[Suède] we come, make way for our royal ass ♛ Arthneel

Mon grand-père devait partir en voyage, et moi il m’avait demandé de prendre sa place en attendant sur le trône de Suède. J’avais bien entendu accepté, mais je dois avouer que diriger un pays même pour quelques jours, c’était stressant. Je ne savais pas du tout dans quel genre de mission je m’étais lancé, et puis en plus y aller seul ? Mon grand-père ne voulais pas que je vienne avec Tate, et pourtant, nous retrouver tous les deux seuls ça nous aurais permis de passé le petit froid qu’il y avait en ce moment entre lui et moi, froid que j’avais moi-même lancer suite à pas mal de chose. Ces choses ? En premier un post instagram de CS, puis un sms de Willow, son ex, ensuite pas mal de personnes qui sont visiblement contre notre histoire, et pour fini cette soirée Eliot durant laquelle il avait été un peu proche de sa présidente, et où Aymalyne, une amie ou ancienne amie aller savoir, avais décider de foutre la zizanie. Donc oui je pouvais comprendre que mon grand-père n’ait aucune confiance en Tate quand moi-même je commencer à douter de lui. J’avais finalement demandé à Arthur de venir avec moi, s’il le voulait. Arthur est un bon ami, souvent quand on se voit, on rigole, on parle de tout et de rien, mais il a toujours réussi à me faire sourire et à me redonner confiance en l’avenir. Et vis-à-vis de mon grand-père Arthur ne posait aucuns soucis. J’étais en route pour le rejoindre chez lui, et je dois avouer que j’étais impatiente de faire se voyage avec lui. Je me dirige vers la porte d’entrée et je frappe. Arthur voulait qu’on rejoigne l’aéroport en hélicoptère, et je n’étais pas contre, ça m’éviter de prendre ma Porche ou encore ma Moto, non pour venir jusque chez mon ami j’avais demandé à mon chauffeur de me déposer. J’avais frappé à la porte d’entrée, maintenant j’avais plus que à attendre.

J’attendais qu’on m’ouvre la porte. Et finalement ce fut sans surprise qu’Arthur ouvrait la porte. Lorsque le jeune homme s’écarte légèrement de l’entrée, j’entre dans la villa. Lorsque la porte est enfin refermée, je fais une accolade amicale au jeune homme. Arthur ? C’est un ami que j’affectionne, quelqu’un avec une positivité exemplaire, et je l’adore. Je l’ai connu avant même de savoir qu’il était le demi-frère de Tate, alors oui j’aime passer du temps avec lui quand je peux. « Coucou ! Comment vas-tu ? » Je lui souriais. Prête ? Non pas vraiment, ma mère était décédé en Suède il y a deux semaines, alors retournée gouverner le pays où ma mère est morte, même pour quelque jours, ça me broyais le cœur, mais je ne voulais rien dire, non. C’est une douleur que je garde bien pour moi, pour le moment mise à part Sloan et Aymalyne personne ne le sais. Je n’ose en parler avec personne, pas même avec Tate ou Arthur, ou même Julian ou Keazy. Je lance un regard à Arthur et lui souris de plus belle. « Oui je suis prête. On devrait partir il y a quand même six heures de décalage horaire en plus la bas. » Oui et ses six heures en plus en Suède vont tout de même nous fatiguer, donc plus vite nous étions partis et mieux se serais. Depuis peu j’avais appris que Naëlle et Arthur ce connaissent, mais visiblement ça avait l’air compliquer entre eux. Pour la petite histoire, Naëlle est mon ancienne belle-sœur, Roman son frère et moi avons eu une relation très forte, mais depuis le jeune homme est partis et j’ai tourné la page, mais Naëlle c’est ma petite chérie, elle restera toujours ma belle-sœur même si je ne suis plus avec son frère. J’aborderais le sujet avec délicatesse mais pas tout de suite. « Arthur, je te remercie de venir avec moi, sincèrement, merci. » Oui merci mille fois de m’accompagner, car seule je n’aurais pas tenue le choc, la douleur est bien trop présente quant à la mort de ma mère. Nous allions donc partir sous peu, et je me sentais nerveuse. Je mordille ma lèvre inférieure, plus nerveuse que jamais. Je ne pensais pas être à la hauteur alors oui la présence d’un ami aussi cher à mon cœur que Arthur me rassurais.

