Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityYesterday is history, tomorrow is a mystery, today is a gift of God (ezion) - Page 2
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Yesterday is history, tomorrow is a mystery, today is a gift of God (ezion)

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Ezio voulait bien faire tous les efforts du monde mais il était hors de question que sa Louison ne subisse davantage cet entretien. Voir ses parents devait être un réel choc pour elle, c'était amplement compréhensible. Aussi, lorsqu'il la vit poser sa main sur son ventre, son sang ne fit qu'un tour dans son organisme. Il se leva et mit fin à cette petite réunion. Il laissa la blondinette enlacer ses propres parents avant de tendre une main à son père puis sa mère. Le Quincy ne voulait pas trop de familiarité avec eux car c'était compliqué pour lui de faire abstraction de la souffrance de sa future femme. « A bientôt. » se risqua-t-il à dire en quittant la pièce, suivit de prêt par Louison qui agrippa rapidement sa main. Ils quittèrent la pièce. A peine étaient-ils sortis qu'elle vint s'excuser. Il cru tout d'abord qu'elle s'excusait de l'avoir emmené ici mais non, elle lui implorait son pardon pour les propos de son père. Elle s'en voulait déjà d'avoir hérité de leur gène et de cette probable fausse couche qu'elle fera, ou non, dans le futur. Abasourdi, Ezio n'eut pas le temps de réagir qu'elle était déjà partie vers l'extérieur. « Attend ! »dit-il pour l’interpeller. Manque de chance, elle se mit à courir. Il ne pouvait pas se lancer à sa poursuite, pas dans une prison, cela paraîtrait trop étrange, trop suspect. Sans chercher à comprendre plus loin, il accéléra le pas pour la rejoindre dehors. Il se stoppa en la voyant se taper la tête contre la vitre de sa voiture, son coeur se serra en la voyant aussi démunie. Dans le plus grand des calmes, il arriva à sa hauteur et posa sa main sur son épaule. « Louison, regardes-moi, s'il te plait. » lui demanda-t-il doucement. Mais quand elle était dans ce genre de passade, la douceur ne marchait absolument pas avec elle. Ezio commençait à être rôdé et savait presque la tempérer pendant les crises. Il lui attrapa le bras et la fit se retourner, plus ou moins délicatement, pour qu'elle vienne lui faire face. Il encadra son visage entre ses doigts. « Maintenant tu te calmes et tu m'écoutes attentivement. Ce n'est pas parce que ta mère a fait une fausse couche que tu vas forcément en faire une. J'me suis renseigné un peu et les premiers mois c'est genre une femme sur trois qui le perd. » Ses yeux vacillait entre les siens. Pour une fois qu'il avait son attention, Ezio en profitait. « Ce n'est pas parce que tu vas le perdre que je ne vais plus t'aimer ou ne plus vouloir t'épouser. Maintenant qu'on sait qu'on en veut un tous les deux, on réessaiera le nombre de fois qu'il le faut mais j'te promet qu'on l'aurait notre famille parfaite. » Sa main se posa sur son ventre, à travers ses vêtements. « Puis t'as un utérus confortable et douillet, tu t'souviens. » Il rigola légèrement, pour détendre l'atmosphère. Son regard se leva vers deux gardes qui semblait ne rien rater de la scène qui se jouait devant eux. « En plus t'es fatiguée et la grossesse met tes nerfs à rude épreuve ... On va tranquillement rentrer chez nous, j'vais te faire couler un bon bain et tu vas te détendre. » Ezio déposa un tendre baiser sur ses lèvres avant de déverrouiller la voiture et d'ouvrir la portière pour qu'elle y rentre.
