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Joan & Leonidas
Quand la chasse se termine
Pour la première fois dans sa vie, Leonidas avait peur d’autre que de son grand-père et aussi étrange que cela puisse paraître, sa hantise était personnifiée par un petit garçon âgé de deux ans. Pathétique n’est-ce pas ? Il avait un fils dans la nature, un fils qui attendait peut-être de découvrir qui était son père et pourquoi il ne vivait pas avec eux. Il en voulait à Joan de lui annoncer cela maintenant, pourquoi n’avait-elle pas menti ?! Pour le coup, il aurait préféré maudire un autre homme, cela lui aurait arrangé ses affaires. « J’ai aucun préjugé sur ta manière d’éduquer cet enfant, je m’en contre-fous royalement » répliqua-t-il sèchement. Lui-même ne savait même pas supporter la présence d’un mioche plus de deux heures d’affilés alors en élever un : c’était au-dessus de ses forces. Il ne voulait pas de cette responsabilité mais une petite partie de lui était vexée. Oui, vexée que Joan ne cherche même pas à lui imposer son enfant, ne cherche pas à l’impliquer dans cette histoire. Au contraire, elle n’avait de cesse de lui rappeler qu’elle ne lui demandait rien et qu’elle continuerait à le faire car dans le fond, elle n’avait pas besoin de lui. Oui, c’était vexant et blessant mais il enleva cette idée de son esprit. Pas de sentimentalisme Vasilis, tu n’as pas besoin d’un mioche entre tes pattes ! Il ne pouvait pas nier le fait qu’Ilias lui ressemblait quand il était gamin. Chrystos aimait tellement lui rabâcher les oreilles avec son enfance qu’il connaissait presque chacune de ses photos par coeur. Or, le gamin lui ressemblait. C’était même son portrait craché et ça le faisait enrager car il n’y avait plus de place au doute à présent. « Tu veux peut-être une médaille pour avoir été honnête avec une tierce personne ?! Non parce que je suis à deux doigts de verser une larme d’émotion tant c’est beau cette dévotion » rétorqua-t-il avec ironie tandis qu’il faisait quelques pas dans le salon, se passant une main dans les cheveux, tic qui signifiait qu’il était nerveux, qu’il n’était plus aussi maître de lui-même. Son visage restait de marbre mais son coeur lui, battait la chamade. Il ne voulait pas être père, il était incapable de l’être. Ce n’était pas pour lui, qu’elle aille voir ailleurs… « Pourquoi ? Pourquoi tu n’as même pas cherché à me le dire ? Tu t’es dis : il veut pas de gosse donc le rejeton, je le garde dans mon utérus 9 mois et je me casse faire ma vie ailleurs ? Même venant de toi, ça me surprend » répondit-il froidement. Au moins, il lui reconnaissait la qualité d’être à moitié une lâche. Alors pourquoi n’avait-elle rien dit ? La solution s’imposa de lui-même. « Il est au courant » dit-il en fermant brièvement les yeux. Voilà pourquoi il n’avait pas rechigné et avait même encouragé son transfert à Harvard. Sebastyen savait qu’il y avait un risque qu’il tombe sur Joan en restant dans les environs de Yale. « Combien te donne-t-il par mois pour que tu me tiennes éloigné de cet enfant ? » reprit-il en s’approchant d’elle pour mieux la faire reculer contre le mur. Une position qui l’enfermait et ne lui laissait aucune échappatoire. « Alors, quel est le montant de ton silence ? Je suis curieux de connaître ton prix » insistait-il avec une touche de tristesse. Une nouvelle fois, Sebastyen avait réussi à jouer sur la faiblesse des femmes de son entourage. Une nouvelle fois, son grand-père l’avait manipulé comme un pion et il n’avait rien vu venir. Or, Leonidas détestait quand son ainé avait un coup d’avance sur lui.
