Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityELLIOKY ♡ just married
-67%
Le deal à ne pas rater :
Carte Fnac+ à 4,99€ au lieu de 14,99€ (nouveaux clients / ...
4.99 € 14.99 €
Voir le deal


ELLIOKY ♡ just married

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
just married

Elliot & Lucky

Je ne veux plus connaître un jour sans voir ce visage. Je ne peux pas concevoir un instant sans sentir son odeur et entendre ses soupirs. Ces mots qui pour moi, n'avait qu'une seule définition, Cole. Et pourtant, à ce jour, ce n'est pas lui que j'épousais. Cole était devenu indubitablement ma faiblesse, je m'étais contentée ces derniers mois de quelques étreintes à ses côtés, savourant ses différents gestes et paroles censées me faire espérer sur ce passé partagé que nous avons vécu et sur cet avenir commun que j’avais proposé de faire grandir ensemble. Proposition qui m'avait été refusé. Pourquoi ? Pour sa meilleure amie. La vérité ? Je ne pouvais plus rester spectatrice du bonheur que cette connasse m'avait volé. Pourquoi devrais-je continuer à espérer sachant que l'issue de toute cette fin d'histoire était déjà visible ? Elle portait son gosse, ils allaient vivre ensemble, se mettre ensemble et finir leur vie ensemble, alors pourquoi devrais-je regarder tout ça se produire devant mes yeux ? Non. Cette bague que j'étais en train de passer a ton doigt, aurait dû être celle de Cole. Parce que oui, c'était avec lui que je me voyais passer le restant de mes jours. Et que si cet homme avait réellement voulu de moi, c'est à son doigt que j'aurais passé la bague. Inspirant profondément, je plongeais mes pupilles dans les tiennes, toi qui allait devenir mon... Mari. J'étais folle, folle de faire ça pour un pari, mais j'avais toujours répété que sans un peu de folie, la vie ne serait pas aussi intéressante. Et puis honnêtement, l'amour n'existait plus pour moi. Alors ouai, fonçons, fonçons tête baissée et ce, même si nous filons droit dans un mur. Les bagues passées à nos doigts, les témoins signaient et ce fut à mon tour de le faire. Je regardais ces feuilles, le cœur battant à tout rompre. T'es complètement folle Lucky. Et je signe. Je poussais le tas de feuille vers toi pour qu'à ton tour, tu signes. Regardant la bague à mon doigt, je me perdais soudainement dans mes pensées. Sincèrement, c'était un drôle de mariage. Il n'y avait qu'à voir ma tenue. J'aurais pu mettre une robe au moins, mais non, ça m'aurait fait flipper, car ça aurait été beaucoup trop engageant.



@Elliot T. Maxwell ELLIOKY ♡ just married 1001568715
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


On pourrait se demander ce que je fous là, à la mairie, face à des papiers à signer et une alliance à mon doigt, alors que je n’aime pas la nana qui se trouve à mes côtés. C’était une question légitime. On pourrait me dire « mais qu’est-ce que tu fais, t’es complètement fou ! » Oui, y’avait un peu de ça. Mais c’était surtout que le mariage, pour moi, ne valait rien. L’amour, c’était surfait, surcôté, et le mariage, quand bien même tu étais fou amoureux de quelqu’un, ce n’était que des vulgaires papiers à signer. T’as pas besoin de ça si tu aimes vraiment. Ça, c’était mon opinion. Et comme le mariage était une institution totalement ridicule à mes yeux et que ce n’était pas si important que ça, quand Lucky m’avait demandé de l’épouser, j’avais accepté. C’était pour un pari, m’avait-elle dit, avec je ne sais plus trop qui et qui consistait en je ne sais plus trop quoi, si ce n’est qu’elle devait se marier. J’étais un bon ami, et elle avait besoin d’un service, alors pourquoi aurais-je refusé? J’avais bien mis les choses au clair : ceci ne m’engageait en rien. Je restais libre de vivre ma propre vie, je n’étais en aucun cas lié à elle dans le privé. J’avais même le droit d’enlever l’alliance quand je voyais d’autres nanas, et j’avais gagné une lune de miel avec la brune, alors c’était tout bénef, non?

