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COKY COLA ♡ Il y aura un meurtre dans cette cave... ou pas.

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il y aura un meurtre dans cette cave... ou pas

Lucky, Cole, Cléolya

J'avais connu Cole au temps où monsieur vivait dans l'optique "l'amour, c'est pour les faibles..." Mais, j'étais cet être qui avait réussi à mettre le doigt sur les sentiments les plus enfouis de sa conscience, cet être même qui avait réussi à donner des émotions à notre grand orgueilleux. Mais c'est aussi cet être qui lui avait en quelque sorte, retiré tout ça en le quittant stupidement. Faut pas croire que je me rejetais toute la faute, car je savais que lui aussi avait ses torts, mais bon, j'aurais pu agir autrement. Je m'en étais mordue les doigts et me les mordais encore aujourd'hui. Surtout après le pacte que j'avais passé avec lui, car en faisant cela, je devais accepter quelque part, ses coucheries avec d'autres femmes. Avais-je un autre choix ? Je ne supporterai pas de le voir appartenir à une autre et encore moins, de le voir heureux avec. C'était la première fois de toute mon existence, que je m'étais montré si égoïste. Cet homme allait vraiment finir par me rendre folle. D'ailleurs, en parlant du loup ? Te voilà qui montrait le bout de ta queue. Je fronçais les sourcils en te voyant bien pressé et si au départ, j'étais venue pour voir ma meilleure amie, à présent, je me mettais à te suivre. J'avais ce sourire scotché sur les lèvres à chaque fois que je te voyais et maintenant, ce sont mes pas qui me guidaient vers toi comme un aimant. J'étais encore plus surprise de te voir pénétrer dans cette cave et me demandais ce que tu y allais faire. Curieuse, j'entrais et maladroite, je refermais la porte sur nous en ignorant tout bonnement que celle-ci ne s'ouvrait pas de l'intérieur. Un jour, ma maladresse me coûtera cher. Enfin... Je descendais les escaliers et me stoppais d'un coup, après quelques pas dans ta direction. Mon regard vermillon vous scrute, toi et ta dernière ex en date. Un feu de braise invisible brûle tout mon corps à la simple vue de ta présence à côté de ma rivale. « Ah... » Fut le seul mot que mes lèvres avaient eu la force de lâcher. Sans plus tarder, je remontais les escaliers dans le but de m'en aller. Pourquoi ? Pourquoi n'avais-je pas la force d'y faire face ? Malheureusement pour moi, la fuite ne me sera pas permise puisque la porte ne s'ouvrait plus. « Génial... Manquait plus que ça p'tain ! » Premier éclat de voix. Rageuse, rageant contre tout et rien, rageant contre cette stupide porte. Et si l'expression de mon visage était parfaitement neutre, le ton dans ma voix ne mettait pas de doute sur ce que ressentais. Me retrouver enfermée avec toi et ton ex ? Non. Juste non. Ainsi, je m'acharnais sur cette pauvre poignée en pensant que celle-ci s'ouvrirait comme par magie.



@Cléolya A. Strauss @Cole S.-Wildingham désolé pour la nullité de ce titre COKY COLA ♡ Il y aura un meurtre dans cette cave... ou pas.  927261665
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Il y aura un meurtre dans cette cave... ou pas.
Cole, Lucky & Cléolya

Depuis mon arrivée à Harvard, tout était compliqué. Ma vie en Angleterre me manquait, Oxford me manquait, mon père me manquait. Tout était plus simple là-bas, mais il était impossible pour moi de me résoudre à partir. Non, je ne pouvais pas abandonner Cam, Nicho, Athé, Dim, Hecate, même Lenny, dont je m'étais très clairement rapproché. Puis il y avait cet homme, qui détenait une bonne partie de mon cœur, celui qui m'avait fait vibrer depuis notre première nuit, Cole. Alors, ouais, je tentais de passer les obstacles un à un. Parce qu'il fallait le dire, entre la disparition de ma sœur, la fausse mort de mon autre sœur, mes aller/retour au Laos, la mort de "mon père", la chute de Cam, mon accident de voiture ou encore la disparation d'Athé, c'était compliqué. J'avais une vie compliquée de toute façon. J'étais même dans l'attente de rencontrer ma toute nouvelle cousine et j'avais même appris qu'on avait un frère, alors ouais être une Strauss, ça n'avait pas que des avantages. En plus de ma vie à gérer, je devais aussi garder un œil sur poupée qui souffrait terriblement de son histoire et pour preuve, j'en étais même devenue violente au point de gifler son ex, Pluton et de laisser Lenny le mettre KO. Poupée et moi, on s'était promis d'aller mieux. On s'était promis de ne plus se laisser avoir par les hommes et l'amour et pourtant, j'étais faible. Je l'aimais, et cet amour que je lui portais, à Cole, il me consumait. J'avais besoin de l'avoir prêt de moi, même si c'était pour se faire la guerre, comme à Porto Rico avant qu'on arrive enfin à parler le même langage. J'avais fait une nouvelle rencontre, un autre homme, il était mon idéal masculin. Il était beau, il était charismatique, il était intelligent, mais ce n'était pas Cole. J'avais besoin de le revoir, alors entre deux cours, je donnais rendez-vous à mon ex dans une cave, c'était discret et ici, personne ne pouvait nous surprendre. J'attendais à peine quelques minutes qu'il apparaissait, juste là sous mes yeux. Sans prendre la parole, je m'approchais de lui pour venir saisir sa veste et l'attirer contre de moi.

