ? Et c'est quoi cette surprise alors ? Que je demande, te regardant avec gourmandise. Comme t'es beau, cette pensée ne cesse de me revenir à chaque fois que mon regard s'attarde un peu trop. Et j'ai envie de toi, là, au fond de cette voiture. Tellement que ça me retourne l'estomac, le cerveau et tout ce qui va avec. Alors je préfère tourner la tête vers la vitre fermée, là où la clinique commence à se dévoiler sous nos yeux. - Celui pour Abé, il sera obligé de se le partager avec Ayma alors ! Que je lance avec humour. Regard taquin. - Je crois qu'on est arrivé. Que je dis, les yeux toisant l'extérieur alors que mes mains deviennent moites.




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Dans la voiture, installé sur la banquette arrière, je lui rappelai nos projets. Pesant mes mots, les choisissant avec soin, ce ‘tu es à moi’ que je rêvais de voir devenir réalité, qui allait peut être l’être, tout à l’heure, si tu me laissais te glisser cette bague au doigts. Oh oui, tu serais à moi, et alors pas besoin de terminer cette phrase, d’aucune façon. Tu seras à moi tout court, et pour toujours. Mais pour l’heure, c’était simplement ‘pour la soirée’, et les yeux de la jeune femme vrillèrent quelques secondes alors qu’elle me confirmait ne pas avoir oublier. « On va au mac do… » pouffai-je pour la charrier avant de reprendre mon sérieux citant le larousse : « SURPRISE : nom féminin qui signifie événement inattendu. » Petit sourire, lueur malicieuse dans les yeux, ma main voyagea jusqu’à son menton, l’accrochant délicatement pour lui faire tourner son visage vers le mien, alors qu’elle s’était mise à regarder à l’extérieur. Mes prunelles retrouvaient les siennes pour poursuivre : « Si je t’en dis trop, ça ne sera donc plus une surprise. Patience miss Dunford. » Et au final, moi aussi il me tardait. Ma décision était prise. Je l’avais annoncé à Cam, à mes deux meilleurs amis, je les avais embauché pour l’achat de la bague, j’avais même pris le temps d’en parler à Cléo pour qu’elle soit au courant et éviter tout conflit… Mais bordel, c’était à toi que je rêvais de le dire, impatient de voir ton visage lors de mon annonce, de ma demande… On arrivait déjà devant l’hôpital, et pour dissoudre tout stress, une remarque sur le nombre de petits habitants à l’intérieur de son petit ventre nous fit sourire, imaginant déjà le partage des bébés entre nos meilleurs amis. « C’est peut être pas un bon plan en fait, quand ils auront des quadruplés ensemble ils seraient capables de nous les refiler par vengeance. » renchéris-je à sa réplique. « Hey ça va aller… » soufflai-je en sentant son regard, sa voix changer, alors que la voiture ralentissait pour nous déposer devant l’entrée. Mes lèvres vinrent se poser sur son front et ma main alla attraper la sienne pour l’aider à sortir de la Rolls. « J’espère qu’on va pas nous faire trop attendre… Sinon tu n’hésiteras pas à te plaindre de l’incompétence de ses collègues auprès d'Aymalyne pas vrai ? » Tremblez personnels soignants. Vous venez d’accueillir dans vos murs les patients les plus exigeants et les plus intransigeants qu’ils soient. Et pour la santé d’Hippo et de notre enfant, je ne laisserais rien passer.
