new york state of mine. (piper)

réveiller matinal à New York, t’as l’impression de nouveau d’avoir 17 ans, rien à faire de la journée et fraîche comme la rosé du matin. sauf que t’as bien 22 piges et que ce lit ce faisait de plus en plus petit. ta mère été aux abonnées absent, bien sur, elle avait fait des pancakes pour se faire pardonnée et des petits mots doux un peu partout. c’était exactement comme dans tes souvenirs, rien n’avait changer. le mur été toujours pourrissent, la vue a toujours été aussi pourrie et les gens été toujours aussi bruyant, mais tout ça, ça t’allait, ça matcher sincèrement avec ton âme et ton humeur du moment. alors tu te rend dans la chambre de piper pour la réveiller. tu toquet avant d’entrée au final et sauté à pied joint sur son lit. « le soleil est lever donc je suis lever. » dit-tu en t’affalant sur elle, une petite répliquer de disney parce qu’intérieurement tu te sent comme Anna. tu roules à côté d’elle et vire le chat de votre mettre pour la mettre sur vos genoux, elle a toujours préféré Piper à toi, peut être parce que tu refuser de nettoyer sa litière, alors elle n’arrive pas à te voir comme un vrai esclave, car oui les chats ne nous considère pas comme des maîtres mais comme des esclaves. « on va courir ? ou alors on va faire un tour au musé ? ou alors on prend le petit déjeuner chez tiffany’s and co’ et je m’achete une nouvelles montres. qu’est-ce que t’as envie de faire Piper ? » toi, t’avais envie de tout faire, tout découvrir, tout teste. tu voulais savoir quel gout avait la grosse pomme maintenant que tu avait 22 ans et non 17. les choses serait-elle différent ou alors elles seraient pareille? même prendre le métro bonder t’exciter. la julia new yorkaise te manque.

@piper j. redmayne :cal:

« Je suis d’humeur à courir trois heures et enchaîner sur du shooping. » tout ce que tu aimes. Dormir ? non le temps est compter, il faut profiter. Profitée de ce beau soleil d’automne, de la petite brise, des rues bondés, des restau qui rajoute toujours une couche de ce que tu veux sur ce que tu commandes, et vas-y que j’enroule ton donut dans des paillettes ou alors que je rajoute du fromage fondu sur ton sandwich, c’est ce que tu retiens de New York : rien n’est grave, tout ce que tu peux faire sera toujours anodin face à cette immensité. Tu lui adresses un sourire ravis alors qu’elle accepte pour le petit déjeuner, bon maman avait préparé des trucs mais tu avais déjà l’habitude de ses pancakes alors tu allais les mettre sous film et remanger plus tard, de toute façon tu ne pense pas la revoir du séjour. Alors tu te relève pour aller te préparer mais l’autre monstre te pousse pour prendre la salle de bain. « TRICHEUSE !!!! » tu hurles, ce qui fait fuir le chat et avant de même de pouvoir la poursuivre elle est déjà dans la salle de bain, ce bordel doit manquer aux voisins. Tu roules des yeux et fait une moue de boudeuse avant de retourner dans ta chambre afin de choisir ce que tu vas porter aujourd’hui. Ta vielle chambre été minuscule comparer à ce que tu as maintenant, cet appartement entier devait faire la taille de ta cuisine, mais il y a tellement de chose personnel que tu ne pourrais jamais vendre cet endroit. Le monstre fini par sortir et tu pars à la douche à ton tour, petite douche rapide et make up avant de sortir la nouvelle Julia en route. « et pas de vêtement moche Piper, c'est-à-dire pas de jean basket, met des bottines ou alors un haut classe, mais pas de look de meuf de seize ans fan des one direction. » bah quoi ? piper avait des gouts simple et efficace, si ce look plaît à plus de la moitié de la population, là elle devait plaire à l’autre partit de la population parce que merde c’est un petit dejeuner chez Tiffany and co’. Avant de partir, tu restes dans l’encadrement de sa porte, tes boucles d’oreilles que tu fixes dans tes trous. « J’avais jamais remarqué que t’avais encore une photo de nous deux à notre premier jour au lycée. » fais-tu remarquer à ta soeur, elle avait un cadre photo avec un photomaton de vous deux en secondes.