« Tu es venu.. » Soufflai-je alors que mes lèvres se trouvaient à quelques millimètres des siennes.

Tout était parfait jusqu'à ce bruit qui m'interrompait dans mes plans. Je me reculais avant de voir apparaître Lucky, la meilleure amie d'Ash, mais aussi et surtout l'ex de Cole. Zéro réaction de ma part en fait. Alors j'attendais de mon côté qu'ils partent, ensemble et qu'ils me foutent la paix. Il voulait un point de non-retour, il l'avait. Je n'étais pas débile, si elle était là, c'était pour Cole pas pour la cave.

© LOYALS.
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La vengeance… Ca me tenait. Ca m’obsédait. Et on ne pouvait me larguer, encore me tromper, sans avoir à en découdre. Alors oui, après notre nuit à Porto Rico, j’avais pris un malin plaisir à révéler à Cléo que c’était avec Lucky que j’avais passé un moment peu de temps avant. Double but. Vengeance et l’éloigner, une bonne fois pour toute. Qu’elle me laisse, qu’elle m’oublie. Qu’elle tourne la page, qu’elle brûle le livre. Puis d’ailleurs, je l’avais révélé à Lucky aussi, tiens, d’une pierre deux coups. Parce que je savais très bien que jouer avec le feu ainsi avec mes exs, ça n’allait pas plaire à certains… A certaine. A une personne en particuliers. Une personne qui déjà usuellement avait tendance à être ultra colérique. Donc autant dire que je craignais plus que jamais les crises d’Hippolyte Dunford à présent que ses hormones de femmes enceintes la titiller. Et Hippo, je le savais, je la connaissais par cœur, elle n’approuverait pas que je flirte de nouveau avec Lucky, qu’elle détestait, et elle n’aimerait pas l’idée que je retomber dans les filets de Cléo alors que cette dernière m’avait ridiculisé en allant embrasser mes crétins de cousins. Donc voilà, révélant à l’une et à l’autre la vérité, j’avais pensé régler l’affaire. Mais c’était peine perdue. Cléo voulait quand même me voir, malgré tout… Et Lucky… Lucky, elle voulait toujours me voir aussi, me faisant passer ce pacte de célibat que j’avais naïvement accepté. Aujourd’hui, c’était avec miss Strauss que j’avais rendez vous. Elle voulait me parler. J’aurais pu éviter, j’aurais pu trouver une excuse, me défiler… Mais… J’étais faible. Alors me voilà, descendant dans cette cave sur le campus. Concentration, mon masque distant et froid ne tint néanmoins pas dix secondes. Il suffit que la jeune femme attrape ma veste et m’attire à elle pour que je me sente fléchir. « Cléo… » Cette proximité… C’était dangereux, et voilà déjà mes lèvres qui plongeaient vers les siennes, sauf que le baiser n’eut pas lieu, interrompu par un « ah », cette voix aux tonalités familières. Volte face vers l’intruse, et cette silhouette je la reconnus aussitôt. La brune était en train de s’activer sur la poignée mais la porte refusait visiblement de s’ouvrir. « Lucky ? » Pas vraiment une question en fait. Je l’avais bien reconnue malgré la pénombre des lieux. « C’est quoi ce délire ? Tu me suis maintenant ? » demandai-je sur un ton où perçait assez clairement mon agacement et ma colère.  
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Lucky, Cole, Cléolya