J’avais ri quand j’avais vu comment elle était fringuée. Elle m’avait prévenu, qu’elle ne ferait pas d’efforts et qu’elle ne mettrait pas de robe. Tant mieux. On n’avait pas besoin de toutes ces conneries. Moi, j’avais enfilé un jean et une chemise rose pâle. Rien de très habillé en réalité, même si je l’avoue, j’avais fait un effort minime pour être dans le thème.

Je signais ces feuilles comme si ce n’était qu’une signature bidon, qui ne valait rien, puis j’haussais les épaules. Je me tournais vers elle, sourire aux lèvres, alors qu’elle avait les prunelles fixées sur sa bague. « Arrête ça, on dirait une mariée ultra gnan-gnan. » lui lançais-je, non sans grimacer quelque peu au passage.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
just married

Elliot & Lucky

L'amour ? J'avais réellement connu ce sentiment avec mon ex, celui qui caressait et faisait frémir mon cœur et mon corps à ces contacts qu'il m’offrait à chaque fois qu'on se retrouvait, qu’ils soient de chair ou de conscience. Mais, est-ce que j'avais envie de connaître une nouvelle fois ce sentiment ? Non. Pour l'instant, non. Je ne voulais plus et j'étais contente de voir que c'était aussi ton cas. Je ne savais pas si un jour, toi aussi tu avais connu ce sentiment, mais je sentais que tu n'étais pas le genre à parler d'amour. Alors oui, ça m'allait. Ça m'allait que malgré ces bagues à nos doigts, tu m'en tiendrais pas rigueur si jamais je m'aventurais à croiser d'autres hommes. Ce n'est pas la vie de mariage que j'avais imaginé, parce que pour moi, je le pensais symbolique, mais j'avais changé d'avis. Car sans amour dans mon cœur, je ne voyais plus le mariage de la même façon. Fixant donc ma bague, tu venais de signer et on nous félicitait. Néanmoins, tout le monde semblait avoir remarqué mon air quelque peu perdu. Sauf que toi, tu me lançais cette vanne, me tirant ainsi de cette vague assombrissante qui semblait s'être emparée de moi et je réalisais vraiment la situation. À ta vie, j'allais être lié même si on ne le voulait pas. À la mienne tu le seras également, alors c'est pourquoi, je me perdais dans tes prunelles comme pour te faire comprendre que j'avais quelque chose à te dire. Quelque chose d'important. Non, je ne suis pas enceinte rassure-toi. J'agrippais ton poignet et te guidais hors de la pièce. Mon dos se plaquait contre le mur du couloir tandis que mes prunelles fixaient le sol. « Elliot, faut que je t'avoue une chose importante. Voilà, dans mon cœur c'est la guerre et dans ma tête c'est Bagdad... » Je ne savais même plus ce que je racontais tant j'appréhendais ta réaction. Peut-être que tu changeras d'avis après ce que j'allais t'avouer et que tu voudras même tout annuler. « Je suis encore amoureuse de... Mon ex. Il n'a pas été un homme parmi tant d'autres, il a été l'homme avec qui je voulais passer le restant de mes jours. Je l'ai su à la minute où je suis tombée amoureuse de lui. Ça a toujours été compliqué entre nous, on se déchirait à cause de son entourage qui refusait de m'accepter et... À chaque fois que je pensais le retrouver, sa meilleure amie gâchait tout. Mais là tu vois, après un an à l'attendre, je suis épuisée. Nous nous sommes dit au revoir. Mais moi, je veux l'oublier, je veux vraiment l'oublier parce que ça fait toujours mal. Vraiment mal. Je veux pouvoir m'épanouir sans lui et... Vivre sans lui. » Assurai-je d'une voix tremblante. J'avais conscience que ça n'allait pas être facile, mais voilà, il le fallait. Et toi, ce mariage, toute cette comédie pourrait m'aider. « Alors en sachant tout ça, tu peux encore tout annuler. Il n'est pas trop tard... » Tu pourrais tout arrêter, que je ne t'en voudrais même pas, parce que pour moi, le simple fait d'avoir accepté de m'épouser, me suffisait pour te classer parmi mes précieux amis.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Elle avait une lueur noire dans son regard, et je perdais mon sourire. « Me dis pas que tu regrettes déjà, j’viens tout juste de signer ton truc! » dis-je en levant les yeux au ciel. Mais ça ne la faisait pas rire apparemment, puisqu’elle agrippait mon poignet et nous entrainait hors du tintamarre de la pseudo-cérémonie, dans un couloir non loin de là. « Elliot, faut que je t'avoue une chose importante. Voilà, dans mon cœur c'est la guerre et dans ma tête c'est Bagdad... » Je roulais déjà des yeux. C’était le moment où elle se questionnait sur sa vie, une petite séance rétrospective, et où elle me racontait comment elle en était arrivée là. Un ex avec qui ça a mal tourné… Blablabla… Elle veut pouvoir l’oublier… Blablabla… Oui, toujours la même histoire gnangnan et déprimante à souhait. « Alors en sachant tout ça, tu peux encore tout annuler. Il n'est pas trop tard... » Un nouveau roulement des yeux. « Brunette, j’m’en fous de tout ça. Ça m’regarde pas, et je crois pas en l’amour de toute façon. Et encore moins au mariage. T’as besoin de te marier pour n’importe quelle raison, que ce soit pour un pari, pour oublier ton ex, pour faire plaisir à tes parents ou pour avoir une nouvelle identité incognito, j’m’en tape. Sans vouloir te vexer. » grimaçais-je, me rendant compte que mes propos pouvaient être blessants. « C’que je veux dire c’est que j’suis ton ami, et t’avais besoin d’un service, alors je suis là. Compris? » Mes yeux plantés dans les siens, j’espérais que mes mots ne seraient pas vains. Après, si elle voulait annuler, je la suivrais, mais en attendant, si c’était ce qu’elle voulait, j’étais prêt à faire ce petit sacrifice pour elle.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
just married

