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(NOLIVIA) I'm back bitches

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i'm back bitches
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1 mois. Elle avait mis les pieds sur le tarmac et Enzo l’attendait à l’aéroport. Il l’avait ensuite amené chez lui, elle avait posé bagage pendant une semaine dans son appartement à Boston avant de pouvoir entrer dans sa chambre à la cabot house. Ça lui faisait bien étrange de vivre avec quelqu’un d’autre que Noah, surtout alors qu’elle planifiait retourner à Harvard 5 ans après son départ. Elle avait mis un moment avant de finalement faire le pas devant la porte de l’homme qu’elle avait laissé dans sa chambre d’hôpital. Olivia ne voulait pas simplement le recroiser à l’école comme une coïncidence. C’était peut-être un peu intense, mais ça correspondait à Olivia, ambitieuse, sans peur. Elle avait finalement cogné à la porte de son ex-fiancé. Elle avait certes, un peu peur, s’était, s’est toujours, l’homme de sa vie. Livia était toujours aussi sublime, son grand manteau blanc d’automne, ses talons hauts, son rouge à lèvres, ses cheveux ondulés elle n’avait presque pas changé en 5 ans. Une jeune femme lui répondit, en sous-vêtements et en t-shirt, Olivia était plus ou moins surprise, mais tout de même un peu blessée malgré tout. « Salut, est-ce que Noah est là ? » La jeune femme repartie, laissant la porte ouverte pour aller chercher celui qu’Olive n’avait pas vu en 5 ans. Il apparut, de loin, au fond de l’appartement et Livia se sentait, tout d’un coup, plus petite que jamais. Ça ne se voyait pas, l’Italienne montrait toujours une grande confiance et peut-être Noah pouvait-il voit qu’elle était vulnérable, ça serait bien le seul, mais elle espérait que non. « 5 ans et tu as toujours pas changé... » Surtout en attitude au vue de la fille qui lui avait répondu...
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Tu soupiras alors que tu entendis ce bruit sourd et insupportable, tu soufflas une nouvelle fois. Tu décidas quand même de te lever. Bien sur, tu avais ce que tu appelles, la tête dans le cul, les cheveux en bataille et puis, tu ne portes qu'un pauvre jogging, ce qui te change des chemises ou même du costume. Mais là tu en avais assez. Entre le décès de la grand mère d'Hadès, la soirée Eliot et les diners avec ton père, tu disais stop. Tu passas ta main dans tes cheveux avant d'avancer pour lever les yeux. Olivia. Ton regard s'arrêta, tes pas aussi, sur elle. en face de toi. Que dire de plus, elle était là, devant toi, et elle semblait presque imaginaire. Tu humectas tes lèvres rapidement alors que tu avanças vers elle pour souffler à sa remarque. Si t'es là pour me faire des remarques, je peux fermer aussi la porte et te faire comprendre que j'en ai rien à foutre. lâches-tu alors que tu décides, tu ne sais pas pourquoi de la laisser rentrer et de refermer la porte ensuite Qu'est que tu viens faire là alors ? A Boston et puis aussi dans mon appartement ! Parce que oui, bonne question intéressante et importante pour toi. Tu ne sais même pas ce qu'elle fait là et tu voudrais bien savoir à vrai dire.
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Pour être bien honnête, Olivia n’avait pas planifié du tout cette rencontre. Enfin, un peu, mais au final, ele ne savait pas vraiment quoi dire. Peut-être naïvement et un peu inconsciemment, elle avait cru qu’en revoyant Noah tout s’arrangerait. Qu’ils retourneraient 5 ans plus tot comme si de rien n’était, aussi simplement. Mais en voyant Noah dans toute sa nonchalance, ses réponses, elle revoyait son amour alors qu’il n’avait que 16 ans et qu’il était plein de rancune. Elle se sentait coupable du temps passé avec Enzo, plus qu’elle ne l’aurait cru et elle se trouvait, pendant un instant, sans voix. Elle s’en sortit, alors que son ex la laissa entrer, à sa grande surprise. Il semblait vivre avec plus qu’une fille, mais Olivia, bien que quelque peu déçu n’était pas le moins du monde surprise. « Et depuis quand ce genre de remarque ne m’arrête ne serait-ce qu’une seconde de dire ce que je pense ? » Jamais Liv n’avait été impressionnée par l’attitude de Noah, elle ne s’était jamais laissé dire quoique ce soit et avait toujours remis le jeune homme à sa place et même aujourd’hui, alors qu’elle venait pour essayer d’apaise des tensions qui avaient grandie en 5 ans elle ne changerait pas. Olivia ne changerait jamais, ni pour un homme, ni pour qui que ce soit. « À Boston, je suis là parce que je retourne à Harvard et dans ton appartement parce qu’apparemment tu as bien voulu que j’y entre, mais surtout parce que je voulais pas que tu l’apprennes d’ailleurs ou par surprise, tu mérites de le savoir d’une bonne façon » Jamais Olivia n’avait dit qu’elle ne respectait pas ou qu’elle n’aimait plus Noah. Elle avait eu besoin d’autre chose, certes, mais de là à ce que son retour lui soit annoncé par quelqu’un d’autre ou d’une façon qui ne lui plairait pas ? Non.