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Assise au fond de ta voiture, avec ton odeur qui me donne mal au crâne autant qu'elle m'enivre, qu'elle m'étouffe. Cette odeur brut, piquante qui te rend encore plus attirant que ce que tu l'es déjà. Et je me rends compte, qu'en fait, tout de toi me fait vriller, me fait perdre la tête en un claquement de doigt. T'as vu ce que tu me fait Wildingham ? T'as vu comment tu réussis à me rendre ? Je ris dans un soupire, secouant la tête de gauche à droite avant de lever les yeux au ciel. - Avoue que tu aimes me torturer .. Que je souffle alors que ta main vient de détourner mon visage pour que mes yeux se perdent dans les tiens. Oui, tu adores ça me torturer, dans tous les sens du terme autant les bons que les mauvais. Je dois être un peu sado pour aimer ça. Ou juste t'aimer toi. - Tu sais que la patience c'est pas vraiment un de mes points forts. Haussement de sourcils. Mais avec toi je l'ai été, beaucoup trop longtemps et je n'y arrive plus. Faire preuve de patience, j'en ai plus envie non plus. - C'est sûr qu'en ce moment c'est pas super entre eux pour leur confier un gosse en plus ! Grimaçant, me rappelant alors des problèmes qu'avait ma meilleure amie avec Abé. Eux aussi, visiblement ils avaient du mal. À croire que notre petite bande est maudite a ce niveau là. Alors que la bâtisse se dresse sous nos yeux, le stress me prend de plein fouet et ma gorge se noue. Je n'aime pas les hôpitaux, je ne supporte pas leur odeur ni leur mauvaises nouvelles. Ta main dans la mienne me rassure, m'apaise et il n'y a que toi qui arrive à faire ça aussi facilement. Un sourire de sympathie, ma main qui serre la tienne un peu plus fort. -Merci.. Dis-je à demie avant d'ouvrir la portière sans attendre que son chauffeur le fasse. Attrapant mon sac pour l'enfiler, me plantant devant l'immeuble en attendant mon meilleur ami ? - Ça c'est clair, je suis pas d'humeur à patienter surtout que je patiente encore pour ta surprise ! Petit pique, ma langue qui vient claquer contre mon palet alors que je te lance un regard joueur. - T'es prêt ? Que je demande en reprenant mon sérieux, tendant la main vers lui pour qu'il la prenne.




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Assuré, rassuré aussi, par ta présence, par nos échanges, par nos réflexes… Y’avait quelque chose de rassurant dans ces faux semblants peut être. On ne risquait rien, on gardait sagement nos cartes en main, on me misait rien, assis sur les bases solides de notre amitié certaine. Comment les choses pourraient-elles tourner mal ? Quand on était ensemble, on pouvait tout affronter non ? Sauf que ces faux semblants nous bouffaient sans même que je m’en rende compte… Ma main qui accrocha son menton, la connexion éphémère entre nos yeux, tellement plus qu’un jeu de regard pourtant… Et je finis par le reconnaitre avec facilité : « Oui, j’avoue… Mais avoue toi, que je suis ton bourreau préféré. » Petit sourire diabolique, surtout quand Hippo affirma ne pas être dotée d’une grande patience. Ca allait rendre la demande, la surprise, la découverte de cette bague savamment choisie avec mes deux acolytes, encore plus délicieuses. L’hôpital se dressant devant nous, cela nous ramena à la réalité de l’ examen qui nous attendait. Alors c’est en plaisantant, en évoquant nos meilleurs amis, qu’on déstressait… Avant qu’Hippo ne revienne sur leur récente séparation. « Je crois qu’ils vont se retrouver… Y’a des gens comme ça, où qu’ils soient, quoi qu’ils fassent, ils se retrouvent toujours. » Et le regard que je posai alors sur elle à cet instant précis me trahissait surement, mes yeux criant presque que je nous incluais, elle et moi, parmi cette catégorie de personnes. Des inséparables. Des duos éternels. Pas d’Hippolyte Dunford sans Cole Wildingham. Devant son expression qui changea ensuite, alors que Charles s’arrêtait devant la clinique, ma main attrapa la sienne, doucement après un baiser déposé avec la même délicatesse sur son front. On y était, enfin… C’est contre les toubibs que nous allions rencontré que je me plaignais, ma façon à moi de déstresser, mais ce qui me valut une petite pique quand à l’attente que je lui faisais endurer à elle pour la fameuse surprise. Un sourire naquit au coin de mes lèvre, ma main dans la sienne j’affirmai : « Plus que prêt, allons-y. Attends nous dans la voiture. » ordonnai-je ensuite à mon employé avant de me diriger vers l’entrée. Les portes battantes passées, je parcourus le hall des yeux avant de conclure, éternel insatisfait : « C’est vraiment mal indiqué ici… » Cole, ou le plaisir de râler. J’interpellais l’hôtesse d’accueil qui nous indiqua alors le service échographie, et à mesure qu’on avançait dans les longs couloirs blancs, ma main se resserrait doucement sur les doigts de ma meilleure amie. « Apparemment, faut que t’es la vessie pleine… » commentai-je en détaillant les panneaux de la salle d’attente. « Tu veux que j’aille te commander un thé ou de l’eau ? » m’inquiétai-je alors.
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