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Carter ☼ Imma busy bee

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Plus le sac est léger, plus ça craint. Et là, elle le porte d'une seule main, son sac de courses pour la semaine. Il a fallu, comme toujours, ne pas quitter de l’œil son livret de compte, et faire la liste en conséquence : sept boîtes de nouilles à 40c pour les midis, et pour le soir, elle a pu se permettre d'acheter quelques légumes pour accompagner son riz. Au pire, si un soir elle a trop faim, elle peut toujours essayer de négocier avec son manager et gratter un repas ou deux à la brasserie. Oui, il s'est toujours montré plutôt cool avec elle : elle essaierait, quitte à passer pour une dalleuse. Mary garde le rythme tandis que la porte de son immeuble se rapproche ; elle ne doit pas perdre de temps, son service commence dans moins d'une heure et elle doit se faire à manger. Ça fait bien une semaine qu'elle pense à mettre de l'ordre dans ses cours de droits sur la propriété intellectuelle, mais on dirait que cette fois encore, elle va devoir reporter. Elle cale son sac entre ses jambes et s'apprête à pousser sur le bouton de l'interphone quand une voix derrière elle prononce joyeusement son prénom. Mauvais timing, et pourtant un peu de bavardage insouciant lui aurait fait plaisir, d'autant plus qu'elle croit deviner à qui la voix appartient. Elle revêtit son plus beau sourire et se retourne vers son interlocutrice, s'apprêtant déjà à se congédier.

@Carter E. Marriott-W. Carter ☼ Imma busy bee 2511619667  
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Imma busy bee — Tu sors, tu essayes de faire quelque chose de tes journées mais, ce n’est pas facile quand on pouvait se mettre à pleurer n’importe quand comme toi. Tu pleurais de plus en plus et c’était juste horrible, franchement tu te demandais quand tu avais été une loque pareille et sérieusement, tu ne savais pas. Tu avais l’impression que tu ne pourrais jamais remonter la pente, mais, avec les autres tu souriais, bêtement, simplement jusqu’à qu’on te pose des questions sur ton ancien couple alors là, tu sombrais comme une idiote. Tu traînais, tu regardais un peu partout avant de froncer les sourcils en voyant une femme que tu connaissais, une femme que tu avais aidés de nombreuses fois et que tu comptais encore aider. Tu espérais que vous étiez amies enfin dans ta tête ça paraissait tellement logique mais, malheureusement ce n’était pas le cas pour tout le monde. Tu criais son prénom avant de dépêcher pour l’approcher, pour lui parler parce que ça faisais un moment. « Tu vas bien ? Tu rentres chez toi, je peux venir avec toi ? » Parce que tu étais chiante sur les bords et puis elle semblait presser alors autant prendre la direction de chez elle tout en parlant non ? Puis une excuse pour toi de voir où elle pouvait vivre, tu étais tellement curieuse de nature que voilà, ça tombait sur elle cette fois-ci.
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Carter a une mine terrible. Ses yeux humides et cernés contrastent avec son sourire apparent comme le ferait une tâche d'encre sur une page blanche. Elle semble pourtant contente de voir Mary, comme toujours finalement, et la brune se demande souvent pourquoi. Cette fille fait toujours preuve d'une gentillesse déconcertante à son égard, et elle ne peut rien lui donner en échange que des mercis répétés, ce qui la met souvent dans l'embarras. Elle y pense de temps en temps et culpabilise presque, mais se résonne en se rappelant que mademoiselle Marriott-W. est une Quincy, que c'est dans sa nature, et que si quelqu'un lui offre de l'aide de façon si désintéressée tel que Carter le fait, elle ne peut qu'accepter. Cela fait quelques semaines que la Londonienne n'a pas croisé sa bienfaitrice, et bien que sur son visage, quelque chose cloche, elle n'ose rien dire. Peut-être a-t-elle cassé avec son copain ? Mary reste tellement peu sur le campus qu'elle n'est jamais eu courant des potins, mais c'est sa première hypothèse. "Tu vas bien ? Tu rentres chez toi, je peux venir avec toi ?" Ah. Merde, vraiment pas le moment. Déjà, elle a pas le temps, et ensuite, elle n'a pas rangé ni fait le ménage depuis quelques jours... Voir semaines. Mais elle n'a pas le temps de trop réfléchir, et la Quincy a l'air dans un sale état. "Y'a pas grand chose à voir... Mais ouais, suis moi". Elle lui adresse un petit mouvement de tête vers l'avant, puis tourne sa clef dans la serrure. Le hall d'entrée est sombre, mais pas si insalubre que ça : en fait, ça empire au fil des étages. Mary s'engage dans les escaliers en s'assurant que Carter la suit, puis, après leur ascension, ouvre sa porte du cinquième étage. "Fais comme chez toi. Si tu veux t'asseoir, tu peux juste pousser les cahiers sur le côté" Lui dit-elle en désignant du doigt le petit canapé récupéré dans une brocante. Mary étale ses courses sur son petit plan de travail dans le coin cuisine et commence le rangement.

