Athénaelle - Have a break, have a friends

Tu quittas Hadès tard dans la soirée, tu avais besoin de lui pour faire chier ton monde, qui l'aurait cru ? Toi. Ce petit pouvoir que tu avais avec lui, cet envie de destruction et le pire dans tout ça, cette envie de vengeance. Mais tu étais calme, tu n'avais même pas été grossier une seule seconde quand tu avais quitté le prince pour rentrer chez toi et te changer. Une douche et te voilà de nouveau dans la voiture, habillé d'une chemise et une pantalon italien, dont seul toi connaissait le prix. Et voilà, tu soufflas doucement dans la voiture, en regardant ton téléphone mais la voiture s'arrêta, tu regardas dehors J'arrive dis-tu avant de quitter la voiture pour marcher jusqu'à la EH. Mais une fois devant, te voilà à ouvrir les portes et tu regardes ta montre 19h31, excuse moi, y'avait de la circulation ajoutes-tu avant d'embrasser la joue de ton amie qui venait de se faire larguer par un crétin sans âme. Tu lui souris doucement avant de l'emmener jusqu'à la voiture où ton chauffeur ferma la porte, et vous voilà l'un à côté de l'autre Comment tu vas ? lui demandes-tu avant que la voiture ne démarre en direction de la ville Je te laisse choisir le restaurant, t'as de la chance prononces-tu avec un petit sourire alors que tu la regardes ensuite. Tu savais que c'était dure, tu étais dans la situation qu'elle après tout..Alors oui, tu étais là pour elle...

@Athénaëlle A. Wildingham

Et c’est dans l’amertume que ma journée s’achève. Fin des cours, je reçois un sms de Amaël : Il faut qu’on parle. Le message est incisif, presque meurtrier pour mon cœur qui se cherche des repères. Je déglutis tout en me dirigeant au point de rendez-vous. Une heure plus tard il monte dans la voiture, et s’en vas, et moi ? Moi je me retrouve seule, le cœur brisé, putain je n’avais pas besoin de ça, pas alors que tout commencer à rentrer dans l’ordre ! Je sers dans ma main le pendentif de mon collier. C’est lui qui me l’avais offert en me berçant de belle promesse et de paroles en l’air. Tout comme il vient de faire voler ma vie, j’arrache le collier de mon cou, la chaine fine en or se brise et je lâche le bijou qui tombe à terre. J’avais été assez conne pour y croire, assez conne pour penser que les hommes savent aimer, mais non je m’étais trompée. Visiblement je n’étais qu’une option dans sa vie à ce petit con ! Je textote quelques personnes de confiance tout en marchant sans but réelle dans la rue. C’est finalement Noah qui arrive à m’arracher un sourire avec ses sms, alors comme ça monsieur m’invite à dîner ce soir ? N’aller pourquoi pas. Je venais de lui confirmer que pour dix-neuf heure trente je serais prête. Mais prête à quoi ? Tourner la page ? Non pas aussi facilement, je suis en colère, terriblement en colère, mais derrière toute cette hargne je cache surtout une profonde tristesse, une peine au cœur terrible. Il veut m’oublier ce petit prétentieux de Amaël ? Bah qu’il le fasse, j’ai déjà perdu tellement de gens dans ma vie, alors ce n’est pas lui qui fera tout basculer. On s'habitue à l'absence, toujours, j'ai déjà pensé le contraire, mais c'est faux, le temps prend le dessus, le temps efface tout, absolument tout, la douleur, les déceptions. Je suis seule dans ma chambre, et finalement je vois qu’il est l’heure. Peut-être que je vais pouvoir enfin penser à autre chose. Le doux visage de Noah est sous mes yeux, je suis ravie de le voir et mon visage s’éclaire, j’esquisse même un sourire angélique, comme pour tromper la galerie sur mon état moral. « Bonsoir Noah. » Il dépose un bisou sur ma joue, et je lui rends un bisou sa joue aussi, je suis pas une personne démonstrative habituellement je hais même ça, j’estime que quand tu tiens à une personne tu ne dois pas le lui prouver tout le temps, mais là ce soir j’avais fait une exception pour mon bel ami. « Je te pardonne ton regard, mais c’est la dernière fois. » J’essaye de garder mon sérieux, mais c’est plus fort que moi je fini par rire, non mais vous imaginiez réellement que j’étais sérieuse ? Je ne pouvais pas lui en vouloir pour quelques secondes de retard. Je le suis jusque dans la voiture et son chauffeur referme la porte derrière nous. Il a fini par me la poser cette question que je redouté tant, c’elle qu’on ne peut jamais s’empêcher de poser même si on connaît déjà la réponse. « L’amour est une catastrophe, on fonce dans un mur, et tout en le sachant on accélère quand même. Aimé c’est courir à sa parte avec le sourire, c’est pitoyable, maintenant je le sais. Franchement, je n’ai plus envie de perdre mon temps avec ce genre de sentiment débile. » Oups ça s’est dit et ça ne répond pas directement à la question. Je soupire et plante mon regard dans celui de Noah « Sinon je vais bien. Et toi ? » Il faut dire la vérité, je suis très bonne menteuse, mais là dire que j’allais bien c’était comme vouloir apprendre à un singe à faire la grimace, non mais ce que je pouvais être stupide parfois. Mais changeons de sujet, je ne savais même pas comment Noah allait, après tout même si pendant longtemps je m’étais mise des œillères pour ne pas voir l’évidence, Noah avait toujours été là pour moi. Alors comme ça il me laisse le choix du restaurant, très bien. « Si ont mangé au restaurant gastronomique français ? » C’était un petit restaurant qui servait des plats très bon, mais surtout donc le cadre était assez romantique, et moi cet endroit je l’affectionné beaucoup, et en plus je n’y avais jamais été avec qui que ce soit. Noah aller donc être le premier à manger avec moi dans ce restaurant où je m’étais toujours rendu en solitaire.