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Après avoir foncé à l’extérieur de la taule, tu t’étais laissée submergée par tes émotions contraires, te faisant même du mal pour exorciser cette négativité qui prenait place. Rapidement, tu avais été intercepté dans ta connerie par Ezio, lui faisant face avec une expression de colère collée à ton minois « T’es sacrément bon en stats Scorsese, c’est flippant une chance sur trois ! Très flippant. Surtout avec le terrain que j’ai apparemment. » plaças-tu en le fixant autant qu’il te fixait, à quelques centimètres à peine de ton visage. Pourquoi tu lui en voulais subitement ? Ce n’était pas de sa faute ! Enfin… À cet instant-là si. Parce que s’il n’était pas aussi beau, aussi charmant, aussi charismatique et bandant, tu n’aurais pas été enceinte. Manque de bol, le Quincy était difficilement détestable. Il avait compris la façon dont tu fonctionnais et en un rien de temps avec une aisance agaçante, il t’avait servi des mots apaisants. Les traits rigidifiés de ton visage s’étaient détendus et tu n’avais pu t’empêcher de pouffer de rire à une de ses refléxions « C’est vrai. J’suis une warrior, j’avais oublié. » avais-tu répondu en roulant des yeux. L’italien s’était ensuite montré protecteur et aux petits soins, te proposant de s’occuper de toi une fois à la maison. Tu l’avais laissé t’embrasser avant de te faire embarquer à l’intérieur comme une gosse « C’est pas que la grossesse ! Arrête de dire ça ! Y a aussi tout ça là » t’énervas-tu en pointant la prison pendant qu’Ezio contournait la caisse pour te rejoindre dedans. « Bref… rentrons ouais. J’veux plus en parler pendant un moment. À part le fait qu’on risque d’avoir un gosse prématuré et qu’il faudra forcément prévenir la gynéco. J'ai peur maintenant, mon année risque de se terminer beaucoup plus tôt finalement pffffou. » exprimas-tu en attachant ta ceinture pendant qu'Ezio en faisait de même. « J’vais le stresser toute ma grossesse… Il sera anxieux après et je veux pas ça, je sais ce que ça fait. » rajoutas-tu en dépliant le pare-soleil pour zieuter ton reflet. « Dégueux, voilà, je ressemble plus à rien. C’est une catastrophe. Quel est le con qui a dit que la grossesse rendait plus belle ? Je vais lui défoncer sa gueule. » déblatéras-tu toute seule pendant que ton fiancé prenait enfin la route. « Bref, tu viendras avec moi dans le bain. Je compte bien me plaindre toute la journée. Bon j'avoue, si je vois ton kiki sous la mousse, j'pourrais peut être arrêter »  terminas-tu par avouer en haussant les épaules.
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Ezio essaya tant bien que mal de la rassurer, ne sachant pas vraiment si cela allait marcher ou non. Il commençait à comprendre comment elle fonctionnait mais Louison restait une fille très sensible et parfois instable. Les mains délicatement posées autour de son visage, il parlait et essayait de l'apaiser. Ce n'était pas gagné mais, sous le poids des mots, la blondinette parvint à se calmer un peu. « Bah ouais t'es une warrior, t'es une vraie toi. » Après avoir apaisé son tempérament de feu, il la fit entrer dans son Range Rover pour pouvoir quitter cet endroit au plus vite. Plus Louison sera loin de ses parents et mieux elle se portera. Cet entretien fut riche en émotion, il comprenait parfaitement son ressenti et le fait qu'elle soit perturbée à ce point. Il grimpa dans la voiture, côté conducteur et enclencha le contact. « Si tu veux qu'on en parle plus, alors n'en parlons plus. J'vais prévenir la gynéco, comme ça elle sera au courant. J'sais pas si c'est héréditaire ce genre de chose .. Mais non Louison, tu ne vas pas le stresser, tout va très bien se passer, tu verras. » Ezio démarra la voiture et commença à manœuvrer pour sortir du parking tandis que la petite frenchie se regarda dans la glace pour se dénigrer, encore. Sans un mot, il remit le pare soleil en place et lui lança un regard noir. Il détestait quand elle se mettait dans ce genre d'état. « Arrête de dire ça, tu me saoul. Y'a quoi qui ne te plait pas chez toi hein ? Bah ouais forcément tu regardes maintenant dans le miroir, t'as les yeux rouges et gonflés parce que t'as pleuré. T'es pas maline non plus. » Ezio ne supportait pas quand sa future femme se rabaissait, il n'aimait pas quand elle perdait confiance en elle, surtout aussi subitement. Il posa sa main sur sa cuisse pour la rassurer. « Ouais j'viendrais avec toi dans le bain, on mettra pleins de mousse et tu pourras toucher mon kiki si t'arrêtes de te dénigrer. » Il la regarda du coin de l'oeil en rigolant légèrement. Louison était sa princesse et même s'il râlait, il aimait être son repère. Il roula quelques minutes mais au lieu de se lancer sur l'autoroute, il prit la direction de la ville. « Tu sais ce qu'on va faire pour te changer les idées ? On va aller s'prendre un mcdo et on va faire le tour de New York en voiture avant de rentrer, ça te va ? » lui proposa-t-il. Machinalement, il mit la musique et monta un peu le chauffage dans l'habitacle. Il arriva rapidement devant le drive où il abaissa la vitre. « Tu veux quoi bébé ? » lui demanda-t-il en attendant que la femme ne vienne parler au totem. Ezio avait la dalle et vu le malaise de sa belle, elle devait reprendre des forces. Louison ne tiendrait surement pas quatre heures de route sans manger au moins un petit truc.
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