[Hot] I wanna spend the night with you || Calliel

I wanna spend the night with you

Calliel & Lulla

Come with me tonight We could make the night last forever

Ma tête tournait dans tout les sens, je n'avais plus conscience de rien, mais je continuais de boire comme un puits sans fond. Rien de classe pour une fille comme moi qui avait pour habitude de suivre de suivre une ligne de conduite bien précise. Généralement, quand j'allais à des fêtes comme celle-ci je me limitais un seul verre et le sirotait toute la soirée. Quand un joli garçon m'offrait une consommation, je la refilait subtilement à une autre dès qu'il avait le dos tourné, mais ce soir c'était Halloween et je me sentais d'attaque pour fêter comme il ce doit cette fête, la première depuis que j'étais devenue veuve. Pour être honnête, j'avais toujours adorer cette fête, elle m'amusait étant gamine, elle me permettait de me transformer en véritable le princesse lors de l'adolescence et maintenant elle signifiait ma liberté. C'est pourquoi je m'étais moi-même confectionner un costume de Wonder woman version rose cela va de soi pour souligner l'occasion.

Tout le monde était là, populaire comme moins populaire, les geeks comme les beau gosses, bref vous avez compris. Mais pour moi ça n'avait aucune importance du moment que j'étais bourré, je m'en fichais bien de danser avec un peu n'importe qui, d'ailleurs, j'étais justement en train de danser de façon assez provocatrice et sensuelle contre ce sportif à la noix que j'évitais toujours lors des soirées. Ce genre de mec … je les repoussais tout le temps, pourquoi? Parce que ce sont des mecs facile. Du moment que tu as un jolie visage, une poitrine parfaite et un jolie petit cul, ils te disent oui automatiquement pour ensuite aller se vanter du fait de t'avoir mit dans leur pieu alors que c'est l'inverse qui se produisait, mais bon ce soir … ce mec, ce Calliel je crois... Il me plaisait grave. Son corps musclé, ses tatouages, son visage fin, sa gueule tout simplement … et sa façon qu'il avait de me toucher comme s'il me possédait déjà, ça me rendait complètement folle.

Haletante, je continuais de me déhancher contre son bassin, caressant sa nuque du bout des doigts alors que mon regard ne quittait plus le sien et que je me mordait la lèvre. Si on continuait ainsi … je m'offrais à lui sur le dance floor la devant tout le monde. Mais bon, même bourrée, je gardais un minimum, je dis bien minimum, de respect de moi-même. C'est donc avec une voix douce et suave que je vins murmurer ces quelques mots à son oreille. « Tu as trouver ta reine pour la nuit... accompagne moi à ma chambre … je te veux! » Direct, comme ça. J'avais toujours été franche et sous l'effet de l'alcool c'était encore pire. Je n'en pouvais plus. J'étais chaude … trop chaude et je devais assouvir cette envie grandissante, même si les hommes me rebutait. Toutefois, j'espérais vraiment qu'il soit à la hauteur de mes attentes. J'avais entendu parler de ce gars, de ses conquête et de sa réputation au pieu et je voulais voir s'il était capable d'assouvir une perverse dans mon genre …

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Scream

But you're so magnetic, magnetic ▬ Y’a des gens qu’on rencontre sur internet, d’autres dans un café. Y’a la fille sur laquelle tu louche depuis le collège et à qui tu finis par parler pour te marier avec deux ans plus tard, et puis celles que tu apprends à connaître grâce à ton groupe de potes mais qui n’ira jamais plus loin que ton lit. Trop de façons de se créer des liens, trop de façons de lancer des relations foireuses ou non avec le sexe opposé. Au milieu de tout ça, mes préférées restaient tout de même celles qui se terminaient sous un drap. Je ne pensais pas au lendemain et j’allais pas commencer aujourd’hui alors que c’était la fête de Halloween à Harvard. En parlant de ça, c’était vraiment chaud ce soir… j’avais suffisamment d’alcool dans le sang pour ne pas me soucier des gens qui se bousculaient et il y avait de jolies demoiselles un peu partout, déguisées chacune à leur façon. Habituellement, je faisais le tour des nanas de la salle avant de me décider sur celle que j’allais mettre dans mon lit juste après, mais là ça s’était passé un peu différemment puis-ce que ça faisait déjà un moment que j’étais collé à Lullaby Cavalletti, une fille avec qui je ne m’entendais pas du tout le reste de l’année. Elle était du genre à considérer les gars comme moi comme des objets faciles d’accès, ce qui ne me plaisait pas trop, donc je l’évitais lorsqu’on ne se grognait pas mutuellement dessus.

La musique, l’ambiance et son corps collé contre le mien, tout ça me rendait simplement dingue. Si ça continuait à ce rythme-là, je n’allais pas tenir très longtemps. Effectivement. Mes mains glissaient le long de sa silhouette et même si cela ne se voyait pas spécialement au milieu de la foule, nous avions en quelques sortes commencé des préliminaires. Comment je le savais ? Mon niveau d’excitation et le sien étaient en zone rouge, donc les quelques mots que la jeune femme prononça suffirent largement à me décider à passer à la suite. J’en frissonnais déjà, c’était bien comme s’il n’y avait plus personne sur cette piste de danse. Ah, rares étaient les fois où je m’étais retrouvé dans cet état… et dieu sait ce que je pouvais aimer ça !!!

