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crazy, stupid, love • Edenshaw

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« Le problème quand tu tombes amoureux, c’est que ça te bloque les réflexes de base. Ça te paralyse la bite ça ! »

Nos dix huit ans



Nos plus belles années sont devant nous. L’université pour moi ça rime avec alcool, fête et sexe. Depuis cinq ans que je suis la je n’ai jamais vécu d’aussi belle années, bon d’accord il faut dire que je suis à Harvard et que je suis censée « travailler ». Mais franchement qui travaille vraiment ? Les petites filles a papa ou bien celle qui ont une bourse et sont alors obligée de travailler encore et encore sans relâche. J’avoue que cela me fait bien rire, personnellement je ne vis que pour une chose dans cette grande université faire la fête et bien sur pour vous l’avouer je révise a chaque examen de fin d’année et c’est dans la poche, de toute manière a ma sortie, maman ne pourra plus rien me dire et je serais disponible entièrement pour Victoria’s Secret.

Je me révélais grâce à cette magnifique lumière qui traversait ma chambre. Je soupirais et me tournais du coté de mon oreiller, voyant un jeune homme à coté de moi, j’eu d’abord un regard surpris puis petit à petit les magnifiques souvenirs de la soirée d’hier me revenais. Je me souviens d’une soirée chez une des confréries ne me demandez plus lequel, je serais incapable de vous le dire alors. Des flash revenaient petit à petit en morceaux, des verres rouges, des filles par terre allongée sur le sol entrain de vomir tout ce qui pouvait leur resté dans leur corps et moi aussi sauf que je suis bourrée naturellement mais je tiens encore sur mes pattes et surtout ne vomis pas, hum.. Ça devait être le début de soirée ça. Je restais dans mon lit, regardant le jeune homme, franchement même saoule j’ai du un gout certains pour les garçons. La soirée d’hier avait vraiment du être une des meilleures de l’année. Je me levais de mon lit, remettant mes sous vêtements rouge sexy et marchais jusqu'à mon miroir. Je me regardais, jouant avec mes cheveux et allait finalement dans ma salle de bain. Je pris une douche prenant mon temps bien sur, sortant doucement je refaisais mes cheveux et me mis a rire quand je sortais de celle-ci et trouvait de nombreux vêtements ne m’appartenant et qui était sois dit en passant a mon chère compagnon d’amusement. Je regardais les vêtements un par un pour essayer d’avoir des souvenirs, bon déjà je me souvenais que ça devait être un bon coup, un merveilleux déjà. Je savais qu’il penserait que j’en suis un bon de toute façon personne ne s’est jamais plein, je suis trop douée. Je revenais dans la chambre doucement, enfilant de nouveaux sous vêtements de couleur noir et m’asseyais sur mon lit. Je m’approchais de lui et lui déposais un petit baiser sur sa bouche puis me reculais. Bon, je suis une garce ou une trainée comme vous voulez mais quand même c’est bien plus marrant de se réveiller comme ça.

« Allez joli cul, lève toi et sors de ma chambre ! »

Je sais la classe pure et simple. Mais bon, il faut l’avouer l’amour ça craint et l sexe y’a que ça de bien et de bon. Je me levais du lit et allais devant mon miroir dans ma petite tenue.
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Chuck. Cette fille avait décidemment la mission de le rendre dingue. Cela faisait environ 3 années qu'il s'était épris de cette beauté blonde on ne peut plus sublime, drôle, sympathique et élégante. Et cela faisait 3 ans qu'il essayait de s'en décrocher sans jamais y parvenir, comme si elle était une véritable drogue pour lui. Elle l'avait déçu encore une fois. Elle l'avait mis en colère : en effet, la veille, il avait prévu un rendez-vous des plus romantiques avec la femme de ses rêves dans un restaurant prestigieux à la lueur des chandelles. Il avait ensuite prévu de l'emmener au parc, de lui tenir la main, de se promener à la lumière des étoiles et d'avoir une discussion des plus fascinantes avec elle. Mais Doll n'avait visiblement pas vu les choses de cet oeil là : à peine un quart d'heure après s'être installée à leur table, celle-ci reçut un coup de fil et avait décidé de l'abandonner là où il était afin d'aller se trémousser à la discothéque avec ses amies et sans nul doute de beaux inconnus. Il n'avait jamais pû rivaliser avec les riches de son monde et ça ne semblait visiblement pas sur le point de changer. C'est ainsi que son tête à tête amoureux s'était transformé en diner seul face à une chaise vide, le coeur lourd et une envie plus que pressante de partir et de ne jamais revenir.