C'était le silence dans cette voiture avant que Athénaelle ne rentre, et la voilà pleine de vie. En même temps, vu ton humeur de connard qui ne présageait rien de bon, il fallait que tu te calmes, alors qu'elle prononce une tirade, tu fronces les sourcils. Mais voilà qu'elle te dit qu'elle va bien. Et il est vrai ce mensonge ? ajoutes-tu avant de sourire doucement Je vais toujours bien tu sais enfin sauf dans cette journée horrible qui n'en finit pas. Tu es comme ça, tu gardes tout pour toi et après tu exploses. Alors tu la regardes, tu souris doucement avant de passer ta main dans tes cheveux quand tu lui demandes le restaurant. Va pour se restaurant, indiques-tu au chauffeur qui continue sa route, ainsi tu fronces les sourcils Pourquoi manger français ? Bah quoi ? Autant poser la question ? Après tout, tu ne manges que espagnol quand tu es énervé et quand tu as besoin de tout péter. Bon, bah là c'est français, mais c'est un peu la même chose. La voiture s'immobilise, alors que la chauffeur ouvre la porte, tu sors en premier, en boutonnant ta veste alors que tu tends ta main pour qu'elle puisse sortir de la voiture, tu lui souris. Je t'ai déjà dis que tu étais très belle ? dis-tu avant de sourire alors que tu avances jusqu'à la porte du restaurant. Et bien sur, ce qui est le plus drôle, c'est le stagiaire qui te sourit pour d'indiquer qu'il n'y avait plus de place. Ton bras se dépose autour de la hanche de la jeune femme avant que tu ne soupires, tu souris, tu es calme, pour une fois Je sais qu'il reste une table, parce que je connais très bien le maitre restaurateur des lieux, qui en plus, par simple demande, vous fera virer sur le champ, si il apprend que vous avez refusé une table à mon amie et moi. Dois-je vous rappeler nos noms de famille, où vous avez compris qui nous sommes ? Encore ce sourire de connard sur le visage alors qu'il s'excuse et bien sur, vous montre la partie privé du restaurant, tu avances à la table, jusqu'à ce que vous vous asseyez.

