Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityviens bébé, la cuisine est par-là ... ah noon, c'est ma chambre (basly)
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viens bébé, la cuisine est par-là ... ah noon, c'est ma chambre (basly)

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Confrérie de merde. Bastian se demandait encore pourquoi il avait choisit la Dunster House, il donnerait n'importe quoi pour retourner chez les bleus, là où était vraiment sa place. Au lieu de ça, il devait se coltiner les étudiants de cette maison, tous plus stupides les uns que les autres. Il n'était là que depuis deux mois et déjà, il en était lassé. Traînant des pieds pour rejoindre le campus, le blondinet tirait sur sa clope comme si sa vie en dépendait. Ce trou du cul avait perdu son portable, l'empêchant donc d'appeler son chauffeur pour qu'il le dépose à bon port. En chemin, il avait croisé un taxi qui ne s'était pas arrêté pour le prendre. Bastian avait pesté contre la terre entière, jurant même de faire enfermer le chauffeur lorsqu'il aura retrouvé un semblant de civilisation. Il était tard et la nuit était tombée depuis quelques heures. De mauvaise humeur, il arrivait pas trop à calmer ses ardeurs. Revenant de chez un pote, il le maudissait lui aussi. Une fois devant la Dunster House, il se stoppa et termina sa clope rapidement, enchaînant quelques taffes pour aller plus vite. Le blondinet jeta son mégot par terre et entra dans le bâtiment en frottant ses mains l'une contre l'autre pour se réchauffer. Il n'y avait pas un bruit dans la maison, bah tu parles, à cette heure-ci, ils devaient tous dormir, cette confrérie était d'un déprimant. Bastian soupira bruyamment et avança dans le hall. Son regard fut rapidement capté par une silhouette non loin de lui. Dans le plus grand des silences, il s'approcha, matant la fille de haut en bas, arquant un sourcil, un sourire pervers sur ses lèvres. « J'connais ce p'tit cul. » dit-il sans la moindre discrétion. Ses yeux se plissèrent pour en apprécier les formes et les courbes félines. « Bonsoir Underwood. » dit-il en passant à côté d'elle. Bastian se tourna vers elle et fit quelques pas en reculant. « T'es perdue, j'peux t'aider ? » s'amusa-t-il à dire en rigolant légèrement, en laissant ses yeux parcourir son corps. Il rêvait où elle était saoule ? Intéressant.

@Lily Penelope Underwood
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Depuis la rupture avec Lenny, j’ai l’impression que ma vie part en couille. En vérité, c’est surtout que je fais un peu n’importe quoi et passe mon temps à boire. Ce soir n’est pas très différent des autres, soyons honnête, et c’est probablement pour ça que je me retrouve à la Dunster House sans trop savoir comment j’y si arrivé et complètement arraché en plus. J’ai du mal à me tenir droit et je remarque à peine que j’ai abandonné le port de mes souliers pour les trainer dans mes mains. Tentant de ne pas réveiller la maison au grand complet, j’avance dans le hall a pas de souris –ou d’éléphant, tout dépend du point de vue. « J'connais ce p'tit cul. » Et moi je connais cette voix. Même engourdi par l’alcool je pourrais reconnaitre ce timbre feutré et fonceur. Bastian. « Bonsoir Underwood. » Je tente de me retourner sans grand succès, te cherchant du mauvais côté alors que tu passes finalement de l’autre, te retrouvant devant moi à reculer pour mieux me faire face. « T'es perdue, j'peux t'aider ? » Je plisse les yeux, comme pour juger de ton niveau de sarcasme et aussi pour voir si c’est une autre de tes ruses. Probablement. Mais mon esprit ne coopère que très peu présentement. « Qu’est-ce que tu me veux Gates? » Que je demande malgré tout, légèrement sur mes gardes, mais surtout en quête d’un bon verre d’eau. Ouais, non, les cuisines c’est pas par-là Lily. Je porte un doigt accusateur sur toi. « C’est toi qu’as changé les cuisines de place? » Comme si c’était plausible.