Elle l'avait humilié, bien qu'elle savait qu'il ne le supportait pas. Elle savait aussi qu'il avait fait énormément d'efforts pour faire en sorte que cette soirée devienne réalité, autant financiers que préparatoires. Elle le savait, mais elle s'en était moqué. Parce qu'elle était Chuck et qu'elle était égoïste. À partir de là, il savait qu'il avait été frustré au point d'aller se souler la gueule au bar le plus proche ... Mais après ça, il avait été si ivre qu'il en avait oublié l'enchaînement des évènements. Tout ce qu'Edenshaw savait, c'était qu'il était à présent dans les beaux draps blancs d'une inconnue. Nu. Et étonnement, ça ne le surprenait pas plus que ça. Ça ne le dérangeait d'ailleurs pas du tout. Réveillé par le goût sucré des lèvres de celle qui ne pouvait être qu'un ange, son visage était caressé par de doux cheveux dorés. Comment s'appellait elle ? Il l'ignorait. Elle devait sans doute avoir un nom exotique ; ça semblait plus que logique. Ses yeux bleus étaient aussi beaux que l'eau d'un lac et aussi clairs que celle-ci.

- Allez, joli cul, lève-toi et sors de ma chambre !

Essayant de se familiariser avec son environnement, il scruta la chambre dans laquelle il se trouvait. Ses vêtements étaient éparpillés sur le sol ; un jean noir et un tee-shirt à col. Il avait essayé de se faire beau pour Chuck sans pour autant être trop habillé. L'air surpris, Eden se leva lentement du lit avant de se laisser tomber sur celui-ci à nouveau, une énorme douleur le frappant au crâne. Il avait la gueule de bois. En même temps, il ne devrait pas être étonné : il avait bû au point de coucher avec la première venue. Il était d'ailleurs surpris de la qualité de son choix : même ivre, il avait décidemment excellent goût. Et pourtant, la voilà qui le chassait de sa chambre. À croire qu'il était mauvais ... Il savait pertinamment que ce n'était pas le cas. Se levant finalement, Eden ramassa ses vêtements sur le sol avant de commencer à enfiler son caleçon. Mais des questions le tracassait depuis qu'il s'était réveillé : qui était-elle ? Comment avait-il attéri ici ? Avait-elle compris que leur aventure n'allait pas se transformer en romance ? Autant commencer par le plus simple.

- C'est quoi ton nom, déjà ? lui demanda-t-il.


HJ : Désolé du retard, j'espère que ma réponse te convient. crazy, stupid, love •  Edenshaw 2157042859
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« Le problème quand tu tombes amoureux, c’est que ça te bloque les réflexes de base. Ça te paralyse la bite ça ! »

Nos dix huit ans



Attendant qu’il se réveille je pensais toute seule dans ma chambre. J’espérais tant bien que mal qu’il n’allait pas m’harceler après en pensant qu’on aller sortir ensemble, se balader main dans la main dans les couloirs de l’école et vivre heureux jusqu'à la fin de la vie. Bon, parce que même si ça a l’air mignon comme ça ce n’est pas du tout ce que j’aime non, le sexe y’a que ça de vrai. J’attendais qu’il se réveille pour pouvoir lui en parler, dans le meilleurs des cas ou pourrait se revoir histoire de coucher encore ensemble parce que d’après mes souvenirs, c’était un très bon coup. Franchement qui crois encore a l’amour de nos jours ? Comme dirait quelqu’un : « Le problème quand tu tombes amoureux, c’est que ça te bloque les réflexes de base. Ça te paralyse la bite ça ! » Quel mec au monde aimerait ressentir ça ? En tout cas aucun que j’ai côtoyé, l’amour ça craint. On est jeune alors je ne vois pas pourquoi tout ses gens s’embêtent a chercher le grand amour avec un grand A au lieu de profiter de la vie et voir de nouveau mecs chaque soir comme moi. Oui, j’ai une réputation de garce et de trainée mais j’assume ce que je suis, je préfère être vu comme ça que comme une petite vierge effarouché. Les mecs de toute façon préfèrent les filles comme moi et je les comprends.