Elliot & Lucky

Ce n'est pas que ta vanne ne m'avait pas fait rire, au contraire, c'est juste que voilà, je voulais être réglo avec toi, t'expliquer tout avant qu'une personne malhonnête ne vienne prendre cette situation en sa faveur en te montant la tête contre moi. Surtout que je connaissais certaines personnes qui n'allaient pas se priver pour venir gâcher again, mon petit confort personnel. Et j'étais bien trop heureuse que tu sois mon ami, pour te cacher la vérité. Mais, même si tu te montrais un peu blessant, je n'en n'étais pas autant touchée, car je savais que tu étais comme ça. « Sois toi-même et ne te retiens pas avec moi. » Car moi, j'acceptais les gens tels qu'ils étaient. T'écoutant parler, un sourire n'acquit sur mes lèvres. Et c'était le premier sourire depuis que nous sommes arrivés dans cette salle. J'étais touchée de t'entendre avouer sincèrement, que tu seras toujours là et que tu accepteras absolument tout ce qui pourra me rendre service. Parce que t'étais mon ami et un ami très spécial. « Merci Elliot. Vraiment. » D'une voix sincère, je passais une mèche de cheveux derrière mon oreille et te conviais à nouveau dans la salle. Nous terminons ainsi toute la paperasse à faire et nous sortons de la mairie. Me tournant vers toi, je t'offrais l'un de mes plus radieux sourire. « Lucky Elsa Burberry-Maxwell. Ça sonne plutôt bien tu ne trouves pas ? » Que je fulminais provocatrice. « Et sinon ? T'as pensé à quoi pour la lune de miel ? » Te questionnai-je curieuse de savoir ce que tu avais prévu pour cette étape du mariage. Allez s'teuplait, ne dis pas Bora-bora ou les Maldives, ça ferait beaucoup trop romantique. Surprends-moi.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


« Sois toi-même et ne te retiens pas avec moi. » Je roulais — encore — des yeux. « Tu t’adoucis déjà. » Pas de relation gnangnan. Mais à croire qu’il fallait mettre les choses au clair. Alors, moi aussi je laissais le mec insensible de côté pour quelques secondes, et lui annonçais clairement que j’étais son ami, et que je serai là pour elle quand elle en aurait besoin, tout comme aujourd’hui. Peu importe la raison, peu importe l’importance de la chose. « Merci Elliot. Vraiment. » « Pour le meilleur et pour le pire, n’est-ce pas? » répliquais-je en souriant franchement, un peu amusé suite à ma bonne blague. On rejoignait la salle et finalisait les papiers — beaucoup de paperasse pour un simple mariage, chose qui me confortait dans l’idée que je ne voulais pas me marier. Enfin, certes, je l’étais maintenant. Mais que je ne voulais pas me marier avec la pseudo femme de ma vie que j’étais censé rencontrer un jour ou l’autre.

