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you and me could write a bad romance (toblerone)

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Le regard perdu dans la profondeur de l'amphithéâtre, tu tentais de te plonger dans ton cours d'éconolie, en vain. Tu n'avais pourtant d'habitude aucun mal à t'intéresser à tes cours, c'était ton truc, les chiffres, les statistiques, l'économie en général. Tu te savais fait pour ça, t'allais régner dans ce domaine dans quelques années, au même prix que ton père. C'était des famille, chez les Hale. Chez les Hale, vous avez le sens des affaires, des vrais requins de pères en fils, et tu n'échappais pas à la règle. De père en fils... Malgré toi, tu imaginais ton frère assis dans cet amphithéâtre, absorbé par ce cours que tu n'arrivais pas à suivre. Pourtant moins assidu et bon élève que toi, il s'en était toujours sorti et avait commencé ses études ici. Mais t'étais là à sa place aujourd'hui, et t'aurais jamais pensé redouter le jour où il pourrait y revenir. T'attendais la sentence, t'attendais le jour où tu le verrais déambuler ces couloirs d'Harvard. Le truc que tu espérais depuis tant d'années, et que tu redoutais à présent. Un bruit sourd te sortit de tes pensées, et tu regardais autour de toi. Tout le monde s'activait, tu jetais un œil à ta montre, réalisant que ta journée était terminée. Soupirant, tu rangeais tes affaires et quittait la salle. T'allais pouvoir rentrer chez toi, et rien foutre. T'avais rien de prévu. De toute façon, tu n'allais même pas pensé à voir tes meilleurs potes, vos sms de la veille t'avaient carrément soûlés. Ces histoires de meufs et de non-dits t'avaient fatigué en une soirée, et t'espérais bien que Noah et Davy allaient trouver un terrain d'entente à propos de Tessy. Tu t'en foutais franchement de ce qu'il pouvait en advenir, tant que ton amie n'en souffrait pas. Absorbé par ton téléphone, tu ne prêtais pas attention aux gens de autour de toi, et quand tu décidais finalement de relever la tête pour t'assurer que tu allais dans la bonne direction, tu te stoppas. Tes yeux se posèrent sur la première personne que tu voyais, une personne en particulier qui se trouvait pile face à toi. Tu n'étais même pas capable de cligner des yeux pour te demander si t'hallucinais, si ton bad trip du Summer Camp ne refaisait pas surface. T'avais juste l'impression d'être paralysé sur place et le sentiment qui t'animait à l'instant fut multiplié par dix quand vos regards se croisèrent. Tu ne comprenais pas, ce qu'elle faisait là, pourquoi elle était là. Tu ne t'attendais pas à la voir, tu n'avais pas envie de la voir, absolument pas. Tu reprenais petit à petit tes esprits, ton esprit partagé entre la curiosité et la haine. T'avais envie de tracer ton chemin, mais la voir ici te rendait presque dingue. Tu ne bougeais pas, la voyant s'avancer jusqu'à toi, te demandant encore comment t'allais réagir en entendant sa voix, en la voyant près de toi, sur ton territoire. Si jusqu'à aujourd'hui tes problèmes en France ne pouvaient pas te rattraper, tu venais de comprendre que Selene en avait décidé autrement. Et ça te faisait chier, indéniablement.