Finalement, je suis assez fière de moi je l’avoue. J’ai toujours eu ce que je voulais et cela malgré que je sois saoule, shooté ou autre. Quand je regarde l’étalon que j’ai dans mon lit, je me dis que j’ai vraiment bon gout. Je le regardais et restais finalement devant le miroir toujours dans ma petite tenue. Ses beaux yeux et aussi ses abdos en bétons me disait que j’arrivais a assez tenir l’alcool pour repartir avec quelqu’un d’attirant plutôt qu’avec un moche boutonneux – ce qui n’est jamais arrivée bien sur -. J’avais vraiment très peu de souvenir hier et j’essayais de me remémorer tant bien que mal. J’essayais de réfléchir a une seule chose son prénom mais rien n’y faisait je n’en savais rien. Le voyant se réveiller j’eu envie de rire voyant sa tête, c’était trop mignon. Je restais en sous vêtements et le regardais. Je souris doucement a sa question.

« Giulia, enchantée et toi c’est quoi ton petit nom ? »

Bon d’accord, c’est vrai que ça ne m’intéressait pas plus que ça parce que d’ici ce soir j’aurais couché avec un autre mec mais bon, au cas ou ça peut servir. Je le regardais et lui fis un petit sourire sur mon doux visage d’ange.

« Bon on va mettre les choses au clair. C’était une très bonne nuit, géniale même. Mais on ne va pas se revoir, je suis clair ? on s’arrête au sexe ! »

Oui, ça pouvait paraitre étrange d’entendre ceci de la bouche d’une fille, surtout que bon tout le monde n’arrête pas de dire que j’ai une tête d’ange et pourtant. Je marchais dans ma chambre toujours en sous vêtements et regardais dans mon armoire ce que je pourrais mettre comme vêtement.
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Ses dents blanches étincellantes l'apaisait. Il n'avait jamais vu sourire aussi brillant et beau que celui-ci ; il en était presque angélique tant il était resplendissant. Elle était vraiment belle, et c'était uniquement en parlant de son visage : si l'on voulait s'attarder sur le reste de son corps, les seuls mots qui pourraient le qualifier seraient les suivants : parfait et magnifique. Il était rare que la nature forme des choses parfaites ; c'était l'un de ces cas. Malheureusement, qui dit donner dit aussi reprendre, et ce que la Nature donne d'une main peut facilement reprendre de l'autre : s'il le fallait, la belle inconnue avait le quotient intellectuel d'un mollusque et était aussi intéressante en conversation qu'un âne en train de ronfler.

- Giulia, enchantée. Et toi, c’est quoi ton petit nom ?

Il sourit à son tour, se grattant la tête, ne se rappellant pas ayant reçu un coup la veille là où se trouvait à présent une bosse. Décidemment, ivre, il pouvait lui arriver vraiment n'importe quoi !

- C'est un très joli nom. Tu viens d'Italie ? demanda-t-il avant d'ajouter, timidement : Je crains que le mien ne soit pas aussi exotique ... Je m'appelle Edenshaw, je suis ici depuis maintenant 6 ans. Et toi ?

À quoi ça l'avançait de lui poser des questions sottes ? Il l'ignorait. Sans doute pour tourner autour de pot et éviter d'avoir à lui poser la question embarassante : comment avait-il fait pour attérir dans son lit ? Mais bon, il fallait bien le faire tôt ou tard, et ça, elle semblait l'avoir compris : munie uniquement d'un sourire, elle lui demanda :

- Bon on va mettre les choses au clair. C’était une très bonne nuit, géniale même. Mais on ne va pas se revoir, je suis claire ? on s’arrête au sexe !

Il se détendit alors légèrement : ils étaient sur la même longueur d'onde, c'était déjà ça. Jamais auparavant n'avait-il couché pour le simple fait de coucher avec quelqu'un : il y avait toujours eu un degrès de sentiments dans le tas ; il n'avait d'ailleurs jamais vu d'interrêt à baiser avec la première inconnue. Mais depuis ce qui s'était passé avec Chuck, il se demandait s'il n'était pas temps pour lui d'essayer autre chose. Il avait longtemps essayé de l'oublier, en sortant avec d'autres étudiantes, mais jamais les choses s'étaient bien terminées pour lui, tout simplement parce que son coeur avait toujours été ailleurs. Était-il possible que la solution était d'aller voir là où son coeur n'avait pas son mot à dire ? Ça semblait plutôt simple, sur le coup. Qui plus est, il semblait visiblement avoir fait un bon coup : non seulement était-elle aussi belle qu'une déesse grecque, elle semblait aussi avoir apprécié leur nuit passée ensemble. Il était bel et bien aussi bon qu'il se l'était cru, et, maintenant que des bribes de la soirée d'hier lui revenaient à l'esprit, il se rappellait qu'elle non plus n'était pas mauvaise ... Étonnament bonne, même. Peut être même mieux que Chuck, il n'en savait rien ! Mais ... Si elle finissait par avoir des sentiments ? Ce serait la catastrophe. Il devait mettre les choses au clair. Enfilant son tee-shirt, il revint alors vers la fille qui s'appellait visiblement Giulia afin de lui dire calmement :