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Quand la chasse se termine
Je soupirais d’exaspération…même en étant plus calme, d’avoir un ton moins agressif pour être honnête avec lui, je me prenais toujours ces réflexions acerbes. Je ne cachais donc pas mon soupir et regardait Léonidas d’un air blasé, avant de lui répondre : « Ça me fatigue, je te jure…franchement, pense ce que tu veux, ça m’est égale : Je ne cherche pas une récompense à mes bonnes conduites…il n’y a que les hypocrites qui agissent de la sorte. » Et en réalisant mes paroles, je comprenais qu’il puisse douter de ma sincérité. Alors avec le même ton posé et grave de tout à l’heure, je lui concédais ce fait : « Mais je veux bien croire que ce soit difficile pour toi aujourd’hui de me penser sincère dans ce que je dis ou fait. Tu as raison de douter…Je ferais la même chose à ta place » Était-ce une manière pour moi de rendre les armes ? Je ne sais pas. A vrai dire, comme je lui avais souligné, j’étais effectivement fatiguée. C’est à croire que mon cœur avait cogné assez fort et vie dans ma cage thoracique, pour que mon cerveau et mon corps pense que j’avais soudain couru un marathon. J’entends les battements jusque dans mes tempes, et j’avais juste envie que tout ceci s’arrête.
Et enfin, la question arriva : Le pourquoi. Depuis tout à l’heure, je trouvais bizarre qu’il ne se pose pas cette simple question : pourquoi ne lui avais-je rien dit. Et quand ses mots sortirent enfin de sa bouche, je venais à en regretter d’avoir espéré les entendre. Parce qu’il allait maintenant falloir lui avouer que j’avais eu l’intention de lui dire, mais que l’on m’en avait empêché. « Je….Je suis venue te voir quand je l’ai su…J’suis passé à ton appartement à l’époque pour t’en parler, mais….Je ne suis pas tombé sur toi. » concluais-je, ne laissant aucun doute au fait que c’était une autre personne qui m’avait accueilli ce soir-là. Et à en voir la tête de Léo, je compris très vite qui l’avait deviné qui….son grand-père. « Oui, il est au courant… » Répondais-je simplement en baissant la tête. Cette fois-ci, c’est la honte qui me gagnait, et c’était bien pire que de se sentir fatiguée...Léo ne mit pas longtemps après cela pour associer toutes les pièces du puzzle, et alors que jusqu’ici il avait mis de la distance entre nous – sans doute parce que je devais lui être comparable à une sorte de maladie, ou à une peste qu’il fallait éviter – il s’approcha, pour m’enfermer physiquement dans un coin de la pièce. Je me sentais déjà prisonnière moralement depuis plus de 2 ans, par son grand-père, et voilà que Léo prenait le relai pour me faire réaliser que je ne valais pas mieux que Sebastyen finalement, vu que j’avais accepté son prix…. Je sentis mes yeux me piquer, et les larmes montés, mais je m’interdisais d’en verser une seule ! Au pire, il serait bien plus brillant que d’habitude, et ma voix ne serait pas aussi sûre et ferme que tout à l’heure…mais je ne voulais pas…non je ne devais pas pleurer. Je n’en avais pas le droit. « Demandes plutôt à ton grand-père à combien il a estimé la vie de ton fils…A combien il évalué la puissance de ces menaces au point que je ne réfléchisse pas longtemps à la proposition… » Je n’avais pas réfléchis parce que je savais que même si la somme était sans doute dérisoire par rapport à la fortune que Mr Vasilis Sénior avait engrangé, elle avait suffisante pour me faire comprendre que c’était mieux que tout ce que MOI je pouvais offrir à mon fils. Je savais que je n’allais pas m’en sortir ainsi…ne pas lui répondre mettrait Léo encore plus en colère. Alors dans un souffle las, je lui avouais « 2000$ par mois… Je touche à peine 450$ a avec mes heures de travail, et je reçois une bourse qui couvrent au mieux mes frais universitaires, mais pour le reste…. » Je ne cherchais pas vraiment à dire que j’avais eu raison, mais tant qu’à faire connaitre la vérité et les conditions du deal, autant qu’il en connaisse aussi tous les tenants et les aboutissants : « Grâce à cette argent, je n’ai pas eu besoin de me pose des questions quant à l’accouchement à l’hôpital, ni à me demander si j’allais pouvoir lui donner à manger tous les soirs, ou s’il j’arrivais à l’habiller….enfin bref. En acceptant ce deal avec ton grand-père, j’y ai perdu le peu de dignité que j’avais mais…au moins je suis sûre qu’Ilias aura ce qu’il faut, qu’il grandira correctement et que…enfin…qu’il ait de quoi se payer des études et …. » ** Et puis rien, Grieve. La ferme, c’est mieux comme ça. Tu as pensé à ton fils, point. Tu n’as pas à te justifier de vouloir lui offrir un avenir meilleur **…Oui, mais un avenir sans père…donc, au final : est-ce que son avenir aurait vraiment été aussi meilleur que cela ??