@Selene Montrose
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Tes premières journées à Harvard furent longues et bondées d'un million de formalités post-inscription, des réunions d'intégration de l'université et les explications du bizutage des confréries et tu n'as pas eu le temps de penser à autre chose que toutes ces choses chiantes à vrai dire. Tu n'as pas trouver de temps pour toi afin de te poser, de réfléchir et de t'adapter tandis que tout semble s'enchaîner autour de toi alors que pendant ce temps tu patauges. Des regards se tournent vers toi, parfois pleins de compassion d'autres emplis d'animosité et tu te sens jugée ce qui t'irrites, t'essaies de t'en foutre mais certains sont tellement indiscrets que ça t'agaces. Sérieusement, tu es pas non plus la nouvelle élève du collège qui est au centre de l'attention quoi. Selene Montrose, étudiante lambda de l'université classée première mondialement débarquant tout droit de France enfin quoi de plus ordinaire quoi. Bref, tu te sens à court de souffle rien qu'à l'idée d'entamer une nouvelle journée de cours par ici. Tu sais que tu arriveras à te poser mais trop de choses se trottent dans ta tête et tu perds le fil, parce que ouais dans ce transfert d'établissement t'oublies pas la principale raison de ta venue. Et c'est le sujet qui à chaque fois qu'il te vient en tête te fout la boule au ventre. Que faire, comment t'y prendre, avant de débarquer tu avais des plans mais à présent tu n'es plus sûre de rien. Alors tu décides de te laisser mener par le vent et le destin. Tu préfères que ce soit une coïncidence plutôt que de passer ton temps à lui courir après. Mais tu as tant de choses à lui dire, à lui expliquer et tant de choses à te faire pardonner qu'il n'est pas envisageable de passer encore un mois de plus par ici sans avoir arrangé ne serait-ce qu'un minimum les choses. Ce n'est même pas une option. Tu préfères tout de même ne pas divaguer de trop, rester concentrée jusqu'au bout avant de pouvoir lâcher prise. Une fin de journée qui s'annonce lorsque ton cours de littérature anglaise se termine et en sortant de cette salle, tu ressens immédiatement le besoin de prendre une bouffée d'air fraiche. Sérieux, tu donnerais n'importe quoi pour plonger ta tête à travers une fenêtre entreouverte à ce moment précis tant les salles sont confinées en oxygène. T'ignores si c'est cette concentration de génies sur pattes en quelques mètres carrés qui produit un tel phénomène mais sérieusement, sachant que vous êtes encore en été c'est invivable. Bon, qu'importe, tu trouves l'air qui te manque dans les longs couloirs de l'infrastructure et vagabonde jusqu'à la sortie afin d'aller rejoindre le bâtiment de la Cabot House, là où tu résides à présent en tant que bizut. Mais n'ayant plus rien de prévu pour la soirée tu te sens de traînasser, d'inspecter et de rêvasser un peu dans ce couloir dont tu ne vois pas encore le bout. Soudainement, dans ta marche pourtant tranquille et naturellement, tu marques un stop brusque. Les yeux pourtant rivés sur ton téléphone pour checker tes sms, tu as fait la bêtise de redresser ton regard à ce moment précis. Merde. Tu ne sais pas encore si c'est le fruit d'un de tes cauchemars d'un des milliers de scénario que tu t'es imaginée le jour où tu le recroiserais ou si c'est bien lui, maintenant et ici qui se tient devant toi. Pourtant, tu te pincerais très fort tu es persuadée que tu ne te réveillerais pas en sursaut ; mais le souvenir de son visage neutre t'avait tant quitté que tu as l'impression de le redécouvrir pour la première fois. De ne pas avoir le même Tommen que tu as toujours connu devant toi. Ouais parce que putain bien sûr, pour terminer la journée en beauté, tu devais tomber sur lui. Là, tu aimerais courir pour venir lui sauter dans les bras, le serrer dans ces derniers jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus et te faire pardonner en un claquement de doigts, si seulement tout était si simple. Mais tu n'oses même