Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityMlle. Altman est appelée à la barre ! (Abslan) - Page 2
Le Deal du moment :
LEGO Icons 10331 – Le martin-pêcheur
Voir le deal
35 €


Mlle. Altman est appelée à la barre ! (Abslan)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Mlle. Altman est appelée à la barre !


La grande chanteuse française Edith Piaf chantait "La Vie en Rose" mais il faut se rendre à l'évidence. Dans l'existence de chacun, subsiste des zones grisonnantes qui façonnent la personnalité, modèlent l'humain et instaurent nos peurs les plus profondes. En ce qui concerne la Dunster, ces zones seraient carrément noires que cela ne me surprendrait guère...

" Ne t'en fais pas va, je vais bien ! Tu en fais déjà bien assez. "

Quelques mots pour la rassurer, mais qui dissimule également une vérité récente. Je vais bien ? Je ne saurais le dire, mais le fait est qu'il y a peu, j'ai reçu un appel du médecin de ma mère me signifiant que son état s'était légèrement aggravé. J'ai hésité à en parler à ma petite femme, n'ayant pas encore pris de décision si oui ou non, j'allais sécher une semaine de cours, voire deux, pour rendre visite à maman. Dieu sait que ça énerverait Absolem si elle savait que je cachais de telles choses, mais je ne peu m'en empêcher, toujours la faire passer en priorité, parfois à mon propre détriment. C'est alors que, difficilement, la Dunster commença à me conter une des zones sombres de son passé qui m'était encore inconnu. Plus l'histoire avance, plus les sanglots de ma petite femme s'intensifient et elle doit dorénavant sentir ma rage se manifester par une étreinte de sa main dans la mienne désormais beaucoup plus forte. Finissant son récit, je m'aidais de mes deux pouces pour essuyer les chaudes larmes dégoulinant sur ses joues tout en lui adressant un sourire. Nulle honte ne doit émaner d'elle, nul gêne ne doit se faire sentir, mon regard ne changera absolument pas après ces révélations. Au contraire, posant mon front contre le sien, je lui adressais ces quelques mots :

" Tu es impressionnante princesse ! Tu as surmonté une telle épreuve et as continué de vivre pour en arriver là où tu es désormais. Tu ne t'es pas laissé détruire, tu t'es battue et ça démontre une force de caractère folle. "

Elle est forte, plus forte qu'elle le croit. Quand je ne vais pas bien, elle est un des piliers sur lesquels je peux me reposer même si elle ne s'en rend pas forcement compte. Nous sommes rester ainsi plusieurs minutes, front contre front, yeux dans les yeux, mais une question me taraudais depuis quelques instants:

" Et ce mec... Ce monstre... Il est advenu quoi de lui ? "


FICHE ET CODES PAR ILMARË
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
La rousse l'avait enfin dit. Elle qui avait pourtant vu un psychologue ces deux dernières années sans jamais réussir à exorciser ses démons. Ce soir, un poids s'était envolé de sa poitrine encombrée. Elle se sentait plus légère mais gênée. Elle ne voulait pas que le regard de son homme se transforme, qu'il soit à son tour dégoûté. Absolem était en larmes mais au fond, elle était soulagée. Quand les pouces de son homme s'étaient glissés sous ses yeux pour essuyer ses larmes, la demoiselle avait esquissé un sourire embarrassé. Alan n'avait pas changé, sa réponse était inattendue, l'étudiante n'avait jamais pu imaginer que son éventuel petit ami puisse un jour lui parler de cette façon. Surtout pas après une telle confession. Absolem reniflait fort, hochant positivement de la tête. Elle était d'accord avec lui, elle était forte. Et même si jamais elle faiblissait, Alan était désormais là pour la relever. Après quelques minutes l'un contre l'autre, le blondinet avait interrogé la rousse sur son agresseur. " Il est toujours vivant, c'est un fils de riche, il vit à Boston en plus. Le hasard se fout de ma gueule je trouve " déclara-t-elle. Effectivement, Absolem n'avait pas uniquement fui après sa tentative de viol. Elle avait foncé dès le lendemain à l'accueil de l'hôtel pour noter le nom de ce fumier, le pistant depuis ce jour tout en songeant à une vengeance. Cependant, elle n'était jamais passée à l'action, pas encore. C'était pourtant une des choses qu'elle voulait faire avant de crever. " Merci d'être toujours là en tout cas... Par contre, je suis pas contente que tu aies fouillé... MAIS ! Je te pardonne... " signala-t-elle en posant sa tête sur les genoux du Mather. La blonde était paumée et vidée de toutes ses forces. " Parle moi de toi... Ta mère va bien ? Tu veux toujours me la présenter ? " prononça-t-elle assez fébrilement, craignant toujours autant de blesser son homme en parlant de ce sujet. 
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Mlle. Altman est appelée à la barre !


" Attends... Ce taré est ici, à Boston ? "

Ma mâchoire se serre instantanément, mes muscles se crispent et désormais, il m'est presque impossible de dissimuler mon état suite à cette réponse. J'essaye même de fuir le sofa le temps de me calmer, mais Absolem me retient par le bras, me faisant signe de revenir me blottir près d'elle. Elle a très bien lu en moi et comprend parfaitement mon sentiment actuel. Dans ma tête, tout se bouscule, que ferais-je si un jour, je venais à croiser ce type dans la rue ? Des images de moi plaçant un coup de boule allongeant cet enfoiré prennent place dans mon esprit, assénant coup après coup, le défigurant salement. Je ne pensais pas être capable de telles pensées violentes et si moi, je le peux, ma chérie le peut également...

