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Il n'y a pas que les élèves qui trouvent que les journées sont longues. En effet, quand une petite troupe d'élèves fatigués de leur journée essaient de vous écouter parler en japonais, ça n'aide pas vraiment à se sentir motiver, mais passons, l'enseignement était quelque chose d'intéressant, et même d'agréables, surtout quand le travail est mis en valeur par les élèves studieux, qui cherchent à apprendre, même ceux qui ne participent pas vraiment à la matière, qu'elle ne soit qu'une option pour le futur. Je regardais sur ma montre, encore trente bonnes minutes avant la fin des cours. Depuis le début du cours, je répondais à une question d'un élève, qui fut pour le moins intéressante, bien que très osé envers un professeur d'université, heureusement que ce deuxième année était tombé sur un professeur aussi cool que je pouvais l'être, bien que parfois sévère, mais... il touchait un point particulier, et ça concernait ma matière; pourquoi ne pas répondre, hein ? « Pourquoi les asiatiques ont les yeux bridés, Monsieur ? » Bien sur, la question de l'élève avait fait rire tout l'auditoire, mais je restais calme, bien qu'un sourire taquin accompagnait le rire des autres élèves.
C'est alors que pendant au moins trente bonnes minutes, je décrivis de manière plutôt scientifique le comment du pourquoi les asiatiques avaient cette particularité, et pourtant, cela relevait bien du domaine des professeurs de biologies, non la mienne, mais il est vrai que j'ai émis quelques hypothèses s'apparentant au climat, la façon de vivre, la situation géographique, tout ce que mes connaissances pouvaient apportés. Malheureusement pour eux, je n'allais pas m'éterniser sur le sujet, bien que la question fut perspicace, osée et finalement, instructive. Je repartis sur le sujet du jour, les politesses engagés lors d'un repas traditionnel au Japon, comment commencer le repas, les uses et coutumes du pays. Voir le temps passé? Pas du tout, on fait ce que l'on aime, et actuellement, parler du Japon était quelque chose de passionnant et la sonnerie qui annonçait la fin des cours vint à me couper lors que j'expliquais la manière de tenir les baguettes pour manger. Tentant en vint de me faire entendre par l'auditoire, j'annonçais à haute voix :
La salle était à présent vide, du moins, vu le silence qui était arrivé, je pensais être seul. Rangeant mes affaires, cherchant vaguement les clefs dans mon sac, j'entendis des bruits de pas dans mon dos. Un tueur? Quelqu'un qui voulait me frapper? Du tout, du moins, si les petits pas de demoiselles devaient l'inquiéter, ça serait la fin du monde pour tous les hommes qui voudraient se retourner pour admirer l'œuvre qui s'offrait à eux. D'ailleurs, c'est ce que je fis, et c'est alors qu'à ma vision, je vis une jolie demoiselle, bien habillée, et surtout, qui ne m'était point inconnu : Jhules. Un fin sourire se dessinait sur mes lèvres, bien qu'elle soit l'une de mes erreurs, car oui, la demoiselle n'était pas encore majeure, je m'étais fixé pour principe de pas toucher à une demoiselle qui n'était pas en âge de boire ou autres, histoire d'éviter les problèmes avec les parents au cas où ça se saurait, en général, les demoiselles gardaient ça pour elle, histoire de pas avoir sur la tête écrit : « j'ai couché avec un prof, je suis une sale garce. » Bien que je doutais de la véracité des faits, jamais il n'y aurait de preuves. Je vins à fermer mon sac, et éclaircissant ma voix, je vins à la saluer tout de même, elle était sûrement là pour moi, il n'y avait personne d'autre mise à part moi.
L'envie de venir caresser la joue aussi douce que fraiche de la demoiselle me démangeait étrangement, elle était agréable à regarder, bien que je ne sois pas attiré par elle, c'était une soudaine envie, qui s'effacera avec le temps, mais ce n'était qu'une ancienne conquête, ou peut-être encore aujourd'hui, je ne savais pas trop, et je n'osais pas m'aventurer à le savoir si elle souhaitait reprendre où nous étions arrêté, j'en serais ravis il ne faut point en douter, si c'est autre, je préfère rester calme, et respectueux envers elle.