À la sortie de la mairie, elle avait enfin retrouvé le sourire. « Lucky Elsa Burberry-Maxwell. Ça sonne plutôt bien tu ne trouves pas ? » Je lâchais un rire. « J’avais pas pensé à tout ça. » En réalité, je n’avais pensé à rien. Je n’avais pas pensé aux alliances, à la cérémonie, aux voeux, à ce que ces signatures impliquaient pour notre vie future, que ce soit la sienne ou la mienne. C’était un coup de tête. Assumé, certes, mais un coup de tête quand même. « Mais oui, ça sonne bien. Une Maxwell de plus dans la famille. T’as besoin de rencontrer mes parents? » Un peu bizarre comme situation. Julia, à l’hosto, avait débarqué en se faisant passer pour ma fiancée auprès de mes parents. J’avais découvert la vérité par la suite, mais là, Lucky était vraiment ma femme. Putain. Comment ça allait se passer maintenant? Est-ce qu’on le cachait? Est-ce qu’on jouait la carte ‘officielle’ ? Est-ce que les gens seraient rapidement au courant? « Et sinon ? T'as pensé à quoi pour la lune de miel  ? » Elle me tirait hors de mes innombrables questions. Un fin sourire malicieux étira alors mes lèvres. « Tout est organisé. Tu me fais assez confiance pour que je te garde la surprise et que tu me suives à l’aveugle? » la questionnais-je, avant d’hausser finalement les épaules de façon nonchalante. « T’façon, on est mariés, t’as pas trop le choix. D’ailleurs, le ‘vous pouvez embrasser la mariée’, il est passé où pendant la cérémonie? Et tes voeux d’amour à mon égard? Je suis déçu. » ajoutais-je en faisant la moue, comme un gosse qui n’aurait pas eu de bonbons à Halloween.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
just married

Elliot & Lucky

Lorsque tu avais prononcé ces mots : "pour le meilleur et le pire", j'ai eu comme un petit choque électrique. Moi, mariée ? Qui l'aurait cru ? Si on m'avait dit un jour que ça m'arriverait de si tôt, j'aurais rigolé au nez de la personne. Pourtant, me voilà, un solitaire à mon annulaire. Un mari pour le meilleur et le pire. Un mec que je le voulais ou non, allait être lié à ma vie. J'avais sauté la case petite amie passant directement à la case mariée et c'était un pas irréfléchie, mais qu'importe, j'avais décidé de ne plus faire les choses dans le bon sens. Parce que tous simplement, ça ne me réussissait pas trop. Je roulais des yeux lorsque tu me fis la remarque sur mon pseudo adoucissement. « J'cache mon jeu, qui sait, t'as peut-être épousé le diable ! » Te répondis-je amusée. Je gardais mon sérieux quelque secondes avant de rajouter. « Surtout pour le pire alors. Parce que j'ai un mauvais karma qui me suit partout et j'espère vraiment que mon mari saura m'en délivrer. » Toujours d'une voix provocatrice, je terminais par éclater de rire, rire qui se stoppa d'un coup à l'attente du mot "parents". Avalant ma salive de travers, je toussais, ayant difficilement du mal à digérer ce mot. « Pardon... » M'excusai-je en tapotant ma poitrine pour cesser les toussotements. « Rencontrer tes parents ? » Et c'est vraiment là que je réalisais l'ampleur de notre geste. De ce que ce mariage engendrera. Pouvons-nous nous cacher ? Honnêtement, je ne pensais pas cela possible avec cette bague à mon doigt. Et puis ici, tout se savait rapidement, alors à quoi bon se cacher ? « Je n'ai jamais fait ça... Rencontrer les parents des hommes avec qui je sortais... Et... » Vous voyez la crainte dans mes yeux ? Celle de ne pas pouvoir être à la hauteur ? Et voilà que le manque de confiance en moi réapparaissait. « J'ai peur de paniquer... Fin, j'ai peur de ne pas être à la hauteur... » Et si je n'étais pas le genre de fille que tes parents espéraient te voir épouser un jour ? Olalala panique pas Lucky ! Si ça se trouve, je me faisais du souci pour rien et qu'ils n'allaient pas me bouffer. Reprenant mon souffle, tu me parlais de la lune de miel et ce contexte me faisait oublier un instant, ce que tu venais de me demander. « Je te fais confiance, cher mari. » Que je te répondais en te tirant langue telle une gamine. Toi, tu faisais la moue parce que t'avais pas eu le baiser de la fin et le discours intense pour te prouver mon amour immense. Enfin, c'est ce que faisaient tous les mariés, sauf que nous, on ne ressemblait pas aux autres mariés justement. « Attention, c'est toi qui t'adoucis là. Tu vires à la niaiserie et de toute façon, je ne suis pas du tout douée pour les discours et vœux de mariage. T'aurais eu plus envie d'exploser de rire qu'être ému. Mais par contre... » Je posais une main sur ton torse, me plaçant devant toi et t'obligeant assurément à t'arrêter. Accrochant tes pupilles à l’embrun de mes yeux et caressant d’un geste tendre ton regard, je m'élançais sur la pointe des pieds à la conquête de tes lèvres. Ainsi par un baiser, je scellais cette union. Mes lèvres sur les tiennes, que la peur soit ! Parce que ce baiser fut savoureux. Ma main remontait lentement vers ta nuque alors que ma langue franchissait le barrage de tes lèvres pour un délicieux échange avec la tienne. Et puis... Je reculais, murmurant au passage. « Ça, je sais le faire... » Que j'affirmais par un sourire angélique illuminant mon visage. Voilà, tu l'as eu ton baiser et j'espérais te l'avoir fait kiffé.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