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Quand la chasse se termine
Leonidas n’arrivait pas à en vouloir à Joan d’avoir cédé au chantage de son grand-père, qui ne cédait pas ?! Comment aurait-il pu croire qu’elle trouve le courage nécessaire pour lui faire confiance, pour lui parler de cette grossesse. Non, elle le prenait certainement pour un faible, un pion qui ne servait à rien d’autre qu’à faire beau en société. C’était à lui qu’il en voulait le plus car il l’avait laissé l’approcher en dépit de ses mensonges. Pourquoi avait-il continué à la fréquenter en sachant qu’elle lui mentait ? Il l’avait traité plus bas que terre soi-distant pour se venger mais n’avait-il tout simplement pas saisit cette excuse pour simplement se donner le droit d’être auprès d’elle ? A présent, c’était terminé. Il n’y avait plus rien à faire. Son grand-père n’hésiterait jamais à leur faire du mal s’il apprenait que les termes du contrat n’étaient plus respectés. Il le savait, il avait déjà assisté à la manière dont Sebastyen punissaient ses ennemis et malgré toute la rancœur qu’il éprouvait à son égard, il refusait qu’il lui arrivait quoique ce soit et encore moins à son fils. C’était la moindre des choses. « 2000$ seulement ? Tu n’as même pas essayé de négocier avec lui ? » lâcha-t-il avec un sourire narquois aux lèvres. « C’est bête, tu aurais pu obtenir plus. Un hériter Vasilis dans la balance, même un bâtard vaut plus que cela » persistait-il à se montrer froid et sans pitié. C’était mieux pour eux deux qu’il continue à se montrer aussi cruel. Joan se justifia sur le fait d’avoir accepté et il termina par lever la main pour lui demander de se taire. Il ne voulait plus rien savoir. C’était sa vie, il n’en faisait pas partie et ce gamin n’aurait rien de plus. « Je ferais ouvrir un compte à son intention demain. J’y mettrai une certaine somme qu’il touchera à sa majorité. Je n’ai qu’une seule condition : à aucun moment, il ne devra découvrir qui est son père. Je me fiche que tu lui mentes mais quoiqu’il arrive, il devra se tenir loin de tout ce qui porte le nom de Vasilis. Si tu ne respectes pas ta parole, crois-moi, je me montrerai sans pitié. Trouve lui un crétin qui acceptera de jouer le rôle du géniteur si ça te chante mais à mes yeux, il n’existe pas et n’existera jamais tout comme toi » conclue-t-il. Le deal avec son grand-père devait perdurer, qu’importe qu’elle le prenne pour le plus gros des connards. C’était sa façon à lui de les protéger, d’offrir un cadeau à cet enfant qu’il ne reconnaîtrait jamais en tant que tel. Il ne pouvait pas être père mais hors de question que de trahir Chrystos en ne veillant pas sur son petit-fils. Son père lui arracherait les yeux s’il apprenait qu’il avait un petit-fils et que Leonidas refusait de le reconnaître en tant que tel ; surtout qu’il insistait pour que le grec fonde une famille. Son cancer lui donnait des envies que Leonidas ne pouvait combler. « Tu as bien compris ? » insistait-il. De toute manière, Joan n’avait rien à perdre dans cette histoire, ce n’est pas comme si elle s’attendait à un geste de sa part. Comme elle le lui avait dit : elle n’attendait rien de lui. En somme, tout le monde était satisfait de ce nouveau deal.