- ANDREW « Mine de rien, c'est une question intéressante, Mister, cela est vrai que ce sont uniquement dans cette partie terrestre que les hommes ont les yeux bridés. » annonçais-je, en surprenant quelques uns de ne point m'énerver pour une question qui semblait idiote au premier détour.
C'est alors que pendant au moins trente bonnes minutes, je décrivis de manière plutôt scientifique le comment du pourquoi les asiatiques avaient cette particularité, et pourtant, cela relevait bien du domaine des professeurs de biologies, non la mienne, mais il est vrai que j'ai émis quelques hypothèses s'apparentant au climat, la façon de vivre, la situation géographique, tout ce que mes connaissances pouvaient apportés. Malheureusement pour eux, je n'allais pas m'éterniser sur le sujet, bien que la question fut perspicace, osée et finalement, instructive. Je repartis sur le sujet du jour, les politesses engagés lors d'un repas traditionnel au Japon, comment commencer le repas, les uses et coutumes du pays. Voir le temps passé? Pas du tout, on fait ce que l'on aime, et actuellement, parler du Japon était quelque chose de passionnant et la sonnerie qui annonçait la fin des cours vint à me couper lors que j'expliquais la manière de tenir les baguettes pour manger. Tentant en vint de me faire entendre par l'auditoire, j'annonçais à haute voix :
- ANDREW « N'hésitez pas à vous exercer en allant manger au restaurant asiatique! Et... bonne journée. » J'avais même tenté une politesse, quelques élèves me renvoyèrent la politesse.
La salle était à présent vide, du moins, vu le silence qui était arrivé, je pensais être seul. Rangeant mes affaires, cherchant vaguement les clefs dans mon sac, j'entendis des bruits de pas dans mon dos. Un tueur? Quelqu'un qui voulait me frapper? Du tout, du moins, si les petits pas de demoiselles devaient l'inquiéter, ça serait la fin du monde pour tous les hommes qui voudraient se retourner pour admirer l'œuvre qui s'offrait à eux. D'ailleurs, c'est ce que je fis, et c'est alors qu'à ma vision, je vis une jolie demoiselle, bien habillée, et surtout, qui ne m'était point inconnu : Jhules. Un fin sourire se dessinait sur mes lèvres, bien qu'elle soit l'une de mes erreurs, car oui, la demoiselle n'était pas encore majeure, je m'étais fixé pour principe de pas toucher à une demoiselle qui n'était pas en âge de boire ou autres, histoire d'éviter les problèmes avec les parents au cas où ça se saurait, en général, les demoiselles gardaient ça pour elle, histoire de pas avoir sur la tête écrit : « j'ai couché avec un prof, je suis une sale garce. » Bien que je doutais de la véracité des faits, jamais il n'y aurait de preuves. Je vins à fermer mon sac, et éclaircissant ma voix, je vins à la saluer tout de même, elle était sûrement là pour moi, il n'y avait personne d'autre mise à part moi.
- ANDREW « Miss Akhiok, quel bon vent vous amène? Avez-vous besoin d'aide pour un quelconque devoir qui requiert mes compétences ou, une simple visite de courtoisie ? » En effet, j'étais plutôt formel avec la demoiselle, mais bien que les souvenirs de la demoiselle à semi-nue refaisaient surface dans ma tête, le professeur que je suis, je devais être calme, et ne point proposer quelconque suggestions qui sortait du cadre scolaire, à moins qu'elle le précise. « Et comment allez-vous? » Ce serait en effet bien d'être poli, de se montrer gentlemen, pour l'instant.
L'envie de venir caresser la joue aussi douce que fraiche de la demoiselle me démangeait étrangement, elle était agréable à regarder, bien que je ne sois pas attiré par elle, c'était une soudaine envie, qui s'effacera avec le temps, mais ce n'était qu'une ancienne conquête, ou peut-être encore aujourd'hui, je ne savais pas trop, et je n'osais pas m'aventurer à le savoir si elle souhaitait reprendre où nous étions arrêté, j'en serais ravis il ne faut point en douter, si c'est autre, je préfère rester calme, et respectueux envers elle.
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