pas l'approcher, tu te sens paralysée par cette honte et toute cette haine qu'il a su te déverser avant de jurer ne plus vouloir te croiser de sa vie, par le fait de l'avoir trahis et que l'irréparable, tu as su le commettre avec la personne avec qui tu n'aurais jamais souhaité faire foirer les choses tant tu l'aimes. Trop tard, le mal est fait et là tu te sens bien seule dans ta merde. Que dire ? Que faire ? Hors de question que tu ne fasses comme si de rien n'était — puis de toute façon vous vous fixez depuis déjà une bonne minute, tu ne comptes plus faire machine arrière et même si c'est pour te faire envoyer bouler tu auras essayé. Tu acceptes les échecs dans un premier temps, tu sais que ce ne sera pas si simple. Rappelle-toi, c'est toi qui a fixé les règles du jeu avec tes conneries. Tu remets alors ton sac sur ton dos d'un geste de l'épaule, prête à l'approcher en pinçant les lèvres, seulement les premiers pas que tu marques furent les plus compliqués et semblent être pour toi les plus audacieux. Il reste immobile, comme déconnecté de la réalité et tu en profites pour accélérer le pas afin de venir le rejoindre et te planter de la façon la plus naturelle possible devant lui. « Tommen ? » En l'interpellant par cette simple question, ta voix est devenue plus frêle et plus tendue, à vrai dire tu as carrément peur de sa réaction. Tu as porté tes couilles, à lui d'en faire autant. Tu sens que rien que de sentir ta présence de si près et d'avoir son regard posé sur le tien l'insupporte au plus haut point mais s'il y a bien une chose qu'il ne semble pas avoir compris, c'est que tu ne plaisantes pas et que tu ne lâcheras pas l'affaire. Y'a pas un million d'explications pour justifier ton erreur, mais il y en a. Tu ne le laisseras plus jamais filer sans avoir pu tenter de lui faire comprendre. Pour toi mais aussi pour lui, pour vous. Ça ne pourra pas durer toute la vie, tu ne le supporterais pas. Il faut que ça cesse.
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Ta fin de journée venait de prendre une tournure inattendue. Tu venais juste de quitter ton cours d'économie comme n'importe lequel, pensant d'ores et déjà à ton lit qui était la seule chose que tu désirais le plus au monde à cet instant. La reprise et les histoires te poussaient déjà à bout, alors que ce n'était que le début de l'année. Alors comment est-ce que tu étais censé réagir, quand tu te retrouvais confronté au plus gros problème auquel tu n'arrivais pas à faire face, probablement un des plus gros problèmes que tu rencontrais depuis des mois, voir des années. T'avais comme du mal à réaliser qu'elle se tenait devant toi, à quelques mètres seulement. Elle était ici, à Harvard, alors qu'elle avait toujours été à des milliers de kilomètres de toi quand toi tu étais là, quand vous étiez encore ensemble, que t'aurais jamais pensé à une autre fille qu'elle, quand tu savais qu'il n'y avait qu'elle dans ta tête, tes pensées, dans ton coeur. Et t'avais continué à le penser des années plus tard, vous n'avez jamais été en mauvais terme après tout. T'avais jamais nié l'avoir aimé comme t'as jamais aimé personne, et au jour d''aujourd'hui tu savais que c'était encore le cas. T'avais eu d'autres copines, mais aucune n'avait surpassé Selene en terme de sentiments. Alors ouais, si vous vous retrouviez plusieurs mois en arrière, tu aurais eu le sourire jusqu'aux oreilles de la voir là. Mais voilà, vous en étiez rendus à cela. Ou plutôt, tu en étais rendu à ne plus savoir quoi faire, à même pas savoir comment réagir. Enfin si tu savais. T'avais envie de l'ignorer, de lui passer sous le nez et terminer ta journée sans être plus perturbé que cela. Mais c'était impossible. C'était comme des flashs dans ta tête. Votre dernière discussion qui virait au cauchemar, ta soeur qui te met au courant du pire truc que tu aurais pu apprendre, le visage de ton frère. Tellement de choses qui se bousculent dans ta tête que tu n'arrives même pas à reculer quand elle arrive vers