One more night (Andnaëlle)

Quand on me lance une sorte de défis je suis toujours partante, enfin surtout en ce moment, j’ai l’impression d’avoir foutue une merde pas possible dans la vie de ma cousine, alors tout simplement je fuis. Vivant chez Cole c’est compliqué de le fuir, alors j’avais texté Andrew, qui accepter de m’ouvrir la porte pour cette nuit avec un petit programme fort agréable à la clé. Je ne dis jamais non à un puceau. Puceau été le mot qui avait déclenché ce petit jeu, alors j’avais hâte de voir si ce qu’il disait été vrai. Attacher à son lit ? J’avais la curiosité qui me gagné, allait-il vraiment le faire ? Je souris, puis verrouille mon portable. Je saute dans la limousine et demande à Ferdinand de me déposer à la Eliot House. Pendant le trajet de me change, enfilant des dessous un peu plus adaptés à la situation à venir. J’avais opté pour un ensemble de dessous très chic et sexy à la fois., par-dessus, une robe Dior. Dès que je me trouve devant la porte, j’hésite, est-ce que je suis vraiment à ma place ici ? Est-ce que je ne ferais pas mieux de me méfier de lui comme me l’avais demandé Cole ? Je soupire, puis je chasse tous les conseils de ma tête et je frappe à la porte, laissant mon regard se poser sur la porte

Depuis quelques jours avec Athénaëlle on s'envoyait dans SMS, hélas j'étais en Angleterre à un moment où elle voulait me voir. J'ai jamais eu réellement d'arrière pensées pour elle, je l'aimais bien je trouve et puis j'avais aimer un peu discuter avec elle lors de notre rencontre il y a 2 semaines. Elle était spontanée, j'avais une impression qu'elle était tout de même dans un coin et qu'elle agissait pour se donner un style. Enfin bon, j'avais été attiré par elle bien sur et Athé devait en effet passer la nuit chez moi hier soir. Mais bien sur comme si je m'y attendais, elle n'est pas venue. J'aurais du parier d'ailleurs. Elle ne veut pas montrer quand elle est faible j'ai l'impression. Bref, je lui avais alors envoyer un message comme un petit reproche en rigolant, mais ce message est partit en vrille. Elle insinue que je suis puceau. Chose que je ne suis plus depuis des années et je lui ai promis que la prochaine fois qu'elle viendra chez moi, je lui montrais que c'est faux pour lui faire passer une bonne nuit et douce. Je n'étais pas violent malgré que j'avais rigolé aussi sur le fait que je l'attacherais au lit pour ne pas qu'elle bouge et qu'elle reste avec moi. Un jeu drôle mais qui a été pris directement mot pour mot par la belle jeune femme. Elle me dit qu'elle arrivait alors. Je ne pense pas qu'elle va venir comme hier, donc j'étais simplement allongé dans mon lit entrain de regarder un film sur Netflix quand j'entend quelqu'un frapper en effet. Je me lève, j'étais en jogging et avec juste un T-Shirt, vraiment dans un look de week end des plus décontracté qu'il soit. Après tout, je suis célibataire, je suis chez moi, je m'en fous du monde. J'avais mon bras qui était dans une écharpe pour ne pas que je force sur mon épaule qui cicatrisait doucement. J'ouvre la porte et j'aperçois la belle jeune femme qui est là devant la porte. Elle portait une robe des plus magnifique qui l'a rendait vraiment sexy d'ailleurs. Je souris en me bougeant de devant la porte pour la laisser entrer. "Dis donc... Bien le bonsoir belle jeune femme." Elle entre alors et je ferme la porte derrière moi. "J'ai réchauffer mon lit si tu veux. Vasy met toi à l'aise fait comme chez toi." C'était pas grand mais ça suffisait, je ne voulais pas qu'elle ne sache pas quoi faire, après tout faut qu'elle soit à l'aise. Puis ce n'est même pas dit qu'on couche ensemble après tout, c'était qu'un jeu par SMS. Entre les paroles et l'action il y a des différences. "Comment vas tu? Tu m'avais dis la semaine dernière que c'était pas la folie?" Je fronce le regard en m'assaillant sur le bord du lit.

