You become more cute when you get angry ☠ SOLWEIG&ALEKSEÏ

Je n'étais là que depuis 1 mois à tout cassé et déjà, tout le monde savait qui j'étais, il n'y avait pas qu'Anastasiya pour grimper en haut de l'échelle et de se faire sa petite réput, sa petite place en tant que princesse d'Harvard, elle allait avoir de la concurrence, j'allais être ce concurrent, la pauvre n'allait pas avoir la paix, pas une seconde, on se battaient pour le trône de Russie, et on allaient se battre pour la place numéro une au sein d'Harvard, lui rendre la vie difficile était mon plaisir numéro un alors j'en profitais un maximum. Certes beaucoup avaient essayé de me remettre à ma place, me faire comprendre qu'ici, mon statut de Duc ou mon nom de famille ne signifiaient rien et bien sur, je leur montrais le contraire, maintenant soit ils m'évitent pour sauver leur vie ou soit ils sont suicidaires et sont prêt à voir leur vie tournée en cauchemar, bref, je montais chaque jour en popularité, j'avais déjà cette réputation, le démon russe, celui qui vous fait mal par plaisir, j'avouais que j'avais bien ce nom il reflétait mon caractère à part entière, un vrai démon capable de tout, certains ne me regardaient pas dans les yeux, par peur que je devienne leurs fléau si le regard ne me plaisait pas, d'autres faisait tout pour sympathiser avec moi mais je n'étais du genre à accueillir les bras ouverts, il fallait me mériter et je crois que à part un nombre restreint de vrais potes, le reste de mes relations c'est du "vite fait", je n'accorde pas trop d'importance sauf pour ce qui en vaut la peine, je suis pas du genre à me casser le cul, pas du tout. Parmi toutes ces personnes, il y avait une fille que j'avais rencontré le premier jour où j'ai posé es pieds dans le campus, j'arpentais les couloirs seul, cherchant ma salle, à part moi, personne, le silence total, on pouvait même entendre le bruit de mes pas et elle, je l'ai vu sortir des toilettes, ses yeux avaient l'air d'avoir versés un bon nombre de larmes, j'ignorais la raison, pour tout dire je m'en foutais royalement, je savais au premier regard que j'allais avoir cette fille là où beaucoup on finit, dans mon lit. Je n'allais pas le nier, je l'avais bien observé, elle avait de quoi plaire, un joli visage, des formes généreuses, je l'a voulais ou du moins je pensais y aller en douceur avec, faire mon "romantique", faire semblant, à vrai dire j'étais pas pour l'amour et ses conneries, j'étais un réaliste même si pour m'octroyer des filles, je jouais la comédie, comme je sais si bien le faire. La voyant sortir des chiottes j'aurais aimé aller la voir mais ça se passa différemment, elle me bouscula, je lui disais clairement que ça n'avait pas été très judicieux de me faire ça mais elle semblait s'en foutre, elle avait du répondant, j'aimais ça, du caractère, de la ténacité, bref, elle osait sans trop savoir où cela pouvait conduire mais elle avait voulu débutée une partie qui allait devenir très pimenté, j'allais lui montrer qu'elle aurait du ne pas me bousculer, comme quoi tous les choix ne sont pas forcément judicieux. Depuis ce fameux jour, dès qu'on se voient, les voix montent, elle me montre qu'elle peut me résister, je lui montre qu'elle a fait une erreur en me bousculant, bref, on se frittent, on montrent qu'on s'aiment pas, j'avoue la détester bien qu'elle m'attire assez fortement, assez inexplicable mais bien réel. Bref, la fin de journée s'annonçait, il était 18h passé enfin juste de quelques minutes, j'arrivais au parking, là où était garé ma moto, je pensais que cette journée allait se finir comme elle a commencée mais il fallait croire que les emmerdes arrivent toujours là où on ne s'y attend pas et l'emmerde de la journée c'était Solweig, cette fille, je la voyais arriver, je soupirais rien qu'en la voyant, elle avait beau m'attirer, elle avait beau être joli et mignonne mais la voir m’insupportais.