C'est en voyant ce genre de scène, que je regrettais ce pacte. Parce que je savais, je savais que te voir avec une autre me rendrait folle et encore plus, si cette autre était l'une de tes exs. Je n'avais rien contre cette fille, c'était la soeur d'Ashleigh et si elle n'était pas sortie avec toi, peut-être que je ne lui aurais pas voué autant de haine. Mais alors que j'essayais tant bien que mal d'ouvrir cette porte, ta voix résonnait enfin et tu lançais des mots qui me faisaient pâlir de rage. « Et puis quoi encore ? Te suivre ? Tu crois que je n'ai que ça à faire ? » Avouai-je prise de colère à mon tour. « Je passais juste voir ma meilleure amie et je t'ai vu entrer et ouai... J'aurais dû tracer ma route plutôt que... » Plutôt que vouloir profiter pour te voir crétin ! La curiosité Lucky, la curiosité est un vilain défaut. Fuck à cette curiosité... Encore plus maintenant que je savais pourquoi tu avais emprunté les escaliers de cette cave. « Mais je dois avouer qu'on ne peut pas faire plus discret que cette cave... » Et c'est dans un rire mauvais que je lançais ce sous-entendu à ton intention, parce que toi seul savais de quoi je voulais parler. Parce que toi seul sera en mesure de repérer la jalousie à travers mes mots et surtout, surtout l'envie de faire un meurtre. « Mais ne vous inquiétez pas, une fois que j'aurais réussi à ouvrir cette fichue porte, vous pourrez continuer ce que vous vous apprêtiez à faire... » Ah mais ouai, pourquoi pas appeler quelqu'un ? Je cessais de marteler cette pauvre poignée et cherchais dans mon sac, mon portable. Mais la conne que j'étais, avais oublié l'objet dans ma voiture. « J'ai oublié mon portable dans ma voiture alors si quelqu'un de vous à son portable pour demander de l'aide, ça ira plus vite. Parce qu'il semblerait que nous soyons enfermés... » Halloween avant l'heure. Surprise ! Je descendais alors les escaliers afin de m'installer dans un coin assez loin pour que mes yeux évitent tout croisement avec vous. Je préférais admirer le plafond vous voyez ? Même que je repérais des toiles d'araignées crispant mon visage de dégoût.

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Cole, Lucky & Cléolya

J'étais à quelques millimètres du bonheur, mais non, il fallait que Lucky débarque. Et voilà qu'on se retrouvait tous les trois enfermés, dans cet endroit sinistre. J'étais dans un film d'horreur ? On me punissait de quoi au juste là ? Non parce que si j'avais su, j'aurais préféré ne pas le voir, plutôt que de voir son ex le suivre jusqu'ici, s'en était flippant. Je soufflais entendant les deux converser en comprenant qu'on était bloqué et que Mademoiselle catastrophe avait oublié son téléphone.

« Je m'en charge. » Dis-je en attrapant mon téléphone à la recherche d'une âme charitable pour me sauver d'eux.

Puis je joignais Lenny, dont je m'étais nettement rapproché ses derniers jours, surtout depuis ce café qui avait dérapé en règlement de comptes avec Pluton. Je rigolais en lisant ses réponses, puis je cherchais une motivation pour le faire venir plus vite, du bourbon. Un très bon bourbon, c'était ça la monnaie d'échange contre sa rapidité. Je rangeais mon téléphone.

« J'ai un ami qu'arrive, dans 5 minutes et on est sauvé. »

Restant dans mon coin, j'observais Cole. Je n'en pouvais plus de cette situation, d'être prise pour une conne, alors je préférais ne plus l'avoir dans ma vie, plutôt que d'être qu'un jouet pour lui. Ma main glissait sous ma jupe, pour saisir délicatement mon dessous, que je m'empressais de retirer. Je l'attrapais puis je m'approchais de Cole, mes lèvres aux creux de son oreille, ma main elle, glissait ma petite culotte dans sa poche. Je rejouais cette scène où l'on avait essayé de ce dire au revoir, sur ce yacht. Sauf que cette fois, j'allais m'y tenir, je ne pouvais pas laisser l'homme que j'aime se jouer de moi encore une fois. C'était vers celle qui m'avait humilier publiquement qu'il s'était tourné alors non, quelqu'un qui tenait un tant sois peu à moi, ne me ferai pas ça. Cette relation, ses mots, c'était que du vent. Mes lèvres contre son oreille, je venais en mordiller le lob avant de venir susurrer des mots plus ou moins doux à son oreille.

« Je suis sûre que c'est ta préférée. » Chuchotais-je à mon ex. « C'est un cadeau d'adieu. Une fois sortie de cette cave, n'essaye plus de mon contacter Smythe... Je ne suis pas une parmi tant d'autre, je suis l'unique Cole. L'unique. » Chuchotais-je.

Mon regard, plongé dans le siens, j'en oubliais presque Lucky, mais je vérifiais d'un coup d’œil qu'elle ne nous surveillait pas, pour ne pas lui faire du mal inutilement. Mon visage retrouvait sa place à quelques millimètres du sien, je posais délicatement mes lèvres sur les siennes avant de mordiller sa lèvre inférieure. Je glissais mes mains dans sa nuque, posant mon front contre le siens, l'azur de mes iris, perdu dans la profonde noirceur des siennes.