« J'cache mon jeu, qui sait, t'as peut-être épousé le diable ! » « J’espère bien ! » répliquais-je du tac au tac. « C’est beaucoup plus drôle qu’épouser un gentil petit ange. J’suis pas là pour m’ennuyer moi. » la prévenais-je dans un sourire joueur. Pour le meilleur et pour le pire. « Surtout pour le pire alors. Parce que j'ai un mauvais karma qui me suit partout et j'espère vraiment que mon mari saura m'en délivrer. » J’haussais les épaules. « Pas sûr, mais au moins j’me porte volontaire pour tenter le coup. » Est-ce que moi j’avais un mauvais karma? J’avais eu des moments où le karma m’avait rappelé sa présence. Notamment quand j’ai découvert qu’Elfy, la nana que je me tapais régulièrement, était en fait ma demi-soeur. Là, le karma, j’l’aurais bien démonté à coups de pelle. Sinon, il m’avait plutôt laissé en paix. Qui sait, peut-être qu’il laisserait Lucky tranquille aussi? En parlant d’elle et en repensant à ce mariage, comment on allait vivre la chose maintenant? Officiellement, formellement, avec une rencontre des parents et des dîners de famille? Elle s’étouffait à mes mots, qui passaient visiblement mal. « T’as un gros héritage? Juste au cas où, si tu meures maintenant. Ou bientôt. » « Pardon... Rencontrer tes parents ? » Elle fit une pause, mais je savais que ce n’était pas son dernier mot. « Je n'ai jamais fait ça... Rencontrer les parents des hommes avec qui je sortais... Et... J'ai peur de paniquer... Fin, j'ai peur de ne pas être à la hauteur... » Je lâchais un petit rire. C’était plus fort que moi. « Attention, ça te rend presque… attachante. » me contentais-je de répondre. Ce n’était pas que je ne la prenais pas au sérieux, mais pour moi, la question n’avait même pas lieu d’être. Lucky, c’était une bombe. Elle était pleine d’entrain, pleine de confiance, indépendante. Une femme de feu qui laissait une trace d’étincelles derrière son passage, à l’image des nuées blanches que laissaient les avions dans le ciel. Si moi je l’avais épousée, c’était qu’elle était un minimum décente et à la hauteur. Du moins, à mes yeux. « T’es pas obligée de les rencontrer. C’est des cons, t’façon. » concluais-je enfin, après quelques secondes de réflexion. « C’est les premiers à dire qu’il faut un mariage d’amour, que c’est l’accomplissement de toute une vie, un pacte avec son âme-soeur. Alors que bon, ils sont très mal placés pour parler vu leurs nombreuses tromperies. » J’me rendais compte, en parlant, que je ne savais pas grand chose de Lucky et elle ne savait pas grand chose de moi non plus, au final. Peut-être qu’il faudrait travailler un peu sur ça. ‘Cher mari’. Je riais quelque peu. « J’crois pas que je m’y ferai. » Mais si elle y tenait vraiment, il manquait au mari les voeux d’amour éternel de sa femme ainsi qu’un baiser qui scellait le contrat. C’était ironique, bien sûr. J’entrais dans son jeu, comme à mon habitude. « Attention, c'est toi qui t'adoucis là. Tu vires à la niaiserie et de toute façon, je ne suis pas du tout douée pour les discours et vœux de mariage. T'aurais eu plus envie d'exploser de rire qu'être ému. Mais par contre... » Par contre?… Sa main vint se poser sur mes pectoraux, ferme, alors que ses prunelles captivaient les miennes. Elle s’approchait dangereusement et me donnait un baiser presque trop chaste. Sauf que sa main qui prenait suavement possession de ma nuque n’annonçait rien de chaste, au contraire. Je lui laissais les commandes. Après tout, n’était-elle pas celle qui commandait tout ça depuis le début? Le baiser devenait languissant, langoureux, avant qu’elle ne se recule, une fois le méfait accompli. « Ça, je sais le faire... » murmurait-elle près de mes lèvres encore humides. Et mon sourire s’élargissait. J’étais entré dans son jeu, mais j’avais oublié que Lucky ne s’arrêtait jamais de jouer tant qu’elle n’avait pas gagné la partie. À mon tour, je posais ma main à plat sur sa poitrine, avançant mon visage tout près du sien. « Et très bien, même. » Puis, j’exerçais une pression contre son corps pour la repousser et la faire reculer de mon chemin, avant de reprendre mon attitude habituelle, comme si rien de tout ça venait de se passer. La technique? Il faut les rendre folles. Et les amuser, aussi. « Bon, parlons peu parlons bien, on part vendredi, ça te va? T’façon c’est déjà réservé donc t’as pas le choix. » Je la regardais, l’air de dire ‘oups!’, sans vraiment le penser. On ne vit qu’une fois, n’est-ce pas? Et c’était le mantra que j’adoptais quand j’étais avec Lucky.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
just married