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Bastian la regardait avec ce sourire malicieux sur ses lèvres, il la matait de bas en haut sans la moindre discrétion ou le moindre scrupule. Il avait l'art et la manière de s'approprier toutes les choses qu'il avait touché et toutes celles qu'il voulait. Pourri gâté, il n'acceptait pas qu'on lui dise non d'ailleurs, il n'avait pas eu de mal à obtenir Lily, se servant d'elle comme bon lui semblait. Sans la moindre gène, il la dévorait des yeux, parcourait son corps saoul et instable. « Mais rien Underwood, j'veux rien du tout, c'est toi qui est sur mon terrain là. » répondit-il en arquant un sourcil, le regard provocateur. Machinalement, il croisa les bras contre son torse, ne la lâchant pas des yeux. C'était vraiment très drôle de la voir aussi minable, elle était beaucoup moins menaçante ainsi. Les deux étudiants ne s'étaient pas parlés depuis leur rupture, Basitan n'avait pas cherché à reprendre contact avec elle et l'avait laissé nourrir une certaine haine contre lui. En réalité, il n'avait pas cherché à la rattraper, à la garder et avait accepté la rupture sans hésitation. La jeune fille le pointa du doigt et automatiquement, il leva légèrement les bras, à hauteur de sa tête pour scander son innocence. « Allez j'avoue, c'est moi qui ait déplacé les cuisines y'a trois jours ... Pour m'faire pardonner, laisses-moi t'y emmener Lily ! » dit-il en s'approchant dangereusement d'elle. Le blondinet avait cette lueur de prédateur dans ses yeux, un prédateur qui avait choisi sa future proie pour son dîner. « J'ai toujours kiffé les viandes saoules ! » se dit-il à lui-même avant de porter Lily comme un sac à patate, la posant lourdement sur son épaule. « Si tu vomis, évite mon jean, il vaut plus cher que toute ta garde de robe ! » s'amusa-t-il à dire en rigolant grassement. Bastian avança et au lieu de se diriger vers les cuisines, il emprunta les escaliers, tapotant les fesses de Lily pour qu'elle se taise.
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« Mais rien Underwood, j'veux rien du tout, c'est toi qui est sur mon terrain là. » Ton terrain? Comment ça ton terrain? J’étais membre de la Dunster House bien avant toi monsieur le Eliot. Pff. T’aurais probablement dû y rester, à la Eliot. Avec tous les autres fils de riche qui ne savent plus quoi faire de leur fric tellement ils en ont. Et dire que moi je risque de devoir quitter l’établissement d’ici peu. M’enfin, mon esprit n’est pas trop là pour le moment, tout ce que je veux, ce sont les cuisines et un verre d’eau alors j’argumente toute seule dans ma tête avant de te pointer du doigt et de t’accuser de les avoir déplacé. Tu lèves les bras en signe de reddition et je plisse d’avantage les yeux. « Allez j'avoue, c'est moi qui ait déplacé les cuisines y'a trois jours ... Pour m'faire pardonner, laisses-moi t'y emmener Lily ! » Ah ha! Je savais que c’était ta faute. Wait. Quoi? Tu fais un pas vers moi et mon cœur manque un battement. Même si t’es un connard de manipulateur, t’es pas moins beau, nul besoin de se mentir. Je me mordille la lèvre malgré moi et te fixe à travers mon regard brumeux. Ma langue passe sur mes lèvres alors que tu me dévisages comme un lion sa proie. « J'ai toujours kiffé les viandes saoules ! »  Eh!? Je n’ai pas le temps de réfléchir avant que tu me prennes sur ton épaule tel une vulgaire poche de patate. Je lâche un cri strident –au diable la subtilité- et martèle ton derrière de ma main libre, l’autre tenant toujours mes chaussures. « Si tu vomis, évite mon jean, il vaut plus cher que toute ta garde de robe ! » Quoi? Non, j’vais pas être malade. « POSE MOI TOUT D’SUIIIIITE! » tu tapotes mon derrière comme si de rien n’était et emprunte l’escalier. Moi, je ne me demande pas où tu m’amènes, trop occupé à vouloir descendre de ton épaule. J’ai la tête qui tourne, mais ça va, la nausée n’est pas trop insupportable. On atteint finalement le palier des chambres, mais je ne réalise toujours pas qu’on est très loin des cuisines…
