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Nom : Carndenas quel nom pourri sérieux. Ce nom inspire la peur partout ou je passe, alors j'ai pris l'habitude de me nommer sous le nom d'Ewan Jones. C'est pas parce que toute ma famille avant moi faisait partie de la mafia sicilienne que j'en fais également parti, si ? Je laisse ce boulot à ma famille, merci mais non merci. Je veux pas que ma princesse vive dans cet environnement sanglant et violent. ◇ Prénom : Ewan Ilvir-Jones... non mais franchement, où mes parents ont été cherchés ces prénoms ? Ewan passe encore, mais Ilvir-Jones ? Ils étaient bourrés ou quoi ? ◇ Âge : 22 ans né un 31 octobre, j'ai l'honneur -ou le désespoir, à voir- d'être venu au monde en même temps que la célèbre fête Halloween. Toute la famille a instauré une tradition. Cette journée-là est jour de fête, désormais... heureusement que ça l'était déjà avant, non ? Comme ça j'ai pas besoin de faire semblant de m'amuser, j'adore Halloween ! ◇ Date et lieu de naissance : 31 Octobre, en Australie... Aaaaah l'Australie, mon cher pays, oh comme tu me manque. La chaleur, les animaux exotiques, la mama qui faisait sa célèbre sauce... que ne donnerais-je pas pour y retourner ? ◇ Nationalité : Australien, Italien et Sicilien Italien du côté de mama et Australien et Sicilien du côté de Papa. ◇ Orientation sexuelle : Bisexuel La nature est ainsi faite que le coeur à ses raisons que la raison n'écoute pas. On ne peut décider de qui on va tomber amoureux, seul notre coeur en a le droit. On tombe amoureux d'un homme ? Et alors ! L'amour est acceptable, sous toute ses formes. N'est-il pas plus magnifique qu'un homme amoureux ou une femme amoureuse, peu importe la personne lui faisant face ? ◇ Statut amoureux : Veuf malheureusement, mon épouse est décédée lors de l'accouchement de Cindy. Mais je n'en ai jamais voulu à ma principessa. C'est elle qui m'a permit de garder les deux pieds sur terre. C'est elle qui a permit à son papa de rester vivant sans sombrer dans la dépression. Alors rien ne sera plus beau que son bonheur. ◇ Statut social : Riche, mais je le cache, ou du moins je ne le montre pas en portant des habits de luxe. J'ai beau avoir de l'argent, ce n'est pas lui qui fera mon bonheur ou celui de ma fille chérie. ◇ Job étudiant : Barman dans une petite boite de nuit ◇ Études majeures : Archéologie j'ai toujours voulu voyager et déterrer des fossiles d'ancienne créatures ou d'anciennes civilisations. Je sais déjà lire les hiéroglyphes, ce qui me sera utile, entre-nous ! ◇ Études mineures : Musique car l'art, c'est toute ma vie. Je sais déjà dessiné, alors à quoi m'aurait servit les cours d'Arts Plastiques ? Et Architecture et Design de Mode, très peu pour moi. Il ne me restait que théâtre, art visuel, musique et un autre dont le nom ne me revient plus. J'ai alors décidé de faire choisir mon enfant et son choix a été musique, elle adore son papa lui jouer de la guitare le soir, pour l'endormir.
- Code:
Ewan I-J Carndenas - 22 - 5e - Archéologie et Musique - Barman
Ewan Ilvir-Jones Carndenas
feat Goncalo Teixeira
feat Goncalo Teixeira
QUINCY
Vous savez, parmi toutes les maisons proposés, celle qui me représente en pratiquement tout point est la Quincy. Je suis quelqu'un qui n'a pas peur de se salir pour faire entendre sa voix. J'ai pour dire que plus tu veux quelque chose, plus tu dois travailler pour l'avoir, car l'argent ne fait pas tout.
J'ai beau avoir un compte en banque qui ne risque pas de se vider d'ici peu, il n'en reste pas moins que j'en ai rien à battre et que je bosse à côté pour pouvoir faire vivre ma fille.
Ce que je fais, je le fais pour elle. Cindy, c'est ma vie. S'il y a bien une chose sur laquelle je ne lâcherai jamais le morceau, c'est pour le bonheur de ma princesse. J'irais lui décrocher la lune si ça pouvait lui faire plaisir.
J'ai beau avoir un compte en banque qui ne risque pas de se vider d'ici peu, il n'en reste pas moins que j'en ai rien à battre et que je bosse à côté pour pouvoir faire vivre ma fille.
Ce que je fais, je le fais pour elle. Cindy, c'est ma vie. S'il y a bien une chose sur laquelle je ne lâcherai jamais le morceau, c'est pour le bonheur de ma princesse. J'irais lui décrocher la lune si ça pouvait lui faire plaisir.