Elliot & Lucky

« Et je partage ton avis. Je vais te faire une petite confidence Elliot, j'ai toujours été attirée par les mauvais garçons. C'est surement pour ça que j'ai fini dans ton lit ce soir-là » Te rappelai-je ainsi, l'épisode de notre coucherie, même si maintenant, tu ne t'en souvenais plus. Ça avait été une nuit des plus excitantes, même très alléchante et j'avais pris mon pied. Voilà pourquoi, je n'avais nulle doute que notre lune de miel sera mouvementée. Moi, j'allais te faire découvrir à nouveau mon corps, comme si c'était la première fois que tu y goûtais, et qui sait, peut-être que ce sera aussi le déclic qui te permettra de retrouver tes souvenirs. Rien est impossible et je voulais garder un petit espoir. Néanmoins, je ne pouvais m'empêcher de rire en t'écoutant parler de mon héritage, mais au fond, je flippais à mort de penser que tes parents pourraient ne pas m'aimer. Alors, je tire une moue à mon tour en croisant les bras sous ma poitrine. « Il n'y a donc que mon fric qui t'intéresse ? Moi qui pensais qu'autre chose pourrait t'intéresser comme par exemple, ça... » Me fixai-je à l'aide de mes deux index et terminant par éclater de rire. J'effaçais bien vite mon sourire lorsque tu insultais tes parents. Oups ! Sujet sensible apparemment ? « Les miens sont morts dans un crash d'avion alors qu'ils revenaient de leurs vacances pour célébrer mes 18 ans... » En gros et pour résumer, ça avait été le pire jour de ma vie. Déjà mon passage à l'adulte avait été une catastrophe et depuis, ça ne s'était jamais arrangé. « Et tu sais ? Ils me manquent énormément, donc je pense que peu importe ce qu'ils auraient pu faire de fâcheux, j'aurais voulu les avoir encore près de moi. L'essentiel, c'est de savoir qu'ils t'aiment non  ? Peu importe ce qu'ils font de leur vie. » Que je lâchais en te souriant. Et si je comptais si peu pour toi Elliot, tu ne serais pas ici non ? T'étais mon ami, mon mari et cela voulait tout dire quant à l'attachement qu'on pourrait se porter mutuellement. Certes j'étais nulle pour les vœux de mariage, mais j'étais assez douée pour autre chose et je te le prouvais par ce baiser que nous venions d'échanger. Tu me repoussais rapidement en faisant semblant de ne pas avoir été perturbé ne serait-ce que quelques secondes, sauf que je t'avais déjà démasqué et ça me plaisait de te voir jouer les indifférents. Je rigolais en marchant rapidement vers toi pour te donner une petite claque dans le dos. « Vendredi c'est parfait ! Mais j'suis quand même curieuse et impatiente. Mh... Je n'ai même pas droit à un petit indice ? » Demandai-je les yeux tout brillant, mon but étant d'essayer de t'amadouer, consciente que je perdais mon temps.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