" Si tu croises à nouveau ce gars-là... Promets-moi de ne pas faire de bêtises Abso'. Promets-le-moi ! Appelle-moi si tu recroises sa route ! "

Mais je n'eus aucune réponse de sa part, elle préféra recentrer la discussion sur ma personne, me rappelant à l'ordre concernant le fait de fouiller le téléphone de sa petite-amie. Affichant une mine coupable, je vins lui offrir un bisou sur sa joue encore humide quand elle me signala que j'étais pardonné avant d’accueillir sa tête sur mes genoux. Il semblerait que ce soit à mon tour de vider mon sac et après toutes ses confessions, je peux difficilement lui refuser, mais me livrer, c'est aussi avouer que je ne dis pas tout à ma petite femme... Passant mes doigts dans sa longue chevelure rousse, je me confiais à celle qui compte le plus pour moi :

" Plus que te la présenter, c'est surtout elle qui veut te rencontrer depuis que je lui ai dit dernièrement que tu es ma petite-amie. Mais récemment... On m'a prévenu que son état n'aller pas en s'améliorant... Je ne sais pas trop quoi faire, même si ça ne lui plaira pas, je pense à sécher les cours 1 ou 2 semaines pour aller lui tenir compagnie. "



FICHE ET CODES PAR ILMARË
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Absolem avait longuement hésité à apprendre la présence de son agresseur ici, à Boston. Elle ne voulait pas que son homme se mêle de cette histoire. C'était trop tard désormais. Alan s'était crispé, haussant le ton, probablement prêt à la venger. Alors qu'il avait tenté de fuir pour ne pas exploser à ses côtés, la jeune femme l'avait difficilement retenu. Elle avait besoin de lui, de sa tendresse et de son attention. Son crétin de violeur ne méritait pas qu'on s'intéresse à lui. Absolem avait pourtant une rage immense en elle qu'elle rêvait d'extraire sur ce gosse de riche. Si elle venait à le croiser, elle ne savait pas encore comment elle réagirait. Elle pourrait très bien rester pétrifiée comme se jeter sur lui et lui foutre la gueule en sang. Alan l'avait par la suite supplié de ne rien faire si elle était amenée à le croiser ou bien à le prévenir. La rouquine n'avait pas su lui répondre et était restée muette. Elle ne voulait plus penser à son visage, son parfum, son érection et son poids sur son corps. Elle opta pour un autre sujet qui ne la concernait pas, ou pas directement, la mère d'Alan. Absolem bénissait cette femme, grâce à elle, elle avait le meilleur petit ami du monde. À présent, elle souhaitait de plus en plus la connaître, autant que sa propre mère. Malheureusement, d'après le Mather, l'état de Madame Landrum s'était encore fragilisé. La Dunster s'était aussitôt relevée des genoux de son homme, affichant une moue compatissante face à cette mauvaise nouvelle. " Chéri... Je suis désolée... " murmura-t-elle en caressant son visage d'ange de son pouce " Je suis honorée que tu lui aies dit pour nous deux... Et je t'accompagnerais la voir, je pense changer de cursus prochainement, alors rater une ou deux semaines ne me fait pas peur... " confia-t-elle avant d'embrasser la commissure des lèvres du blondinet, un sourire conquis de par cette soirée confession. " Je suis claquée, tu viens on va dans mon lit ? " proposa-t-elle sans attendre de réponse puisqu'elle tira le bras de son bien aimé pour l'attirer dans sa chambre de petite princesse. La rouquine avait ensuite soulevé sa couette pour s'enfouir en dessous, attendant que l'élu de son coeur vienne réchauffer le pieu. " Dépêcheeee toi !!! " cria-t-elle en manquant de s'étouffer.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Mlle. Altman est appelée à la barre !


C'est indéniable, ma petite princesse israélienne a quand même un sacré caractère. Il faut voir avec quelle détermination elle a agripper mon bras afin de m’empêcher de fuir et de me ramener près d'elle. Je sais pertinemment que si elle venait à recroiser un jour, son agresseur, son tempérament pourrait aboutir sur une bêtise aux conséquences plus ou moins grave. C'est aussi pour cela que son absence de réponse ne me plaît guère, mais après toutes les confessions dont elle m'a fait part, je passerais outre pour cette fois.

Avec tout autre personne, il m'est difficile d'aborder l'état de ma mère, mais Absolem est bien la seule qui parvient à faire en sorte que je me livre sur ce sujet inquiétant. Inquiétant est même un terme un peu léger ces derniers jours, le marchand de sable ne passe apparemment plus vers chez moi et atteindre le monde des rêves est très compliqué quand je ne cesse de penser à Maman. Passer du temps avec mon amoureuse est un des meilleures remèdes pour me changer les idées, son pouce glissant sur mon visage a quelque chose d'apaisant, de réconfortant, me perdre dans son regard et ne penser à rien d'autre amoindris mes soucis. La mère ne sera pas ravie de me voir débarquer en pleine période scolaire, mais il faut que je la voie, lui présenter Abso' l'apaisera peut-être.

Tel un enfant qu'on emmène au lit, la Dunster avait décidé que la soirée confessions était arrivée à son terme et m'avait saisis par le bras pour me mener dans son "chez elle" et alors que la demoiselle en pyjama s’emmitouflait dans sa couette, je constatais que pour ma part, je devrais affronter la fraîcheur nocturne simplement en sous-vêtement. " Je vais avoir besoin de toi pour me réchauffer ! ", lui signifiais-je en prenant place dans le nid douillet de la rousse. Prenant place, je fis comprendre d'un signe de tête à ma dulcinée de se rapprocher de moi afin que je puisse profiter de sa chaleur corporelle.

" Allez viens me voir là ma belle. "

FICHE ET CODES PAR ILMARË
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)