Il est 13h passé, entre deux cours, je me suis échappées aux toilettes. Intenable, comme situation. Non, c'est plus possible à vivre. A chaque fois que je veux aller mieux, il y a encore un évènement qui fait que tout se barre en couilles. J'ai l'impression que l'univers entier est contre moi. J'étais bien avant, je filais le
parfait amour avec Ethan, et il a fallu qu'on ai cet accident le jour de mon anniversaire, que je perde notre enfant. Qu'il me quitte pour l'autre, et qu'en plus, me sauve d'une tentative. J'en porte encore les traces bleutées autour de mon cou, sous ce foulard. Et comme si ça ne suffisait pas, on m'a annoncé sa mort mardi. Non, rien ne va plus. Ethan, je l'aimais encore, j'ai l'impression que je vais exploser. Mes larmes ne font que couler, mes yeux sont rouges, je n'arrive même plus à respirer, pourtant j'ai cours dans moins de 10 minutes. J'ai plus aucun espoir. Je ne crois plus en l'amour, non à plus rien. Je le fuis, j'en ai peur, c'est ma plus grande source de malheur, de désastre, ma poisse, mon horreur, ma hantise, mon enfer. Comment font les gens pour continuer à aimer sans se sentir masochiste, n'ont-il pas mal, n'ont-il pas peur de souffrir ? Toujours est-il qu'il faut que je retourne en cours, et il faut que je sèche ces larmes qui coulent pour un être qui a arrêté de m'aimer trop tôt à mon gout. Sois forte Solweig, sèche tes larmes, les grandes filles ne pleurent pas.

Je sors des toilettes, mes yeux encore rouge, j'ose espérer que personne ne traîne dans les couloirs et ne remarque mon état. Manque de bol, je me heurte contre un gars assez grand. Au lieu de s'excuser, il s’énerve, et je ne suis pas d'humeur à m'excuser non plus. Mon foulard tombe à terre dans la foulée, je le ramasse et le noue vite à mon cou en espérant qu'il n'a pas remarqué l'hématome que m'a infligée la corde. A mon tour de m'énerver, je le regarde droit dans les yeux, et malgré ce regard froid et sombre qui lui donne cet air sexy, je n'hésite pas à en placer une.

" Les excuses, c'est pas fait pour les chiens ! Tes parents t'ont pas appris les bonne manières ? " Sans meme faire attention à sa réponse, je trace. De toute manière, je m'en fou, c'est qu'un con parmi d'autres, il est juste impoli. Je m'en vais à mon cours. Plus tard, je m'en vais sur le parking pour détacher mon vélo. Ma mini rouge est toujours garée à coté, mais depuis l'accident, je n'y touche plus. J'ai peur. Je vois l'autre là, au loin, il est plus beau que dans mes souvenirs, mais ça ne change rien à ma haine quand je le vois. Le problème c'est que je ne peux me mesurer à lui physiquement, je suis bien trop faible, il pourrait me casser en deux sans que personne ne s'en aperçoive. C'est pour ça que j'hésite à ouvrir ma grande gueule. Mais vu le point ou j'en suis, je n'ai vraiment plus rien a perde, donc forcément, j'ouvre ma grande gueule.

" Qu'est ce que t'as à me regarder de travers, tu veux me frapper c'est ça ? Tu sais pas contenir ta rage, Ivanovitch ? " A peine ai-je sorti ces mots que son regard se noircît davantage, et il me bouscule. Etant vraiment d'humeur à m'énerver, je le pousse contre le mur de mes deux mains. " Tu vois ? Moi aussi je peux le faire ! "

