Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityAll the dreams we held so close seemed to all go up in smoke (Ilhannon)
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All the dreams we held so close seemed to all go up in smoke (Ilhannon)

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Il n'était pas encore temps de se dire au revoir. Pas comme ça, pas maintenant. On avait encore rien vécu, je ne lui avais pas dit la moitié des choses que j'avais sur le cœur. Et pourtant elle m'avait envoyé ce message, elle m'avait demandé de ne pas venir, de la laisser. Pas seule. Avec un autre mec. Sauf que je pouvais pas croire qu'elle m'avait remplacé, pas après être restée à mon chevet toute une nuit, pas après m'avoir rendu accro comme ça. Je m'accrochais à elle comme un fou à sa santé mentale. Autant dire que ça servait à rien. Parce que je l'avais déjà perdu, elle était partie. Pourtant je sentais encore ses lèvres sur les miennes, ses bras m'entourer mais ces souvenirs étaient souillés par le message qui n'arrêtait pas d'apparaître dans mon esprit. Un autre connard la rendait heureuse, quand moi je l'aimais encore. Quand je pensais que notre histoire n'était pas finie. Alors ouais j'aurais dû faire demi tour, espérer son bonheur mais mon égoïsme allié à mon ego me forçait à aller jusqu'au bout. Devant sa porte, je n'hésitais même pas, je tambourinais comme un malade, prêt à en découdre avec mon concurrent. Mais surtout prêt à être détruit par ses mots.

@Rhiannon De Belgique-S All the dreams we held so close seemed to all go up in smoke (Ilhannon) 2511619667
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Vie complètement bordélique. Vide de sens. Ne sachant plus qui tu étais. Ni ce que tu étais censée faire. Tu es perdue, Rhia. Âme égarée. A la recherche d'une quelconque attention. D'un quelconque sentiment. Tes pas se faisaient relativement lents.  Tu tournais en rond. Dans ton propre appartement. Tu n'avais plus aucun but dans la vie. La dépravation t'apparaissant comme ton unique salut. Ton unique chance de t'en sortir. De te relever. A la recherche d'une âme généreuse. Quelqu'un qui serait capable de te tendre la main. De te soutenir. Et t’avais rejeté la seule personne qui détenait le pouvoir de te rendre heureuse. Repoussé au loin. Lui faisant croire que sa présence n’était plus désirée. Bien au contraire. Tu désirais le voir. Te réfugier dans ses bras. Le laisser t’emporter dans son monde. Et ne plus jamais le lâcher. T’avais laissé passer ta seule chance. Toucher le bonheur du bout des doigts. Le laisser s’en aller. Disparaitre sous tes yeux. Tes larmes finissent par couler d’elles-mêmes. Tu ne te supportais plus. Ne comprenant même pas pourquoi tu demeurais là. Ton existence avait-elle réellement une quelconque signification ? Pourquoi tu respires, Rhia ? A quoi ça rime tout ça ? Ton téléphone à la main, tu décides subitement de le balancer contre le mur. Tu craques, Rhia. Tu ne pourras en supporter davantage. Et putain qu’est-ce que t’as mal. Tu sursautes. Des coups violents à la porte. Automatiquement, tu sèches tes larmes. Et tu t’avances. Espérant secrètement qu’il soit là. Sois là Ilhan. Viens me chercher. Viens me sauver tu murmures, avant d’ouvrir la porte. Ton coeur s’arrête. Tu portes ta main à ta bouche. Il est là. T’écarquilles les yeux. « Ilhan…. » tu souffles, finissant par réaliser qu’il était en face de toi. Puis tu te souviens. Les coups. Ton corps amoché. « Qu’est-ce que tu fiches ici ? Mon mec est derrière, va t-en, Ilhan » tu lâches précipitamment, tenant de refermer la porte le plus vite possible.  

