(lesplussesbeaux) got the club going up

J'avais pas tourné la page de Wade et je sais même pas si un jour j'en serai vraiment capable, car après tout, nous allions toujours rester en contact lui et moi. Comment est-ce que je pouvais passer à autre jour alors qu'il était tous les jours dans ma vie ? Je spoile: c'est pas possible. Alors.. je sais que c'était ultra malsain ce qu'on était en train de faire et qu'un bon nombre de personnes devaient se dire qu'on était vraiment abrutis de jouer à ce jeu dangereux, mais c'était plus fort que moi, j'étais accro à cette adrénaline qu'on avait entre nous dès qu'on commençait à dépasser les limites et qu'on le savait tous les deux. J'avais besoin de me vider l'esprit et en même temps de me sentir vivre, totalement à nouveau. Alors on dansait encore et encore, jusqu'à en perdre toute notion de temps. On était proches, trop proches mais putain qu'est-ce que c'était bon. Ses mains sur moi me faisaient sentir des trucs que j'avais pas ressenti depuis plus d'un an maintenant et ça me manquait bordel ça. Même avec ma copine actuelle, j'arrivais pas à retrouver ce petit truc qui faisait que j'étais dépendante d'une certaine façon. - On va prendre l’air ? Je levais mon visage avec Wade, le sourire en coin avant d'attraper sa main pour sortir de la boîte et surtout de la chaleur étouffante. Je savais au fond de moi que c'était maintenant que tout allait se jouer. J'avais autant peur qu'envie que ça se passe. C'était hallucinant à quel point encore une fois mes pulsions étaient contradictoires. Je voulais l'embrasser. Je voulais plus. Je savais que lui aussi et ça m'rendait folle qu'il ait rien tenté jusqu'à présent. Oh que ça fait du bien.. dis-je en sortant, me prenant un courant d'air direct. Bon okay en fait j'ai froid. repris-je rapidement. La meuf pas du tout changeante tsais.

@Wade B. Forbes

Briony me perturbait encore un peu plus avec ce regard qu'elle me lançait, avec ce sourire qui venait étirer ses lèvres avec malice, et un certain mystère aussi. J'arrivais pas vraiment à savoir ce qu'il pouvait se passer dans sa tête mais, cette connexion qu'il y avait entre nous, j'crois qu'on pouvait pas la nier. Je la laissais prendre ma main dans la sienne, resserrant doucement mes doigts sur les siens, encore envoûté par le moment qu'on venait de passer. J'me sentais ailleurs, dans une autre dimension. Je pensais même plus à Agathe et ce type qu'elle avait embrassé, bien trop obsédé par Briony. Par ses yeux de biche qui m'enflammaient chaque fois qu'elle posait son regard sur moi. Par sa bouche que je rêvais d'embrasser. Putain. On arrivait à l'extérieur, accueilli par l'air frais qui ne faisait pas de mal à vrai dire, après la chaleur étouffante de la boite de nuit. On s'éloignait légèrement de l'entrée, elle s'adossant au mur, et je souriais malgré moi en entendant les mots de Briony, ne pouvant m'empêcher de me demander ce qui lui avait donné si chaud. Oui clairement là, j'avais les idées mal placées, et ça devait se voir dans mon regard. Bon okay en fait j'ai froid. Je lâchai un léger rire, loin d'avoir froid pour ma part. L'alcool que j'avais englouti et le joint que j'avais fumé avaient certainement leur part de responsabilité là dedans mais, qu'importe. Je m'approchai alors d'elle, posant mon avant bras sur le mur à côté de sa tête, rapprochant dangereusement nos corps l'un de l'autre. Cette fois, je n'étais pas gêné de me retrouver face à elle. Ni même qu'on soit seuls, à se lancer des regards qui en disaient long, sans qu'on s'en rende vraiment compte. - Est-ce que ça change déjà un peu la donne ? demandai-je sans la lâcher des yeux, le dévorant clairement du regard. Elle était belle putain. Et cette robe qu'elle portait, qui dévoilait ses formes que je connaissais par coeur.. - Tu sais que je meures d'envie de t'embrasser. C'était une affirmation.