La porte s’ouvre et dévoile alors un jeune homme qui ne s’attendais pas spécialement à me voir venir, je pouvais le comprend j’avais la fâcheuse manie de toujours décaler les rendez-vous. Il fallait vraiment que j’arrête de toujours repousser mes tête-à-tête avec lui, donc cette fois je ne me louperais pas. J’entre dans la chambre. Sont compliment me fais rougir. C’est la première fois que l’on me voit comme une jeune femme et non pas comme un bébé, alors je suis intimidée. Je m’assoie sur le bord de son lit. « Ne me dit pas de faire comme chez moi, tu pourrais finir par retrouver mes fringues dans ton armoire. » je laisser un rire cristallin s’échapper de ma bouche, la dernière fois que quelqu’un m’avait dit de faire comme chez moi, c’était Cole et aujourd’hui je vis chez lui. Petite note d’humour avant de finalement entrée dans un sujet un peu plus délicat. Comment je vais ? Je n’ai pas envie d’en parler, pour le moment je suis bien là ici avec lui, je n’ai pas envie donc de me souvenir de ce qu’il y avait de mal dans ma vie en ce moment. « Ho je vais mieux ne t’inquiète pas. Et toi alors comment tu vas ? » Oui, oui évitons de parler de moi, je n’ai pas envie d’être le centre du sujet, pas du tout même. Je pose mon regard sur lui.

Je vois bien que son regard n’est pas comme d’habitude, il est plus inquiet, comme si le fais que j’aille pas très bien était pour lui une source d’inquiétude. Je suis surprise, habituellement quand je vais mal, on me demande qui m’as fait du mal et on s’en prend à lui, pour la première fois depuis un moment, je suis là, à être écouter, et rassurer moi. Je ne suis pas un fantôme pour une fois. « Merci d’être aussi doux avec moi. » Je dépose un bisou sur la joue, puis lui lance un clin d’œil. Je n’avais pas spécialement chaud, mais je n’avais qu’une idée derrière la tête retirer ma robe pour laisser mes dessous plutôt très sexy faire leur effet. J’aime me savoir irrésistible et me faire désirer à la fois. « Il fais chaud tu ne trouves pas ? » Je me tourner pour lui laisser voir mon dos, et je rassembler mes cheveux d’un côté de mon coup, laissant entrevoir une fermeture éclair. « Tu peux m’aider s’il te plait ? » Aller coco laisse tes doigts experts faire tomber le voile sur mon joli corps.

Oui ça me faisait plaisir de voir derrière cette porte Athénaëlle, elle avait un beau manteau et je pouvais apercevoir qu'elle était en robe rien qu'à la vue de ses jambes nues. Je souris, en la laissant passer pour qu'elle se mette à l'aise. C'était certes la première fois qu'elle venait dans ma chambre, peut-être la dernière fois, on ne sait jamais ce qui peut se passer. On est sur de l'inconnu à partir de maintenant. On a joué, on va joué. Elle me regarde en enlevant son manteau et le posant sur ma chaise de bureau puis elle s'installe sur mon lit. Je souris à sa réponse. "Faut déjà qu'il y ai de la place dans mon armoire pour ça." Je lui fais un clin d'oeil en tirant la langue puis je l'a rejoins rapidement. Assis près d'elle, je lui demande comment elle allait du coup. Je savais qu'elle allait pas très bien ce moment, puis étant un ami, je prenais comme toujours des petites nouvelles. Je tiens beaucoup à elle depuis que je l'ai rencontré, on passait pas beaucoup de temps ensemble, depuis ce moment là, mais on s'envoyait pas mal de SMS. On avait pas non plus le même emploi du temps, elle était plus jeune que moi d'après ce que j'avais compris et donc on avait des cours entièrement différent. On était pas souvent dans le même bâtiment. Les SMS se sont les seuls choses qui peuvent nous lier. "Super alors. Moi? Ba écoute ça va tranquillement hein." Je souris, je n'avais pas grand chose à dire sur moi. Après tout à part faire ma vie dans mon coin et bosser ma vie était plate et vraiment ennuyante. Ce soir je bossais que le droit et j'avais pas même pas bosser la musique, je n'avais pas cours demain j'en profite donc pour compléter mes dossier pour mes cours...

