Andrew ∞ Good times & crazy friends make the best memories

Beaucoup plus jeune, beaucoup plus jeune, nous n'avons qu'environ trois ans de différence hein !. Bref, on continue de se taquiner et je ne peux de m'empêcher de rire. "Et bien, si tu m'avais déclaré ta flamme bien plutôt, j'aurais pu être tienne....mais t'es lent alors bon", je lui réponds en lui tapotant sur l'épaule. Mon dieu, Andrew est un canon ça oui, mais sortir avec un mec qui ne sait pas être fidèle, non merci. Oui, parce qu'on sait tous que le jeune Eliot aime faire mumuse avec les femmes. Il me parle de ses histoires de filles, enfin, de ses petits problèmes d'amour et j'essaye d'être juste et honnête envers lui. Enfin, je crois. "DBS ?", je répète en grimaçant, "c'est un code ? Je suis censée savoir ce que ça veut dire ?", parce que là, je suis complètement à côté de la plaque pour être honnête. Mais Andrew ne s'attarde pas non, il n'a pas l'air d'avoir envie d'en discuter plus longtemps. Bon, c'est son choix après tout, je ne vais pas non plus le forcer. Il préfère me parler de son séjour à Londres, pour son épaule, du moins, de ce qu'il pourrait bien me ramener de là-bas. "Bah ouais t'es mon fantasme babe, j'ai même des photos de nu de toi sur mon portable !", que je lui balance pour rire. Quoi que, il se peut que j'en ai une vu qu'il aime faire le con et qu'il n'est pas vraiment pudique comme mec. En continuant nos conneries, Andrew me lance un défi en voulant danser la macarena. Mon dieu le pauvre, il a dû oublier que je suis la pro dans cette chorégraphie. Andy se perd vite dans les mouvements, je ris alors qu'il abandonne. "I'm the winner baby !!!", je m'exprime en sautillant sur place, remuant mon petit popotin alors qu'il ouvre la fenêtre. "Tu ne l'as pas encore fini ? J'espère que ton bizuteur est cool avec toi !". La mienne a été cool et non à la fois. Elle m'a fait faire des trucs dingues, comme faire croire à mon ex Pluton que j'étais enceinte de lui. Heureusement pour moi, il ne l'a pas mal prit. "Hum...juste de l'eau merci", je lui réponds en souriant, reprenant ma place sur le lit du jeune homme.

Je l'a regarde en haussant les sourcils, sérieusement? Je suis lent? Non mais c'est pas de ma faute si elle est avec Alek depuis la nuit des temps, et que voila, c'est son bon. Moi je ne sais pas je l'aurais rendus heureuse ou même si je ne l'aurais pas tromper arrivé à un moment. Je ne suis pas le meilleur dans les relations, j'ai arrêté tout ça, et je ne veux pas y retourner pour souffrir à nouveau ou faire souffrir quelqu'un d'autre. Après comme on dit le destin peut nous mettre des bâtons entre les roues mais pour le moment je suis très bien où je suis. M'amuser. "T'es entrain de me dire que j'aurais pu te faire délicatement l'amour si j'aurais été plus rapide dans mes actes? Et merde..." Je claque des doigts en rigolant. C'était un jeu entre nous et heureusement qu'il existe car sinon on deviendrait fou. Puis elle entre dans mes délires et moi dans les siens. C'est ça qui est superbe pour une amitié n'est ce pas? Voila que je parle maintenant des frères DBS, elle ne sait pas réellement de qui je parle. Je fronce le regard, bon après ils sont connus seulement dans les Eliots je pense ces pseudos roi de pacotilles. Je la regarde en me remettant bien droit sur mon lit. "DE BELGIQUE-SCHUELLER" Je lève les yeux au ciel. J'avais hâte de finir mon bizutage pour ne plus avoir affaire à Hadès, je le vois directement qu'il veut me faire une vie de merde. Il veut se vanger de quoi? Aucune idée, mais il le veut, surement de mon ancienne liaison avec Aymalyne et de ce que j'ai pu lui faire vivre.