Je pensais absolument pas à ma copine, mais genre même pas une seconde. Depuis le début, je savais au fond de moi que ma nouvelle histoire n'était là que pour essayer de me faire avancer vis à vis de Wade, car j'étais loin d'avoir fait mon deuil. Ca me revenait indirectement plein dans la face là maintenant, alors que j'étais en train de flirter avec lui et clairement en train de l'inviter à aller plus loin. Parce que j'en avais envie. Oh mon dieu que je voulais qu'on aille au delà des limites qu'on s'imposait depuis maintenant des mois. Mais il était désormais célibataire non ? Et ça serait un vrai crime que de ne pas mettre en valeur son corps. Je m'adossais à un mur, essayant de l'attiser avec mon regard, souriant malicieusement, sortant quelques remarques pour qu'il se rapproche de moi. Car même 10s sans lui près de moi me paraissaient bien trop longues maintenant. Je voulais plus, toujours plus. Mon ex se rapprochait de moi et je sentais cette sensation bizarre au sein de mon ventre, comme des papilllons ou du moins cette envie qui était de plus en plus prenante. Son bras près de mon visage, son corps si proche du mien, je me sentais revivre, totalement concentrée sur son visage, allant de temps en temps zieuter sur ses lèvres tentatrices. - Est-ce que ça change déjà un peu la donne ? Oh bordel, sa voix était... omg, j'ai pas de mot pour décirire ce que cette voix si grave me faisait ressentir et j'étais tellement loin d'être insouciante ou joueuse. C'était maintenant que tout se jouait et j'étais extrêmement sérieuse putain. - Tu sais que je meures d'envie de t'embrasser. J'haussais un sourcil. Okay, je savais que je devais être sérieuse mais still j'arrivais pas à l'être entièrement, c'était plus fort que moi en fait. Tu fais preuve d'un grand sang froid. lui dis-je doucement, sans le lâcher d'un regard. Mes maisn rejoignirent ses hanches ou plutôt le bas de sa chemise pour l'attirer doucement vers moi, l'invitant à ce qu'on se colle encore un peu plus.

Vous la sentez là, cette électricité dans l'air ? Ce courant intenable qui nous poussait irrémédiablement l'un vers l'autre ? Briony était ma faiblesse, mon talon d’Achille. Celle que j'avais autant aimé que détesté. Celle qui me ferait toujours et à jamais cet effet de dingue. Elle était tellement belle, tellement sexy qu'un seul de ses regards emballaient mon coeur encore un peu plus, et resserraient cette tension au creux de mon ventre. J'voulais pas écouter ma raison, cette petite voix dans ma tête qui me disait de rester sage, de ne pas dépasser les limites. Non. J'voulais l'embrasser avec ferveur, prendre une bouffée d'oxygène contre sa bouche. La sentir tressaillir sous mes mains. Gémir de plaisir sous mes caresses. La faire perdre pieds, comme j'étais en train de le faire inconsciemment de mon côté. Je la voulais putain. Je la voulais si fort alors que je me rapprochais encore d'elle, lâchant cette vérité absolue qu'il n'était pas bien difficile de deviner. Tu fais preuve d'un grand sang froid. Je souriais, la reconnaissant bien là, à se moquer gentiment de moi alors que j'avais juste envie de lui sauter dessus. - Ça dépend pour quoi.. dis-je en haussant un sourcil à mon tour, avant de sentir ses mains s'agripper à ma chemise pour me rapprocher encore un peu plus d'elle. Nos corps se collaient littéralement l'un à l'autre, et mes lèvres venaient volontairement effleurer les siennes, testant ses réactions. Jouissant intérieurement de voir son souffle se couper un instant. Puis, n'y tenant plus, je l'embrassais pour de bon. Une chaleur intense se répandait dans mon corps et je laissais tomber tout faux semblant, l'embrassant avec toute la fougue et le désir qui me submergeaient. L'une de mes mains se glissait contre sa nuque, la maintenant contre mes lèvres avec une possessivité que je ne cherchais pas à masquer. L'autre glissait contre sa cuisse, la faisant remonter contre ma hanche de manière équivoque. C'était bien trop intense pour être anodin au fond, jle savais. C'était Briony.

