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I'm Rory Williams The Last Centurion! 8D

« 2000 ans attendre la femme qu'il aime n'est ce pas la plus belle preuve d'amour? » ► Doctor Who.
La journée était au beau fix, effectivement matinée plus que chargé dans les cours un projet sur la peinture à l'huile satané peinture qui ma encore bousillé un jean, j'adorais me salire mais je commencais a plus avoir un seul Jean's potable quand même! Toute la journée sur un chassis toilé j'adorais ça, j'étais inspiré. Lazarus et moi avions rendez vous comme d'habitude au bar, il allait sans doute me rabacher encore son histoire avec ma tante. LE truc qui m'enervait au plus haut point, mais il est encore chamboulé par l'histoire tragique de la femme vipère en tout genre! Je ne pouvais supporter quand on parle de ma famille, elle ma fait tellement de mal que je ne vois pas pourquoi je parlerais d'elle, pour moi j'étais Orphelin depuis le jour de mes 18 ans. Ce fut le jour où ma mère me jetta a la porte avec ma guitare et mon sac! Je dois dire que Lazarus fut quelqu'un en qui je pouvais faire confiance, ce fut comme un père spirituel pour moi, un homme certe que je ne voyais jamais étant en France et lui je ne sais où. J'étais inspiré de cette personne pour mon tableau, je décida alors de le peindre, de faire une toile de comment je le représente dans mon esprit, un homme souriant toujours pret a rire avec moi. Je repense toujours à ces expression facial quand j'étais petit ce fut des expressions qui me redonna toujours le sourire.

Arrivé dans ma chambre je décida alors de prendre une douche pour enlever les traces de peinture sur mes bras avec du white spirit. La toile séché sur le chassis cela allait mettre longtemps mais j'allais l'offrir a Lazarus quand tout sera sec d'ici quelques jours et six mois entierement! Sous la douche ce fut comme une libération, j'aimais ce moment que je partageait avec cet endroit, ca calma tout mon corps. J'étais toujours très détendu comme si j'avais fumé un joint avant de dormir ce fut la même. En sortant je m'approcha de la glace voyant une morsure sur l'une de mes fesses. Aramis a dormit avec moi la nuit dernière. Son vice? me mordre pendant que je dors, mais ca me réveil même pas, mais j'adorais ca avoir des marques sur mon corps, quand on voit les quatre tatouages que j'ai sur le corps, le tatouages de mon bras gauche et puis celui que j'ai dans le dos référence a une idole de mon père Bruce Springteen, et le M sur mon pied et celui que j'ai sur le mollet. bref j'étais moi même une oeuvre d'art. J'enfila une chemise à flanelle bleu rouge blanche par dessus un t shirt blanc simple. Un boxer prit aussitôt possession de mon corps pour enfiler le jeans propre qui me restait , LE SEUL ET L'UNIQUE! J'ai prit mes cigarette ainsi que mon téléphone et je partit prendre la voiture pour rejoindre Lazarus dans le bar habituel, arrivé làbas on pouvait d'or est déjà sentir l'odeur de l'alcool et du tabac froid, j'allais m'installer au Bar où Lazarus m'attendais déjà je me metta à ses cotés: « Bonsoir Lazarus, désolé du retard! Il y a un trafic monstre à cet sur la 11ème et la 14ème rue. » Je leva ma main au Tavernier si je puis dire ainsi : « Rhum brun s'il vous plait! » Commandais-je au barman avant de me retourner vers mon ami: « Comment vas tu? Au faite j'aurais quelque chose a t'offrir demain... Une toile que j'ai peinte aujourd'hui. »


Rory McGillian & Lazarus McCarthy

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Yeah I'm The Last Centurion
Rory & Lazarus