« Tu vas pas le regretter, t’en fais pas pour ça… »

Ceci dit, je quittais peu à peu le dancefloor en compagnie de Lulla, tout en continuant de me déhancher au même rythme qu’elle, puis nous nous dirigeâmes ensuite à l’extérieur pour rejoindre le dortoir le plus proche, autrement dit celui des Cabot, à moitié au pas de course. J’avais clairement la tête ailleurs et l’envie de m’arrêter ici pour la coincer contre un mur, mais non, c’était pas bien…. Oh et puis merde, y’a personne, on continuera dans sa chambre après ! Je tirais donc sur son bras pour l’arrêter et la coller contre un casier avant de venir l’embrasser sans gêne, m'embrasant de plus en plus.

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Calliel & Lulla

Come with me tonight We could make the night last forever

J'étais pressé de sortir de là et j'imagine que lui aussi ne devait plus se sentir après notre petite performance au milieu de la piste de danse. Je fis donc passer ses bras autour de ma taille et me mit à avancer vers la porte de sortie tout en continuant de faire aller mon bassin contre son bas ventre, histoire de l'excité d'avantage. Je ne me contrôlais plus du tout, c'est comme si une tierce personne avait prit possession de mon corps en me léguant ses envies folles au passage... Jamais de ma vie je n'avais ressentie une telle chose, ce désir aussi intense. Je devais absolument m'en soulager au risque de devenir folle.

Une fois à l'extérieur de la salle de fête, je m'éloigai de ses bras, gardant tourefois une de ses mains dans la mienne et m'empressa de le guider jusqu'au dortoir des Cabots ou je logais. Mes pieds n'avançaient pas aussi vite que je le désirais, si bien que je dù m' immobiliser quelques secondes pour retirer mes magnifiques chaussure Gucci que je laissai sur place. Au moment ou j'allais reprendre ma course, je senti mon dos se poser contre le casier qui se trouvait derrière moi. Il avait oser ? Ce mec venait de faire grimper mon niveau d'excitation d'un simple geste de domination. Il était impatient ? Certainement pas autant que moi. Alors qu'il venait prendre mes lèvres, je fis glisser mes mains au niveau de l'attache de son pantalon et le défit sans trop de difficulter, laissant le bout de tissus glisser le long de ses jambes jusqu'au sol, pendant que ma langue venait caresser la sienne sans trop de retenue.

« Prend moi » Marmonnais-je contre ses lèvres alors que je le poussais un peu afin de m'éloigner des casiers. « Maintenant ! » Sans prévenir, je grimpai sur lui et vint enrouler mes jambes autour de sa taille, imitant le mouvement de va et vient avec mon bassin contre son membre. Quelques petits gémissements prometteur franchirent mes lèvres, j'étais aux anges. Le sentir si près de moi, à quelques morceau de tissus près, me rendait complètement folle. Tant pis si on nous surprenais en train de faire ça, moi je le voulais et tout de suite.

Sans plus attendre, je défis la fermeture éclaire du haut que j'avais confectionner moi-même et le laissai glisser au sol, libérant complètement ma poitrine aux yeux du charmant jeune homme. « Ils te plaisent ? » Dis-je en me mordillant la lèvre alors qu'une de mes mains venait déposer la sienne contre l'un de mes seins. « Ils sont à toi ! » Un léger rire m'échappa. Je voulais qu'il m'admire, qu'il me désir, je voulais être la plus belle femme qu'il ait jamais vu de sa vie, je voulais le rendre complètement fou de moi.

Après quelques secondes passées à le regarder, je me suis pencher vers son cou et entrepris de suçoter lentement sa peau tout en soupirant contre celle-ci. C'est bon, je ne pouvais plus m'arrêter maintenant, même en entendant les commentaires des gens qui venaient de s'arrêter pour nous regarder. J'étais comme cela, éternelle joueuse, j'aimais en mettre plein la vue. C'est pourquoi je fis glisser une de mes mains jusqu'à sa verge bien tendue à l'intérieur de son slip et entreprit de caresser la partie sensible de son anatomie avec mes doigts... prononçant quelques paroles salace a son oreille.

