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bad blood (jonathan)

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T'en fais pas j'arrive bientôt, le temps de régler un truc. Message envoyé. Mon pote m'attendait devant la Mather, ignorant que j'étais devant l'Eliot. Malheureusement pour lui, il devait attendre que je finisse ma petite farce. Et ça pouvait durer des heures, mais ça je n'allais pas lui dire. A lui d'être patient. Rangeant mon portable dans ma poche, j'observais l'immense maison, imaginant les produits de luxe qui se trouvaient dedans. Si quelqu'un braquait ce coin de la faculté, il deviendrait millionnaire. Une idée à garder pour plus tard. Sourire en coin, je revoyais Clint Eastwood m'annoncer qu'il était mon oncle. Désormais j'avais de l'argent, rien à leur envier du coup. Au contraire, ils étaient en dessous maintenant, car eux ne savaient pas profiter de la vie. Non, ils restaient terrés dans les bonnes conventions tandis que nous, les Mathers, on savait s'amuser. On aimait briser les règles, chose dont ils n'avaient pas l'habitude. Il suffisait de voir les jeunes Eliots qui me regardaient comme si j'étais une mauvaise herbe. Certains passaient à des mètres de moi, faisant un détour tandis que d'autre me regardaient de hauts. Bon sang, ce que je les détestais. Ah, le voilà enfin sorti. « Jonathan ! » Rapidement je m'approchais de lui histoire qu'il ne réalise ce qui lui arrive qu'au dernier moment. Assez proche pour l'atteindre, je lui balançais la peinture dessus juste avant de lui lancer le pot aussi. « Alors la vie est plus colorée non ? » Clairement de la provocation.

@JONATHAN SKELTON-LYNCH
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Me massant la base du cou, je regarde encore une fois la liste des choses à checker avant la soirée des Eliots, et souris en voyant que les cases marqué terminé couvrent presque toutes les taches. Je regarde l'heur dans mon portable... Et merde ! c'est à moi de garder Eva, je suis en retard. Rapidement, et avec un soupir de bonheur, je me lève, prends ma veste, et dévale les escaliers, jusqu'a arriver en bas. Je passe par le salon commun de notre confrérie, et termine ma course en arrivant devant la porte.
Ou plutôt quelqu'un arrête ma course en criant mon nom. Je n'ai pas le temps de me retourner et voir qui c'est, qu'une substance gluante me recouvre tout entier. L'attaque est tellement soudaine que mon corps se met en mode défensif, avec une main devant mon visage que je tourne de côté, et l'autre encore plus en avant pour empêcher lamentablement tout autre type d'attaque. C'est low, très low mais faut l'avouer... Il a bien fait "AAAAARGH mes yeuuuuuuuxxx" criais je.
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Oh merde, c'était pas supposé se passer comme ça. Jonathan avait un problème à cause de ma farce et merde qu'est ce que je devais faire ? Aider un Eliot allait contre les principes de la Mather mais là il ne s'agissait plus d'une guerre entre maisons. Non, il s'agissait d'un homme qui venait de se prendre un pot de peinture et qui hurlait à cause de ses yeux. Bon sang. Etait-il possible qu'il devienne aveugle à cause de ça ? Je regardais autour de moi mais ne vit personne pour nous aider. J'avais pas le droit de partir, pas alors que quelqu'un avait besoin de mon aide. A la limite, je pouvais l'emmener à l'hôpital et le laisser là bas. Avec un peu de chance, il n'avait pas vu mon visage et je n'aurais pas de problèmes. Mais je le voyais souffrir et ça c'était trop. « Eh mec ça va pas ? Qu'est-ce que t'as ? » Questions débiles que je posais tandis que je m'approchais doucement de lui, posant une main réconfortante sur son épaule. Pourvu que ce ne soit rien de grave, je ne me le pardonnerais pas. Dans ces moments là je regrettais de ne pas être un connard fini et de ne pas avoir assez de courage pour lui tourner le dos et me barrer. « Jonathan il se passe quoi là ? » Encore un pas pour me rapprocher de lui tandis que mon regard se baladait sur son visage recouvert de peinture, tentant de voir le soucis.
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La guerre Mather et Eliot revient à la nuit des temps. Un peu après l'extinction des dinosaure. Je suis sure qu'il y a encore des dessins fait sur les murs d'une caverne avec l'image d'une personne peinte en vert, qui se battait avec une autre en bleu... Et la, c'est moi qui suit peint en vert.
A peine ai-je eu conscience de ce qui m'arrivait, je compris QUI était derrière tout cela. Une personne dont l'appartenance n'est autre, que la maison avec la couleur de la peinture... Normal, vu que c'est la période des bizutage, et que je suis une proie de choix.