Je sais bien que je ne suis pas une bonne menteuse, je n’ai jamais été douée pour mentir aux personnes que j’aime. Alors bien entendue je ne suis pas surprise lorsque Noah me demande si c’est vrai ce mensonge. Que voulez-vous je suis comme ça, je ne confie pas spécialement, mes peines son mon combat pas celui des autres. Une boule dans la gorge et l’envie de pleurer me prend, alors je mordille ma lèvre inférieure et retiens mes larmes, C'est stupide, il n’y a même pas 5 minutes je souriais et là je veux juste me rouler en boule pour disparaître. J’ai envie de pleurer mais je ne le ferais pas, car je me suis promise de ne plus jamais pleurer. J’ai pleuré pendant des heures après son départ, alors maintenant c’est terminé, je préfère qu’on pense que je n’ai pas de cœur plutôt que l’on m’arrache encore des larmes. Je me sens épuisée, à bout de force d’une lutte mentale qui n’as que trop durée, et qui pourtant dure encore. Je lâche un soupire, las de devoir me justifier, je prends tout simplement le silence en guise de porte-parole. Noah prend la parole, mais je fais juste semblant d’entendre, d’écouter et de répondre, sans réelle conviction, le tout bien dissimulé derrière ce petit sourire angélique qui trompe tout le monde sans exception. « Il font des plats raffinés quand ils veulent les français. » Simple comme réponse, mais je ne voulais pas en dire plus, alors je laisse un petit rire s’échapper de ma bouche. Sourire et rire me laisser du répit, je pouvais échapper encore un peu à des questions qui fâche. Je ne voulais absolument pas aborder le sujet. Le reste du trajet fut bercer de silence. La voiture s’immobilise et le chauffeur ouvre la portière pour laisser Noah s’extirper du véhicule. Mon ami me temps la main, cette galanterie qui lui est propre, cette façon qu’il a d’être charmeur, j’adore, ça me change les idées. L'un des aspects les plus étranges de la vie est qu'elle continue à tracer sa route, sans se soucier que votre monde à vous subisse des transformations, et la vie avait mise sur mon destin Noah ! Noah c’est un peu un cadeau que j’avais reçu de la vie. Quand je le voyais je pouvais oublier tous les soucis, son sourire était comme le flash d’un appareil photo, il m’éblouissait, si bien que je ne pouvais voir que lui et son charme fou. Je pose ma main dans la sienne et sort à mon tour du véhicule. « Peut-être, mais darling, je ne me lasse jamais de tel compliment. » prenant un ton malicieux, accompagné d’un sourire amusé. J’aimais ce genre de petit jeu avec Noah, tout était en finesse et délicatesse entre nous. On marche vers la porte d’entrée, sauf qu’une fois devant je suis perplexe, ou est Célestine, la serveuse habituelle ? Et pourquoi diable un vulgaire stagiaire, en plus il à ce petit sourire débile sur les lèvres. Aussitôt que mon regard vois se sourire stupide, je fronce les sourcils, non mais il se prend pour qui cet avorton ?! Je prends une petite inspiration, et alors que j’allais commencer à remettre ce petit prétentieux à sa juste place, Noah passe son bras sur ma hanche, ce qui me calme et mon regard se pose sur mon ami. Je soupire légèrement. En ce moment je pouvais être un vrai ouragan, un volcan qui sort de sommeil, vous l’aurez compris une vraie tempête qui ravage tout sur son passage. « Estimez-vous chanceux que ce soit mon ami qui se soit charger de ce contre-temps. » Je dépose un bisou sur le joue de Noah en guise de remerciement. L’inutile de service nous conduit donc à notre table, le restaurant offre à ses client privilégié une partie privé, c’elle ou je mange habituellement pour information lorsque je viens ici. Nous nous asseyons enfin et le petit merdeux s’en vas. « Merci d’être intervenu, je manque cruellement de patiente en ce moment. » On pouvait voir que mes joues arboraient encore une très légère teinte rosée du au faite que je m’étais énervé intérieurement contre l’employé en apprentissage.