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Quand la chasse se termine
Négociations ?? Il se fout de moi ? Il est en train de me sortir que j’aurais dû négocier la vie de mon fils pour quelques dollars de plus ? « Sincèrement ? J’avais autre chose en tête à ce moment-là que de penser à gonfler le prix… » Comme par exemple : comment faire pour réussir à me tenir à l’écart de toi, sans risquer la vie d’un enfant un être ? Sans même y risquer ma vie ?? Mon dieu, Léo, tu ne comprendras donc jamais rien. Remarque, comme tu l’as souligné tout à l’heure : je ne me suis pas assez confié à toi pour que tu puisses comprendre…que tu puisses réaliser qu’à l’époque, malgré les circonstance, tu comptais réellement pour moi, et que j’étais déjà bien trop attaché à toi au point de ne pas avoir su mettre un terme à tous ces mensonges…
Je tentais de justifier du point de vue des dépenses que les 2000$ suffisaient pour obtenir le strict minimum d’une vie décente pour Ilias. Preuve que l’argent en lui-même ne me guidait pas, sinon effectivement, j’aurais pu négocier. Mais Léonidas m’arrêta dans mon élan en levant la main pour couper court à la conversation. Et ce qu’il me déclara ensuite, me coupa la chique complètement ! Je rêve, où il était en train de faire EXACTEMENT la même chose que son Grand-père ?? C’est juste…enfin comment il peut.. ???
Plus je l’écoutais et plus je me rendais compte de ce qu’aurait été son discours, si ce jour-là devant son appartement - enceinte de deux mois - il aurait bien été question de Léonidas m’ouvrant sa porte. Je me rendais compte que, malgré mes doutes – mon espoir que Léo aurait pu être différent, aurait pu se sentir bien plus sensibiliser que Sebastyen à l’idée d’avoir un fils – Le grec restait un Vasilis dans toute sa splendeur. C’en était trop pour moi ! Qu’il aille au diable ! Qu’ils aillent se faire foutre tous les deux !
Je reprenais le contrôle de mes émotions à l’instant même ou Léo s’écartait pour jouer à nouveau de ses menaces. Bras croisé sous ma poitrine, je le toisais une nouvelle fois avec une sorte de méprise, de dégoût qui ne laissait aucun doute sur ma déception : « Tu veux que je te dise ? T’es pas mieux que ton grand-père. Tu peux le garder ton argent, et tes menaces avec ! Et mieux encore : Tu n’as qu’à dire à ton grand-père qu’il peut arrêter les virements ! J’aurais dû le faire depuis longtemps de toute façon… » J’avançais dans le salon pour passer à côté de Léonidas et me rendre jusque dans l’entrée. Il allait bien vite comprendre que je lui indiquais la sortie « J’ai bien compris ton message Vasilis, il est clair et limpide ! » je forçais sur l’articulation de ces deux mots avant d’ajouter « Mais à mon tour de t’en faire passer un, de message. Tu vas voir, il n’est pas bien compliqué non plus, c’est : Va te faire foutre ! VA-TE-FAIRE-FOUTRE, Vasilis ! Toi et toute ta famille ! Vous me donnez envie de gerber avec vos manière de vouloir contrôler tout et tout le monde, de dicter vos lois à coup de menaces et de liasses de Billets ! » J’allais ouvrir la porte de mon appartement, mais me ravisais parce que – connement – j’avais encore suffisamment de respect ** et de sentiments ** pour ce salopard en face de moi, pour ne pas oser l’insulter publiquement. « Le pire c’est que… » Amorçais tout en ricanant nerveusement « J’ai toujours cru connement que si jamais, ça avait été toi, devant