Décidemment je m'habituais assez vite à cette vie, elle est assez différente d celle que j'avais en Russie, les habitudes sont différentes, les gens sont différents, je dois avouer que le petit plus est le nombre de cul très attirant qu'il y a ici, en Russie, c'était assez rare de trouver le cul parfait, mais là, il y en avait à chaque coin de rue. Bref, j'étais à Harvard seulement depuis environ 1 mois et déjà tout le monde savait qui j'étais, le fils Ivanovitch, tout le monde savait mon statut, prêt à devenir Duc de Russie, tous savaient que j'avais de l'argent, beaucoup d'argent, ils savaient que j'étais prêt à tout pour arriver à mes fins et ceci quelque soit les moyens encourus, Nastasiya s'était auto-proclamée princesse d'Harvard, la Reine des glaces ou encore la russe intouchable, de belles réputations mais j'allais remonter le niveau, j'étais son concurrent préféré et détesté, on se bat pour le trône et on va se battre pour la première place au top d'Harvard et comme toujours la partie sera fort distrayante. Cette journée n'avait pas été si chiante que ça, étudier la politique, chose assez compliqué, être concentré tout le temps sous peine d'être paumé dès les premières paroles, je me devais de suivre tous ces cours, ordre merveilleux de mes parents, ils m'avaient envoyés ici pour revenir plus tard, plus cultivé, plus mature, prêt à diriger un pays sans grandes difficulté, mais il y a toujours des complications, Anastasiya est l'un de ses complications, je dois habiter chez elle, nous allons nous "mariés" pour réunir les deux familles russes, montrer que la Russie devient plus forte mais je la déteste, je suis venu ici que pour faire honneur à mes parents, et montrer que je saurais être un vrai dirigeant. Pour le moment, les cours venaient de se terminer, j'entrais sur le parking, là où était ma moto mais il semblerait que cette journée devienne gâchée par la présence de Solweig, cette fille qui avait oser me bousculer le premier jour en prenant un grand air, elle ne savait pas dans quoi elle s'entrainait et maintenant elle le savait, chaque fois qu'on se voit c'est la guerre enfin on haussent la voix, ce genre de trucs, mais malgré toute cette haine, je sens une attirance réciproque, elle a ce qu'il faut pour plaire, il faut l'avouer, un joli visage, un corps attirant et tout mais ma haine envers elle m'oblige à la détester au lieu d'aller vers elle et l'embrasser. Elle venait vers moi, poussant la voix, me provoquant, mon regard changeait, il devenait plus sombre, elle n'aurait pas du me parer ainsi, je la bousculait comme presque tout le temps, elle avait une part de fierté a petite blonde alors elle me poussait à son tour contre un mur, elle avait du cran, ça me faisait sourire Tu es tellement mignonne quand t'es vener... j'adore je l'a provoquait comme toujours, je me laissé faire aussi, si je le voulais en une claque elle serait par terre en train de chialé comme pas possible.

Alors que je le plaque contre le mur, Aleksei sourit " Tu es tellement mignonne quand t'es vener... j'adore "

Il me provoque là, c'est clair. Déjà, à la base, je n'aime pas ce type. Tout le monde le connait à Harvard. Parce qu'il est héritier du trône de Russie, il se croit tout permis, il sème la pagaille auprès des étudiants. Les filles sont complètement folles de lui, et même si je dois avouer qu'il est tout à fait mon type, je continue à trouver ça pathétique à chaque fois que mes amies se retournent sur son passage. Il abuse vraiment de son statut, alors qu'ici il n'est qu'un simple étudiant, au même titre que les autres. Et s'il croit qu'il fait peur aux gens, ce n'est certainement pas mon cas, et il peut toujours aller se faire voir s'il pense le contraire.

Il a l'air de sérieusement s’être trouvé une proie avec moi, certes, mais pas une proie facile. Je ne sais pas encore si pour lui je ne suis qu'un jouet à mettre au lit ou simplement à faire chier, mais je pense que ça doit être faire chier. Je ne suis pas le genre de bimbos refaites qu'il à l'habitude de draguer, et je ne m'en porte pas plus mal ainsi. Il n'a qu'à retourner se taper toute la cabot house en entier si ça lui chante, moi je ne mange pas de ce pain là.

" 'mignonne quand t'es vener' ..nan mais tu m'dégoutes... t'es a cours de meufs parce que tu t'es déjà tapé la moitié du campus, c'est ça ? " Après l'avoir regardé de haut en bas, je reprends " Tu crois que tu fais peur à qui comme ça ? J'ai compris ton petit jeu stupide, tu sais ? Tu joues les durs alors qu'en fait t'es un faible ... bref, tu n'en vaux pas la peine " finis-je en le lâchant.