« Ne m'oublie pas mon amour. Je t'aime... » Soufflai-je les larmes aux yeux.

Il avait besoin de l'entendre ou alors moi j'avais juste besoin de le lui dire pour la première et la dernière fois, puis je me détournais et je passais à côté de Lucky, sans plus aucune haine à son encontre.

« Il est tout à toi, t'as gagné. »

Puis je venais m'installer sur la toute dernière marche, faisant attention à ne pas laisser apparaitre mes parties intimes, puis j'attendais impatiemment que Lenny me sorte de cette situation plus que gênante.

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Hj : Voilà, vous avez brisés ma Cléo, vous pouvez être fière de vous les filles :laugh: COKY COLA ♡ Il y aura un meurtre dans cette cave... ou pas.  2442039969
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J’avais été à deux doigts de craquer, c’était Cléo et bordel elle avait ce truc… Ou alors c’était moi le problème. Qu’est-ce que j’avais à vriller comme ça en ce moment, à déraper avec des exs ? En tout cas, tout rapprochement fut anéanti par l’arrivée impromptue de Lucky. Une autre ex… Un autre dérapage récent. Comme de par hasard. Aussitôt, je m’énervais, suspectant qu’elle m’avait suivi, qu’elle ne respectait donc pas le pacte qui stipulait bien qu’on pouvait faire ce qu’on voulait de notre côté pourvu de rester célibataires. Mon accusation la fit aussitôt monter dans les tours. Elle était sur le campus pour voir sa meilleure amie, c’est juste qu’elle m’avait croisé et qu’en effet, ensuite, elle m’avait suivi dans cette cave. Chose qu’elle regrettait amèrement d’avoir fait visiblement. « T’as  bien fait en fait, moi non plus j’aurais pas du venir. » Et c’était une bonne chose qu’elle soit arrivée en fait miss Burberry. Elle m’empêchait un nouvel élan de faiblesse avec Cléo, c’était peut être aussi bien ainsi. Sauf que pour le coup, on était coincés ici, et ça c’était mauvais. Lucky n’avait pas son téléphone sur elle. J’allais sortir le mien mais Cléolya me devança, se chargeant de trouver du secours. Je l’observais, bras croisés, air boudeur et rageur, alors qu’elle passait son coup de fil. Elle raccrocha annonçant alors notre sauvetage imminent. « Super. » Et c’est un silence pesant qui s’installa alors. Coup d’œil vers mademoiselle Strauss et j’écarquillais les yeux en la voyant alors s’agiter, soulever discrètement sa jupe pour… retirer son dessous ? Qu’est-ce qu’elle fabriquait ? Si dans d’autres circonstances, ça m’aurait filé des crampes sous la ceinture, là, ça ne faisait qu’accentuer mon exaspération. Elle s’approcha pour me susurrer quelque chose à l’oreille, cherchant je ne sais quoi, à me narguer ? A me faire regretter notre rupture ? Me rappeler notre été ? Ce moment où j’avais failli la perdre ? Ou à faire rager Lucky quelques centimètres plus loin ? Que sais-je… Je n’étais pas dans sa tête. En tout cas, la voir jouer la miss provoc’ ainsi n’eut qu’un seul effet : m’énerver davantage. Elle glissa la petite culotte dans ma poche, souffla ce qui ressemblait à un au revoir, venant ensuite m’embrasser, en me chantant encore une fois ce mensonge de son amour. Mensonge oui. On aime pas quelqu’un qu’on zappe à la minute où l’on pense l’histoire finie, tout ça pour sauter sur ses cousins… Non Cléo. Je n’y croyais pas à ses mots. Je ne croyais pas à ce baiser. Je ne croyais pas à ses larmes. Elle s’éloigna ensuite, grimpant pour attendre assise sur la dernière marche. Ma tête oscilla de droite à gauche et je repris donc : « Non Cléo, tu n’es pas unique. Non tu ne m’aimes pas. Pas plus que Lucky d’ailleurs. » Oh, qu’elles étaient douées pour me placer dans le rôle de bourreau, rôle que j’affectionnais j’avoue, m’étant bien vengé en relatant à l’une comme à l’autre les moments charnels si proches dans le temps que j’avais passé avec l’une puis avec l’autre. Mais pour nos histoires gâchées, je ne porterais pas le chapeau tout seul. No way. « Petit rappel Cléo : TU as filé emballer mes cousins à la minute où tu as cru que notre histoire était finie. L’unique, elle ne fera pas ça. L’amoureuse non plus. » Puis histoire qu’elles soient sur un pied d’égalité, je lançai à mon autre ex petite amie : « Et tu m’as quitté à la minute où on t’a fait croire que j’avais l’intention de ne pas rester avec toi. » Bravo la confiance. « Et en passant le message par mail à l’une de mes meilleures amies. » Nice. Grande classe. On était d’accord que l’unique et l’amoureuse ne fera pas ça non plus. Alors ma main plongea d’abord dans ma veste, récupérant le sous vêtement, gravissant les quelques marches qui me séparaient de Cléo pour lui remettre le vêtement. « Garde ça, je n’en veux pas. Je ne veux rien de toi. » Et mes doigts filaient ensuite accrocher le bracelet accroché à mon poignet, le dénouant pour venir ensuite le remettre dans les mains de Lucky. « Ca non plus je n’en veux pas. » ajoutai-je, redonnant à la brune le présent qu’elle m’avait fait quelques jours plus tôt. « Qu’on soit clairs sur un point : je n’ai aucun compte à vous rendre. » Je n’étais plus avec l’une, ni avec l’autre, alors cette prise de tête n’avait aucun sens. « Quand est-ce qu’on nous ouvre là bordel ? » m’impatientai-je ensuite sur un ton impétueux.