Je pose ma main sur sa cuisse en souriant. "Ecoute, je suis là si un jour t'as besoin de parler, mes SMS sont toujours dispo, même si je suis en sport ou en cours, je trouverai toujours un moment pour te répondre." Et souris en lui caressant sa cuisse avec le bouts de mes doigts. Elle me remercie caressant doucement ma joue. Mon regard était planté dans le sien. Je ne sais pas, je l'a trouvais vraiment belle, douce, du moins avec moi. Je ne suis pas là à absolument lui sauter dessus comme avec les autres jeunes femmes avec qui je couchais. Elle était différente. Je ne l'a considère pas comme une fragile ou autre. Non je veux la découvrir. "C'est normal Athé." Je l'a regarde, elle prend ses cheveux et les met tous au même endroit. Elle a chaud? Ah oui vraiment? Moi ça allait encore. Elle se tourne vers moi, et je vois la fermeture éclair de sa robe. Je passe ma langue sur mes lèvres inférieur. "Je peux le faire oui..." Elle veut jouer? Jouons. Notre amitié est basé sur ça ce soir... Je prend alors la fermeture que je descend doucement le long de son dos qui dévoile petit à petit sa peau blanche. Ensuite je passe mes mains en dessus pour lui enlever délicatement, laissant du coup ses sous-vêtements se montrer face à moi. Elle avait vraiment un corps charmant, bien dessiner. "Je vais avoir le droit à une danse aussi?" Je rigole la regardant, mon regard la détaillant.

J’avais débarqué dans la vie d’Andrew comme un boulet de canon, sans prévenir, comme ça d’un seul coup. Nous ne voulions rien l’un de l’autre, on parlait encore et toujours, on se voyais par moment, mais notre relation était surtout faite de conversation SMS. Ce soir après un échange de SMS assez provocateur, j’avais rappliqué dans sa chambre avec une robe et surtout des dessous très Sexy. J’entre et je m’assois sur son lit. Il s’assoie à mes côtés et pose sa main sur ma cuise tout en me disant qu’il serait toujours dispo si j’avais besoin de parler. Je lui souris et le remercie avec un bisou sur sa joue. « Tu es adorable Andrew, c’est noté. » Oui, désormais je savais que je pouvais compter sur lui. Beaucoup de personnes m’avait demandé de me méfier de lui, et franchement je m’en foutais des avis des autres, vus sa douceur avec moi, je voulais lui laisser sa chance. Il était hors de question que je me prive d’une amitié sur des rumeurs. Je venais de réunir mes cheveux et lui demande de m’aider avec la fermeture de ma robe, ce qu’il fait. Nous nous étions levés. Je sens la fermeture qui glisse entre ses doigts. Ma peau en contact avec l’air me fait frissonner.

Je sens ses mains qui passe sous me robe, et cette dernière glisse peu à peu le long de mon corps, dévoilant mes courbe, ma silhouette, et ma peau d’un teint si blanchâtre., je rougie et frissonnais. Je ne frissonne pas de froid, mais de stresse, c’est la première fois que je fais ce genre de choses, habituellement lorsque je veux coucher avec quelqu’un, je le dis et basta, je n’essaye pas de le charmer. En revanche avec Andrew c’est différent, j’essaye de le charmer, de lui montrer quel genre d’amie je suis mais aussi quel genre de femme fatale je peux être. Je peux presque le ressentir, son regard qui détails mon corps, en dessine tous les courbes dans sa tête, comme s’il voulait apprendre les moindres secrets de mon corps. Je me retourne vers lui. Il me demande s’il va avoir le droit à une danse aussi, mais non, sincèrement non. Je le laisse s’assoir sur son lit, et je m’approche de lui pour venir capturer ses lèvres dans un baiser mêlant tendresse et désire. « Non pas de danse. » Lui murmurais-je à l’oreille. Je me mets à califourchon sur lui, sur ses genoux et l’embrasse encore. Notre amitié prenait une toute autre tournure ce soir.