Je finis par lui lancer un dernier regard noir avant de retourner à ma bicyclette.

Cette fille, c'est comme avec Anastasiya, plus je la voix mieux ma colère se dégage, bien sur avec Nastasiya c'est unique, ça dure depuis toujours, avec Solweig c'est récent, on s'est rencontrés le premier jour, une rencontre qui s'est assez mal passée, la pauvre sortait des toilettes, elle avait du sécher pas ma de larmes, juste en la voyant elle était à mon gout, une fine silhouette, des formes généreuses et attirantes, un joli visage, je voulais et je pensais sérieusement que allait faire partie de celles qui sont passées dans mon lit mais il y avait une différence entre espérer et ce qui est. En passant, elle m'a bousculer, sans s'excuser, c'était une erreur de sa part et elle en paye les frais depuis ce jour, chaque fois je me montre le mec désagréable et irritant, je lui en faisais baver, la provoquant, ne me gênant pas pour la bousculer, tout faire pour la faire chier, elle aussi s'y met mais je gagnerais toujours, entre elle et moi, il y a une grosse marge, je suis l'élite, elle est... bref passons, je gagne, elle perd. Elle devait savourer, elle m'avait pousser contre un mur, me gueulant dessus d'office, je faisais que sourire, la regardant s'énerver, elle m'avait direct agresser dès qu'elle m'avait vu, je lui disais que j'aimais quand elle était énervé, ça lui donnait encore plus un côté mignon, je la provoquais bien sur, même si il y avait du vrai dedans. Elle essayait de trouver sa répartie, de contre-argumenter mais quoiqu'elle dise j'avais le dessus, je l'écoutais baver, monologuer, me faire la moitié du campus, pas encore, je viens d'arriver, mais ce sera fort possible si je le veux vraiment, bref, elle me prenait pour un faible au fond, je lâchais un petit rire alors qu'elle se retournait pour ne plus avoir à faire a à moi mais je n'avais pas l'intention de la lâcher J'adore t'entendre dire de la merde, ça me distrais... je m'avançais vers elle, marchant derrière elle Au fait... tu dis que je suis faible mais tu l'es aussi non ? Genre avec l'histoire du boloss Lowel, le vice-pré là... il a un nom à la con... evan...erwan... ethan non ? souriant toujours là à faire du mal pour mon petit plaisir personnel.

Alors que j'avais déjà tourné le dos à Aleksei, je marchais en direction de mon vélo, mais ça ne lui suffisait pas, il n'avait visiblement pas compris que notre discussion avait pris fin quelques secondes plus tôt. Pour le coup c'était bizarre, il me suivait, marchant derrière moi, et balbutiant des mots dans l'unique but de me faire chier.


" J'adore t'entendre dire de la merde, ça me distrais... " rétorquait-il. J'avais limite envie de répondre 'Ouais cool' mais la flemme de commencer à me retourner pour si peu. Et puis dire de la merde... non franchement il n'a pas trouvé mieux pour insulter mes propos ? Cet homme n'a aucune éducation, et dire qu'il est censé régner sur un peuple dans quelques années ... Je me demande déjà comment a t-on fait pour le laisser rentrer à Harvard. Seulement, il continua de me suivre, et ce qui suivit ne fut pas aussi tendre que ses dernières paroles...

" Au fait... tu dis que je suis faible mais tu l'es aussi non ? Genre avec l'histoire du boloss Lowel, le vice-pré là... il a un nom à la con... evan...erwan... ethan non ? "

Mon coeur fit un bond. Il a osé. Quelle ordure ... le pauvre. Il me parle du fait que je sois faible à cause de mes sentiments pour Ethan, et aussi concernant sa récente mort ? Je n'ai jamais nié ma faiblesse. Je suis faible sentimentalement, et physiquement. La ou je suis forte, contrairement à Aleksei, c'est bien mentalement ! 'boloss Lowel'... Bref, à peine a t-il finit sa phrase que je m’arrête net. C'est ce qu'il voulait ? Ben il l'aura. Je reste immobile une seconde, le temps de réfléchir à ce que je suis censée faire dans ce genre de situations. Je me dis que le claquer n'est pas la solution, pourtant, c'est plus fort que moi. Je serre le poing, me retourne vers lui et le lui fou en pleine arcade.