@Ilhan Eastwood. :heaart:
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Je voulais le voir ce mec, ce connard qui m’avait volé Rhia. Celui qu’apparemment elle préférait à moi, celui avec qui elle passait du bon temps alors que j’étais au plus bas, que la colère me bouffait de l’intérieur. Le besoin de coke se faisait ressentir depuis ses messages, mes mains tremblaient. J’étais en manque clairement. Au fond de moi, je me disais que jamais j’aurais dû venir, que mon cœur ne supporterait pas une telle provocation. Pourtant c’était bel et bien ma main qui frappait à la porte et bel et bien Rhia qui m’ouvrait. Mais pas celle que je connaissais. Pas celle qui arborait normalement un grand sourire, qui avait un regard joueur. Non, elle s’était effacée derrière des bleus, des yeux rouges de larmes, un air choqué en me voyant. Et comme un con, je restais bouche bée. Qui lui avait fait ça ? Le connard avec qui elle était ? Non, impossible, je pouvais pas supporter qu’elle se détruise dans une relation comme ça. Qu’elle sorte avec un violent quand j’étais là pour la protéger. Pourquoi ? Qui ? Comment ? Les trois questions qui me brûlaient les lèvres mais qui ne voulaient pas sortir. Au fond, la réponse m’effrayait. Et si elle me disait qu’elle s’était infligé ça toute seule ? Qu’elle allait mal et que je n’avais rien vu ? Non, je me faisais des idées, elle ne ferait jamais ça. C’était l’enfoiré derrière la porte, celui que la brune défendait et qui s’amusait clairement avec elle. « Non ». Ma main qui bloquait la porte, qui poussait pour l’ouvrir avant qu’elle ne se referme complètement. « Je veux le voir Rhia. Je veux lui casser la gueule, comme il te l’a fait ». Ma voix montait petit à petit, le sang bouillait dans mes veines. Sous l’effet de l’adrénaline, la porte s’ouvrit d’un coup, en réponse au coup de pied que je lui infligeais. « Il est où ce lâche ? » Question posée en crachant ma haine tandis que j’entrais dans l’appartement, la dépassant, cherchant du regard le fautif. « Il est où putain ?! » Dernier mot crié sous l’effet de la tension. Mes muscles étaient tendus, ma mâchoire serrée et mon regard fusillait la jeune femme, comme si tout était de sa faute. Comme si elle avait su qu’elle aurait dû me choisir à la place de l’autre. Je t’aurais fait moins souffrir Rhiannon.
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Tiraillée. Tourmentée. Ne sachant plus quoi faire. Ne sachant plus ce qui était bien ou mal. Tu regrettes amèrement de lui mentir de manière aussi effrontée. C’est tellement plus simple. Plus facile. La vérité t’apparaissant comme une épée de Damocles qui pèse lourdement au-dessus de ta tête. Tu ne veux pas le faire souffrir. Ni l’impliquer dans tes histoires. Sa gentillesse. Sa compassion. Tu ne les méritais pas. Bouche-bée. Estomaquée. Ne bougeant pas d’un cil dès lors que tu ouvrais la porte d’entrée. Il s’était déplacé. Tu demeurais immobile. Figée. Au fond de toi, t’avais espéré qu’il soit là. Qu’il soit celui qui se tenait derrière cette porte. Souhait réalisé. Même si tu devais maintenant faire face à tes responsabilités. Ilhan était à la recherche de ton « fameux mec ». T’aurais dû t’en douter. Tu ne sais pas comment faire pour te sortir de cette situation invraisemblable. Illusoire. T’avais essayé de lui barrer le chemin. De l’empêcher de rentrer à l’intérieur. Mais c’était sans compter sur sa force surhumaine et son entêtement. Il n’en démordrait pas. Il ne partirait pas. Réclamant inlassablement la présence de l’autre homme. Tu pousses un long soupir, t’éloignant de cet homme pour qui ton coeur commençait lentement à s’attacher. Ilhan, il allait finir par comprendre. Ton mensonge. Ta supercherie. Et là, tu finis par tilter. Ton corps. Ton visage. Tu n’as rien dissimulé. Les bleus sont clairement visibles. T’avales difficilement ta salive. Tu déglutis. Retenant tes larmes. Toi qui pensais pouvoir échapper à ça. Cette confrontation, tu n’en veux pas. Parce que tu sais pertinemment comment elle va se terminer. Ilhan, il attend une réponse. Il s’énerve. Il s’emporte. Et tu ne peux le regarder. Tu te détournes de lui. Tentant de mettre le plus de distance entre vos deux corps. T’en as juste marre. Tu vas craquer, Rhia. Devant lui. Cette faiblesse que tu tentes d’enterrer au plus profond de toi va finir par refaire surface. Sans que tu ne puisses plus rien contrôler. « Il n’est pas là, okay ? Il n’est pas là…. » tu t’écris, poussée par l’agacement et la fatigue. « Il n’a jamais existé… Alors calme-toi trente secondes tu veux bien ? » tu le supplies, finissant par planter ton regard dans le sien. Tu recules. Tu ne veux pas qu’il s’approche de toi. Parce que tu sais que tu finiras par y succomber. Tôt ou tard. « Pourquoi t’es venu Ilhan ? Pourquoi t’es là ? T’aurais pas dû venir… T’aurais jamais dû me voir comme ça… » tu lâches, ta voix trahissant ton désarroi et ton impuissance.  

@Ilhan Eastwood. :heaart:
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