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T. SOLAL SHIRAZI ► toni mahfud

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Nom : SHIRAZI, son père est d'ascendance libanaise. Pas toujours simple de vivre avec un nom aux consonances arabes aux USA dans une ère post 2001. ◇ Prénom : TAHAR SOLAL ◇ Âge : 24 ans ◇ Date et lieu de naissance : 10 NOVEMBRE 1992, à Fort Wayne, Indiana ◇ Nationalité : américaine ◇ Orientation sexuelle : hétérosexuel ◇ Statut amoureux : célibataire ◇ Statut social : aisé ◇ Job étudiant : aucun ◇ Études majeures : Arts plastiques ◇ Études mineures : Arts visuels

Code:
T. Solal Shirazi - 24 ans - cinquième année - arts plastiques (M) & arts visuels (m)

Tahar Solal Shirazi
feat Toni Mahfud


GROUPE 1
La Lowell House s'est imposée d'emblée comme son premier choix dès qu'il a été question pour lui d'intégrer l'université. Sous ses dehors peu amènes et parfois brusques, Solal n'en reste pas moins quelqu'un qui trouve son exutoire dans l'art et dans l'expression artistique en général - ses choix d'orientations le prouvent d'ailleurs très nettement. Il peut passer des heures tout seul à se consacrer à un projet sans que cela le gêne.
GROUPE 2
La liberté promise par la Mather House est sans doute ce qui a le plus attiré Solal, en dehors des promesses artistiques de la Lowell. Après avoir été étouffé par une vie mouvementée, il aspire à une liberté complète; il est également quelqu'un de très ouvert et qui n'a définitivement pas froid aux yeux. Certains diront même qu'il a conservé une attitude un peu rebelle depuis son adolescence.

APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
De tout ce qu'il a pu traverser pendant ses cinq années à Harvard, c'est la prise d'otage qui a le plus pesé sur le moral et la santé psychologique de Solal. Confronté à la peur, à la vue du sang et à des cris durant l'épisode, il a du faire face au retour en force du traumatisme subit à la mort de sa mère, et qu'il avait complètement refoulé depuis ses six ans. Pendant quelques temps, il s'est complètement refermé sur lui-même et a même brièvement quitté Harvard le temps de quelques semaines. Il n'a reçut aucune blessure physique ni même été confronté au tireur, mais l'ambiance a rouvert des blessures dont il n'avait jamais pris conscience.

APRÈS LE TREMBLEMENT DE TERRE AU CHILI
Spring break 2016, voyage au Chili.
Solal ne se trouvait pas au Chili au moment du tremblement de terre, mais en Europe, où il avait décidé de prendre des vacances, loin d'Harvard. Il a donc vécu l'épisode en différé, et à travers le récit des étudiants présents au moment des faits. Il mentirait s'il disait qu'il n'était pas profondément soulagé de s'être trouvé très loin des problèmes, pour une fois.

TON ADMISSION À HARVARD
Dès qu'il fut en âge d'aller à l'université, la relation que Solal entretenait avec son père se tendit encore davantage. Face aux suggestions de plus en plus évidentes de Nader Shirazi d'envoyer son fils à Columbia, Solal opposa un refus aussi marqué de se rendre à l'endroit qui avait d'une certaine façon été la cause de ses problèmes. C'est en visitant le campus d'Harvard qu'il a décidé de venir faire ses études, une décision mûrement réfléchie qui n'a cependant pas forcément plu à Nader. Pour couper court aux volontés paternelles, Solal a décidé de prendre une année sabbatique pour visiter l'Europe avant d'entrer à l'université, ce qui ne satisfit pas vraiment son père. Contrairement à ce que ce-dernier avait prétendu, l'année sabbatique en Europe ne joua pas en défaveur de Solal lors de son entretien, au contraire. En réalité, avec un bulletin scolaire sans tâche et jouissant malgré lui de la popularité de son père, Solal n'a pas rencontré de véritable obstacle à son admission; au cours de l'entretien, il a même eu l'occasion d'évoquer différentes rencontres et anecdotes en Europe au cours de la conversation.

TELL US MORE

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle sultana. et j'ai 21 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à forum de pub. Il est awesome T. SOLAL SHIRAZI ► toni mahfud 152426858 alors j'ai décidé de m'inscrire OU Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de pseudos de vos comptes actuels (+ maison). J'utilise Toni Mahfud comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par sweet disaster. Je fais environ 400 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé/scénario crée par Pseudo du créateur.

Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)

Je recense mon avatar
si personnage inventé:  
[/font]
Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u7720]►[/url] ► <span class="pris">TONI MAHFUD</span> ♦️ “ T. Solal Shirazi”[/size]

si scénario:

Code:
[size=10][url=lienversvotreprofil]►[/url] [url=URL DU SCÉNARIO ICI]►[/url] <span class="pris">AVATAR</span> ♦️ “ Pseudo ”[/size]

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Après une heure entière pendant laquelle seule la voix calme et tranquille de Nader Shirazi avait rempli la boutique Barnes & Noble de New York, à l’angle de la 5e avenue et de la 46e rue, le ronronnement de ses mots finit par se tarir, et comme à l'accoutumée, un long silence, à la fois émerveillé et captivé, s'ensuivit. Derrière son pupitre, Nader Shirazi refermait calmement le livre, au moment précis où les conversations débutèrent dans un mugissement sonore. Il porta son regard tout au fond de la pièce, loin derrière des rangées entières d’auditeurs déchaînés, là où son fils, Solal, était nonchalamment appuyé contre une étagère. Ce-dernier ne répondit pas au sourire tranquille qu’il lui adressa, mais Nader n’eut guère le temps de s’en préoccuper. Les premières mains s’étaient déjà levées dans un bond extatique, dans l’espoir de pouvoir poser l’une des milles questions qui brûlaient les lèvres de leurs propriétaires. C’était toujours le même cirque, songea platement Solal avec un certain mépris. Pendant que son père répondait aux invariables questions portant sur son infortuné destin, Solal estima qu’il avait accordé assez de son temps à son paternel, et tourna les talons sans se retourner. Il fendit la foule qui s’était déjà massée derrière les rangées d’auditeurs bondées, attendant tous avec impatience le début de la séance de dédicace, et se dirigea vers le rez-de-chaussée. Des silhouettes en carton, des posters, des affiches de publicité annonçaient, tout le long des trois étages de la librairie new-yorkaise, la sortie en fanfare du sixième livre de Nader Shirazi. Solal se demanda comment cela fonctionnait encore, après toutes ces années, après toutes ces révélations.
Cela faisait maintenant quinze ans que Circonstances avait fait son apparition sur les étagères des librairies. Nader Shirazi avait toujours répété à qui voulait bien l'entendre que les circonstances ne définissaient pas votre vie; ce qui comptait, en réalité, c'était ce que vous décidiez d'en faire. Elles ne constituaient en fait que le point de départ, le coup d'envoi, la parade d'entrée. C’était dans ce premier livre qu’il racontait avec émotion sa rencontre avec celle qu’il continuait d’appeler « l’amour de sa vie », une étudiante en sociologie qui s’appelait Lara, Lara Allen, à l’époque où lui-même était un aspirant journaliste perdu entre les murs de Columbia. Il évoquait ensuite leur mariage rapide, suscitant la désapprobation des Allen, puis leur emménagement à Fort Wayne, Indiana, où Nader avait trouvé un travail de pigiste payé une misère pour un journal local. C’était là que le scénario se densifiait. Il y avait eu des tensions, et Lara avait perdu un premier bébé, à trois mois du terme, en tombant d’un escalier. Le virage fatal. L’état de Lara avait empiré ; le couple Shirazi vivait désormais au gré des « phases » qu’elle traversait – des périodes calmes et tranquilles, où ils pouvaient retrouver les conversations animées qu’ils avaient ensemble du temps de Columbia, et des périodes compliquées, où un rien poussait Lara dans une colère noire, des crises de larmes, des cris suraigus.
C’était précisément à ce moment que le lecteur était bouleversé par la situation de Nader ; lorsqu’il évoquait la naissance de son fils Solal avec émotion, la joie de Lara, leur bonheur qui semblait enfin retrouvé. Venait ensuite l’épisode qui constituait le point d’orgue, huit mois et demi plus tard, avec la crise dans le supermarché, quand Nader lui avait demandé où était leur bébé, et qu’elle était entrée dans une crise d’hystérie pendant laquelle elle avait hurlé à s’en briser les cordes vocales qu’elle n’avait pas d’enfant. Solal, lui, se trouvait alors dans les bras d’un caissier bienveillant qui l’avait trouvé au détour d’un rayon, mais ce n’était pas là-dessus que le lecteur se focalisait, non, le lecteur était programmé pour ressentir la détresse de Nader, sa joie de retrouver son fils mais son désemparement face à la situation de Lara qui lui échappait. Dans les jours qui suivirent, Lara avait été internée, et Nader avait dû s’occuper seul de Solal. Il décrivait leur quotidien à deux, ses visites à Lara, Solal qui parfois réclamait sa mère, mais n’était pas encore assez grand pour se satisfaire d’une explication avec des mots. Pendant cinq ans environ, c’était ainsi que la vie de famille des Shirazi s’était construite – de façon bancale, de l’avis de Solal –, avec Lara qui alternait les séjours en hôpital psychiatrique et les tentatives de traitement destinés à