Enfin bon là j'étais surtout là pour me détendre un peu avant de reprendre mon petit travail pour m'avancer sur mes cours de droit. Je la regarde et sort de mes pensées quand elle vient de me parler de mes probables photos de moi nu qu'elle avait sur son portable. J'ouvre de grand yeux, comment c'était possible? Elle en savait beaucoup trop de moi, bon après je suis pudique mais ça dépend des gens. Puis ça prouve qu'elle me mate l'air de rien, et oui je suis son fantasme qu'est ce que j'en ai de la chance. "Ah ouais ça mate des photos de moi à poil. Mais comment tu les a eu d'ailleurs?" Je rigole, quand même bon torse nu d'accord elle peut en avoir mais complètement à poil? Non je ne vois pas. Après notre danse pour la macarena en rigolant il faisait bien chaud, j'ouvre donc la fenêtre en lui demandant si elle voulait boire, je sors rapidement en allant chercher de l'eau fraiche dans le frigo en bas. Je reviens 5 minutes après, et me repose sur le lit pour enfin lui répondre. "Presque fini... Puis bon je suis pas encore là depuis 2 mois donc j'attend sagement. Ba... Il fait son gentil mais je suis sur qu'une fois validé il va me rendre la vie dure." Et oui Hadès quoi. "Bon sinon et toi? Ca se passe chez les Cabots? Les nouvelles recrues et tout?" Il fallait que j'y retourne un peu voir si il y avait de la chair fraiche depuis la rentrée j'ai pas remis les pieds.

Je m'amuse à le taquiner, à lui dire qu'il a été trop lent. En y réfléchissant, où est-ce qu'on en serait, s'il n'y avait pas Alek, s'il n'y avait pas tout ça ? Je n'en sais rien en fait. J'ai toujours trouvé Andrew très beau garçon, il me fait rire; mais le problème, c'est que je le connais trop bien. Du coup, je ne serais pas capable de lui faire confiance. Et dans une histoire, tout se base surtout sur la confiance qu'on a l'un envers l'autre. "Délicatement...ça je ne sais pas...", je commence à lui répondre, tout en penchant la tête de gauche à droite, "...ce n'est pas trop ton genre...". Est-ce que je le cherche encore ? Carrément, ça me fait rire et de toute façon, c'est comme ça entre nous. On se balance des trucs en pleine tête, mais ce n'est pas méchant venant de nous. Il me parle d'autres personnes, d'Abelard -que je ne connais pas encore à ce moment-là-, en utilisant un diminutif. Pour le coup, je ne vois pas de quoi il parle. Non, j'ai l'impression qu'il me parle Chinois là en fait. "Aaaaaaaaaaah eux !", que je lui répond sen venant faire taper la paume de ma main contre mon front. Oui bon, je suis lente ,mais en même temps, quand on me sort DBS, je cherche plus un truc style technologie, qu'un nom de famille. Je ne sais pas trop leur petite histoire, c'est des mecs, ils doivent vouloir se la jouer gros bras, qui sera le plus virile de tous. Bref, il vaut mieux qu'on parle d'autre chose, après tout, on est là pour se détendre non ? Alors je lui parle de photos, de photos que j'aurais de lui nu sur mon portable et là, je vois que ça tête change d'expression. Je me mets à rire, mais je continue mon petit jeu. C'est bien trop drôle, pour que je m'arrête. "Bah, je les ai prise que tu m'as fait un show...tu ne t'en souviens plus ?", je lui demande d'un faux air sérieux, voulant lui faire croire que c'est bien la vérité. Bah quoi, je m'amuse trop là, puis bon, est-ce que j'ai une tête à avoir ce genre de photos dans mon téléphone ?. Non, je préfère voir en vrai...enfin, là c'est juste pas possible mais bon. On se lance en suite dans une danse endiablée qui est la macarena. Je gagne bien entendu enfin, il s'arrête vite en baissant les bras, préférant prendre l'air. Bah, dis donc, il se fait vieux ou quoi ? J'accepte son verre d'eau fraîche, c'est vrai que ça fait du bien, et le questionne sur son bizutage. "Han mon pauvre chou, tu vas survivre, je crois en toi !", je lui balance en lui tapant l'épaule, buvant au passage une gorgée de mon verre d'eau. "Et bien, elles sont cool, puis elles sont pas moches quand même....", je réponds en haussant les sourcils plusieurs fois en le regardant. Oh, on connaît bien notre petit Andrew, ce petit coureur de jupons qu'on aime tant.