" Oui, c'est ce que j'ai dit, et ce que tu viens de dire ne fait que t’affaiblir à mes yeux. Aleksei tu es peut-être fort physiquement, mais tu es né faible mentalement, et tu mourra avec cette faiblesse... mais ne t'en fais pas, heureusement que dans ton cas, le trône est héréditaire, parce que si ça dépendait de tes capacités mentales, je ne suis pas sure que tu serais ici parmi nous. "

Je ne préfère pas rebondir sur ce qu'il a dit au sujet d'Ethan et moi. J'ignore comment il a su notre histoire, mais je n'ai pas envie de l'enrichir en informations à mon sujet, ça ne ferait que le rendre un tantinet puissant. Merci papa, de m'avoir appris à donner des poings. Celui-là à l'air d'avoir bien marché puisqu'il fait la grimace, et un tout petit peu de sang coule sur son sourcil. Je le regarde froidement, pour bien lui faire comprendre que ça ne sert à rien de me lancer sur ce genre de sujet, c'est pas devant lui que je pleurerai, devant personne. Cette douleur, je me la garde. 'Aleksei ne t'atteint pas Solweig, il ne t'atteindra jamais.'

Elle me tournait le dos, marchant pour rejoindre son vélo mais on ne me tourne pas le dos, pas à moi, je la suivais à pas léger, la provoquant, comme je sais si bien le faire, je n'aimais pas qu'on régissent comme ça avec moi, enfin, se barrer et m'ignorer, c'était le truc à éviter avec moi, je n'allais pas la laisser s’en tirer comme ça. J'avouais que je devais mesurer mes propos, je vais monter sur le trône je devrais réfléchir à quoi dire, sur la façon de le dire et tout ce bordel, j'ai une éducation mais pas celle attendue pour un duc prêt à monter sur le trône, même moi je le voyais. Bref la n'était pas le sujet, je continuais à la suivre, souriant et allant encore plus loin dans mes propos, ceux qui peuvent blesser, je lui parlais d'Ethan, le vice-président des Lowel qui est mort, je savais que Solweig était très proche de lui et tout, alors je l'attaquais sur ce sujet, pour lui faire mal et lui faire comprendre qu'il ne faut pas m'ignorer et me tourner le dos. Je l'avais bien énervée, si bien qu'elle s'arrêtait, j'en fis de même, souriant, elle se retournait et sans m'y attendre, je sentais son poing fermé s'écraser sur mon arcade, j'avais du y aller un peu trop fort niveau paroles, beaucoup trop même. Je l'avais senti son coup, j'allais pas nier, je saignais même, une légère coulée de sang qui descendait, je l'entendais me faire une morale je grimaçais, c'était le truc absolument à ne pas faire, elle était une fille, mignonne et sexy mais aucune importance, me taper engendre de très lourdes conséquences, même pour elle. Solweig... je ne vais pas te menacer, tu va encore me faire une morale à deux balles et tout ce bordel que tu sors d’habitude, et ce sera une perte de temps pour moi... j'vais y aller direct et pas me prendre la tête.... je m'approchais d'elle, plus ce sourire, juste ce regard sérieux Casse-toi... je la poussais, une pression assez forte pour qu'elle tombe par terre, j'allais pas la défigurer ou l'envoyer à l'hosto, juste lui faire comprendre qu'il fallait pas faire ça, certes je prouve ce qu'elle à dit, fort physiquement, faible mentalement mais je m'en foutais, sur le coup je m'en foutais Face à moi, tu ferme ta gueule et tu t'écrases... je poursuivais mon chemin dans la direction de ma moto.