Tu venais ouvrir ton amie pendant que ton majordome ramenait tes affaires au niveau de l’hélicoptère, qui n’attendait plus que vous avant de pouvoir décoller et se rendre jusqu’à l’aéroport où votre jet privé vous attendait également… D’après le pilote de l’hélicoptère, le jet privé avait commencé sa mise en route et que dès votre arrivée, il pourrait entamer son roulage jusqu’au point d’arrêt… « Je vais bien et toi ? » répondis-tu à la jeune femme alors que tu venais de lui offrir une accolade amicale, presque fraternelle vu l’importance qu’elle avait à tes yeux. Ce n’était pas une simple amie ! Bref, tu lui demandais si elle était prête parce que votre aéronef allait pouvoir décoller. Sa réponse te fit sourire, du coup tu lui indiquas le chemin. Avant d’atteindre l’héliport, elle te remerciait infiniment de l’accompagner. « De rien, c’est bien normal que je t’accompagne. Tu es une amie très importante à mes yeux Danneel et comme nous sommes des têtes couronnées, je suis le plus à même de t’aider pour cette fonction qu’on te donne pendant quelques jours » souris-tu alors que vous marchiez tranquillement jusqu’à l’hélicoptère. Le garde du corps récupéra les affaires de la jeune femme tandis que tu montais à bord de l’appareil. Tu lui tendis la main pour l’aider à monter à son tour, puis dès que vous étiez bien installés dans les fauteuils en cuir de l’hélicoptère, le pilote vous faisait signe qu’il pouvait décoller. « C’est parti ! » lanças-tu avec un grand sourire tandis que l’hélicoptère s’envolait doucement puis vous vous dirigiez en vitesse jusqu’à l’aéroport. Le vol ne dura que quelques petites minutes, pendant lesquelles tu lui montrais Boston vue du ciel. Après l’atterrissage de l’hélicoptère non loin du hangar où se trouvait le jet privé, vous en descendiez rapidement et tu t’exclamas avec un grand sourire : « Eh bien nous sommes dans les temps ! Ce vol en hélico, tu as aimé ? »

« Je vais bien aussi. » je lui répondais avec un large sourire. Et puis après un bref échange sur le fait d’être prête ou non, je fini par remercier Arthur de m’accompagner, après tout il aurait très bien pu refuser, mais nous voilà bientôt partie en direction de l’hélicoptère. Lorsqu’il m’avoue que je suis une amie très importante pour lui, je souris timidement. Je n’avais jamais réussi à m’ouvrir, c’est un défaut que j’ai. Sauf que quand je m’ouvre à une personne et que je lui fais confiance, ça donne une amitié comme c’elle que j’ai avec Arthur, une amitié solide, indestructible. Je ne peux pas m’empêcher de rougir légèrement à ses mots tout de même. Je plante mon regard dans le sien et fini par enfin ouvrir la bouche pour lui répondre, bravant ma timidité soudaine. « Tu sais Arthur, tu es un ami très cher aussi, et je suis très heureuse de t’avoir dans ma vie. » Je me foutais pas mal qu’il soit le frère ou demi-frère ou je ne sais trop quoi de Tate, pour moi Arthur était mon ami avant tout. Le jeune homme monte dans l’hélicoptère et j’attrape sa main pour faire de même, quelle galanterie. Une fois que nous somme installé, le jeune homme lance un : c’est parti ! Je souris et étouffe un petit rire. Je n’avais jamais pris l’hélicoptère. Toujours la limousine, ou encore le jet privé soit de mon grand-père soit celui de ma société, mais jamais d’hélicoptère. « C’est ma première fois en hélicoptère. » Avouais-je à mon ami avant de lui lancer un sourire angélique. Une fois que nous somme arrivé et descendu de l’appareil, j’observe le jet, mon garde du corps nous attend juste à côté. Je regarde Arthur et lui répond avec un grand sourire « J’ai adoré. » un grand sourire orne mon visage, pour une première fois c’est plutôt pas mal je dois avouer. « Je songerais peut-être à ce mode de transport à l’avenir pour certain trajet. » Je lui fais un clin d’œil et George viens à nous pour récupérer nos affaires. Décidément entre son garde du corps, puis le mien, son hélicoptère et mon jet, sa en faisait des passassions de bagages d’un appareil à un autre et de mains à d’autres. Je passe mon bras sous celui d’Arthur et commence à avancer avec lui en direction de notre Jet qui est prêt pour notre vole. George a toujours était très dure avec les personnes qui m’entoure sauf avec Arthur, il devait certainement bien l’apprécié et cela se voyais. Je donne un très faible coup de coude à mon ami et lui lance en murmurant « Je crois qu’il t’aime bien. C’est rare. » Dis-je tout en désignant du regard mon garde du corps entrain de charger nos affaires dans le jet. Je laisse un rire m’échapper.

