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Don't you dare leave me like this, i love you (willow)

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Lorsque j'avais eu ce texto de ce crétin de Jackson qui m'annonçait que Willow avait eu un accident de moto, j'avais tout lâché et filer au Massachussetts General Hospital. À bord de ma voiture, mes mains étaient blanches à force que je tenais le volant et que je faisais de la vitesse pour rendre à l'hosto. Et si c'était grave? Et si je la verrais plus jamais? Non, je refusais qu'elle quitte cette Terre et cela tant aussi longtemps que je respirais, parole de Tate Lawrence Murray.  Une fois garé, je sentais mon coeur qui battait la chamade. Je regardais dans tous les sens si il y avait pas un ambulance qui arrivait, je ne contrôlais plus mes moyens. Je voyais une infirmière qui me regardait d'un drôle air, pris de panique.''Willow Prada, je dois voir Willow Prada tout de suite!''. J'avais du mal à me calmer là, c'était pénible. L'infirmière me disait de me calmer, de prendre des respirations mais je me fâchais rapidement et levait la voix: ''PARDON VOUS COMPRENEZ PAS! Je dois la voir rapidement! Elle vient d'avoir un accident de moto, je dois savoir si elle va bien!''. Je me défis de son emprise et hurlait le nom de la fille que j'aimais dans tous les sens. C'était une douleur atroce que j'avais à la poitrine, le sentiment de la perdre ne voulait pas quitter mon esprit. La même infirmière me retrouvait avec des gardes de sécurité, je tentais de me défaire, j'avais sûrement l'air d'un mec instable mentalement. Je me fis reconduire dans une pièce où on m'examinait, me donnait au passage des calmants. J'exigeais toujours qu'on me donne des nouvelles pour voir Willow. L'infirmière était partie depuis une vingtaine de minutes. Je faisais les cent pas, me prenait la tête, j'allais exploser. Je renversais tout ce que je pouvais dans la pièce , la colère me gagnait et surtout les pires scénarios. Je fus arreté par un cri de l'infirmière: ''Monsieur Murray! Calmez -vous, j'ai des nouvelles pour vous.''. Elle exigeait que je m'asseois mais je ne pouvais que rester contre le mur. Diagnostic de la femme de ma vie: Willow avait eu un violent accident de moto qui lui avait valu quelques fractures et le choc de l'impact l'avait placer dans un coma articifiel et aurait probablement besoin de réhabilitation pour marcher. Je me laissais glisser contre le mur et éclatait en sanglots. Non, pas à ma Willow, elle était dans un coma! UN COMA!Je chassais l'infirmière du revers de la main de la main et éclatait en sanglots. Je n'aimais pas me montrer faible mais la, c'était trop. Je pleurais, j'avais peur, je me sentais faible. Je voulais voir Willow, je donnerais tout pour la revoir sourire, me parler, me chasser de nouveau de sa vie. Sans elle, j'étais rien. Je l'aimais à mourir, c'était pénible. J'avais de la misère à respirer simplement à savoir qu'une machine l'aidait à la garder en vie pour le moment. J'appuyais ma tête contre le mur, regardait vers le ciel. Pour une fois en si longtemps, je priais. Peu importe le dieu, je voulais qu'il m'écoute, qu'il fasse que Willow allait en s'en sortir. Mes sanglots étaient moins intenses, je réussissais à retrouver un semblant de respiration. Mes yeux étaient bouffis à cause que j'avais pleurer mais je voyais qu'on m'avait laissé un mot. L'infirmière m'avait laisser un post-it et écrit: W.Prada chambre 204, tout ira bien. Je me levais aussitôt et courait pour aller trouver sa chambre. Après quelques minutes et de l'aide, je trouvais. Je poussais délicatement la porte et rentrait afin de voir cette scène d'horreur. Willow qui semblait dormir si paisiblement dans le lit d'hôpital, une machine l'aidait à respirer pour l'instant, je me penchais près d'elle et déposait un baiser sur son front, pleurant: ''Willow, que je te vois pas me quitter de cette façon, tu me le dois bien. Je t'aime Willow Prada, reviens-moi s'il te plaît, j'ai besoin de toi. Je suis rien sans toi, tu es celle qui me complète, celle qui est bouger mon univers, sans toi, tout s'arrête.''. Je replaçais sa mèche de cheveux, reculait pour tirer la chaise près de son lit et j'allais attendre qu'elle se réveille. Il faudra déplacer des montagnes pour que je sors de la pièce. Je prenais sa main, comme si ma présence allait changer un truc. Je voulais qu'elle sache d'une manière que j'étais là et que je le serais toujours...
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**********Petit saut dans le temps, Willow s'est réveillé******************

Pendant mon petit séjour à l'hôpital à veiller sur Willow, j'avais rapidement perdu le fil du temps. Je ne savais plus quel jour de la semaine on était, quel heure pouvait-il être tant aussi longtemps que je ne baissais pas les yeux sur mon téléphone. Pour moi, le temps et la vie à l'extérieur des murs de l'hôpital s'était arreté parce que la femme que j'aime était toujours ici. J'avais quitté le chevet de Willow, le temps d'aller prendre des douches, récupérer des fringues, des magazines. Je devais faire chier le personnel de l'hôpital à me prendre pour un prince mais c'était la seule fois que j'avais utilisé mon titre de prince de Monaco avec l'aide d'Andy pour obtenir des faveurs. Il y avait une sécurité 24h sur 24 à sa porte, on devait me contacter si Maxime lui rendait visite, oui oui le mec collant mais qui voulait que la femme de sa vie survis et que sa récupération puisse bien se dérouler. Je me rappelle encore tout ce que j'ai pu lui dire en espérant qu'elle puisse entendre mes paroles. Comment je m'étais ouvert à elle, lui dire que je l'aimais, m'excuser d'avoir été le parfait connard, de l'avoir fait souffrir trop souvent, parler de nos moments ensembles, c'était thérapeutique. Le jour de son réveil, j'étais assoupi dans ma chaise, les bruits des machines m'avait réveillé et aussitôt, j'avais appelé les infirmières pour qu'on l'aide. Je lui avais embrassé le front et pleurait comme un con, remerciant Dieu de me l'avoir rendu, on avait encore besoin d'elle. Je revenais deux jours plus tard, son frère ayant pris le relais. J'étais passé chez elle, lui prendre des vêtements et tout. Je cognais à la porte et rentrait: ''Tu es réveillé la belle au bois dormant?''.
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— with tate.

Couchée dans ce lit qui était loin d’être confortable, je décide de laisser un long soupir sortir de ma bouche. Mon frère Lisandro était partit il y a peu de temps car ce dernier n’avait pas été au courant de mon récent accident de moto et je pouvais vous assurer que ce dernier ne semblait pas heureux d’avoir été le dernier à le savoir. Tandis que l’infirmière venait à poser le plateau en face de moi sauf que je ne pouvais m’empêcher de laisser échapper une grimace. Est-ce qu’elle était vraiment sérieux ? Elle allait me faire avaler un truc comme ça ? Hors de question, elle se mettait un doigt dans l’œil. Repoussant ma nourriture, cette dernière pousse un soupir exaspérer avant de quitter la pièce. J’étais désolée de jouer aux divas, sauf que c’est plus fort que moi. Je suis habituée d’avoir un chef personnel pour mes repas sauf que c’est le bout du rouleau. Lorsqu’on pénétrait dans ma chambre, un petit sourire se dessine sur mes lèvres. « Disons que j’ai connue mieux… » Avec ces égratignures qui s’arboraient sur mon visage, j’avais l’air de ressembler à un monstre plus qu’autre chose. Ce matin, j’avais essayé par tous les moyens de mettre du maquillage sur mes blessures sauf que rien à faire, il fallait que je laisse la nature suivre son cours. « T’étais pas non plus obligé de revenir tu sais, j’suis quand même vivante. » Je ne reviendrais pas sur mes paroles, surtout que je savais pertinemment qu’il était très proche de Danneel.

© LOYALS.
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La vie pouvait reprendre désormais en sachant que Willow respirait de nouveau par elle-même, je me sentais beaucoup mieux, c'était comme si je pouvais être à nouveau moi-même, le grand Tate Murray, pouvait être celui que tout le monde connaissait à cause que Willow Prada allait mieux, c'était un soulagement. J'en pouvais plus de ses séjours à l'hôpital, à mes yeux s'étaient devenus un lieu maudit, il faudrait chasser les mauvais esprits pour repurifier l'hôpital. Je refermais la porte derrière moi et riait légèrement, elle n'avait pas perdue son sens de l'humour, c'était bien elle de me répondre un truc dans le genre. Je m'asseoyais dans la chaise qui était à côté son lit, mon nom était presque écrit dessus quand même, le nombre de fois que j'avais dormi la dessus, du moins tenter, j'avais voulu m'assurer qu'elle reste en vie quoi. ''Mi bella, je sais mais j'ai tellement eu peur de te perdre Willow, si tu veux que j'en aille, je le ferais mais je prends ton déjeuner avec moi.''. Je sortis un sac déjeuner, ce qu'elle préférait, c'était beaucoup mieux que la bouffe dégueu d'hôpital.
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— with tate.

Je n’étais pas vraiment bonne pour entreprendre mes sentiments envers quelqu’un, Tate en avait beaucoup fait pour m’aider à reprendre le droit chemin et peut-être que sans son intervention je serais morte à l’heure qu’il est. Les médecins se sont fait poussés par quelqu’un dans le derrière et c’est ce qui avait fait en sorte que les choses ont avancées un peu plus vite. Observant mon ex qui s’approche de moi afin de s’asseoir sur la chaise qui se trouvait à côté de mon lit, je lui disais qu’il n’était pas obligé de rester ici une minute de plus puisque j’étais bel et bien vivante et que Danneel devait sans doute l’attendre. Sauf qu’en jetant mon regard vers le sac qu’il avait apporté, je me mordille la lèvre inférieure. Voilà plusieurs jours que je mangeais la nourriture qui était déjà infecte pour moi et Tate m’apportait celui que j’appréciais quand même assez bien. Prenant le sandwich dans mes mains, je croque un morceau avant d’ajouter. « Ta petite copine doit sûrement attendre que tu la rejoignes. » Disons-le, depuis notre dernière conversation tous les deux au Summer Camp, je l’avais presque poussé dans les bras de cette petite blondinette qui semblait bien pour lui. Les relations amoureuses ce n’est pas mon point fort, surtout en ce moment quand j’avais la tête qui allait exploser. Oui, j’éprouverai toujours des sentiments envers Tate sauf que je ne me sentais pas à la hauteur pour recommencer à le laisser entrer dans mon cœur. « Merci Tate pour tout ce que tu as fait… » Il y avait surtout cette histoire avec Aymalyne, oui elle m’avait demandé de l’aider sur un coup et j’étais vraiment prise entre deux personnes en ce moment.

© LOYALS.
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Même si elle devait avoir hâte que je fous le camp, en ce moment, aux côtés de Willow, j'étais bien. Elle m'avait terriblement manqué, c'était agréable de pouvoir revoir ses airs de princesse rebelle, son attitude de merde mais surtout son sourire qui pouvait me faire fondre malgré qu'elle tentait de se montrer distante, je savais qu'au fond d'elle, elle était contente de me voir. Il pleuvait à l'extérieur, genre bonjour la déprime pour les patients, il y avait même pas Netflix dans les hôpitaux, c'était pas le meilleur si on voulait pas que les patients broyent du noir. Je lui jettais un petit regard désaprobateur, définitivement Willow allait mieux! Je hochais négativement la tête: ''Y'a pas de petite copine qui m'attends, moi et Danneel, on est venu à la conclusion qu'on pourrait pas former un couple. Elle est amoureuse de moi mais ce n'est pas réciproque...J'en dois une à Aymalyne..''. J'étais content d'avoir réaliser la chose avant que je puisse faire une bêtise. Je laissais le sandwich entre ses mains et m'installait à mon aise sur la chaise. Mon regard croisait le sien, je souriais tendrement: ''C'est naturel voyons, fais plaisir, tu avais pas le droit de me quitter de cette façon. Toi comment tu te sens?''.
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