Ton père n'est pas là, ton père ne sera pas là avant demain et pourtant toi, tu es là. Une petite présence dans ce bureau bien trop grand, cela te fait presque devenir une délinquante. Mais qui plus être, tu l'es. Rentrer dans le bureau ovale, de ton père, sans que personne ne sache, cela te fait prendre conscience que ton besoin de destruction est important. Alors, tu l'entraines avec toi, toujours, dans tes plans foireux, qui sont totalement dingues au passage. Tu passes la porte, avec lui, et tu la refermes à clef, tu souris grandement en marcher sur le tapis ovale Qui aurait cru que tu veuilles m'accompagner dans ce lieu ? Et finalement, tu te tournes vers Bastian, petit sourire en coin, bien heureuse d'être là, avec lui. Tu marches vers le canapé, où tu prends le premier coussin de ton père chéri avant de lui envoyer à la figure Excuse moi, tu bavais devant la beauté du lieu. Je suis jalouse lâches-tu avant de soupirer. Et ouais, t'es comme ça, tu ne changes pas, tu n'es pas prête de changer, tu ne veux pas changer. L'interdit, l'envie et même t'imposer, font partis de toi, alors autant le mettre en oeuvre. Et puis, cela te fait rire de voir que Gates a l'air d'être comme ça. Sage. Juste un peu alors, avant que la tornade n'arrive
L'avantage d'être un Gates c'est qu'on pouvait faire tout ce qu'on voulait, ayant des passe droits sur certaines situations, attisant la jalousie des autres. Bastian était comme ça, il profitait de chaque opportunités et chaque privilège qui s'offrait à lui. Il aimait manipuler et se sentir au dessus des autres. Très imbus de sa personne, ce n'était pourtant pas la première impression qu'il donnait. Etant sur Washington pour deux semaines, il en avait profité pour passer un peu de bon temps avec Theo, sa meilleure amie. Cette dernière lui avait proposé de lui faire visiter la maison blanche, une visite personnalité pour un ôte de marque. Après avoir fait le tour de la propriété, Theo l'avait amené jusqu'au fameux bureau ovale. Intrigué, le blondinet ouvrit de grands yeux, émerveillés par tant de prestige. « C'est pas parce que j'aime pas ton père que je n'aime pas sa fille ... Puis ce bureau a quelque chose de fantasque. » avoua-t-il tout en regardant autour de lui. Il s'approcha du légendaire bureau avant de lever la tête vers la brunette. Bastian eut à peine le temps d'esquiver l'oreiller que déjà elle râlait sur lui. Il rigola un peu avant de croiser les bras et de s'approcher d'elle. « Clairement, tu peux toujours remuer tes fesses, tu ne fais pas le poids face à ce bureau. » répondit-il en levant les yeux au ciel. Sans chercher à comprendre plus loin, il lui tourna le dos et esquiva un autre coussin. Il s'approcha du bureau, il était fatalement attiré vers lui. Sans la moindre gène, il tira la chaise et vint s'y asseoir, posant ses pieds sur le bureau. « J'pourrais me plaire ici. » dit-il tout en se balançant légèrement vers l'arrière. Il ferma les yeux avant de les rouvrir pour croiser le regard de Theo. « Tu ne m'as pas amené ici par hasard Theodora, n'est ce pas ? Si tu veux que j'réalise ton fantasme, c'est sur le bureau ou rien. » s'amusa-t-il à dire en posant ses mains derrière sa tête, s'installant confortablement et prenant possession des lieux.
Arrête, mon père t'adore, comment tu ne peux pas l'aimer ? Peut-être son regard sévère mais contrairement à ta mère qui avait le même regard, il pouvait se radoucir. Puis, tu observes cet idiot d'homme qui est en face de toi, et le voilà en train de baver. Sa remarque sur tes fesses, un doigt qui se fit voir, délicatement bien sur. Mais tel est le chat et la souris. Vous aviez une relation si compliquée, si parfaite en fait. Il était l'homme de ta vie, ton meilleur ami, et même quelques fois ton petit sex friend. Juste pour le plaisir de l'un et l'autre. Et puis quoi d'autres ? Tu aimes mes fesses, arrête donc, tu les aimes plus n'importe quelle paire de fesses que tu peux voir. dis-tu, sure de toi, et puis le voilà en train de prendre ses aises, tu le regardes faire, en rigolant. Il prenait vraiment ses aises dans ce bureau, c'est une blague. Tu t'approches de lui, de l'autre côté du bureau Tu pourrais bosser avec mon père ici ? Fous toi de moi, tu ne supporterais pas la pression de me voir tous les jours, sans rien faire Petit sourire en coin alors que tu le vois faire encore. Mais ton prénom en entier te fit grincer des dents. Enfoiré. Tu fis alors le tour du bureau pour caresses ses jambes doucement, et tu t'approches de lui, remontant ta main, jusqu'à son entrejambe. Mais ta main continue de remonter, jusquà son torse, tu passes derrière sa chaise pour passer de l'autre côté et tu redescends lentement ta main, t'arrêtant à sa jambe Sur le bureau ou rien ? Tu deviens autoritaire dis donc, ça te va pas du tout, je te préfère soumis lâches-tu avant de mordre ta lèvre légèrement Mon père rentre dans deux heures, tu crois que tu aurais le temps ? , Et puis, c'est pour ça que tu as mis une petite robe volage attend, sinon, j'avais de ta vie tu ne porterais une robe comme ça