Hj : sorry pour l'attente les filles, soutenance de mémoire oblige COKY COLA ♡ Il y aura un meurtre dans cette cave... ou pas.  927261665 mais j'suis libérée délivrée maintenant
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Lucky, Cole, Cléolya

Le mal était fait Cléo, car vous trouver ici, ensemble et sur le point de vous embrasser, était déjà un véritable supplice pour moi. Donc, que tu retires ta petite culotte, que tu joues les petites aguicheuses ou encore que tu déposes tes lèvres sur celle de mon ex, ne changera rien. Le mal était déjà fait. J'avais suivi toute la scène qui venait de se dérouler devant mon regard médusé et même si j'étais dégoutée, ou que la colère bouillonnait dans mes veines, je parvenais néanmoins à garder mon self contrôle. C'était Bagdad dans ma tête, je soupirais même d'exaspération lorsque tu terminais ton petit numéro pour passer à côté de moi et me lancer ces mots amers. Effet secondaire immédiat, je serrais les dents. Ce que j'aurais voulu te dire à cet instant ? Tu crois que c'est facile ? Qu'il suffit juste de te retirer pour me laisser le champ libre ? Non miss ! Contrairement à toi, je n'aurais plus cette chance... Bordel, tu crois que ça avait été facile pour moi de l'avoir ? Non, j'avais dû galérer, remuer ciel et terre pour qu'enfin, il puisse sortir avec moi. Alors que toi, tu n'as eu qu'à bouger ton petit popotin et claquer des doigts pour que le jour suivant, il soit à toi. Franchement Cléo, je te vouais une haine sans merci parce que toi, t'avais cette chance que je ne pourrais avoir. Enfin c'est ce que je pensais jusqu'à ce qu'il se tourne vers toi pour te cracher ces mots. Et qu'ensuite, il termine avec moi en posant le bracelet que je lui avais offert, dans ma main. Bracelet que je laissais tomber au sol aussi vite qu'il n'a été retiré de sa place. Je me lève à l'entente de tes mots et ma main, sans que je ne puisse la contrôler, s'écrasait violemment sur ta joue. Cole. Oui pour la toute première fois de ma vie. Et cette marque, tu la garderas à vie. « La confiance, elle se mérite. T'as fait que me servir de belles paroles pour que je te pardonne à chaque fois que tu magouillais avec tes potes et que ça arrivait à mes oreilles. Tu étais prêt à coucher avec Agathe pour gagner ton stupide pari pour que ton meilleur pote te pardonne ! Alors, EXCUSE-MOI d'avoir douté. EXCUSE-MOI. » Et je vais me retenir de te mettre une autre claque parce que là, tu n'en méritais pas qu'une. Toi. Toi qui joues sur plusieurs tableaux. Toi qui sors de belles paroles, exactement celles que l'on veut entendre, parce que tu sais où faire bien. Et tu sais où faire mal aussi. Mon regard avait durci. Ton clair. Tête baissée. « Toi tu ne casses pas, tu ne quittes pas, mais tu fais pire. Tu nous pousses à le faire et après tu t'étonnes qu'on te quitte. Oui, j'admire ta façon de te faire passer pour la victime. Oh tu sais, on ne t'as jamais aimé blablabla... » Je me rapprochais suffisamment de toi, mes prunelles accrochais les tiennes. « Tu n'as aucun compte à nous rendre en effet. Mais alors juste, dégage de nos vies et n'en reviens plus pour sortir encore tes belles paroles histoire qu'on finisse encore dans tes bras à espérer encore que tu reviennes. » Et pour la toute première fois, j'arrivais à te regarder dans les yeux pour te dire tout ça sans une once de peur. Tu vois comme je te déteste au point de t'aimer ? Mes mots étaient crus, mais j'en avais plus que marre de subir tes reproches alors que toi, tu n'étais absolument pas blanc, alors que toi, tu avais le droit aux erreurs, mais pas nous. Toi, qui voulais des chances, mais qui ne nous en accordait aucune. Blasphème. Reculant, je remontais les marches des escaliers pour attendre l'ami en question de Cléo. Lui, je l'attendais comme le messie là. Sérieux. Je croisais les bras sous ma poitrine. Aucune envie de pleurer, plutôt envie de faire un meurtre. Et il fallait vraiment qu'on vienne nous ouvrir la porte parce que sinon, j'allais finir par en commettre vraiment un.