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Elle osait se pointer ici, tu n'en revenais pas. Elle était devant toi, toujours aussi mignonne et classe et pourtant, tu voulais la tuer. Tu la regardas dans les yeux, à sa remarque, elle se foutait de ta gueule. Ouvertement. Depuis que tu es partie comme une voleuse ce jour-là ! Et envoyé, point pour toi. Tu as envie de lui faire un doigt mais tu te calmes, parce que ça se fait pas. T'es beaucoup plus classe que ça et beaucoup plus impulsif que ça mais ça pourrait pire non ? Tu continues de la regarder alors qu'elle fait la mâline, tu réouvres la porte pour lui faire comprendre que tu pouvais aussi la foutre à la porte. Arrête de faire ça, de vouloir toujours avoir raison, ce trait de caractère, je l'ai jamais aimé ! lâches-tu en un souffle alors que finalement, tu claques la porte de ton appartement. Tu grattes légèrement ton torse pour partir en direction de la cuisine alors que tu lui lances rapidement J'ai pas envie de me disputer avec toi maintenant alors soit tu laisses tes armes à la porte, soit tu prends la porte. Au moins c'est clair. Une fois dans la cuisine, tu t'attends à ce qu'elle arrive, mais bien sur, tu te sers du café, ton cappucino italien, sinon tu as horreur des autres "cafés". Même si tu ne peux pas appeler ça du café. Bah écoute, c'est tellement classe de ta part d'être venu me dire que la femme qui m'a abandonné quelques mois avant mon mariage est de retour. J'approuve ton honnêteté et même ta franchise. Merde, on avait dit pas de guerre, mais trop tard, c'est sortit. Oh d'ailleurs, si tu croises ma soeur dans le campus, pars en courant, elle risque de vouloir te tuer dis-tu en prenant ta tasse pour la porter à tes lèvres, tu t'accoudes au plan de travail pour l'observer.
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Livia n’avait pas eu l’intention de commencer une guerre ouverte, au contraire, elle avait voulu être honnête et directe. Elle avait voulu jouer franc jeu, être authentique avec qui elle était, mais Noah le voyait autrement et clairement il n’avait toujours pas compris, 5 an plus tard, qu’Olivia avait eu ses raisons et qu’elle n’avait jamais voulu lui faire de mal. Elle soupira, un peu peine, un peu découragée. « Je n’ai jamais voulu te faire du mal, j’ai été simplement honnête et si 5 ans plus tard, tu n’arrives toujours pas à comprendre… » Elle aurait bien ajouté qu’il faudrait qu’il prenne un peu en maturité, mais elle s’en empêcha histoire de ne pas envenimer le tout alors que Noah semblait vouloir la mettre à la porte. « Peut-être parce que tu as le même trait… » de vrais italiens ces deux-là. Si à l’époque la balle rebondissait aussi bien entre eux, elle était bien plus positive qu’aujourd’hui. « J’suis pas venue ici pour me disputer et je n’ai certainement pas sortie les armes, excuse-moi de me sentir légèrement attaquée. » Elle n’était pas en terrain bien connu, puis, peut-être que ça leur ferait du bien de s’engueuler, ils ne l’avaient jamais vraiment fait après tout. « Tu dis ça, mais tu aurais fait quoi franchement si tu m’avais juste croisé ? Je t’ai pas abandonné seul au milieu de nulle part, j’avais besoin d’autre chose, de pas être seulement la fiancé de Noah Ferrari, mais t’as jamais compris ça, parce que toi tu as toujours été plus que le fiancé de Olivia Borgia. » Olivia s’était toujours trop sentie par cette relation du moins après la bombe. « Je n’ai jamais voulu te faire de mal, ou te manquer de respect et que tu puisses penser le contraire, franchement, j’sais pas tu étais où pendant toute cette relation pour penser ça de moi » Ça la blessait de voir que Noah semblait croire qu’elle avait fait ça par amusement ou sans aucune motivation. Elle esprait presque naivement qu’en revenant il lui demande ce qu’elle avait fait, parce qu’au cours de ces années, s’il y avait une personne à qui elle aurait voulu raconter toutes ses aventures (pas avec les hommes là) de voyages, s’était Noah, son ex-fiancé, mais aussi son ex-meilleur ami « Je m’arrangerai avec ta sœur comme une grande Noah, on avait notre relation indépendamment de toi et je suis convaincu qu’elle m’en veut aussi, mais s’était mon amie, pas juste ma belle-sœur. » Elle savait très bien qu’Asia serait plus difficile à revoir que Noah, elle avait perdu beaucoup en perdant son amie et elle ne savait pas trop comment elle penserait les blessures de ce côté-là.