Tu es un charmeur, un connard fini, un enfoiré de première. Tu es tout ça à la fois, avec le mot enculé qui doit trainer quelque part aussi. Mais avec les femmes c'est aussi gentleman qui ressort rapidement de ton comportement. Tu aimes séduire, tu aimes draguer, tu aimes mettre dans ton lit, alors tu en profites. Tu joues, ça t'amuse. Face à la jeune femme, tu souris en coin, ton amie, t'as donné une bonne réponse. C'est vrai que les français peuvent faire de bons plans. Alors quand tu sors de la voiture, tu en profites, les gens te regardent, tu aimes être regarder, tu souris face à elle. C'est ton amie, mais actuellement, tout le monde autour pense qu'il s'agit de ta conquête, tu en profites. Tu embrasses sa main, tu souris en coin, avant que ton bras entoure lentement sa taille fine et tu ajoutes Ne t'inquiète pas pour ça, c'est difficile de dire que tu n'es pas magnifique. Alors tu avances, tu passes devant le monde, tu entends le mot plein. Mais qui est ce type sérieusement ? Qui est cette merde. Tu le remets à sa place, et bizarre il a de la place. Privé. Tu le regardes de la tête en bas avant de souffler, tu en profites pour déposer ta main au niveau de son bras. Nous connaissons le chemin. Tu devrais prendre tes affaires, ton stage ici est terminé et voilà qui est dit. Qui aurait pu dire que tu étais d'humeur à faire virer quelqu'un. Et tu sens l'embrassade de ton ami, tu es d'humeur cool alors ? Ou tu es d'humeur connard, tu ne sais pas, tu souris alors que tu la fais asseoir et tu rapproches lentement sa chaise de la table. Mais ton regard se pose sur le serveur Au fait, tu peux dégager, elle ne voudras jamais de toi, et moi non plus d'ailleurs ajoutes-tu simplement avant de te déboutonner ta veste et tu t'assois face à elle. Un sourire amusé sur ton visage, tu la regardes, elle te parle, tu rigole. Je viens de faire virer un pauvre trou du cul et tu dis que tu manques de patience ? Je crois qu'on manque de patience tous les deux dis-tu alors qu'une vraie serveuse arrive pour vous déposer les cartes, et tu regardes l'employée Pourriez-vous indiquer au propriétaire que le jeune homme à l'accueil, je ne veux plus jamais le revoir dans cette ville s'il te plait, je suis sur qu'il comprendra petit sourire sadique, tu vas au bout de ton idée, sinon ce n'est pas drôle, bien sur.

Noah est un charmeur, et j’aime me prêter à ce petit jeu de séduction stupide qui s’est installé entre nous. Depuis peu je ne suis plus avec Amaël, j’ai l’impression d’avoir été trahis, de n’être qu’une simple fille comme ça dans la vie des gens, alors que je suis une Wildingham ! Mon regard se pose sur Noah lorsqu’il annonce au jeune homme que son stage est terminé. Je suis ravi de l’entendre dire. Un sourire tyrannique orne désormais mon visage en croisant le regard du stagiaire, le sadisme qu’il peut voir dans mon regard signifie clairement que je n’en ai pas fini avec lui. Alors que Noah pousse lentement la chaise pour que je puisse prendre place, je vois le jeune stagiaire prêt de nous qui attend qu’on lui passe éventuellement commande, mais il rêve. Je ne lui porte aucune attention. « Je crois qu’on a un souci. » Noah fait clairement comprendre au stagiaire que nous ne voulons pas de lui, c’est fou ce que je peux aimer Noah quand il réagit au quart de tour comme ça. Lorsque mon ami rigole à ma remarque je fais mine de bouder, ce qui en réalité n’ai pas du tout le cas. « Si on manque de patiente tous les deux, on pourra peut-être se tenir compagnie un de ces soir qui sais. » J’ai un petit sourire en coin sur les lèvres. Je ne suis pas sud genre à faire des avances habituellement, et d’ailleurs c’elle de Noah je les avais toujours repoussées, alors pour une fois que je faisais moi-même une allusion à l’éventualité de lui tenir compagnie une nuit. Je suis satisfaite lorsque Noah indique à la serveuse que le jeune homme il ne veut plus jamais le voir. J’ai un sourire sadique qui orne mon visage. « Bonjour mademoiselle. Indiqué aussi que la fille d’Adrian est là. » Adrian c’est mon père mais aussi l’un des meilleurs amis du propriétaire de lieux. Donc en plus d’être viré par Noah, le jeune stagiaire aller certainement prendre l’engueulade et donc la honte de sa vie, et pour cause lorsque la jeune femme s’en retourne en cuisine, le chef des lieux fais raisonner sa voix dans les cuisines. Je cache mon sourire de satisfaction derrière ma main posée sur ma bouche. Mon regard se pose sur Noah. « Je crois bien qu’il a eu son compte cette fois. Noah, tu te souviens avant que je parte à Porto Rico tu voulais que je dorme chez toi, et j’avais refusé car je partais le soir même pour cette île de malheur. Du coup je te dois toujours une nuit chez toi. » Je lui faisais un clin d’œil. Intérieurement je souffrais de l’absence de Amaël, mais je suis jeune, je ne voulais pas m’empêcher de vivre pour une rupture.