Hj: MDRRRR on pari sur la mort de Cole dans cette cave ? COKY COLA ♡ Il y aura un meurtre dans cette cave... ou pas.  166564858 :laugh:
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Cole, Lucky & Cléolya

Après mon petit numéro, je venais m'installer sur les marches, non sans peine, non sans haine en fait. Cet effet que t'avais sur moi, cette balance entre l'amour et la haine qui ne faisait qu'un peu plus me troubler, en réalité ça me consumait de l'intérieur. Lucky était là et peut-être bien que finalement elle et moi, on aurait pu être amie s'il n'avait pas été entre nous, parce que cette fille dans le fond, elle était comme moi, elle l'aimait, d'un amour sincère, fort et pure alors, non je n'avais pas fait ça contre elle, je n'avais pas fait ça pour l'enerver, je l'avais fait pour moi, pour pouvoir tirer un trai sur toi. Jouant avec mon téléphone, il n'avait pas fallu attendre très longtemps avant qu'il ne réagisse. Voilà qu'il jouait son petit numéro. Je préférais jouer l'indifférence, parce que tout ce qu'il pouvait dire ça me passait au-dessus maintenant, je lui avais fait mes au revoir, alors je ne lui donnerais pas le plaisir de réagir à l'humiliation qu'il était en train de nous faire subir. Comment je pouvais aimer un homme comme lui ? Comment Lucky pouvait aimer un homme comme lui ? Non mais on avait peut-être chacune fais des erreurs, on avait peut-être fait des mauvaises choses, mais c'était rarement sans aucune raison qu'on agissait nous les femmes. Alors que Lucky réagissait, je restais sur mes marches, alors que j'enfilais à nouveau mon sous-vêtement, tout en écoutant votre affrontement. Une belle gifle de la part de ma meilleure ennemie atterrirait sur sa joue et c'était le sourire aux lèvres que j'assistais à la scène. Le karma, il pouvait être bon parfois, merci Lucky, même si c'était surement moindre par rapport à la peine qu'il nous avait fait. L'ancienne Mather, venait elle aussi au niveau des marches.

« Jolie gifle. » Chuchotais-je alors.

Je l'enviais d'avoir réussi à faire ce que moi, j'avais été incapable de faire, préférant largement jouer la carte de l'ignorance, sauf que voilà, j'avais beau essayer de me contrôler, ses mots tournais en boucle dans ma tête.

« Au lieu de jouer l'homme parfait, poses toi les bonnes questions. Si t'arrives pas à garder une copine, c'est peut-être que le problème c'est toi, pas nous. » Non mais vraiment. « Il était ou mon copain quand j'ai perdu mon père ? Dis-moi t'étais ou quand j'avais le plus besoin de toi ? Alors j'ai peut-être embrassé tes deux cousins, mais rien n'arrive sans rien. »

Je restais assise à ma place, gardant tout mon calme, n'élevant pas une seule fois le ton de ma voix.

« Et comme Lucky dit cesses ton petit numéro avec nous et arrêtes tes belles paroles. On en veut plus du Cole menteur et manipulateur. T'es comme nous dans le fond, parce que dès que tu te trouves dans l'intimité avec l'un d'entre nous, tu n'es pas capable de résister, donc qu'importe la haine que tu nous portes, là, maintenant, tu sais que tu tiens autant à l'une qu'à l'autre. »

On n'était pas idiote, et même s'il ne nous aimait pas, il arrivait quand même pas à se défaire des démons de son passé, puisqu'on était face à lui.