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Ton regard sur la jeune femme alors qu'elle commence à parler et finalement, elle ne termine pas sa phrase, tu soupires Depuis quand tu te retiens avec moi ? Vasy dis moi le fond de ta pensée ? lâches-tu alors que tu lèves les yeux au ciel. En même temps, vous étiez pareil. Tu lui fais un doigt d'honneur en marchant, au moins, ça s'est fait non ? Et puis finalement tu soupires, elle t'exapère déjà.. Tu viens à peine de la retrouver que tu veux déjà la tuer... C'est vraiment possible ? Tu soupires une nouvelle fois. Okay, ça va, on va essayer d'être cool. On va essayer Alors pourquoi est-ce que tu es là ? A part pour m'annoncer la grande nouvelle de ton retour que j'affectionne tout particulièrement, vu notre relation si magique. Quoi ? Bon okay.. Tu abuses peut-être un peu .. Peu importe, en fait, mais tu as dis que tu serais "gentil" Mais bon, c'est encore trop te demander, comme toujours en fait. T'es pas fait pour être gentil. Mais tu la regardes, alors on part sur la dispute, okay, faisons ça, faisons ce que vous ne faisiez jamais Wow, donc c'est pour ça que tu t'es tiré ? Tu voulais plus que ma fiancée ? Je voulais que tu sois la femme de ma vie, celle dont je serais fier à chaque instant de ma vie, celle qui soit toujours à mes côtés quoi qu'il arrive, conneries que je sache ou non. Et toi ? Tu voulais juste plus que ça. Tu voulais que je te décroche la lune ou quoi ?! soupires-tu avant d'ajouter C'est vrai que ce jour-là quand tu m'as largué comme une merde, j'ai pas compris, effectivement ! Gentil. Un mot qu'il faudrait que tu apprennes la définition sérieusement, tu abuses tellement. Mais là, elle t'a poussé au bout. J'étais à tes côtés, d'ailleurs j'ai pleins de photos pour le prouver si tu veux, ça peut être cool que tu les regardes de nouveau pour t'en apercevoir ! lâches-tu avant de prendre ta tasse pour la porter à tes lèvres Je pensais te connaitre Liv, je pensais réellement te connaitre. Je pensais que le fait que je te demande ta main change quelque chose entre nous, que ce soit encore plus possible. Tu aurais pu me dire que tu voulais voyager, partir, quitter Harvard, j'aurai compris, ça je l'aurais compris, je t'aurais suivi comme tu m'as suivi ici. Mais au lieu de ça, tu m'as rendu cette bague et tu t'es tiré ! Je crois que j'ai le droit d'être encore énerver non ? Bien sur la bague, tu l'as gardé, autour de ton cou depuis cinq ans, même si c'est plus souvent Nina qui la porte que toi, en gage de son amitié presque indestructible. Tu la regardes, penchant la tête avant de lever les mains en l'air Je t'aurais prévenu, je te rappelles que les Ferrari sont rancuniers ! Ils sont aussi cons, imbus d'eux et sacrément canon, mais bon, c'était pas à ajouter ça aussi ..
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