LOWELL
Cette maison me représente beaucoup moins que la Quincy, il est vrai, mais il n'empêche qu'elle a des points ressemblant vachement à mon caractère. Je suis quelqu'un qui adore l'art sous toutes ses formes; la musique, le dessin, l'audio visuel, le théâtre... je n'ai rien contre faire une sortie dans un musée ou même aller regarder un Opéra. C'est d'ailleurs là-bas que j'ai rencontré ma défunte épouse. L'art est quelque chose qui me fait vivre... non, qui me fait vibrer.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
S'il y a bien une émotion que j'ai ressenti cette journée-là, c'est l'horreur. Horreur, car mon épouse était présente, et enceinte de surcroit. S'il y avait bien une chose que je ne voulais pas, c'est qu'elle soit touché. J'ai alors tout fait pour la protéger des quatre jeunes qui ont commis ces abominations. Bien évidemment, au début, certaines personnes essayèrent de leurs parler, de leurs faire comprendre que c'était mal. Mais qu'irait comprendre des jeunes ayant envie de sang ? Ayant soif de vengeance ? Cela je l'ai compris dès que j'ai vu cette lueur bien connu dans leurs yeux; la soif de sang et de vengeance. Cette lueur, je l'avais déjà aperçu : dans les yeux de ma famille, lorsqu'ils commettaient des crimes mafieux. Alors je savais très bien à quoi m'attendre face à eux. J'ai vraiment eu peur pour la vie de ma compagne, cela dit. Et je dois avouer que s'ils s'étaient dirigé vers elle, je n'aurais pas hésité à me servir du poignard que j'avais caché, je ne su pourquoi, dans ma botte. En me levant ce matin-là j'avais eu un pressentiment; une boule au fond de la gorge, des palpitements au coeur. C'était les mêmes sensations que lorsque ma famille commettait leurs actions. Alors ne voulant pas craindre pour la vie de mon épouse, j'avais embarquer, sans même y penser, le petit canif que je cachais dans le tiroir de notre meuble de nuit. Je crois que je n'ai jamais autant apprécié ce sixième sens familial que j'ai.
S'il y a bien une émotion que j'ai ressenti cette journée-là, c'est l'horreur. Horreur, car mon épouse était présente, et enceinte de surcroit. S'il y avait bien une chose que je ne voulais pas, c'est qu'elle soit touché. J'ai alors tout fait pour la protéger des quatre jeunes qui ont commis ces abominations. Bien évidemment, au début, certaines personnes essayèrent de leurs parler, de leurs faire comprendre que c'était mal. Mais qu'irait comprendre des jeunes ayant envie de sang ? Ayant soif de vengeance ? Cela je l'ai compris dès que j'ai vu cette lueur bien connu dans leurs yeux; la soif de sang et de vengeance. Cette lueur, je l'avais déjà aperçu : dans les yeux de ma famille, lorsqu'ils commettaient des crimes mafieux. Alors je savais très bien à quoi m'attendre face à eux. J'ai vraiment eu peur pour la vie de ma compagne, cela dit. Et je dois avouer que s'ils s'étaient dirigé vers elle, je n'aurais pas hésité à me servir du poignard que j'avais caché, je ne su pourquoi, dans ma botte. En me levant ce matin-là j'avais eu un pressentiment; une boule au fond de la gorge, des palpitements au coeur. C'était les mêmes sensations que lorsque ma famille commettait leurs actions. Alors ne voulant pas craindre pour la vie de mon épouse, j'avais embarquer, sans même y penser, le petit canif que je cachais dans le tiroir de notre meuble de nuit. Je crois que je n'ai jamais autant apprécié ce sixième sens familial que j'ai.
APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI
Incompréhension. Désappointement. Peur. Culpabilité. Je dois avouer que le premier sentiment que j'ai éprouvé, après la douleur lorsque je suis tombé, ce fut l'incompréhension. Que se passait-il ? Était-ce normal ? Pourquoi la terre tremblait-elle, tout à coup ? Puis, ce fut le désappointement. J'avais cru bêtement, au début, que ce n'était qu'une toute petite secousse qui allait rapidement s'arrêter. Cependant, plus elle augmentait en intensité, plus la peur prenait le pas. Peur pour ma vie, peur pour les gens autour de moi. Mais également pour pour ma fille, peur pour la vie de ma famille. Puis, vint la culpabilité. Culpabilité de ne pas être avec mon enfant, culpabilité d'avoir laissé ma pincipessa toute seule. Cependant, je sortit de mon état second en entendant crier autour de moi. Grognant, je fis quelque pas et aidais une jeune fille à soigner son compagnon blessé. Celui-ci était mal atterrit et c'était tordu la cheville. Déchirant le bas de ma chemise, je pris deux branches de bois que je taillai vite fait et lui fabriquai un attelle d'urgence. Ça ne tiendrait pas des plombes, mais ça stabiliserait sa cheville et soulagerait un minimum sa douleur. Puis, me relevant, j'aidai du mieux que je pu les gens autour de moi, ne faisant pas attention à la douleur que je ressentit dans les côtes en me levant, elles pouvaient attendre.