Je rigole en secouant la tête. Pas mon genre? Elle était sérieuse comme pouvait-elle savoir cela? Est-ce que j'étais brute au lit? Oui des fois ça m'arrive tout comme ça m'arrive bien sur d'être doux. Ca dépend totalement avec qui je suis et pourquoi je baise la nana ou autre. J'aimais quoi qu'il arrive donné du plaisir aux femmes avec qui je le faisais mais  hélas avec Piper il ne se passera jamais rien, comme il ne s'est jamais rien passé non plus malgré ces années qu'on se connait. On pouvait donc rigoler de cela. C'était le meilleur. "Et pour toi? C'est quoi mon genre? Tu m'imagines comment au lit vasy je t'écoute?" Je croise les bras en la regardant en souriant. Tout de même je voulais savoir ce qu'elle pensait enfaite de moi dans ces moments intimes. Peut-être qu'elle avait une bonne vision de mes exploits même plus que moi même. Voila qu'on parle alors de mes pseudos photo de moi à poil qu'elle avait dans son téléphone. Je fronce le regard c'était pas possible enfin je ne pense pas avoir été un jour assez bourré pour finir par prendre des photo de moi nu et lui envoyer ou alors tout simplement le fait qu'elle l'est pris elle même. C'était tout de même bizarre. "C'est ça arrête.. Je suis sur que t'as rien de moi. Le seul moment où tu m'as vu sans mes fringues et c'était seulement en boxer." Enfin normal c'était comme si j'étais en short de bain un peu plus moulant ou simplement en maillot de bain. "Petite folle." Je lève les yeux et je me lève par la suite pour fermer la fenêtre de ma chambre, il faisait maintenant bon et frais dans cette petite chambre. J'avais quand même hâte de partir d'ici et de faire ma vie chez moi réellement. Avoir un grand appartement, être un peu plus libre. Ca va j'avais eu de la chance de ne pas être tombé sur un coloc, j'ai toujours été seul ici depuis que je suis arrivé. Ca s'appelle la chance.

Parlons bien maintenant, parlons des Cabots. Je la regarde pour savoir les nouvelles qui étaient arrivés, savoir si elles ressemblaient à quelques choses. Après tout j'avais des besoin d'aller voir ce qu'il se passe n'est ce pas? "Pas moche à oui? Intéressant." Je souri, je sais très bien qu'arriver à un moment je vais aller en prendre quelques unes et voila, je profite de ma jeunesse et du fait que je sois entièrement libre. "Tu me fera une liste des meufs que je peux pécho ou pas? tu dois les connaitre mieux que moi. T'as pas des bizuts intéressante?" J'explose de rire, elle serait capable en plus de faire ça. Envoyer ses bizut vers moi pour que je leur fasse réussir leur bizutage. Elle était tellement folle des fois.

Je ne sais pas, je dis ça au pif, je n'ai pas vraiment envie de savoir comment il est au lit. Enfin, ok il est canon et tout, mais ce n'est pas vraiment le genre de pensée que je dois avoir alors ouais, je m'en tape mais j'en rigole. Visiblement, lui aussi puisqu'il continue dans sa lancée et me fait rire. Bon, ok, jouons alors. "Hmm je ne sais pas, je te vois bien en string léopard...ouais...rawwwr sexy !", je lui réponds avant d'exploser de rire. Putain non, maintenant, j'ai cette image dans ma tête et c'est horrible. Vous imaginez, Andrew en string léopard ? Mon dieu non, enfin, ça peut être sexy, mais non, il ne vaut mieux pas qu'on imagine ce genre de chose en fait. On continue de délirer, parlant de potentielle photos que j'aurais de lui dans mon téléphone. C'est faux, je n'en ai pas, mais ça me fait marrer qu'il puisse croire que j'en ai vraiment. "Crois ce que tu veux mon cher....crois ce que tu veux....", je lui réponds en haussant les épaules, tout en le regardant se lever et fermer la fenêtre. Ah ouais merci, je commence à avoir froid moi. Parfois, j'oublie qu'on est quand même en hiver. Enfin, si moi, j'ai froid visiblement, la chaleur reprend possession du corps d'Andrew quand je lui parle des Cabots. Ah non, mais il est sérieux ou quoi ?. Il croit vraiment que je vais lui arranger un ou même plusieurs coups avec mes soeurs de confrérie ? Nope, j'avoue, il peut se fourrer le doigt dans l'œil. "Andrew, qu'on soit bien clair, je ne vais pas te présenter des Cabots pour que tu puisses les sauter et les larguer au petit matin, ok ?". Il continue quand même, il veut que je lui présente des filles, qu'elles soient en bizutage ou membres de la Cabot. Non mais je rêve, voilà, une petite tape derrière la tête, ça c'est ma réponse.