- Qu'on soit clairs : je serais fou si je disais ne pas être attiré par toi. T'es-tu vue ? T'es magnifique, et, je n'ai aucune objection à ce que ce qu'on a fait hier soir se reproduise, au contraire, ça m'arrangerait. Maintenant, je veux juste te dire quelque chose : les sentiments ne seront pas de la partie. Je veux que tu le comprennes. De toute manière, même si j'en avais envie, mon coeur est déjà pris, donc, c'est impossible. Pour moi, ceci n'est qu'un "plan cul" des plus agréables. Si tu es d'accord avec ça, je serais plus que ravi de te revoir. Mais ça ne devra pas quitter cette chambre ; en dehors, on ne se connaîtra pas. Je pense que ce serait mieux ainsi.

Il avait parlé. À son tour ; s'il y avait bien un moment où il verrait ce qu'elle avait dans le crâne, c'était bien maintenant.
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« Le problème quand tu tombes amoureux, c’est que ça te bloque les réflexes de base. Ça te paralyse la bite ça ! »

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J’avais bien envie de l’attraper et de le foutre dehors mais je dois l’avouer qu’il me fis plutôt rire, je ne sais pas pourquoi ni comment mais il était drôle. Cela venait peut être de ça façon de me regarder comme s’il venait de voir un ange tombé du ciel et pour dire il avait à moitié raison. Je suis un ange si on parle physiquement, on dirait que je tombe du ciel, magnifique blonde à forte poitrine muni d’un corps dont les courbes sont totalement exquises et de sublimes yeux bleus rien que pour vous. Donc oui, sur ce fait il a raison mais il se trompe je suis une vraie diablesse, prête a tout pour avoir ce qu’elle veut sans jamais renoncer, oui c’est moi ça. Je fis un petit sourire angélique et me retiens de rire a sa phrase. « C'est un très joli nom. Tu viens d'Italie ? » Je le regardais un peu sous le choc, non mais franchement j’ai pas du tout une tête d’italienne, je suis bien mieux que ça c’était limite vexant. « Je crains que le mien ne soit pas aussi exotique ... Je m'appelle Edenshaw, je suis ici depuis maintenant 6 ans. Et toi ? » Je passais une main dans mes cheveux et hésitais avant de répondre, il me faisait la conversation la, il a pas du comprendre ce que je venais de dire.

« Merci, en même temps tout est « jolie » chez moi si ce n’est plus que ça évidement. Je souriais et oui encore une fois mon coté narcissique revenait mais bon il ne faut pas se mentir, je suis belle et alors ? Beaucoup de gens voudrait m’avoir dans mon lit et lui devait se considérer comme chanceux désormais. Non, je ne viens pas d’Italie mais de Paris, en France. Je laissais un petit blanc et reprenais. Je suis ici depuis cinq ans. »

Je me retournais vers mon miroir puis marchais dans ma chambre tranquillement, je l’écoutais parler et finalement il semblait enfin sur la même longueur d’ondes que moi. J’écoutais ses compliments et d’ailleurs c’est ce qui me plaisait le plus dans ses phrases. Je remettais mes cheveux correctement et m’approchais doucement de lui le poussant sur mon lit, je me mettais juste devant lui et commençais a parler.

