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ARTELINE ❀ Should I accept your job ?

Anonymous

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Tu ne te comprenais vraiment plus là, comment diable pouvais-tu être aussi remonté par cette situation qui t’échappait ? Autant pouvait-on comprendre que tu n’avais plus le contrôle, mais ce n’était qu’un état passager… Tôt ou tard, tu pourrais reprendre le contrôle avec calme et persévérance, sauf que tu étais bien trop en colère pour parvenir à garder ton sang-froid légendaire. La raison première ? Tu étais véritablement jaloux de ces types qui touchaient ta meilleure amie comme si c’était un bout de viande ! Ouais ça te sortait clairement par les yeux ! « Oui je l’aurais fait ! Tu es ma meilleure amie, tu es tout pour moi Féline. Vivre avec toi, c’est l’une des meilleures décisions que j’ai prises depuis toujours. Et oui, je peux tout obtenir d’un simple claquement de doigts… Je pourrais le faire mais cette décision t’appartient. Même si ça ne me plaît pas que tu fasses ce travail… Un autre travail de serveuse ne m’aurait peut-être pas dérangé à ce point. Je n’arrive pas à concevoir qu’une femme aussi belle et gentille comme toi puisse se retrouver à travailler dans un endroit avec autant de pervers. Je ne dis pas que c’est un mauvais endroit, mais que tu mérites beaucoup mieux avec toutes tes qualités ». Tu parlais avec une sincérité que tu n’utilisais qu’en de très rares occasions : en présence de ta vénérable Mère ou ton grand-frère… Après avoir expliqué que tes émotions étaient contraires à ton statut de prince héritier et surtout que cela te menerait probablement à ta perte si ça venait à s’envenimer, la jeune femme explosa littéralement, disant clairement qu’elle se fichait de ton statut. « Je n’ai jamais dit que tu n’avais rien à m’offrir Féline ! Bien au contraire, si tu n’étais pas là à mes côtés, je ne pourrais jamais vivre correctement. Et je m’en fiche que tu ne sois pas d’ascendance royale, riche, pauvre etc… tu es parfaite comme tu es et je t’apprécie du fond du cœur… Et d’ailleurs, si tu n’étais rien à mes yeux, je n’aurais pas demandé à mes parents le droit de t’inviter sur le Rocher pour la traditionnelle soirée d’Halloween. Viendras-tu avec moi ? »

PS : Désolé du retard chaton !
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La situation échappait à tout contrôle, à commencer par celui tant aimé de Féline. Si seulement elle pouvait mesurer son tempérament, ne pas se mettre autant en avant et ne pas dire autant de choses compromettantes sur sa personne à la seconde ! Cela lui simplifierait certainement l'existence... mais d'un autre côté, si elle frôlait cette douce perfection, elle connaîtrait également l'ennui, qu'elle fuyait corps et bien depuis des lustres. Aussi, face à son meilleur ami, la belle brune tâchait de maîtriser les battements irréguliers de son cœur tout neuf, s'imprégnant de chacun de ses mots alors qu'elle savait pertinemment qu'il disait vrai... L'une des meilleures décisions... et si tu m'plaçais sur un piédestal mais que tout ça n'était que du vent, hein ? J'mérite peut-être pas tout ça. On me répète souvent qu'on a ce qu'on mérite. C'est peut-être ce que je mérite, ce taff. J'ai dû fâcher des mectons dans une autre vie ! tenta-t-elle de plaisanter en haussant les épaules, avant que l'emportement ne la reprenne, incapable qu'elle était de se contenir véritablement. Mais c'est pas toi qui le dis, c'est moi ! C'est moi qui dis que je n'ai rien à t'offrir, parce que c'est la pure vérité... sérieusement, qu'est-ce que tu veux que je t'offre Arthur ?! Cette fois, l'étudiante en droit ne put retenir ses larmes, qui se mirent à couler contre ses joues pâles et froides. Bien entendu, elle les effaça aussitôt d'un revers de main, pour faire comme si elles n'avaient jamais existé, mais il n'en demeurait pas moins que Féline se sentait minuscule face à tout ce protocole, cette pression sociale que subissait son meilleur ami. Elle faisait trois gaffes dans une seule phrase, s'exprimait avec le cœur et non avec son esprit, se moquant presque des conséquences. Tu vois on s'en cogne de nos statuts mais bon c'est pas toi qui décide quand même fit-elle valoir avant de capter ce qu'il venait juste de lui proposer. Un petit sourire perça enfin cette atmosphère délétère, car c'était la première fois qu'on l'invitait à une sorte de bal d'une part, et qui plus est à Monaco, sur le Rocher. Tu veux que je sois ta cavalière, t'es sérieux ? Même si je risque de faire tache avec mon manque de manière et le fait que j'ai genre... bah rien à me mettre pour pas faire encore plus tache ?! Petit rire. Féline dans un pince fesse, cela risquait de donner. Mais comme pour prouver qu'elle savait inverser la vapeur, elle s'avança pour embrasser juste le bout du nez du prince. J'me contrôlerai, t'as ma parole. J'en suis petit cœur en chocolat ! Petit clin d’œil. Faut quand même que... je retourne bosser...
(Invité)