Face à toi, la jeune femme, tu n'avais pas réellement prévu d'aller diner avec elle ce soir. Juste une envie soudaine. Enfin prévu était un bien grand mot. Tu étais du genre impulsif, avec des envies soudaines, rien de plus. Tu aurais pu la ramener chez toi, lui cuisiner quelque chose, mais pas ce soir, pas maintenant, tu n'étais pas d'humeur à cuisiner. Et faire virer un jeune homme, sans la moindre explication était la goutte d'eau. Tu avais sans doute dépassé les bornes, mais tu étais bien heureux de l'avoir fait. Quand elle indiqua à la serveuse le nom de son prénom, tu ne pus t'empêcher de sourire quand tu entendis le bordel de la cuisine. Au moins, c'est sur qu'il va venir s'excuser en personne celui-là. Mais voilà que ton regard se porte sur le menu, avant de relever les yeux vers elle. Tu me proposes une nuit avec toi, ce soir ? Est-ce que tu es sur que tout va bien ? Je croyais que tu ne voulais pas succomber à la tentation ? ajoutes-tu avant de sourire en coin. Et le chef arrive. Tu lèves les yeux vers lui, lui serrant la main alors qu'il s'excusa de nombreuses fois Y'a aucun mal, ne vous inquiétez pas, je n'aime juste pas le mauvais personnel. D'ailleurs vous avez le bonjour de mon père, il me demande quand est-ce que vous ouvrez un restaurant à Rome. demandes-tu au chef alors qu'il te répond très bientôt. Mais ensuite, il s'occupe d'Athénaelle, en s'excusant à son tour. Tu ne peux que apprécier la supériorité de la chose avant de refermer le menu. Tu regardes ta belle en face de toi. Mais il s'en fuit et tu rigoles Je crois que j'ai eu ma dose d'excuses pour la fin de ma vie toi c'est sur tu ne t'excuses jamais, ça s'est clair et net en plus.

Une espèce de brouhaha s’échappe de la cuisine, sa hurle, sa crie, ça fait des remontrances, et je souris, satisfaite de notre petit manège à Noah et moi. Je suis plutôt contente en réalité que Noah est fait virer ce stagiaire ou je ne sais quoi d’autre, un insecte rien de plus. La tentation, le sujet reviens une fois de plus entre nous, mais cette fois il n’y a plus d’obstacle. Pendant que j’étais en couple, je m’étais battue contre cette attirance physique, contre ce désir ardent de toucher à son corps, alors pourquoi devrais-je me retenir désormais ? Mais rien que pour le plaisir de me faire désirer, j’en serais capable. « Noah, mon tendre ami, une nuit avec toi ne signifie pas que je vais coucher avec toi. » Je lui souris, tout en lui faisant un clin d’œil. Je ne voulais pas être de ce genre de fille qui une fois célibataire se lance dans les bras du premier venu, je ne suis pas comme ça. Je l’observe quant au final le responsable de l’établissement vient s’excuser. Je l’observe, écoute mon ami lui parler, puis il s’excuse à nouveau envers moi cette fois. « L’incident est clos, mon père vous contactera, il doit inaugurer très prochainement une nouvelle acquisition, il aura besoin de vos compétences pour un buffet. » Après un bref échange respectif sur les attente de nos paternels envers le chef, ce dernier peut enfin regagner ses Fournaux. Je soupire, les excuses c’est bon nous en avions eu suffisamment pour cette soirée. « Oui je suis de ton avis. » Je pose ma main sur cette de Noah et plante mon regard azure dans le sien. Je ne sais pas encore quel genre de connerie je vais bien pouvoir sortir, mais je ne vais pas restée muette. Je vois que nous somme écoutée et observé par d’autre clients privilégiés, certainement sont-ils surpris de la scène du chef qui s’excuse. Je suis d’humeur joueuse. Je fais rapidement un signe très discret à Noah pour qu’il comprenne ce que je vais dire et pourquoi. « Je t’aime mon amour. » Aller hop faisons entendre parler de nous un peu.