© LOYALS.
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 Un cauchemar. On aurait pas pu imaginer pire scénario. Si au début c’était une entrevue avec Cléo qui m’attendait, que je redoutais de fondre et que j’avais même été à deux doigts de le faire en la retrouvant dans cette cave les premières secondes, c’était finalement sans aucune difficulté que j’allais réussir à résister. Interrompus par Lucky, me mangeant les reproches de mes deux exs, accusant le petit numéro piqûre de rappel de notre au revoir estival avec Cléolya, tout ça ne faisait que me rappeler une chose : pourquoi ça n’avait pas fonctionné, ni avec l’une, ni avec l’autre. Petit rappel aussi donc sur le fait que craquer ne m’apporterait que des ennuis. Rien de plus. Parce qu’avec aucune des deux jeunes femmes je n’avais d’avenir. On n’avait plus que notre passé, un passé dont je n’arrivais pas à me défaire des souvenirs amers. Alors visage fermé, don dur, intransigeant, je rappelais à mes deux ‘victimes’ qu’elles avaient été aussi, en leur temps, bourreaux. On ne me blâmait pas, à moins d’être blanc comme neige et clairement elles ne l’étaient pas. Et d’une manière très symbolique, je leur rendais tour à tour leurs présents. Sa petite culotte pour Cléo, son bracelet pour Lucky, m’éloignant en concluant que je n’avais plus aucun compte à leur rendre. Et c’était d’autant plus vrai que, débarrassé de leurs cadeaux, je n’avais plus d’attache. Et ce fut Lucky qui réagit d’abord, se rapprochant de moi, je n’eus le temps d’effectuer aucun geste de recul que sa main s’abattait violement sur ma joue et qu’à son tour, elle me citait mes chefs d’accusation. Mes doigts effleurèrent ma peau rougie, mon visage m’élançant quelque peu et je l’écoutais avant de répliquer : « Agathe ? T’es sérieuse là ? » Rire mauvais, rire très mauvais. Car ce pari m’avait coûté beaucoup, j’avais été mis à pied, je m’étais embrouillé avec ma demi sœur, mais bordel je ne regrettais absolument pas. Et ce pari à la con, le petit cul d’Agathe, le petit derrière de Ludmila, aucun de nous, que ce soit Abé ou moi, n’en avait jamais eu véritablement quoi que ce soit à faire. C’était un jeu. Le but final, l’objectif ultime, c’était juste lui. Abélard. Retrouver mon meilleur ami, parce qu’une fois encore, c’était lui qui était toujours là, présent à mes côtés, quoiqu’il se passe. « T’as rien compris à cette histoire, t’as même pas cherché à comprendre. » Les magouilles, le bizutage, le mms transféré à Abé tout ça pour retrouver notre amitié. Elle m’accusait alors d’avoir poussé, toutes mes petites amies, à les quitter. « J’aurais voulu que tu me quittes, j’aurais VRAIMENT couché avec Agathe pendant qu’on était ensemble. Puis avec toutes les autres… » Parce que dieu sait que j’en avais eu des ouvertures, des occasions, des opportunités de conclure… « Ca tombe bien, c’est ce que je compte faire » m’exclamai-je avec mauvaise humeur quand elle conclut sur le fait que je devais dégager de leur vie. « Laissez moi juste partir. » De cette cave, d’abord. De leur existence ensuite… Mais le procès n’était pas fini. Avocate Strauss au barreau. Et ce fut donc le tour du plaidoyer de Cléo. « Trouvez vous un nouveau mec, et gardez le, comme ça on verra bien lequel de nous trois à un problème… » Et ça pouvait presque ressembler à un défi, ça. Celui qui vivra l’histoire la plus longue gagnera ? Et c’était peut être vrai, on gagnerait la chance de s’en remettre, de s’en sortir, d’être heureux avec quelqu’un à nouveau. Et bordel, dans le fond, aussi en colère et rancunier que je sois, c’était tout ce que je leur souhaitais à toutes. Toutes les deux, Cléo et Lucky, et toutes les autres. Qu’elles avancent. Qu’elles oublient. Qu’elles m’oublient. Plutôt qu’on se crache du venin comme on le faisait en ce moment même. Et le décès de son père, forcément qu’elle me le remit en pleine figure. J’avais été à la sépulture, mais j’étais parti ensuite en voyage avec ma meilleure amie, qui à l’époque avait besoin de moi. Les amis. Les amis avant tout le reste. « Je ne vais pas m’excuser d’avoir été présent pour la seule personne qui ne m’a jamais trahi ou abandonné. » Non. Je ne regretterais jamais d’aider Hippolyte. Jamais. Même si ça avait marqué une première brisure entre Cléo et moi. « Et tu sais que dans le fond, si ça avait été Camila qui avait eu besoin de toi, tu aurais fait pareil. » Parce qu’on se ressemble plus qu’on ne le pense, que nos valeurs en terme d’amitié étaient proches, je le savais… Et la conclusion de miss Strauss arrivait également, peut être moins acide, radicale que celle de Lucky, mais elle me mettait devant le fait accompli : je tenais à elles. A elles deux. Et j’étais incapable de résister. « Je tiens à vous, oui. Pas assez pourtant. » Pas assez pour pardonner. Pas assez pour retenter. « Je pense qu’on a pas le choix, faut qu’on arrête de se voir. »



