Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitydon't give up on me [Ilhannon]
-50%
Le deal à ne pas rater :
[Adhérents Fnac] -50% Casque Pro Gaming HyperX Cloud Alpha Noire et ...
49.99 € 99.99 €
Voir le deal


don't give up on me [Ilhannon]

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
T'as les mains qui tremblent. Tes nerfs vont lâcher. Incessamment sous peu. C'est trop pour toi. Beaucoup trop à encaisser. T'arrives pas à te détendre. A décolérer. Impossible d'apaiser le rythme irrégulier des battements de ton coeur. Impossible de calmer ce flux d'émotions qui t'envahit. T'arrêtes pas de te mordre la lèvre inférieure. A tel point que tu peux sentir le sang dans le creux de ta bouche. T'es inquiète, Rhia. Tu paniques. T'es pas rassurée bordel. Tes larmes ne se retiennent plus. L'inquiétude te ronge. Elle te dévore de l'intérieur. L'attente est insupportable. Tu nages en plein délire. En plein cauchemar. Espérant simplement ouvrir les yeux. Te réveiller de cette tourmente. Ce n’est qu’un mauvais rêve. Ces mots, tu ne cesses de te les répéter intérieurement. Maudissant ce destin fastidieux qui ne faisait que te barrer la route. Tu tenais sa main. Tu la serrais fortement. Attendant. Impatiemment. Qu’il ouvre enfin les yeux. Imbécile. Crétin. Tes yeux ne pouvaient se détacher de lui. De sa présence. De ce corps inerte et inanimé. Ilhan dormait paisiblement sur un lit d’hôpital. Et t’en comprenais toujours pas la raison. L’action s’était déroulée sous tes yeux. Alors que tu quittais la boîte de nuit. Ayant eu subitement l’envie de respirer l’air frais. Fumer et te détendre. Et t’avais vu passer l’ambulance. Au ralenti. Un corps familier sur le brancard. Ton coeur avait raté un battement. T’avais écarquillé les yeux. Lâché ta cigarette à peine consommée. Complètement prise au dépourvu. T’imaginant tout un tas de scénarios. Ne comprenant pas son geste. Ne comprenant pas pourquoi il se retrouvait dans un tel état. Rhia, tu retiens tes larmes. T’attends des explications. Mais pour l’instant, t’es condamnée. Tu ne peux rien faire. Et ça te frustre de ne pas être en mesure de pouvoir l’aider. Juste attendre son réveil. Ta main vient presser la sienne. « T’as pas intérêt à me laisser tomber Eastwood. Ne t’avises pas de me laisser seule » tu murmurais à demi-mot. Espérant qu’il puisse t’entendre là où il se trouvait.  