canaliser des élans maniaco-dépressifs particulièrement violents. Nader faisait alors part de ses questionnements, de ses interrogations sur le bien-fondé de la chose, et le lecteur ne pouvait qu’abonder dans son sens. Enfin, il y avait le dernier acte, digne d’une tragédie. Une dispute qui éclatait, une dispute de trop, une crise de trop ; Lara qui s’était jetée sur Nader, une fois de trop, ce-dernier qui avait tenté de la contrôler, une fois de trop. Et puis finalement une chute, un accident, le rebord des éléments de cuisine, une mare de sang. Le livre se refermait sur Nader entendu par la police, un corbillard, et une belle-famille qui avait crié au meurtre. Circonstances avait été construit comme un prologue à ce qui devait suivre : le récit, dans le tome suivant, du procès et de l’instruction judiciaire, puis dans celui d’après, son passage en prison. Le quatrième avait marqué les retrouvailles avec son fils. Ce qu’il était advenu de Solal entre le premier et le quatrième tomes ne faisait pas partie d’un livre, et ne le ferait jamais. C’était la décision qu’il avait prise, quand il avait dix ans sans doute. Au fond, Nader s’en était très peu préoccupé, c’était le sentiment que Solal en avait. Précipité à l’âge de six ans et demi chez ses grands-parents maternels qu’il ne connaissait pas, traité à merveille mais constamment interrogé sur les hypothétiques motivations de son père, réelles ou fantasmées par les Allen, c’était ça, son quotidien, et ça l’avait été pendant environ cinq ans. Au bout d’une douzaine de mois, quand les Allen avaient réalisé qu’ils ne tireraient rien de confondant de la part de leur petit-fils, Solal eut le sentiment que la pression se relâchait autour de lui, et qu’ils s’en étaient quelque peu désintéressés ; comme si, au final, leur nouveau gadget révolutionnaire n’avait pas répondu à leurs espérances. En fait, Solal avait été beaucoup plus éprouvé par la mort de sa mère que par son existence. Ce n’était même pas d’un point de vue émotionnel qu’il en avait été perturbé. C’était simplement parce que sa mort avait précipité sa vie dans un tourbillon. De Lara – c’était ainsi qu’il l’avait pratiquement toujours appelée – il ne se rappelait vaguement que d’une personne roulée en boule dans un canapé, enroulée dans une couverture même l’été, d’une porte à l’étage qu’il ne fallait pas tenter d’ouvrir, et de pleurs raisonnant depuis la salle de bain. Nader, qui avait fini au terme des cinq ans par gagner en appel, retrouva la liberté et Solal ne s’opposa pas à ce qu’il réclame sa garde – qu’il obtint. Dans les deux ouvrages qui avaient suivi sa sortie de prison, Nader s’appliquait à vendre un quotidien « entre hommes », un duo de choc, une complicité filiale retrouvée ; il s’amusait à décrire des repas qu’il ne réussissait pas toujours, un adolescent chahuteur, les affres du retour à « la vie normale ». La vision de Solal était très différente ; il se rappelait du déménagement dans les beaux quartiers sitôt que Circonstances était devenu un best-seller, sa difficulté à s’intégrer dans son nouveau collège, les rumeurs dans son dos, les repas toujours froids, brûlés, oubliés, ou parfois les trois à la fois. Il se rappelait de son père trop occupé à écrire pour se rappeler de venir le chercher. Il se souvenait aussi de la fois où il s’était rasé la tête façon Cherokee, de celles, innombrables, où il avait fait le mur, de celle aussi où il était revenu tatoué. Il avait tout fait, dans l’espoir que Nader, un jour, finisse par se rendre compte entre deux chapitres où il racontait les faits et gestes de son fils, qu’il n’était pas un père parfait, et que Solal, simplement, n’en pouvait plus.
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bienvenue sur ILH T. SOLAL SHIRAZI ► toni mahfud 152426858
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Il est sexy celui là... :P
Bienvenue ! Et bon courage pour la rédaction de ta fiche ^^
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bienvenue par ici et bonne chance pour ta fiche. :heaart:
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Bienvenue T. SOLAL SHIRAZI ► toni mahfud 3850463188 n'hésite pas à rejoindre la WINTHROP HOUSE, meilleure maison exclusive que pour les beaux mâles T. SOLAL SHIRAZI ► toni mahfud 1f4aa T. SOLAL SHIRAZI ► toni mahfud 1924519849
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Bienvenue T. SOLAL SHIRAZI ► toni mahfud 152426858
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Toni T. SOLAL SHIRAZI ► toni mahfud 208576344

Bienvenue. :heaart:
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Très bon choix T. SOLAL SHIRAZI ► toni mahfud 2109348208
Bienvenue parmi nous & bon courage pour ta fiche Vic
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toni T. SOLAL SHIRAZI ► toni mahfud 4205929361 réserve-moi un lien T. SOLAL SHIRAZI ► toni mahfud 3997999705
la bienvenuuue T. SOLAL SHIRAZI ► toni mahfud 2109348208
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