Ce petit voyage en Suède te permettrait probablement de penser à autre chose qu’à cette petite guerre froide qui s’était installée entre ta formidable sœur jumelle que tu adorais plus que tout au monde et toi-même… Tout cela à cause de votre Père qui avait annoncé qu’à cause de la maladie actuelle de votre grand-frère Andréa, l’un de vous deux, ta jumelle ou toi, devrait monter sur le trône… Or ta sœur était la favorite de ton Paternel tandis que pour ta part, ta Mère et le Peuple de Monaco te soutenaient avec force ! Fin bref, tu ne voulais vraiment pas y penser, du coup la proposition de Danneel arrivait à point nommé. Une fois que vous vous êtes échangés les civilités d’usage, tu lui offrais un doux compliment vis-à-vis de votre amitié que tu jugeais comme étant très importante à tes yeux. « Saches, petite Princesse de Suède, que je serais toujours là pour toi » promis-tu d’une voix claire et posée avant que vous ne montiez finalement dans l’hélicoptère qui vous emmènerait jusqu’à l’aéroport où vous attendait le jet privé de la jeune femme. « Sais-tu chaton que cette phrase porte légèrement à confusion… Mais je suis content de pouvoir t’offrir ce moment unique. » dis-tu avec un grand sourire amusé tout en guettant par la suite les réactions de ton amie qui s’était mise à admirer le paysage défilant pendant la durée de votre vol. Puis finalement vous arriviez à destination, et une fois hors de l’hélicoptère, elle s’était exclamée qu’elle avait adoré le trajet en hélicoptère, et elle disait qu’elle songeait à ce mode de transport à l’avenir. « C’est très utile en effet. Au pire, je peux te prêter le mien aussi souvent que tu le voudras » souris-tu tandis que la garde du corps de la jeune femme vint vous aider à récupérer vos affaires. Elle te prit par le bras avant de t’emmener jusqu’au jet privé tandis qu’elle te faisait remarquer que son garde du corps t’appréciait bien. « C’est normal… Qui pourrait détester un ange comme moi ? » dis-tu en riant aux éclats parce que c’était bien stupide ce que tu venais de dire. Qu’importe, vous montiez finalement dans l’aéronef et tu t’installais confortablement dans l’un des sièges. « Mon dernier voyage en jet privé date un peu maintenant. » avouas-tu avant de faire signe que l’avion pouvait partir dès que possible.

Le transport en hélicoptère était vraiment une nouveauté pour moi et j’avais adoré. Une fois arrivé à l’aéroport je plonge mon regard dans celui du jeune homme, je n’avais pas répondu plutôt à ces dires, mais il pouvait aussi compter sur moi, toujours peut m’importe quand ou à quelle heure, s’il m’appeler je répondrais toujours présente pour lui. « Tu peux toujours compter sur moi, je serais toujours là pour toi aussi, tu le sais bien Arthur, appel moi à n’importe quelle heure et je viendrais. Et la confusion ne fait pas de mal des fois. » disais-je dans un léger rire. Arthur était de ses rare personne à me comprendre, à savoir qui je pouvais être, à toujours être là dans mes coups de blues et mes joies, je ne voyais pas ma vie sans un ami tel que lui à mes côtés. Une fois dans le jet privé de la société, je le laisse prendre place, et je prends place face à lui. J’avais choisi le jet de la société plutôt que celui de la famille royale, il était plus confortable et à mon gout surtout. « Je ne suis pas contre que tu me prête ton hélicoptère si tu es avec moi, je dois t’avouer que seule j’aurais peut-être un peu peur. » avouais-je en rougissant. J’étais une femme forte qui a très rarement peur de quoi que ce soit, mais pour le coup seule dans un engin pareil, non merci. Arthur m’avait lancé une phrase qui avait piquer ma curiosité tout autant que mon dégout envers certaine personne. Qui pourrait détester le jeune homme ? Beaucoup de personnes. « Qui, et bien toutes les personnes qui sont jalouse de notre noblesse, de la richesse qui s’accompagne avec nos titres de royauté, les antis riches, mais aussi toute personne ne supportant pas qu’on leur arrache leur proche. Admettons que tu sortes avec une jeune femme, les ex de cette jeune chanceuse pourrait être méprisant à ton égard, c’est bien souvent pour cette raison que nos familles nous fiancent contre notre grès, pour nous protéger en quelque sorte, même si c’est plus dans un but politique. » J’avais moi-même était brièvement fiancer à Abélard, donc je savais de quoi je parlais. J’étais tout de même heureuse que mon grand-père n’ai pas mal pris la rupture des fiançailles avec le Belge, mais avec les réactions de Aymalyne en ce moment, je me dis que finalement j’aurais peut-être bien fait de rester fiancer à lui rien que pour lui briser le cœur à cette roturière. « Ho il date à quand ton dernier voyage ? Tu verras ça va bien se passer, Giovanni et le meilleur pilote que l’on peut rêver avoir. » Je lui souris amicalement, puis je sors de mon sac à mains ma tablettes, mon grand-père m’avais envoyé un planning pour les prochains jours. Bon alors voyons. « Quand nous allons arriver il sera déjà vingt-deux heures. Il y a six heures de décalage avec Boston. Visiblement on dîne au palais ce soir, mais demain matin il y à la rencontre avec le peuple, et dans l’après-midi mon grand-père veux qu’on organise un gala de charité pour une association qu’il affectionne. » Le planning me donner mal à la tête. D’un simple clic je fini par supprimer le mail que j’avais eu, et je fais une moue complice à mon ami. « Voilà plus de planning, on va la jouer au feeling. » Après tout je devais me faire apprécier de mon peuple en étant moi-même. Heureusement que Arthur venait avec moi, il avait bien plus l’habitude que moi de toute cette royauté.