Jacob B. Harris ► Ashton Kutcher

Par où pourrais-je commencer pour vous raconter ma vie ? Il va sans dire que je n’ai encore accompli que très peu de chose, si ce n’est que de trouver ma voie dans ce monde de dingue. En fait je n’étais pas le seul à la chercher, mes parents et surtout mon oncle et ma tante mon grandement encouragé à suivre la voie que j’ai choisi, c'est-à-dire celle de la médecine. Parce qu’au fond je ne me suis jamais dit tout jeune : Moi mon rêve c’est d’être médecin, je veux sauver des vies et voir le sourire sur les visages des petites filles malades en leur annonçant que j’allais les sauver. Non en fait je voulais être un GI Joe quand j’étais gamin, sans blague. Encore aujourd’hui je dois vous avouer que j’aimerais beaucoup l’être, faire parti de l’équipe de Duke, avec Snake Eyes et toute la bande, wow le rêve je ne vous dit pas. Mais bon dans la vie il faut grandir et se trouver un boulot, si bien que me voilà à Harvard. Je n’y suis pas entré seul, mon cousin m’a grandement aidé, un Winthrop et lui aussi s’appel Jacob, on est une famille un peu étrange. Quoiqu’il en soit, c’est sa mère, ma tante qui a payé pour mon éducation jusqu’à présent, grâce à elle et au fait qu’il privilégie les familles avant les inconnus j’ai pu entrer à Harvard. Au début je me sentais un peu perdu, quoique pas trop, j’avais toujours mon cousin pour me guider. Mais après un moment il a disparu, sans aucune nouvelle de lui, il avait simplement quitté le campus. J’ai hérité de sa chambre à la Winthrop house, ainsi que de sa place au sein du club de hockey. C’est à croire que je pris sa vie en entier, je passais désormais mes vacances chez ma tante au Canada et ne voyais mes parents que très peu. Durant la dernière année ma vie à connu beaucoup de changement. Je développai une affection quasi démesurée pour les soirées arrosé, les substances hallucinogènes et les filles avec des relations problématique avec leur père. J’en suis à me demander si je veux vraiment devenir médecin ou plutôt autre chose, mais si je décide de changer de program je devrai surement dire adieux à ma scolarité payé, ma nouvelle famille et à tout les avantages que m’offre ma relation avec ma tante. Mais d’un autre coté je n’en peux plus de l’encadrement et de la pression lié à mon avenir, si je pouvais je partirais sur la cote ouest, ma guitare et mon surf sous le bras, à la conquête des plages de la Californie. Avant-hier j’ai décidé de ne pas continuer le hockey et plutôt joindre les rangs de l’équipe de foot, j’ai postulé ma candidature comme quart-arrière, le poste que j’ai occupé durant mon enfance et mon adolescence à New-York. J’espère seulement ne pas me retrouver sur les unités spéciales, les types là-bas sont vraiment trop étrange, faut pas s’étonner qu’on appel cette unité : spéciale.