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il y aura un meurtre dans cette cave... ou pas

Lucky, Cole, Cléolya

T'étais sérieux là Cole ? T'étais vraiment sérieux ? J'hallucinais. Mais tu nous prenais vraiment pour des connes ou quoi ? « Mais chercher à comprendre quoi ? Que tu voulais récupérer ton meilleur ami et que tu étais prêt à jouer le jeu pour gagner ton pari ? T'as réservé une chambre d'hôtel, tu lui as offert un collier de perle et ose me dire que tu n'étais pas à fond et que tu n'allais rien faire si elle ne t'avait pas mis à ta place. Toi et ta conscience Cole. Je m'en fiche de savoir si t'allais la sauter ou pas. Le simple fait que tu acceptes ce défi COLE, c'était un manque de respect ! Et tu vois, même pour les beaux yeux de ma meilleure amie, je ne t'aurais pas manqué de respect de la sorte. À me retrouver dans une chambre avec un autre homme et lui sortir le grand jeu. Pour quoi ? Un STUPIDE pari. » Excuse-moi, mais non ! Il y avait d'autre moyen de récupérer une amitié. Ce que t'as fait, j'aurais voulu voir ta tête si c'était moi qui l'avais fait. Mais encore une fois, tu étais Cole Wildingham et tu ne faisais aucune erreur. Les autres en faisaient, mais jamais toi. « Devrais-je te rappeler le baiser que Malicia t'avait donné pour faire rager son ex et que tu as pris plaisir à prolonger ? Et ce n'est pas parce que notre histoire était cachée que ça te donnait le droit de faire ça. Mais encore une fois, j'ai fermé les yeux... » Est-ce que toi tu aurais fermé les yeux si j'avais embrassé un mec sous tes yeux ? Puis franchement, ça ne servait à rien de discuter avec toi, là. Tu me le prouvais même avec tes mots, ta façon de vouloir avoir raison sur tout. Tu ne verras que nos erreurs, tu ne verras jamais les tiennes. Au fond, peut-être que tu n'arrivais pas à nous pardonner parce que toi-même, tu n'arrivais pas à te pardonner. Je ne te répondais plus. Je préférais encore attendre silencieusement devant la porte plutôt que me prendre la tête avec toi. Je laissais Cléo prendre la relève et lorsque tu lui balançais ta réponse sur Hippolyte, je laissais un rire moqueur s'échapper. Toujours aussi naïf avec ta meilleure amie. Elle te mènera toujours par le bout du nez et c'était tellement décevant. Elle était où ta meilleure amie pendant tout le temps qu'on se voyait et qu'on est sortis ensemble ? Ah oui, elle était partie du jour au lendemain et elle t'avait laissé là, à Boston. Mais évidemment, il a fallu que tu lui parles de moi pour qu'elle ramène son petit cul. En fait, tout était de ta faute. La perte de notre fils c'était de ta faute Cole, c'est toi qui a ramené Hippolyte ici, toi qui l'a permise de s'en prendre à moi quand elle le voulait. TOI. C'est uniquement de ta faute si j'ai perdu MON fils. Ça n'aurait jamais été le tien, car à la minute où tu es allé la réconforter elle, plutôt que de venir au moins voir si je l'avais enterré, t'as perdu le droit d'être son père ou d'avoir pu l'être. Est-ce que t'as demandé une fois où je l'avais enterré pour aller te recueillir ? Ou bien quel nom j'aurais voulu lui donner ? J'aurais voulu qu'il porte le nom de ton père Cole... Mais tout ça, ça t'est égal. « Tu te fatigues Cléo. » Il en aura que pour Hippolyte et sa bande. « Je me demande même si t'as vraiment tenu à nous au fond. Je crois qu'on était peut-être un peu trop amoureuse pour voir que tu ne nous aimais pas en réalité. » Que je terminais d'une petite voix... Et au même moment, la porte s'ouvrait. « Dieu soit loué ! » J'offrais un grand sourire à l'ami de Cléo avant de sortir illico d'ici. J'en avais assez entendu pour ma part. Alors je m'en allais, laissant la suite à Cléolya.

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