@Carter E. Marriott-W.  :bummy:  
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Imma busy bee — Elle sourit pour faire semblant que tout allait bien dans sa vie mais, elle savait qu’elle était comme un livre ouvert, qu’il était bien trop facile de voir que ce n’était qu’une façade, qu’une façon de montrer qu’elle allait bien pour ne pas avoir de questions. Mais elle allait pas si bien que ça, sauf qu’elle essayait comme elle pouvait de ne pas y penser, c’était comme ça, elle devait continuer sa vie et oublier ce qu’elle avait été capable de faire, elle devait continuer de croire que c’était pour la bonne cause même si ce n’était pas vrai. Enfin elle oubliait rapidement tout ça quand elle croisait Mary et sans attendre, elle allait vers tout en prenant la parole, s’imposant encore une fois dans sa vie et peut-être qu’elle avait pas le temps ou quelque chose comme ça mais, Carter elle se rendait pas compte de ça, elle était un peu trop à l’Ouest pour ça, elle voulait voir où elle vivait et elle irait. « Tu sais bien que je te jugerais pas sur ça. Enfin je te jugerais jamais. » Carter elle s’en foutait de savoir s’il n’y avait rien à voir, elles étaient amis non ? Donc elle ne jugeait pas, elle se doutait bien que ça devait être différent de sa colocation mais, qu’importe, tout le monde n’avait pas les mêmes moyens. Elle regardait autour d’elle sans avoir le moindre d’avis, elle ne s’attendait à rien, elle n’avait imaginé où Mary vivait, elle avait juste envie de le découvrir. Elle était un peu choquée de voir comment elle vivait, où elle vivait mais, elle comprenait, elle ne jugeait pas et elle ne la regardait pas avec pitié. C’était sûrement une chose que devait détester Mary alors elle ne le faisait pas, elle regardait juste autour d’elle. « C’est pas compliqué de vivre ici ? Et tu sais si tu as besoin je peux toujours t’inviter dans ma chambre pendant un moment. » Elle ne disait ça comme une amie à une amie et pas comme la petite Quincy qui voulait aidé le monde, Mary était comme tout le monde, elle avait aussi besoin de confort, d’être dans un autre endroit que celui-là puis elle voyait ses courses, elle secoua la tête. « Sérieusement Mary c’est ça que tu vas manger cette semaine ? Tu fais à peine une journée avec ça. » En tout cas, elle, grosse mangeuse qu’elle était mais, elle irait lui prendre d’autres trucs quitte à les ramener de force ici, tant pis. Elle refusait de laisser son amie vivre comme ça, elle ne le supportait pas et c’était plus fort qu’elle d’aider les autres, c’était dans sa nature.
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Du riz, yay. Dans l'armoire de gauche... Ah, il reste l'emballage précédent. Non, vraiment, il faut qu'elle range. Il n'y a pas de relâchement, c'est juste qu'elle n'a pas le temps. Mary lève les yeux vers sa camarade. Vraiment bizarre, aujourd'hui. C'est pas comme si elle la connaissait beaucoup, mais la Quincy a l'air particulièrement désorientée, et ce n'est pas simplement l'état douteux du taudis qui la met dans cet état. "Tu sais bien que je te jugerai pas sur ça. Enfin je te jugerai jamais". Mary acquiesce, gênée, en entendant cette phrase. Trop de gentillesse. A son arrivée à Harvard, Mary a d'abord rejeté les approches des personnes dans son genre : la Londonienne avait souvent l'impression que les actes soit disant "altruistes" des Quincy étaient en fait loin d'être désintéressés, et qu'ils cherchaient, en lui proposant de l'aide, à améliorer leur propre image d'eux-mêmes. C'était vrai, pour la plupart : mais pas pour Carter. Elle est vraie, concernée, impliquée dans sa dévotion, si bien que Mary se demande si elle ne se fait pas manipuler, de temps en temps. Les mauvaises personnes logent autant à Harvard qu'ailleurs, voir même plus, et si les Quincy semblent avoir un don limite flippant pour traquer et trouver les "petites cendrillons" dans le genre de Mary, certains membres d'autres maisons ont aussi le chic pour trouver des âmes fragiles à malmener. "C’est pas compliqué de vivre ici ? Et tu sais si tu as besoin je peux toujours t’inviter dans ma chambre pendant un moment". Mary referme le placard et se retourne vers son interlocutrice, mais celle-ci enchaîne : "Sérieusement Mary c’est ça que tu vas manger cette semaine ? Tu fais à peine une journée avec ça". La brune roule des yeux, tout en rejoignant le coin salon où elle s'accroupit et range quelques affaires. Il lui reste un petit quart d'heure avant de filer au travail. "Eh, c'est pas tes affaires.". Elle sourit et tapote le coussin à côté d'elle, sur le canapé. "Assieds-toi. C'est moi qui mange pas beaucoup et pourtant c'est toi qui a l'air morte, là. Y'a quoi ?". Mary est assise en tailleur à un petit mètre du canapé, elle ramène un classeur sur ses genoux et classe les feuilles, en espérant réussir à inverser les tendances : aujourd'hui, Carter n'a vraiment pas besoin de s'inquiéter à son propos.