31 mars - année inconnue



« Oui papa, je n’en perdrais pas une seule miette ! » S’exclama-t-il d’une voix insistante. C’était sa réaction habituelle lorsqu’il se retrouvait face à un devoir de famille aussi stupide que de regarder son père dans le prochain film de Woody Allen. 65 ans et toujours aussi narcissique. Lazarus n’allait cependant pas s’en plaindre : son père était un très bon acteur et avait le nez pour choisir ses rôles. Des seconds rôles certes, mais des rôles honorables. Et puis, cela faisait un sacré bail que le professeur n’avait pas été dans les affaires familiales des McCarty, aussi futiles soient-elles. Un nouveau moyen pour lui d’oublier les McGillian où séjournait la reine des glaces, soit son ex-femme. « Non papa, je suis occupé, un rendez-vous m’attend dans quelques minutes ! » En plus de ça, son père ne le lâchait pas d’une semelle. « Un rendez-vous urgent ! » Nouvelle tentative soldée par un échec. Cela devenait lourd. « Papa ! Je vais raccrocher maintenant ! » Ajouta-t-il avec plus d’entrain avant d’exécuter ses paroles. Il raccrocha aussi rapidement qu’il le put. Puis soupira. Un grand soulagement pour lui qui n’aimait pas particulièrement que sa famille tente de rentrer au travers de sa vie personnelle. Il avait 40 ans, était doctorant en histoire de l’art et n’avait nullement besoin qu’on vienne lui lécher le derrière. Mais il ferait toutefois l’effort de se rendre à la première de son film. Lazarus savait rester avenant après tout. Notamment envers sa famille.
Il tacherait tout de même d’éviter de parler de ses relations avec les McGillian. Du moins, un McGillian. Rory. Le McGillian rejeté pour être précis. Et le plus sensé de tous. Sachant qu’il était le neveu de son ex-femme et qu’il entretenait des relations relativement houleuses avec sa famille, Lazarus l’a vite pris sous son aile et ce dernier ne pouvait qu’être content que ce jeune étudiant le considère comme un second père. De plus, il s’agissait d’un artiste à en devenir et lorsque Lazarus voyait un potentiel à travers chaque futur artiste, il ne les lâchait pas d’une semelle. C’était le cas avec Charlie Lestwood, et maintenant avec Rory McGillian. Et c’était avec lui qu’il avait rendez-vous ce soir. On était bien loin du « rendez-vous urgent ».
Avant de sortir de la voiture, il reprit son portable en main et s’accorda dix petites secondes pour répondre à un message de Charlie lui demandant si elle pouvait lui emprunter la salle de théâtre pour demain matin. Dès la touche d’envoi, il remit son portable dans la poche de sa longue veste et sortit enfin de la voiture. Devant lui se tenait un bar connu et atypique d’Harvard. Peu de bars de ce secteur ressemblaient à ce qu’avait l’habitude de connaitre Lazarus en Angleterre. Mais celui-ci faisait office d’exception car le gérant était un irlandais de pure souche qui avait visiblement le sens des affaires. Les américains aimaient les pubs anglais. En voir un dans leur pays devait obligatoirement les attirer. Lazarus verrouilla prudemment sa voiture et pénétra dans le bar. Il s’y installa comme à son habitude et réclama le barman le plus proche. « Gus, sers-moi une bonne bière brune ! » Il connaissait le nom de tous les travailleurs de ce bar, c’était, effectivement, un avantage. « Tout de suite McCarty ! » répondit le jeune homme avec un sourire avenant. Sa bière enfin servie, il patienta gentiment l’arrivée de Rory avant que le jeune étudiant ne se montre devant les portes lorsqu’il eut terminé sa pinte. Il prit place à ses côtés, le salua et justifia rapidement son retard. « Oh oui, ça. Il y a eu un léger accident de ce côté-ci. Enfin, l’important est que tu sois là ! » lui répondit-il avec un grand sourire. Le jeune homme commanda alors un rhum et Lazarus en profita pour se prendre une nouvelle bière. « Je vais très bien pour ma part, des élèves à glorifier, d’autres à tyranniser et un père qui m’embête à cause du prochain film de Woody Allen… mais sinon, tout va bien ! Et toi ? » Rory lui parla alors de sa mystérieuse peinture. « Oh. Elle a intérêt à être fabuleuse alors ! » Son sourire laissait transparaître une soudaine curiosité. Il connaissait les talents de Rory autant que ses nombreuses inspirations et il le savait talentueux. Incroyablement talentueux. Rory était un jeune homme qu’il fallait surveiller de près et le simple fait que celui-ci lui offre une de ses peintures montraient clairement la considération qu’il avait envers lui. Un fabuleux McGillian.
Prenait sa seconde bière en main, il la sirota légèrement puis reprit la parole. « Au fait, j’ai eu des nouvelles de la reine des glaces » Il savait que Rory ne supportait qu’on parle de ce qu’il ne considérait plus comme sa famille, bien qu’il porte le nom McGillian, mais cela perturbait Lazarus et il avait besoin de sortir cette information de la tête. « Elle est mariée à un idiot de Gallois et tout la famille se porte très bien maintenant » continua-t-il en prenant une grosse gorgée de bière. « On aura tout entendu » Et une nouvelle gorgée. A ce rythme–là, il risquait de rentrer chez lui à quatre pattes. Mais que voulez-vous, tout ce qui concernait cette vipère l’exaspérait. Plus, elle se permettait de le contacter pour se vanter qu’une vie sans Lazarus, c’était une vie parfaite. Où allait le monde ?
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I'm Rory Williams The Last Centurion! 8D