@Ilhan Eastwood
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Bip. Bip. Un bruit incessant qui n'arrêtait pas de se répéter, résonnant dans mon rêve, comme un rappel à la réalité. Comme quelqu'un qui me criait qu'il était temps de se réveiller, d'arrêter de jouer. Bip. Bip. Le rythme des battements de mon cœur, parfaitement régulier, malgré hier soir. Pourtant j'avais l'impression que ce cœur qui me faisait vivre ratait un battement toutes les cinq secondes. Bip. Bip. Faites taire cette machine, qu'elle me laisse dans mes songes, là où tout allait bien. Là où Carter n'était pas. Parce que la douleur suite à son départ était insupportable. Parce que je n'avais jamais cru qu'elle m'abandonnerait. Comme quoi même les connards étaient naïfs. Mais t'en fais pas Carter, je ne le serais plus. Tu ne reviendras pas dans ma vie. Je m'en sortirais sans toi. C'était une promesse. Bip. Bip. Encore ce son qui ne quitte maintenant plus mon esprit. Doucement j'émergeais, contre mon gré. La vie n'en avait apparemment pas fini de jouer avec moi. En plus, il faisait froid, des frissons parcouraient mon corps faible. Mais, dans cette atmosphère glacé, il y avait une once de chaleur. Quelqu'un qui me tenait la main. Et ce même quelqu'un qui parlait. Pourquoi je ne la laisserais pas tomber ? Rien ne m'attendait ici. Car elle ne t'a jamais fait ça. Un argument qui apparaissait clairement, incrusté dans mon crâne. Bip. Bip. Voilà que j'ouvrais doucement les yeux, rien que pour avoir un aperçu de son visage, de son regard. Celui pour lequel j'avais flanché, celui pour lequel je mettrais un genou à terre sans que personne ne m'y force. « T'es... » J'essayais de parler, de lui dire quelque chose mais ma gorge était sèche, ma voix était faible. Pourtant il fallait qu'elle le sache, comme une évidence à lui apprendre. Alors je me faisais violence, serrant mes doigts autour des siens. « T'es belle ». Une vue que je voudrais avoir chaque matin.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Dans l’incompréhension la plus totale, tu demeures. Ne comprenant pas son geste. Ni pourquoi il se retrouve dans un tel état. Tu le dévisages. Tu le contemples. La vue qu’il t’offre te met mal à l’aise. Ton coeur se contracte. Il se tord de douleur. Ta poitrine se comprime. Ça te tue de le savoir comme ça. Dans cet état. T’as beau réfléchir. Retourner le problème dans tous les sens. Les effets pervers de la drogue, tu les connais. Tu en connais les conséquences. Et t’es persuadée qu’Ilhan en avait également connaissance lorsqu’il avait pris cette stupide décision. Visage angélique ayant laissé place à celui d’une âme torturée. En proie à la douleur et à la souffrance. T’as l’impression que sa souffrance est tienne. Sa main prise aux pièges dans la tienne. T’espères le soulager. Lui être utile. De n’importe quelle manière. T’as l’impression que tout est de ta faute. Ta présence n’apportant que désolation et chagrin. Semant le désordre et le chaos sur ton passage. Métaphore chimérique mais plutôt représentative de ce qu’était réellement ta vie en ce moment. Tu pressais doucement sa main. L’ordonnant de revenir. Il n’était pas en droit de t’abandonner. Aucunement. Ramènes tes fesses ici Eastwood. On a encore tant de choses à se dire, à vivre t’avais chuchoté. Caressant tendrement ses cheveux. Jusqu’à ce qu’il finisse par ouvrir les yeux. Miracle venant de se produire sous tes yeux. Il cligne plusieurs fois les paupières et tu te penches vers lui. Tendant l’oreille. Ces mots te parviennent et dès lors tu te recules aussitôt. Ton visage s’empourpre. « Les médicaments font leur effet. Tu ne sais pas ce que tu dis Ilhan. Mais tu es là… Tu t’es enfin réveillé… » tu lâches, ta voix se brisant sous le coup de l’émotion. « T’es qu’un idiot, tu le sais ça ? Franchement Ilhan… Tu m’as fait peur… » t’ajoutes, séchant par la même occasion tes larmes naissantes par ta seule main valide. L’autre étant fortement attachée à la sienne. « Comment tu te sens ? Tu vas bien ? » tu ne peux t’empêcher de lui demander. Espérant véritablement que sa crise lui soit passée. Parce que tu ne pourras pas le supporter plus longtemps. Pas une seconde fois.

@Ilhan Eastwood
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Je sais ce que je dis et je sais que j'hallucine pas, t'es là et c'est une superbe vue ». Sa voix qui se brise me serrait le cœur mais je pouvais rien y faire. Parce que je savais que tout ça c'était de ma faute, que j'avais pas su résister à l'appel de la drogue. Et que si la drogue m'appelait à nouveau, je succomberais encore, testant mes limites chaque soir en espérant pourtant ne plus jamais voir cette expression sur le visage de Rhia. Pourquoi elle était aussi inquiète d'ailleurs ? J'étais juste un mec qu'elle avait embrassé. Rien d'autre. En fait, j'étais rien tout court. A part un fuckboy qui trompait sa copine, qui donnait l'impression de jouer avec les femmes, avec sa vie. Parce qu'une autre l'avait laissée. Car celle que je pensais toujours avoir à mes côtés s'était enfuie, arrachant toute once de bonheur de mon corps, de mon esprit. Mais, en voyant Rhia à mes côtés, après une nuit passée à osciller entre la vie et la mort, m'apportait un peu de réconfort. Et, pour la première fois, mon cœur s'emballait sous l'effet d'autre chose que ses baisers. Son regard suffisait. Ses paroles, que je buvais, m'arrachaient un sourire. « C'est pas ce que j'ai l'habitude d'entendre de la bouche d'une fille qui se réveille à côté de moi ». Simple blague, comme pour lui montrer que j'allais bien, qu'il fallait pas qu'elle s'inquiète. De toute façon, je ne me sentais pas d'humeur à dire que j'allais bien. Ça sonnait comme un mensonge. A chaque fois que le visage de Carter apparaissait dans mon esprit, la boule dans ma gorge grossissait. Putain d'amitié qui n'avait servie à rien. « Comment t'as su ? » que je demandais en me relevant difficilement, m'appuyant sur mon bras droit, lâchant un léger soupir de soulagement lorsque je reposais mon dos contre le dossier du lit. Mon regard croisa à nouveau celui de Rhiannon et le silence s'installa, en attente d'une réponse. Avait-elle vu Julian ? Comment allait cette dernière ? Je pouvais pas lui demander tout ça en plus. Elle ne la connaissait sûrement pas.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)