Je fis donc ce que mon esprit me dictait sur le moment : je me mit à crier que mes yeux me faisaient mal, que j'étais touché, que j'avais besoin d'assistance...
Comment va t il réagir? M'approcher, me fuir, Rire de mon "malheur" ?
Il se décide pour la première option. Une option que toute personne avec un peu de conscience aurait choisit : M'approcher et me demander si j'allais bien.
Le visage caché, entre mes mains, je sens la peinture visqueuse continuer à couler entre mes doigts, sur mon cou, et mes vêtements ....   Putain, cette veste sera bonne pour aller dans le placard d'un hipster. Mais soit, ce n'est pas notre sujet ... Seconde partie du plan? Fight fire with love.
Brusquement je me tourne vers le bizut qui m'a approché, et tout aussi soudainement, je l'entoure de mes bras dans un câlin forcé, en profitant pour le couvrir abondamment de sa propre peinture, allant même jusqu'à essuyer ma jouer sur le coté de son visage "C'est très drôle n'est ce pas?" Fis je en me détachant de lui.  "Dis à ton bizuteur qu'il peut s'attendre à un remerciement de ma part" ajoutais je avec un sourire.
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Ce connard m'avait tendu un piège. Il était plein de peinture verte et avait tourné ça à son avantage, prétendant avoir mal aux yeux juste pour que je me rapproche de lui. Et comme un idiot j'étais tombé dans le piège tête la première, ne pensant pas une seule seconde qu'il pouvait jouer la comédie. Tout s'était passé si soudainement aussi. Maintenant j'avais les vêtements et la joue colorée de vert. Bah, au moins je représentais la Mather fièrement. « Je suis mort de rire ». Sourire sarcastique pour appuyer mes paroles et un doigt d'honneur pour orner le tout. Ça servait à rien de rentrer en guerre contre lui, il avait plus de force que moi. Je l'avais senti pendant que j'essayais de me détacher de son pseudo câlin. Mais il se mettait à parler de mon bizuteur et j'avais juste envie de lui dire de se la fermer. Il connaissait pas Hayden, il savait pas ce que ce mec représentait pour moi, le sourire qu'il mettait sur mon visage à chaque fois qu'on se voyait. Et pourtant il le menaçait. Minable Eliot. Sans pouvoir me contrôler plus longtemps, ma main saisissait le col de sa veste. « Écoute moi bien pauvre idiot, tu touches à mon bizuteur et cette blague te paraîtra soudain bien dérisoire à côté de ce que je te ferais ». Ton menaçant, mâchoire serrée, visage proche du sien. « A toi ou à ton copain ». Il s'était attaqué à un de mes proches alors autant faire de même pour lui. Les mathers n'étaient pas connus pour être des saints. Si je devais remuer terre et ciel pour le faire regretter alors je le ferais, peu importait si un des dommages collatéraux était son mari.
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"Hum" fis je moquer.
Mon sourire s'agrandit maintenant qu'il m'a approché de son visage en me prenant par mon col.  Un sourire grand mais sans joie. Mes yeux sont glacé avec une lueur acerbe, que j'ai hérité de ma mère, et une pointe de défis.
Je ne lui fait pas le plaisir d'essayer de me dégager. Après le doigt d'honneur, et ses paroles, je sais à peu près à qui j'ai affaire : une personne au tempérament de feu, que je me délecte à enrager. Je profite de ma proximité avec lui, pour lui répondre "Premièrement, je ne toucherais jamais à ton bizuteur" En effet, jamais je ne le toucherais... en personne "Deuxièmement, que crois-tu que je vais lui faire? Le tuer? " continuais je sur le ton de la moquerie "Et pour finir, j'ai beau être gay et mon mari aussi, on sait très bien nous défendre, quand ... la situation le demande"
Ma menace, amicale au début, visait simplement à dire qu'un de mes bizuts fera pareil à celui qui l'a envoyé. Cependant, s'il touche ne serait ce qu'a un cheveux de Benji, (et je sais que ce dernier ne va pas se laisser faire ...) je ne répondrais plus de moi. Et je peux faire plus de dommage qu'il peut le croire. Parce que le bisounours qu'il croit avoir devant lui, faut pas l'approcher de l'eau, ou lui donner à bouffer après minuit. *  

*clin d'oeil au gremlins
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Il ne touchera jamais à mon bizuteur hein ? Le truc était qu'il ne fallait jamais croire un Eliot, surtout pas leur vice président. Ils étaient fourbes, ayant appris à embobiner dès leur enfance pour ensuite percer dans le monde du travail. Amasser de l'argent en s'en fichant de l'humanitaire c'était tout à fait eux. Alors comment est-ce que j'aurais pu croire en ce qui semblait être une promesse ? J'étais sociable, mais pas con. Le voir se moquer de mes menaces me mettaient hors de moi. Si seulement je pouvais lui en coller une. Mais non. Fallait que je me retienne, que je devienne un type meilleur, pour Rhiannon. Du coup je lâchais son col et m'éloignais de quelques pas, fulminant toujours. « Qui a insinué que vous saviez pas vous défendre parce que vous étiez gay ? » Question rhétorique. Ce mec m'avait jugé, à moi de lui prouver qu'il avait tort. Même si, clairement, je n'en avais pas l'obligation. « Là c'est toi qui te rabaisse, mais continue tu fais tout le boulot à ma place ». Sourire carnassier figé sur mon visage. Nouveau doigt d'honneur. Ma signature en quelques sortes. Son fric ne m'intimidait pas, son air moqueur non plus. Je valais mieux que ça. Mieux qu'eux. Du coup je tournais les talons en lui faisant un signe de la main. « Essaye d'utiliser ton courage pour une fois et pas ton fric. Parce que je sais que t'as l'un mais prouve moi qu'il ne te manque pas l'autre ».
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