« 2000 ans attendre la femme qu'il aime n'est ce pas la plus belle preuve d'amour? » ► Doctor Who.

J'étais arrivé au pub avec l'intention de passer la soirée avec mon Oncle Lazarus, c'était un homme charmant qui faisait tourner pas mal les têtes des jeunes femmes d'Harvard, je voyais bien même si lui était encore dans l'emprise de satan en personne, d'ailleurs je lui demandais si ca allait bien dans sa vie. Je m'étais assis au comptoir commendant au barman un rhum quand il fus posé sur le comptoir il me réponda: « Je vais très bien pour ma part, des élèves à glorifier, d’autres à tyranniser et un père qui m’embête à cause du prochain film de Woody Allen… mais sinon, tout va bien ! Et toi ? » je ne savais pas quoi lui répondre, a part que les cours sont un enfer et que sentimentalement ce n'étais pas la joie j'étais encore tout perturbé par ma rupture avec Noa'h. Je ne savais vraiment par quoi lui répondre a par: « Ecoute ca peut aller... Ma rupture avec Noa'h ca se passe tranquillou et les cours j'ai connu mieu! » C'est ainsi que je lui parlais alors de ma toile que j'ai fait faire sur lui, je le voyais dans tant de rôle j'étais comme un enfant devant son idole qu'il verrait dans tant de personnages! et c'est alors qu'il me dit « Oh. Elle a intérêt à être fabuleuse alors ! » j'esquissais un simple sourire pour satisfaire les envie de mon oncle, je bus une gorgée de Rhum pour me desalterer la gorge et puis il dit alors quelque chose qui me fit retourner l'estomac rien qu'à entendre le mot glace: « Au fait, j’ai eu des nouvelles de la reine des glaces » J'ai faillit avaler de travers en ayant écouter ça, je ne savais pas quoi dire enfin surtout que parlait de famille avec lui me donner vite des haut le coeur. Mais au moins il avait des nouvelles d'elle et savoir cela pouvait me redonner le sourire, car il se lamentait tellement sur son ex femme... Et c'est la que je faillit perdre me cuti a entendre ça: « Elle est mariée à un idiot de Gallois et tout la famille se porte très bien maintenant » Je me suis mit un rire en hurlant: « Un Gallois? » J'en pouvais plus c'était bien la meilleur de l'année, né dans une famille xénophobe qui ne peut supporter ni anglais ni ecossais mais les gallois c'était le sang mélés qu'il ne fallait surtout pas mélanger avec le notre, déjà que mon grand père avait eu du mal avec Lazarus l'écossais alors bon je repris mon calme et je lui dit: « Excuse moi Tonton, mais c'est trop irréel pour être vrai, le grand père doit faire une jaunisse fasse à ça! » je rebus une autre gorgée de rhum en entendant cette suite de Lazarus: « On aura tout entendu » j'eus un sourire en entendant ça, je leva mon verre en lui disant un simple « Levons nos verre pour Satan et ses Sbires! » je trinqua avec mon oncle en le regardant dans les yeux et buvant ensuite mon verre cul sec! Je posa mon verre sur le comptoir faisant une drole de grimace d'acceptation du breuvage et je demanda au barman: « Barman la même! en double! » J'avais décidé que se soir on allait picoler!



Rory McGillian & Lazarus McCarthy

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