« c’est ce que tu dis toujours et c’est ce que tu ne fais jamais. » te faire honte oui, ça elle été experte. Mais pour le coup, t’avais pas fait une tonne d’effort non plus, un crop top blanc, un pantalon carotte noir et des talons pas très haut, ça t’allais pas mal, mais t’étais pas sûre d’assumer de porter des talons toute la journée. Après tout, c’était new york pas cambdrige, à boston tu trouvais toujours une âme sensible pour te déposer et te ramener, à new york on se bat pour des taxis. Tu arrives dans sa chambre et valide sa tenue. « j’adore, pour une fois que tu tiens tes promesses. » ton regard se pose sur votre photo et le temps d’en instant tu t’en veux pour tout ce qui s’est passer entre vous, tu as instaurer le silence entre vous deux, si votre relation s’arrêter à deux messages par jour voir par semaine c’était de ta faute, à toi, rien qu’à toi. T’étais vexer pour un rien, tu lui faisais la misère sans raison. Au début c’était juste sa popularité qui te gener, ensuite ça a été l’histoire avec Pluton, jusqu’à la détesté au point de ne plus prendre de ses nouvelles. Tu aurais pu éviter tout ça, elle aurait peut être toute sa tête si tu avais intervenue. « ouai, on est mignonne dessus. » dis-tu avant de la suivre. Elle semblait à la fois étonné et contente de revoir New York, tu prends sa poignet la tire jusqu’à la bouche de métro. Vous vous engouffrer dans la métropole, contre les gens en sueurs et les travailleurs acharné, les petites pisseuse qui vont en cours et les clochards qui se mettent à chanter. Vous descendez un arrêt avant celle des touristes et longer la rue parallèle à la grande rue principale. Un peu de tranquillité avant le début des hostilités. Arriver devant Tiffany&co’, c’était la foule, tu soupire, ça ne t’avais pas traversé l’esprit que d’autre aurait eu ton idée. Alors tu te faufiler entre les touristes jusqu’à la prote d’entrée et montre ta carte ; « Je suis une habituée. » dis-tu en te dressant devant le vigile, il regarde ta carte et te demande de reculer d’un pas. « vous n’êtes pas venu depuis les six dernier mois, vous faite la queue comme tout le monde. » tu soupires, mais reste à ta place, la prochaine qui passe ce sera vous.

Tes penser divague un peu. Combien de fois est-ce que tu as arpenté ces rues ? Longue ce fleuve ? Marcher sur ces trottoirs ? Combien de fois tu t’es demander si ton attitude envers ta sœur été correcte ? est-ce que tu devrais te remettre en question ? est-ce que la haine que tu lui a voué n’est que jalousie caché ? tu devrais remettre les choses à plats, lui dire le pourquoi du comment. Arriver dans la queue tu te prends un stop par le vigile, partager entre l’envie de le cogner ou de le bousculer pour passer derrière lui. Ce n’est pas son salaire qui va l’aider à acheter ce qu’il y a un l’intérieur. Une fois à l’intérieur Piper se rue sur les tables à manger, tu lâches un rire avant de poser tes affaires. « C’est pas vraiment un restaurant. En gros, tu as un petit brunch offert, pendant que tu choisie ce que tu vas acheter. » et le brunch été succulent, bien sur. Etant donner que le bijou couté le double voir le triple de ce qu’il doit couter normalement. « Du coup lève toi, on va faire un tour vers les colliers. Ça te dit qu’on s’en achète un qui match ? je sais que j’ai toujours dit que j’étais contre d’avoir le cœur séparer en deux, mais pourquoi pas. » t’avais déjà pas mal de bijou, voir trop même. si tu devenais pauvre un jour, il faudrait juste que tu rende tout tes bijoux pour être de nouveau riche. Tu t’attarde sur les petits colliers en argent. « On peut en prendre un en cœur ? ou alors on peut se graver un truc ? » l’argent t’allais mieux au teint de toute façon. Tu devrais lui dire ce qui se passe dans ta tête, après tout c’est ta jumelle, mais tu avais insaturé un silence depuis que vous êtes à harvard, même bien avant. Tu n’arrive pas à te dire que vous pouvez êtres égales, il fallait toujours qu’y en ai une meilleure que l’autre et pour toi c’était elle, la meilleure et toi qui foirée tout le temps tout. « Tu te souvient de Pluton ? »

« Oui, je suis sûre. » pourquoi ? Va savoir, depuis bientôt six ans, tu ne montrer aucun signe direct d'amour envers ta sœur, il lui arriver quelque chose de bien ou de mal ? D'accord, ok, pas de soucis, tu t'en faisait plus pour ton ongle casser que pour ce qui lui arriver et ça c'était bien dommage. T'avais mis un système d'auto défense pour éviter de ne ressentir quoi que ce soit pour ta sœur, et ça depuis que tu t'es rendu compte que tu été maladivement jalouse d'elle. Tu lui montre un petit cœur vide et un autre remplis et lui propose de prendre ça. « Pas que pour les couples, ton mec porte des colliers avec des cœurs ? » dis-tu dans un rire. « Mais bon, si tu veux y a encore le cercle, vide et remplis, ou alors une bague ? Ou un bracelet tout simple en argent ? » au fond tu devait être blesser et Pluton a été la première étape de tout ça, le fait qu'elle est perdu la mémoire pouvait être un nouveau départ pour vous deux, même si tu appréhender le retour à la réalité si un jour elle se rappeler des années de silence que tu avait instaurer . « C'est mon meilleur ami, et t'es sortit avec. Je pense que ça a été le début de quelque chose entre toi et moi, j'ai commencé à te détester à cause de ça. Je sais que c'est stupide, qu'il ne m'appartient pas, mais dans un sens j'avais l'impression que tu me le voler, et j'avais pas envie de le partager. Alors oui, quand t'es sortit avec Pluton j'ai commencer à te haïr et je sais pas pourquoi c'est aller aussi loin que ça, j'ai jamais essayer d'arranger les choses, j'en avait aucunement l'intention.. pourtant. » pourtant tu avait envie de le aire maintenant ? Pourquoi ? Pourquoi un changement si soudain ? Tu ne serai pas capable de dire.