toi. T'as l'impression de rêver, tant tu t'es obligé à la sortir de ta vie. T'avais passé deux mois au Laos à oublier sa trahison, et tu pensais t'en être bien sorti. Tu t'en étais bien sorti. T'avais passé un bon été, malgré quelques péripéties, t'en gardais du positif. T'avais fait un pas en avant, et voilà que t'en faisais dix en arrière, rien qu'en posant ton regard sur elle. Et soudain, quand elle prononce ton prénom, c'est comme si ton esprit se reconnectait à la réalité, comme si t'avais un électrochoc qui te rappelait que tu n'avais aucunement l'intention de lui laisser une chance de s'expliquer à nouveau, de te faire mal encore une fois. Ton regard se durcit, bien que tu ne puisses quitter ton ex des yeux. « J'espère pour toi que tu vas pas m'annoncer que t'as soudainement décidé de t'inscrire à Harvard. » dis-tu sèchement, lui lançant un regard de haut. Tu n'avais pas besoin de ça, tu le méritais pas. Alors ouais peut être que certains pouvaient considérer ta réaction beaucoup trop exagérée, mais tu t'en foutais royalement. T'allais pas laisser ça passer, et bien que tu la savais déterminée, elle te connaissait mieux que personne. Plus rancunier que toi, il n'y a pas. Tu te contenais, tu te contenais tellement. Vous n'étiez pas seuls, tu pouvais pas. Elle avait de la chance, t'aurais été pire sinon.
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Et c'est au moment où tu t'y attendais le moins que tu es finalement tombée sur lui. Tu avais tant redouté votre prochaine rencontre et peut-être as-tu bien fait. Mais tu savais également que la prochaine fois que vos chemins se croiseront la situation sera bien trop palpable pour qu'ils se recroisent de nouveau en suite, et ça tu ne l'acceptes pas. Tu ne l'aurais pas supporté, alors il fallait que tu tentes le tout pour le tout. Tout plaquer pour peut-être mieux recommencer. T'oses espérer, et l'espoir fait vivre. Mais ce regard, ce putain de regard, il t'a tant déstabilisé bordel c'en est indescriptible. Tu ne sais plus où te mettre, tout les remords et regrets que tu as accumulé ce sont multipliés pour former un poids insupportable sur tes frêles épaules encore faibles alors tu as décidé de t'avancer. D'essayer d'avoir une réelle conversation cette fois-ci et voir la réaction de Tommen, voir si vous avez encore une chance d'exister. Si la flamme ne s'est pas éteinte à tout jamais. « Écoute, je ne suis pas venue ici pour visiter. Je sais que je suis allée beaucoup trop loin et que j'ai commis la pire des conneries mais s'il te plait Tommen, laisse-nous une chance. Je ne veux pas te perdre et même si je le mérite terriblement, je ne le supporterai pas. Pas cette fois-ci. » que tu te mets à déballer en regardant ton ex droit dans les yeux aussi difficile que ça puisse paraître, tu n'arrives plus à quitter son regard et les larmes te viennent tant il t'est compliqué d'assumer les conséquences de ta trahison bien que ce ne soit que le début d'un long combat. Mais un combat que tu comptes mener et à bien, tu ne baisseras certainement pas les bras si facilement. Plus jamais. « J'ai tant de raisons d'avoir fait ça et pourtant c'est pas pardonnable, je le sais bien, mais il y a bien UN moyen qui nous permettrait d'avancer, d'oublier et de recommencer, non ? Je suis là à présent, à tes côtés et je ne compte plus fermer les yeux plus longtemps. Que ça te plaise ou non, je veux me faire pardonner et je ne partirai pas tant que je n'aurai pas eu ce que je souhaite. » tu continues ton discours toujours la voix basse, fragile et à moitié cassée tant tu te retiens de ne pas craquer ; ouais car le voir te porter ce regard si froid ça te brise, ça te tourmente, c'est vraiment le pire de tout. Tu ne peux pas supporter la pensée de te dire que lui et toi c'est fini, pour toujours dans tout les sens du terme et dans tout les points de vue. N'y a-t-il pas donc une issue de secours ? Car là franchement, t'aimerais bien l'emprunter.
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