Notre amitié était génial, je ne veux pas la perdre. Elle était aussi folle que moi dans le fond, elle aurait pu être ma jumelle ou plus. On s'amuse comme des fous d'ailleurs, surtout qu'elle me parle de ces fameuses photo nu de moi qu'elle pourrait avoir. Je ne me souviens pas de ça mais rien qu'avec son regard je vois qu'elle s'en amuse. Cette petite folle! Je lève les yeux au ciel. Elle me dit ensuite qu'elle me verrait bien en string léopard. J'explose de rire, non mais comment? Comment peut-elle avoir des idées comme cela? Même moi je ne m'imagine pas comme ça. Je secoue la tête. "Un string léopard? Mais t'as pris quoi avant de venir car franchement c'est de la bonne." Je me redresse alors pour aller fermer la fenêtre de la chambre. Je voulais tout de même garder un peu de chaleur ici, car ce froid qui s'intensifie chaque jour en ce moment. Je ne pensais pas qu'il ferait aussi froid en cette période ici. Mais bon quand je regarde les info je vois que même à Yale j'aurais pris cher aussi. Enfin tout le pays est congelé. C'était une année exceptionnelle.

Je lui demande alors si elle avait des cabots à me présenter, après tout elle les connait un peu mieux et elle connait mon petit style de nana n'est ce pas? Mais surtout elle sait aussi comment je me comporte avec les femmes. Elle sait que je vais couché avec elle et directement après le matin les lâché. C'est vrai que beaucoup de nana pense tout de suite que si je baise avec elle c'est que j'ai un peu de sentiments. Euh non. es sentiments... Qu'est ce que c'est? Aucune idée... Je ne veux plus en entendre parler. "Tu me connais bien trop bien, c'est pas drôle." Je tire la langue en m'allongeant sur mon lit d'un coup en la faisant limite sursauter. Je rigole à sa tête. "Mon dieu tu aurais vu ta tête quand je me suis jeter sur le lit et que t'as sursauté."  

Il y a toute sorte d'amitié, avec Andrew, nous avons la folie. Bon, pas la folie en soit en mode de grands dingues de la tête, mais on est sans cesse entrain de faire ou dire des conneries. Il est l'un de ceux qui me redonnent toujours le sourire quand je ne vais pas bien, et il est rare qu'on se prenne la tête. On peut se chamailler oui, mais on ne s'est jamais pris la tête en soit. "De la drogue chez les Mathers....", je lui balance en faisant bouger mes sourcils à vive allure. Ouais, on sait tous que ce n'est pas l'amour fou entre les Eliots et les Mathers. On continue de rire, de se taquiner quand il me demande de lui présenter des Cabots. Non mais, il a cru que j'étais la Cupidon du cul ou quoi ?. Je refuse, lui disant que je n'ai pas que ça à faire puis bon, je n'ai pas vraiment envie de savoir avec qui il tire son coup quoi, ça me répugne. Ouais, ça me donne limite la nausée, comme maintenant, alors qu'il vient faire la baleine échouée sur son lit, en s'y jetant dessus. "Je suis à la limite de la crise cardiaque là !", je lui réponds en le tapant. Nous continuons encore de parler pendant un moment, quand je décide de quitter sa chambre pour retourner chez moi, retrouver mon chéri et notre petite chienne.