« Je vais te faire une petite confidence Elliot, j'ai toujours été attirée par les mauvais garçons. C'est surement pour ça que j'ai fini dans ton lit ce soir-là. » Je levais les yeux au ciel. « Je sais que je suis pas un bon gars. Mais t’as quand même décidé de m’épouser. » Alors tout n’était pas perdu. Du moins, à ses yeux. Mais bon gars ou pas, moi, je m’en fichais. La vie que je menais me plaisait, peu importe ce que les gens en disaient. Et elle pouvait devenir encore meilleur si j’héritais de la fortune de Lucky, vu qu’elle avait l’air de s’étouffer dans son coin. « Il n'y a donc que mon fric qui t'intéresse ? Moi qui pensais qu'autre chose pourrait t'intéresser comme par exemple, ça... » dit-elle en pointant son corps du doigt. « Ouais, tu m’as convaincu. » répliquais-je, comme si j’avais besoin d’être convaincu. Je n’y avais même pas réfléchi à deux fois. Mais il ne fallait pas qu’elle flippe pour ce que je venais de dire sur mes parents. C’était une simple blague. Sous fond de réflexions sérieuses, certes, mais une blague. « Les miens sont morts dans un crash d'avion alors qu'ils revenaient de leurs vacances pour célébrer mes 18 ans... » Oups. « Tu devrais faire attention avec les engins volants toi. Moi aussi j’me suis crashé y’a pas longtemps. » Ouais, parce que les décès ça me mettait mal à l’aise, et que je préférais garder mon second degré légendaire. « Désolé de l’entendre. » rajoutais-je tout de même, parce que ça me semblait important de le préciser et que je n’étais pas un connard fini. « Et tu sais ? Ils me manquent énormément, donc je pense que peu importe ce qu'ils auraient pu faire de fâcheux, j'aurais voulu les avoir encore près de moi. L'essentiel, c'est de savoir qu'ils t'aiment non  ? Peu importe ce qu'ils font de leur vie. » J’haussais les épaules. « Si tu le dis. » En attendant, les miens n’étaient pas trop là pour moi. Ils ne l’avaient jamais vraiment été, puis j’avais été leur centre d’attention pendant une semaine après mon accident, puis c’était redevenu comme avant. Que je sois là ou pas, c’était pareil. Je passais d’ailleurs mes nuits à la Winthrop House, alors que j’avais une putain de villa qui m’attendait à Boston. Ça, ça en disait long. Ma famille, c’était pas le sang. C’était le coeur, au final. Et puis, comme pour adoucir le fait qu’elle soit nulle en discours, elle m’embrasse. Un baiser, long, langoureux, suave, qui en dit long et qui me laisse avide. Mais je ne le montrais pas, et la repoussais gentiment. Oui, je faisais le mec. Et alors? Il faut faire monter la tension. Et la température, aussi. Elle me donnait une tape amicale dans le dos, et ça me faisait rire. Mariés mais potes. On était vraiment insensés. Mais place aux choses sérieuses, la lune de miel. « Vendredi c'est parfait ! Mais j'suis quand même curieuse et impatiente. Mh... Je n'ai même pas droit à un petit indice ? » Je lâchais un rire à son égard. « Sérieusement? C’est que tu m’connais mal. » Un clin d’oeil associé à un sourire malicieux, alors que j’imaginais sa tête quand on arriverait sur les lieux ce weekend.

(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)