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Scream

But you're so magnetic, magnetic ▬ Dire que j’étais un mec difficile à mettre dans son lit était le plus gros mensonge qu’on pouvait prononcer me concernant. Il ne m’en fallait pas beaucoup pour céder à la tentation, que la fille soit en couple (mais dans ce cas là je n’allais pas draguer en premier) ou non. Je profitais simplement de ce qui s’offrait à moi et j’avais souvent tendance à m’emporter trop facilement, malheureusement. Ce soir là, Lullaby agissait exactement de la manière sont il fallait pour faire tomber toutes mes défenses et l’alcool n’arrangeait pas mon cas. Le moindre de ses mots faisait frissonner mes muscles les uns après les autres et je m’impatientais comme jamais au fil des secondes. Fou ! J’allais devenir fou si cela n’était pas déjà fait. Corps à corps, une sorte de danse s’était mise en place entre nous et ce n’était en aucun cas les quelques étudiants qui passaient par là qui allaient nous couper dans notre élan. Pas des étudiants… mais si un professeur voyait ça, nous étions mal barrés. Cette pensée fut la seule et unique preuve de rationalité chez moi de toute la nuit. Je n’avais effectivement pas du tout envie de me faire virer de l’équipe de foot (ou même de l’université) parce qu’un surveillant nous aurait remarqués. C’est donc à contre cœur et avec beaucoup de difficultés que je fis en sorte de me décoller de la jeune femme avant de remonter mon pantalon et de ramasser son haut, lui expliquant vaguement pourquoi j’avais agis de la sorte tout en l’attrapant pour la porter comme une princesse dans les couloirs.

Grâce aux indications de l’italienne, je nous amenais jusqu’à sa chambre et refermais la porte d’un pied avant de déposer ma charge sur le lit le plus proche. La suite se passa tout naturellement, comme vous pouvez l’imaginer. Les habits finirent par terre les uns après les autres et je ne tardais pas à passer aux choses sérieuses, puis-ce que nous en crevions d’envie l’un comme l’autre. Bon sang… je tombais amoureux presque tous les soirs avant d’oublier ce que j’avais pu ressentir dès le lendemain, et je ne le vivais pas trop mal… aujourd’hui ne faisait évidemment pas exception à la règle. Je n’avais pas la moindre idée de ce qui se passait dans la tête de Lullaby, mais je peux vous dire qu’elle me rendait dingue avec ses petits gémissements et les griffes qu’elle me plantait dans le dos. J’en voulais chaque fois un peu plus, et même si tout cela n’aura duré qu’une demi-heure en raison de notre état à tous les deux, j’avais rarement été aussi excité (aussi vite). Nous remercierons l’alcool pour m’avoir fait mettre de côté le fait que je n’appréciais pas avec cette nana en temps normal et pour m’avoir fait découvrir que je pouvais en fait très bien m’entendre avec elle lorsqu’il s’agissait de sexe.

(Invité)

I wanna spend the night with you

Calliel & Lulla

Come with me tonight We could make the night last forever

Ma tête tournait et tournait sans jamais s'arrêter. J'avais trop bu ce soir et ce petit laisser aller me faisait faire n'importe quoi, comme m'offrir à ce mec que je n'aimais pas particulièrement en temps normal. Ce sportif à deux balles, Calliel. Un tombeur parmi tant d'autre, mais l'échange était tellement parfait que j'étais tout simplement incapable de le repousser. Nos corps connaissaient l'union parfaite, comme si j'avais été conçu pour ce mec, c'était trop étrange. Son souffle mélanger au miens, ses mouvements parfois doux, parfois brusque me faisait perdre la tête. C'est comme si lui et moi étions amoureux alors que ce n'était pas du tout le cas, nous faisions l'amour rien de moins … je lui donnais ce que j'avais de mieux de même pour lui, enfin je crois.

Monsieur, ayant peur de se faire prendre par un supérieur, m'avait laisser sur ma faim en quittant mon corps de façon précipité. Je ne comprenais pas vraiment le pourquoi du comment, mais me laissais aller dans ses bras sans rien dire. Il était fort si bien que je pouvais sentir ses muscles se tendre et se détendre sous le poids de ma charge. Lorsque nous fûmes enfin arrivé à ma chambre, nous reprîmes ou nous avions laisser un peu plus tôt. Son corps nu contre le mien. La sensation était trop bonne, son anatomie était juste parfaite pour moi. La bonne taille, la bonne grosseur … je lui était complètement soumise, si bien que j'avais oublier de lui foutre le préservatif à la gueule.

Notre échange fût bref, mais intense, très intense. C'était la première fois que je laissais un homme se répandre en moi. D'ordinaire, même si mes partenaires portaient des préservatifs, je ne les laissaient pas jouir en moi de peur que la capote perce et que je me retrouve enceinte sans le vouloir puisque je ne prenais pas la pilule. Dans ma tête de fille saoule, je venais de terminer mes règles donc il n'y avait pas de problème. Le hic c'est que j'étais en plein dans ma période d'ovulation …

Complètement épuisée, je vins m'installer tête contre son torse et me mit à le caresser doucement du bout des doigts, attendant sagement que Morphée vienne nous prendre pour ce qui nous restait de la nuit. « Tu es doué mon cher, vraiment, je n'aurais pas imaginer une tel chose de ta part. » Un petit rire m'échappa puis je relevai la tête pour venir l'embrasser. « Si tu te met un sac sur la tête, je crois que je pourrais coucher avec toi plus souvent. » Ma main vint caresser sa joue alors que je contemplais son visage. Il était séduisant, des traits fins et parfaitement dessiné. C'était la première fois que je prenais le temps de le regarder ainsi. Mais bon, à notre réveille il redeviendrait l'homme que je méprise tant … quel gâchis!

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