« Bon écoute mon mignon et écoute bien parce que je vais pas le répéter encore une fois. Je sais je suis très belle et vu mon sublime corps et ma tête d’ange, beaucoup de gens aimeraient m’avoir dans mon lit. Mais comme je te l’ai déjà dit l’amour c’est nul tu vois c’est un truc immonde qui te paralyse la bite et les reflex qui nous font du bien. Bref, je suis vraiment contente pour toi que ton cœur soit pris comme ça tu ne passeras pas ton temps comme la plupart des mecs a te toucher dans tes rêves en pensant à moi. Je suis peut être blonde, mais j’ai un cerveau qui marche a pleine vitesse et dans celui-ci, il n’a de la place que pour le mot sexe et pas le mot « amour ». Alors tu veux me revoir, ok mais que pour le sexe, tu seras comme un sexfriend sans vraiment l’amitié qui va derrière tu vois. Bref je ne vais pas m’étaler, toi et moi ça se résume au sexe. »

Je m’éloignais un peu de lui et me retournais brusquement vers lui avec un petit sourire.

« Hum .. Edenshaw je crois. Si t’as plus de question ou quelques chose a me dire, tu peux partir de ma chambre ! »
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- Merci, en même temps tout est « joli » chez moi si ce n’est plus que ça évidement.

Ses lèvres se décorèrent alors d'un étrange sourire, légèrement gêné : il avait toujours été si ... Modeste ne comprenait pas ceux qui éprouvaient le besoin de se vanter, de vanter leurs atouts physiques et mentaux et de vanter leurs mérites. Sobre, jamais ne se serait-il mêlé avec des personnes de ce type ... Certes, il ratait quelque chose : après tout, il avait déjà été établi qu'elle était bonne, très bonne, même, au lit. Mais ... C'était pour lui une question de morale ; une question d'éthique. Du moins, ça l'avait été jusqu'à présent. Maintenant, il s'en fichait des personnalités des personnes qui passaient dans son lit tant qu'elles satisfaisaient ses désirs et besoins en tant qu'homme. Et puis ... Elle était jolie, c'était vraie. Il devrait être fier d'avoir pu aligner un coup pareil ... Non pas qu'il n'en était pas capable.

- Non, je ne viens pas d’Italie mais de Paris, en France ... Je suis ici depuis cinq ans.

La France ... Il n'y était jamais allé. Pas une seule fois. Il avait fait l'Espagne, l'Angleterre, l'Allemagne et même le Japon mais, pour une raison qui lui échappait à présent, il n'avait jamais mis les pieds chez les "mangeurs de baguette", comme on les appellait par chez lui. Et il fallait dire qu'il en avait envie, à présent ... Surtout si toutes les filles étaient aussi délicieuses que Giulia. Mais il n'eut plus le temps de penser. À peine avait-il parlé qu'elle l'avait repoussé sur son lit, avec vigueur et force. Il crut un instant qu'elle était prête à repasser à l'acte ... Ce qui le gênait un peu, étant donné qu'il était pressé et qu'il n'avait pas trop la tête à ça.

Heuresement pour lui, il n'en était rien de la sorte. Roulant discrètement des yeux lorsque celle-ci répéta à quel point sa beauté était incomparable et à quel point il avait eu de la chance de se retrouver dans son lit. Aurait-il été lucide, il aurait dit à la belle blonde en face de lui d'aller se faire foutre, qu'entre eux, même une relation purement physique ne pourrait pas marcher et qu'il ne se voyait pas capable de recommencer régulièrement à voir une personne aussi narcissique et portée sur sa personne qu'elle. Néanmoins, il était encore somnolant, étant donné qu'il se réveillait à peine, et la migraine engendrée par sa gueule de bois n'arrangeait en rien les choses. C'est pour cela qu'il accepta la proposition que lui faisait Giulia.

- Normalement, je poserais des questions ou protesterais, mais, comme tu devrais pouvoir le remarquer, je ne suis pas dans mon état normal alors ... J'accepte ! Par contre, évite d'ébruiter cette affaire ... Je préférerais que cela reste entre nous si ça ne te gêne pas. Question d'intimité et tout ça.

C'est bon. Il avait apposé toutes ses conditions et n'avait à présent plus rien à faire dans cette chambre pour le moment inconnue. D'ailleurs, il n'avait plus de temps à perdre : il avait rendez-vous avec l'une des nouvelles de la Dunster House pour le petit déjeuner. C'est à ce moment là que la blonde aux yeux bleus lui déclara que, s'il n'avait plus rien à lui demander, il ne lui restait qu'à partir. Souriant mystérieusement, il se tourna vers la porte, posa sa main sur la poignée et la tourna avant de se retourner et de dire doucement :

- Au fait, tu te rappelles, toi, de ce qui s'est passé hier soir ?
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