J'suis vraiment désolée Charlotte. Vraiment désolée. T'es une personne tellement bien, pure et puis j'me suis sentie si bien à Seattle grâce à toi mais fallait croire que mes plus intimes convictions, celles de vouloir aller de l'avant, étaient vraiment mises à mal par une seule personne. Tu mérites mieux qu'une personne comme moi dans ta vie Charlotte et j'espère vraiment que t'arriveras à pas trop m'en vouloir une fois que tu seras mise au courant de tout le mal que j'ai pu te faire à tant de km de distance, sans même penser une seconde réellement à toi. Mes yeux étaient captivés par ceux de Wade, mes mains cherchaient à me rapprocher encore et encore plus de son corps que je trouvais si parfait, mon souffle se mêlait au sien, me demandant encore combien de temps on allait tenir sans se sauter dessus. - Ça dépend pour quoi.. ENFIN. ENFIIIIIN. Ses lèvres retrouvèrent les miennes et mon souffle fut totalement coupé. Bordel. J'me sentais revivre, je sentais mon coeur battre, je sentais que mes mains cherchaient à satisfaire leurs envies et se baladaient le long du torse de Wade avant de finir autour de sa nuque. Bordel. Les papillons dans mon ventre apparurent tellement vite que je me demandais même si ils n'étaient pas présents depuis le début. Oh là. Pourquoi tu me donnes autant de sensations Wade ? Ca devrait être interdit ça. Mon désir pour lui montait en flèche, tout autant que la chaleur dans tout mon corps. Clairement, j'avais plus froid. La main du mather s'arrêtait sur ma cuisse avant de la remonter contre sa hanche et CA, çaaaa là, c'est clairement suggestif par rapport à la suite des événements. Ma respiration se faisait haletante, j'arrivais pas à me stopper de l'embrasser. Faut qu'on aille quelque part. Pas dehors, il fait trop froid. Je l'emmenais à l'intérieur en le tenant par la main avant de rentrer dans un espèce de débarras. Je fermais la porte après avoir allumé la lumière, bloquant l'entrée avec ce que j'pouvais. Puis j'revenais l'embrasser passionnément, cherchant à le déshabiller le plus rapidement possible.

C'était incontrôlable. Je ne pouvais pas lutter et puis, surtout, je n'en avais pas envie. Tout mon corps réclamait celui de Briony avec une passion et une ardeur que je ne pouvais m'expliquer. J'étais.. fou de retrouver ses lèvres, de pouvoir la toucher à nouveau. De m'enivrer de sa peau et de son parfum. J'étais ivre et à cet instant, je ne réfléchissais plus du tout aux conséquences, ou à savoir si ce qu'on faisait était bien ou mal. Je la voulais. Maintenant. Et lorsqu'elle me rendait mon baiser avec autant de passion, sinon plus, je crois que je devenais si entreprenant que j'aurais été capable de coucher avec elle là, tout de suite, dans ce coin sombre collé au mur de la boite. Faut qu'on aille quelque part. Ouais. Ouais ouais. Légèrement hagard, je la suivais jusqu'à l'intérieur de la boite, ne me posant même pas la question de savoir où on allait. On pénétrait dans un débarra, la musique en sourdine faisant vibrer les murs et à peine avait-elle refermé la porte derrière nous que je venais retrouver ses lèvres avec envie. Quelques secondes seulement et je n'avais déjà plus ma chemise. Ok. J'attrapais les pans de sa robe, et dans un mouvement rapide, je la lui faisais passer par dessus sa tête, ne la laissant qu'avec ses sous-vêtements. C'était torride, et pour rien au monde je n'aurais voulu arrêter ça.