Incompréhension. Désappointement. Peur. Culpabilité. Je dois avouer que le premier sentiment que j'ai éprouvé, après la douleur lorsque je suis tombé, ce fut l'incompréhension. Que se passait-il ? Était-ce normal ? Pourquoi la terre tremblait-elle, tout à coup ? Puis, ce fut le désappointement. J'avais cru bêtement, au début, que ce n'était qu'une toute petite secousse qui allait rapidement s'arrêter. Cependant, plus elle augmentait en intensité, plus la peur prenait le pas. Peur pour ma vie, peur pour les gens autour de moi. Mais également pour pour ma fille, peur pour la vie de ma famille. Puis, vint la culpabilité. Culpabilité de ne pas être avec mon enfant, culpabilité d'avoir laissé ma pincipessa toute seule. Cependant, je sortit de mon état second en entendant crier autour de moi. Grognant, je fis quelque pas et aidais une jeune fille à soigner son compagnon blessé. Celui-ci était mal atterrit et c'était tordu la cheville. Déchirant le bas de ma chemise, je pris deux branches de bois que je taillai vite fait et lui fabriquai un attelle d'urgence. Ça ne tiendrait pas des plombes, mais ça stabiliserait sa cheville et soulagerait un minimum sa douleur. Puis, me relevant, j'aidai du mieux que je pu les gens autour de moi, ne faisant pas attention à la douleur que je ressentit dans les côtes en me levant, elles pouvaient attendre.
TON ADMISSION À HARVARD
Je dois avouer qu'avec le dossier en béton armé que je leurs avais fournis, il n'y avait aucune raison de me refuser, même si j'ai eu quand même la frousse de ma vie en recevant le téléphone qui déciderait de mon avenir. Quelle ne fut pas ma joie en sachant que j'étais accepté. Et dire qu'au tout début, j'ai eu peur d'être refusé à cause de mes 2000 points aux SATs. J'étais vraiment content de moi, d'ailleurs, quand ils m'ont dit qu'ils avaient aimés lire mon essay. Je crois que j'ai bien fais de prendre ma passion pour l'Archéologie, c'est peut-être ça qui a fait qu'ils m'aient acceptés... ou alors c'est l'entretient ? Entre-nous, je ne sais pas trop. D'ailleurs j'étais hyper nerveux cette journée-là. J'ai essayé de bien m'habiller, mais quand, depuis ta naissance, tu ne t'habille qu'en chemise de bûcheron et jean troué, c'est dur de faire sensation.
Je dois avouer qu'avec le dossier en béton armé que je leurs avais fournis, il n'y avait aucune raison de me refuser, même si j'ai eu quand même la frousse de ma vie en recevant le téléphone qui déciderait de mon avenir. Quelle ne fut pas ma joie en sachant que j'étais accepté. Et dire qu'au tout début, j'ai eu peur d'être refusé à cause de mes 2000 points aux SATs. J'étais vraiment content de moi, d'ailleurs, quand ils m'ont dit qu'ils avaient aimés lire mon essay. Je crois que j'ai bien fais de prendre ma passion pour l'Archéologie, c'est peut-être ça qui a fait qu'ils m'aient acceptés... ou alors c'est l'entretient ? Entre-nous, je ne sais pas trop. D'ailleurs j'étais hyper nerveux cette journée-là. J'ai essayé de bien m'habiller, mais quand, depuis ta naissance, tu ne t'habille qu'en chemise de bûcheron et jean troué, c'est dur de faire sensation.
TELL US MORE
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Lili et j'ai 25 ans. Je suis québécoise et j'ai connu le forum grâce à mon ami google :D. Lorsque je suis arrivée sur le forum, la toute première chose que je me suis dite c'est : Chouette, des citrouilles... ouais, je sais, c'est étrange dit comme ça :D Puis ensuite j'ai un peu parcouru votre forum en lisant les quelques annexes fournis et je suis tombée en amour avec le contexte. D'ailleurs un grand bravo à l'artiste, il est superbement écrit et hyper agréable à la lecture :) Mais je dois avouer que ce qui m'a décidé, c'est les maisons, je me suis trouvée, niveau caractère, pratiquement un lien avec toutes les maisons xD alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Goncalo Teixeira comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Jacage, Kane et Sweet Disaster. Je fais environ 300/500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par peu importe, la personne qui aura envie de me prendre :)
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
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si personnage inventé:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7841]►[/url] ► <span class="pris">GONCALO TEIXEIRA</span> ◊ “ Ewan I-J Carndenas”[/size]
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