Tu observes la jeune femme, petit sourire en coin alors qu'elle te fait cette remarque, mais tu penches ta tête sur le côté avant de rire doucement. Manque de bol Athéna, bien que j'adore passer du temps avec toi, la phrase que j'ai énoncé n'avait aucune connotation sexuelle, contrairement à la tienne. Alors c'est qui la plus accro des deux ? Point pour toi. Tu aimes jouer sur les mots, et c'est ce qui fait ton charme non ? Alors tu passes ta main dans tes cheveux quand le chef s'excuse encore, et encore. A croire qu'il a décidé de vous pourrir la vie. Tu n'as qu'une envie c'est de te lever mais tu te retiens alors qu'il quitte enfin la chose et tu soupires. Ta remarque plait à Athénaelle et tu ne peux pas t'empêcher de sourire d'ailleurs. Tu profites de ce petit silence pour observer les gens alors que ta main se fait prendre dans la sienne, tu fronces les sourcils légèrement. Mais elle te fait signe et tu rigoles à sa remarque. J'aurais tellement aimé te le dire mais c'est impossible. Je crois que je n'ai pas vraiment de coeur pour l'amour Pensées secrètes pour ton ex fiancée que tu as croisé la dernière fois. Et malheureusement, tu as mal d'un coup, mais voilà que tu vois la serveuse à votre table. Tu regard se tourne vers la bleue alors que l'employée ne te quitte pas des yeux. Tu as vu ... Chérie.. Les femmes m'adorent sourire en coin alors que tes lèvres s'humectent lentement alors que tu sais très bien que la serveuse t'observe et qu'elle est gênée. Je vais prendre la spécialité du chef s'il vous plait. Mettez juste le mot VIP à côté de votre numéro de table, il comprendra. tu n'as pas quitté des yeux Athéna alors que tu tournes enfin les yeux vers la jeune femme debout. J'espère que vous avez bien noté. Je viens de faire virer votre stagiaire, j'aimerais éviter de vous faire virer. et tu souris encore alors que tu fermes le menu Je te laisse choisir le vin, c'est moi qui t'invite. Chérie. Ton sourire encore sur ton visage alors que tu insistes bien sur, sur le dernier mot. Sinon ce n'est pas drôle du tout.

Moi accro ? Et puis quoi encore ? Sa réflexion me fait sourire. Et puis quoi je suis jeune je n’ai qu’une vie et donc je veux la vivre à fond même si parfois je fais des erreurs de parcours un peu comme Amaël. « Bon d’accord je l’avoue, je suis un peu accro, et puis ? Il n’y a aucun mal à ça, en tout cas pas que je sache. » Je lui souris, j’aime bien être là avec mon ami. Ce restaurant était un bon choix, même si l’accueil n’avais pas été des plus délicat, désormais tout était rentré dans l’ordre. La serveuse arrive tout compte fais à notre table, et je souris en la voyant, en revanche cette dernière ne quitte pas Noah des yeux, je soupire faussement quand Noah me dit que les femmes l’adorent. « Oui un peu trop à mon gout chéri. » Et bien quoi ? On ne peut plus donner de petit surnom à un ami ? Bon vous vous en douterez bien avec Noah cette situation risque de nous amuser plus qu’autre chose. Noah fini par prendre commande, et je me contente de rendre la carte à la demoiselle « Le chef connais mes gouts. Et pour le vin se sera un Weingut Kress de 2015. » Je ferme les yeux un instant, puis les ouvres en regardant de haut en bas la demoiselle que Noah met en garde. Un sourire satisfait apparait sur mon visage. « Je te remercie chéri. » bon on est lourd ? Tant mieux on aime ça !