@Carter E. Marriott-W.  Carter ☼ Imma busy bee 2474380249
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Imma busy bee — Elle sourit, elle essayait vraiment d’être celle que tous les autres avaient l’habitude de voir, elle donne le change du moins elle essaye et c’est vraiment compliqué pour elle, surtout dans cette épreuve. Cacher ses yeux rougies par les larmes, laissait un sourire sincère se dessiner sur ses lèvres, se battre contre l’envie de retourner vers lui. Ouais, vraiment pas simple tout ça mais, elle essayait de faire avec, elle réussissait pour le moment, c’était clairement plus facile en fuyant tout le monde en faisant en sorte de ne croiser personne sauf qu’aujourd’hui ce n’était pas le cas. Alors elle mettait son histoire de côté pour passer un peu de temps avec Mary, elle était une amie à ses yeux et elle était juste sincère, honnête avec elle. Elle ne faisait rien par pitié parce que déjà elle détesterait qu’on lui fasse une telle chose, elle voulait juste l’aider même un petit peu. Tant qu’elle pourrait rendre sa vie un peu meilleur, c’était le principal et tant pis si Mary ne la voyait pas comme une amie, elle ne serait clairement pas vexée. C’était sûrement ça son plus grand défaut, donner facilement son pardon aux autres, passer à autre chose comme ci de rien était alors que forcément elle finissait blesser. Peut-être qu’elle devrait changer, qu’elle devrait devenir une connasse sans cœur. Elle grimaça doucement en imaginant sa vie si elle n’était pas comme ça, ok passons. Jamais, ô grand jamais elle ne pourrait devenir comme ça. « Depuis quand ça m’arrête ça ? Que ce soit mes affaires ou pas, bien sûr que je vais m’en mêler. » Et elle laissait un faux sourire s’entendre, pour la forme, pour montrer qu’elle allait bien, que tout allait bien dans le meilleur des mondes. Puis forcément s’installant à côté d’elle, elle perdit le sourire face à sa question, donc on arrivait autant à lire en elle ? Parce que Mary n’était pas le genre de personne qui la connaissait bien, elle n’était pas Oliver ou Féline. Elle était juste une amie, pas assez proche pour bien la connaître et pourtant, elle avait réussie à comprendre. Avec son attitude, ça ne devait pas être si étonnant que ça. « Pourquoi il devrait y avoir quelque chose ? Des fois, y’a des jours sans et c’est le cas. » On ne pouvait pas trouver pire mensonge que ça mais, parler d’elle, elle n’en était clairement pas capable. Elle ne voulait pas alors forcément elle fuyait la conversation comme elle le pouvait.
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Mary griffonne des numéros de page en bas de ses cours. Ses yeux font des aller-retours entre sa main droite occupée à écrire et la Quincy aux yeux explosés. " Pourquoi il devrait y avoir quelque chose ? Des fois, y’a des jours sans et c’est le cas". Lol. Ce voile de confusion sur son visage, puis cette réponse plate... C'est clairement un mensonge : Mary n'a jamais vu Carter dans cet état. Avec elle, il ne semble justement jamais y avoir de jours sans. C'est d'ailleurs sûrement pour cette raison qu'elle l'a abordée, au lieu de tracer sa route dans l'espoir de ne pas être reconnue : peu habituée à perdre la face, Carter se serait surestimée sur sa capacité à cacher ses tracas, se dit Mary.  "Arrête. Faut que tu lâches prise. On a tous le droit, de temps en temps, même toi". Honnêtement, elle a peu confiance en la phrase qu'elle vient de prononcer ; convaincre une Quincy de changer toute sa perception du monde en deux minutes chrono, voilà un challenge qu'elle ne s'est pas vu s'octroyer. Et pourtant, Carter est sur son canapé, plus K.O. tu meurs, alors que Mary doit quitter le studio dans moins de dix minutes. Mais bon, c'est Carter, elle lui a filé pas mal de coups de main, elle se doit d'être là pour elle. Mary la fixe un instant, essaye de faire passer un peu de réconfort dans son regard. A Londres, jamais elle n'aurait prêtée attention à une fille comme Carter, petite miss parfaite en apparence, et c'est maintenant qu'elle se rend compte qu'elle avait tord. Même si elle est emmerdée, elle préfère arriver en retard au travail et avoir apporté de l'aide à cette fille. Elle lâchera pas l'affaire.
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Imma busy bee — Elle sortait un mensonge, plus que nul en faite, mais elle ne savait pas quoi dire d’autre. En réalité, elle ne se voyait même pas parler de son histoire avec Mary ou du moins, elle ne se voyait pas pleurer devant elle parce que c’était plus que pathétique. Elle était réellement pathétique depuis quelques jours, en même temps c’était de sa faute. Uniquement de sa faute, mais elle avait cru bêtement que les choses seraient différentes entre eux, qu’il accepterait au moins de toujours lui parler, bien que ce n’était pas le cas. Il ne voulait plus lui parler, il voulait limite la sortir de sa vie du moins elle avait cette impression, bien qu’ils avaient été pendant des années meilleurs amis. