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Who let the dogs out ! - Abslan

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Who let the dogs out !


Pardonné ? Oh non, j'en suis encore loin ! Il y a encore un long chemin à parcourir avant que je parvienne, peut-être, à récupérer la confiance qu'Absolem avait en moi. Et en ce qui me concerne, je ne me le pardonnerais jamais, je vais devoir vivre en sachant qu'un jour, j'ai blessé durement la deuxième femme de ma vie. Après quelques sms échangés, l'Israélienne m'avait proposé que l'on se voie en face-à-face et m'avait donc proposé de l'accompagner chez un éleveur de chien, de husky plus précisément. Arrivant devant son appartement de Cambridge et je me garais non loin tandis que je ne pus m’empêcher de penser que ça faisait un long moment que je n'étais plus entré ici à cause de notre dispute. Et dire que je ne manquais presque pas un seul jour sans une petite visite dans son "chez elle" il y a peu... Coupant le moteur, je tapotais sur mon téléphone pour lui envoyer ces quelques mots :

" Je suis en bas de chez-toi, je t'attends. "

Je lançais la radio pour patienter, du moins j'essayais de trouver une station potable alors que le soleil se rapprochait dangereusement de l'horizon, l'obscurité aura sûrement englouti Cambridge d'ici quelques heures dorénavant.

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@Absolem Altman
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La pilule n'était toujours pas passée pour l'israélienne. Elle l'avait bien en travers et aucun verre d'eau n'arrivait à la décoller de sa putain de trachée. Ouais, elle devait juste s'y faire, Alan avait embrassé une autre fille. Depuis leur dispute, la jeune femme s'était montrée distante envers le Mather. Sa confiance en lui avait été rompu et elle ne savait plus trop comment reprendre leur histoire. Fallait-il d'ailleurs la reprendre ? Pourquoi ne recommencerait-il pas après tout ? Absolem était purement déçue. Néanmoins, au plus profond d'elle, des sentiments persistaient pour son blondinet. Elle l'aimait plus que tout et elle commençait à entrevoir la possibilité que ce soit en réalité la faute d'Arizona. Disons qu'elle préférait cette hypothèse. Pour l'heure, ce soir, après sa première journée de cours en tant qu'étudiante de psychologie, elle avait décidé de retrouver en chair et en os son petit ami. Enfin, l'était-il encore ? Alors qu'elle se débarrassait de quelques livres de politiques sur son étagère, son téléphone s'alluma et le nom d'Alan apparu sur l'écran. Il était en bas. L'heure était venue de lui faire face et d'aplanir cette histoire du mieux qu'elle le pouvait. " J'arrive. " avait-elle répondu avant d'enfiler un bomber kaki. Après avoir verrouillé son appartement, la demoiselle avait descendu les escaliers au ralenti, faisant reculer au maximum le moment qu'elle redoutait le plus ces derniers jours. En enfonçant la porte de l'immeuble, la rouquine avait lentement expiré pour contrôler son stress et sa colère. Puis, elle s'était rapidement faufilée à l'intérieur du véhicule dans lequel Alan trafiquait son poste de radio. " Salut. " avait-elle marmonné en fixant l'horizon à travers le pare-brise. Elle ne pouvait pas le regarder, ni l'embrasser, c'était au dessus de ses forces. De l'amertume était toujours là. " On y va ? " avait-elle préféré demander en attachant sa ceinture, réprimant son bouillonnement intérieur.  
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Froide ? Oh non, le mot est faible ! Glaciale conviendrait nettement mieux à l'ambiance qui régnait dans ma voiture lorsque que la Dunster y est entrée. Pas un regard, de timides mots pour me saluer et m'indiquais qu'elle était fin prête à y aller, mais bizarrement, j'étais content de la revoir tout de même après tout ce temps sans la voir. J'ai eu un peu le même sentiment que lorsqu'elle est revenue du Laos, mais dans une très moindre mesure bien évidemment. " Salut. Ça va ? ". Ça va ? Tu es sérieux me criais une voix intérieurement. Tu as embrassé une autre fille Alan, comment tu veux que ça aille ! Top 3 des phrases d'approches les plus mauvaises Alan !

Nous avons parcouru plusieurs kilomètres, sortant de Boston et de ses environs alors qu'Absolem m’indiquait le chemin à prendre au fur et à mesure. Seules ces indications, le bruit de nos respirations ou encore le rugissement du moteur à chaque accélération venait briser le silence ambiant entre nous. Nos yeux s'évitaient pour ne pas déceler le moindre indice sur nos sentiments actuels. Quand elle tournait sa tête en ma direction, il suffisait que je tourne la mienne pour qu'elle repose très vite son regard sur le pare-brise et faire comme si je ne l'avais pas vu.

" Faudrait peut-être mettre les choses à plat, tu ne penses pas ? ", lui demandais-je après une grande inspiration. La discussion ne sera sûrement pas plaisante, mais ce sera toujours mieux que ce silence pesant.

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2017, Nouvelle Guerre Froide. Du côté d'Altman, la colère est toujours palpable tandis que pour le camp Landrum, la gêne semble être toujours d'actualité. En montant dans l'auto, la rouquine n'avait pas jeté un seul regard à son petit ami, son interrogation bateau n'avait reçu qu'une petit " Ouais et toi ? " puis, le Mather avait enfin démarré le moteur pour s'éloigner de l'enfer de Boston. L'étudiante ne savait plus comment s'adresser à lui ni comment remettre sur la table ce sujet si épineux qui les avait éloigné. Au lieu de cela, elle se contentait d'indiquer la route à Alan, évitant au maximum un quelconque contact. Alors que les buildings avaient enfin disparu au profit d'une épaisse forêt, l'américain avait enfin osé dire tout haut ce qu'Absolem pensait tout bas. Elle soupira alors d'énervement en se redressant sur son siège, regardant son reflet dans la fenêtre " Oui, il faudrait. Il faudrait surtout que je trouve la force de passer au dessus de tout ça. J'ai l'impression que tout dépend de moi alors que je n'ai rien fait dans cette histoire. C'est dingue ! " commença-t-elle à expliquer tout en montant crescendo le ton " En toute honnêteté, comment tu penses que tu aurais réagi si je t'avais confié la même chose ? Tu m'aurais de suite cru ? Tu aurais fait quoi Alan ? Tu m'aurais embrassé en me disant que ce n'était pas grave ? " s'échauffa-t-elle en tournant enfin son visage de poupée vers lui, pour le fixer avec une énorme noirceur malgré le bleu lagon qui peuplait ses prunelles.
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Elle m'a confié que ça allait, mais bien évidemment, je me doute bien qu'il n'en est rien, qu'elle ment sur ce point et qu'elle cache sa véritable humeur sur la question. À son interrogation, j'ai répondu par le même stratagème, à savoir un simple "hmmm-hmmm" qui pourrait aussi bien signifier une réponse positive que négative. C'est seulement après plusieurs kilomètres dans une ambiance pesante que je me décidais à renouer le dialogue avec celle que j'avais blessée. Apprendre qu'elle peinait à trouver la force pour surpasser cette épreuve m'inquiétait quelque peu, je dois bien l'avouer. Serais-je en train de la perdre ? De perdre ce qu'on avait par le passé ? De perdre ce lien fort qui nous unissait ? Alors qu'elle posait ses yeux vers le décor défilant à toute vitesse, je lui confiai ces quelques mots.

" Comme je te l'ai dit par sms Absolem, je ferais tout mon possible pour t'aider à passer au dessus de ça, te prouver à quel point tu comptes pour moi et à quel point je ne veux pas que ça s'arrête. "

Mais ce fut sa question suivante qui fit le plus dur intérieurement. Comme si imaginer ce qu'elle venait de me demander me fit enfin comprendre ce que je lui avais fait, à quel point elle devait se sentir trompée et j'aurais pu lui mentir, mais plaçons plutôt cette journée sous le signe de l’honnêteté, peu importe les conséquences, advienne que pourra. " J'aurais était pris d'une colère monstre, peu importe le gabarit de ce mec, j'aurais eu envie de lui exploser la gueule. Mais plus que ça... J'aurais été déçu de ton attitude, pensant que tu ne me ferais jamais une chose pareille... ". Des mots durs, qui ne plaident pas forcément en ma faveur, mais c'est la stricte vérité malheureusement, j'aurais beaucoup de mal à encaisser un choc pareil également. Néanmoins, en ce qui me concerne, j'aurais toujours des sentiments pour l'Israélienne, ils sont ancrés, tatoués sur le cœur et ne s'effaceront jamais peu importe ce qu'elle me fait subir. Des mots durs, qui ne plaident pas forcément en ma faveur, mais c'est la stricte vérité malheureusement, j'aurais beaucoup de mal à encaisser un choc pareil également.

" J'aimerais savoir, tu éprouves toujours des sentiments pour moi ? "

Une question osé de ma part mais autant être fixé, autant connaître son sentiment sur la question. Nous avons apparemment choisis ce jour pour nous livrer, livrer une vérité, aussi blessante soit-elle, allons jusqu'au bout.

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La rousse n'avait toujours pas réussi à extraire la putain de lame bloquée dans son petit coeur tout fragile. Ce coup de couteau reçu il y a plus d'une semaine était toujours bien présent. Absolem était toujours tiraillée entre ce sentiment de trahison et son amour excessif pour le Mather. Quand ce dernier avait alors proposé de jouer cartes sur table, Absolem s'était d'abord raidie mais ne s'était pas faite priée pour dévoiler ce qu'elle ressentait au plus profond d'elle. Tout reposait vraisemblablement sur ses épaules de nageuse, si elle n'acceptait pas ce pitoyable événement, alors, leur couple foncerait droit vers un mur. C'était si injuste ! Alan avait beau se montrer rassurant et prêt à tout reconstruire, l'amertume demeurait ancrée en elle. L'israélienne voulait juste qu'il comprenne ce qu'elle avait pu ressentir et comment il aurait réagi à sa place. Sa réponse fût pour une fois satisfaisante. " T'as assez bien résumé ce que je ressens et ce que j'ai envie de faire " ponctua-t-elle en se focalisant sur les bandes de la route qui filaient à toute vitesse. La rouquine avait songé à ruiner le visage de la Cabot sous ses phalanges ou encore à tout arrêter nettement pour ne plus souffrir. Elle était aussi déçue que ce type de situation se soit produite alors qu'elle croyait à la clarté de son petit ami sur son statut. Après de nouveaux mètres d'avalés en silence, Alan avait refait surface avec une question terrible. Le coeur de l'étudiante s'était serré, elle se sentait coincée et incapable de mentir. " Tourne bientôt à gauche là, c'est au bout du chemin " adressa-t-elle tout d'abord à son petit ami en tendant le bras vers la direction émise " Oui j'éprouve toujours des sentiments pour toi si tu tiens tellement à le savoir ! J'aurais aimé n'en être qu'au début mais ça fait deux ans que je t'aime en secret comme une débile alors ça ne s'efface pas comme ça, pas à cause de cette catin ! " s'était-elle de nouveau exclamée avec énervement tandis qu'ils venaient d'emprunter une route de campagne caillouteuse. La voiture tremblait et Absolem n'arrêtait pas de basculer dans tous les sens, elle ne put alors s'empêcher de ricaner en passant sa main sur son front, épuisée par sa lutte. " Dis donc, moi qui n'avait jamais fait de rodéo " avait-elle osé plaisanter en s'accrochant à la poignée au dessus de la fenêtre " J'espère que c'est pas un psychopathe cet éleveur, on est loin de toute civilisation là " ajouta-t-elle en percevant enfin la maison et l'immense jardin qui l'entourait. Rapidement, elle aperçut deux imposants Husky à travers la clôture en bois. Leurs yeux luisaient dans la pénombre et grâce aux lumières des phares de la voiture. " Han, ils sont magnifiques, on dirait des loups ! " s'emerveilla-t-elle tandis qu'Alan manoeuvrait pour se garer. Absolem n'attendait plus que le moteur soit coupé pour bondir à l'extérieur et enfin faire connaissance avec ces bêtes.   
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Lorsque j'ai appelé ma mère pour lui avouer toute cette histoire, j'ai eu le droit à un sacré savon de sa part. Engueulades, reproches et déception, tout y est passé ce jour-là. Mais une fois l'orage passé, elle m'a confié que le meilleur moyen de comprendre Absolem serait de me mettre à sa place et c'est justement ce que l’israélienne m'avait demandée de faire. Livrant avec vérité ce qu'il adviendrait de mes sentiments dans cette situation, il semblerait qu'elle et moi ayons le même point de vue sur la question. Le plus dur en ce moment, c'est de ne plus savoir où en est notre relation. Nous sommes dans une sorte d'inconnus, un flottement qui fait que toutes attentions, le moindre geste doit être réfléchis ou implique une gêne. Un gêne qui se matérialisa d'ailleurs suite à ma question légèrement osé mais qui se mua très vite en énervement quand elle me fit part de sa réponse. Des mots certes rassurant mais qui l'aurait était bien plus sans un haussement de ton de la demoiselle néanmoins tout à fait justifié. Elle est amoureuse de moi, je le suis d'elle et il y a donc encore de l'espoir.

Empruntant un chemin tortueux dans la campagne déserte, seulement éclairé par la lueur des phares dorénavant, Absolem avait choisis ce contexte pourtant assez glauque pour plaisanter. Laissant échapper également un léger rire suite à une remarque plus inquiétante que drôle finalement, cela me rappelais notre complicité désormais perdue, que j'espérais raviver, et mon Dieu que ça faisait du bien de la revoir sourire ! Sourire qui s'étira encore bien plus sur le visage de la belle lorsque, me garant près de la maison de l'éleveur, Absolem aperçut deux huskys sous l'éclairage des phares. A peine coupé le moteur que la demoiselle se précipita dehors à leur rencontre. Pas avare en caresses, les deux chiens avaient trouvé en la Dunster une nouvelle amie à n'en pas douter. La rejoignant auprès des deux petits monstres, j'en profitais pour les caresser à mon tour alors qu'au loin approchait ce qui devait être l'éleveur en personne, surement alerté de notre arrivée par la lumière des phares. Decelant de plus en plus sa silhouette au fur et à mesure que l'homme réduisait la distance entre nous, je constatais que ce dernier avait tout du campagnard typique. Pipe au bec, chemise à carreaux salis par une journée de travail harassante à coup sur, pantalon pas plus propre et bottines adéquat au milieu. Une fois près de nous, le bonhomme nous salua d'une voix rauque et me tendait la main.

" Bonjour monsieur. Vous allez surement faire une heureuse aujourd'hui. "
, lui dis-je alors qu'il se dirigeait maintenant en direction d'Absolem.

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