ta porte ce soir-là…Cela aurait été différent. » Je regardais le plafond pour éviter de le regarder lui, et aussi comme pour implorer le ciel de m’épargner ; il m’en avait déjà suffisamment fait bouffer pour me permettre un minimum de dignité ce-soir, nan ? « J’ai imaginé que tu m’aurais dit ne pas vouloir de cet enfant, ou encore de m’envoyer chier en tirant un trait définitif sur tout ce qu’il s’est passé ! Oui j’ai pensé à tout ça ; aux insultes, à l’indifférence, au déni, à tout venant de ta part !! Mais jamais, JAMAIS, je n’avais eu l’audace de me dire que tu viendrais proposer de l’argent, toi aussi… » Qu’il agisse pour le bien d’Ilias ou pas, ça n’avait pas d’importance de toute façon. Ce qui m’horripilait le plus, c’est qu’il accompagne ce geste de condition, de menaces. « Je vais te donner ma parole, Léonidas. Oui. Ma parole…Ma parole que tu n’entendras plus parler de nous » C’était ce qu’il voulait….alors il aurait ce qu’il veut. Et sans condition aucune…. D’un geste du doigt, je désignais la porte, pendant que de l’autre main, j’ouvrais cette dernière pour faire comprendre à Léonidas qu’il pouvait partir « Au revoir, Mr Vasilis… ! »
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Quand la chasse se termine
Leonidas ne voulait pas d’enfant, il n’en avait jamais voulu mais il ne pouvait pas quitter cet appartement comme si de rien n’était. Son grand-père savait qu’il y avait un être humain sur cette planète qui possédait une partie de son code génétique. La seule chose qu’il ignorait, c’était que son petit-fils était à présent au courant. Pourtant, cela ne l’enchantait pas d’avoir cette nouvelle pression sur ses épaules car cela mettait un énorme frein à ses plans de revanche. « Va te faire foutre aussi ! » déclare-t-il en secouant la tête. Elle ne comprenait rien à rien mais en même temps, demander à une femme d’être intelligente, c’était comme réclamer un miracle qui ne viendra jamais. « Fallait te renseigner avant de coucher avec un Vasilis ! Désolé de ne pas être le prince charmant que tu attendais ou plutôt le pigeon parfait » grommela-t-il avant de quitter son appartement. Il n’y avait plus rien à dire, c’était terminé : chacun allait repartir faire sa vie. Après tout, Harvard était assez grand pour qu’ils n’aient pas besoin de se fréquenter. Le grec devait passer à autre chose et une bonne soirée chez lui, accompagnée de vodka ne serait pas un luxe. Sa soirée allait être foutue à cause d’une rouquine mais ça, il ne le savait pas encore. En attendant, il allait devoir se mettre en tête que fréquenter Grieve était la pire des idées. Non, il allait surtout devoir réfléchir à comment manœuvrer le vieux pour éviter qu’un jour, il ne sorte la carte de ce gamin pour appuyer là où cela faisait mal. On ne va pas se voiler la face : Leonidas avait beau détester les gamins, ils étaient contre toute attente, sa principale faiblesse. Il ne supportait pas qu’on puisse s’en prendre à plus faible que soit. Où était le challenge ? Il n’y en avait aucun. Dès lors, s’attaquer à un gosse relevait de l’acte de lacheté pur et simple. La porte se refermait derrière lui et il ne perdit guère de temps à descendre les marches. Qu’elle aille au diable, qu’elles aillent toutes au diable ! Le monde se porterait mieux sans ces créatures infernales que sont les femmes.
TOPIC CLOS.
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