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Bastian s'attendait à une effusion de sang en la portant ainsi, il croyait qu'elle allait hurler, rigoler ou même pleurer mais qu'elle allait se débattre plus que ça. Au lieu de faire une scène, Lily se contenta de crier une fois sur le blondinet, lui demandant de la lâcher. « Réfléchis Underwood, si j'te lâche comme ça, tu t'éclates au sol. » s'amusa-t-il à répondre en empruntant les escaliers. Le blondinet avait énormément de force grâce au sport intensif qu'il pratiquait. Lily était un poids plume, ça aidait grandement. Il grimpa les quelques marches avant de se faufiler dans le couloir le menant à sa chambre. Bastian touchait ses fesses sans la moindre gène. En même temps, vu son état, elle ne s'en rappellera pas forcément. Amusé par la situation, il fit glisser la clé de sa chambre dans la serrure et ouvrit la porte. Une fois à l'intérieur, il posa enfin Lily et vint refermer la porte dans le plus grand des calmes. « Bon j'avoue, j'ai aussi changé un peu la décoration de la cuisine mais tranquille, y'a à boire et à manger, c'est le but d'une cuisine, pas vrai ? » Il parlait un peu vite pour l'embrouiller. Fallait surtout pas que Lily se mette à réfléchir sinon c'était mort pour lui. Rapidement, il enleva sa veste et la balança sur son lit. « C'est gentil d'être venu m'faire un câlin avant de rentrer, j'suis agréablement surpris de ton initiative Underwood et j'dois bien avouer que j'en ai envie aussi de ce câlin. » lança-t-il en tendant les bras. Bastian jouait et s'amusait comme un petit fou là.
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« Réfléchis Underwood, si j'te lâche comme ça, tu t'éclates au sol. » Je regarde le sol et dois admettre que je n’ai aucunement envie de m’y retrouver tête la première. J’ai pas assez de fric pour me payer de nouvelles dents, merci. Je cesse donc de me débattre, acceptant mon sort et te laissant déverrouiller la porte de la cuisine. Attend, pourquoi elle était verrouillée? Tu me poses au sol et je mets un petit moment à reprendre mes esprits, la gravité me tirant férocement vers le bas alors que ma tête elle semble toujours dans les nuages. J’aurais pas dû boire comme ça. C’était stupide de me mettre aussi minable. Mais j’avoue que j’ai encore cette euphorie en moi qui m’empêche de regretter vraiment. Pour l’instant du moins. « Bon j'avoue, j'ai aussi changé un peu la décoration de la cuisine mais tranquille, y'a à boire et à manger, c'est le but d'une cuisine, pas vrai ? » Hein? Tu parles trop vite Bastian, j’ai rien compris. Enfin si, j’ai entendu boire et manger. On doit être au bon endroit. Mais depuis quand y’a des lits dans les cuisines? Attendez une minute… « C'est gentil d'être venu m'faire un câlin avant de rentrer, j'suis agréablement surpris de ton initiative Underwood et j'dois bien avouer que j'en ai envie aussi de ce câlin. » Eh? Tu tends les bras vers moi et je fais maladroitement un pas vers l’arrière, rapidement rattrapé par deux pas vers l’avant histoire de ne pas tomber. Au final, c’est pile entre tes bras que j’atterris, les deux mains sur ton torse. Je lève les yeux vers toi, croise ton regard amusé et me perd un instant dans l’océan de ton regard. Oh. C’est vrai que t’as toujours été particulièrement beau, mh. « J’ai soif. » que je lâche finalement après avoir cligné rapidement des yeux à quelques reprises.
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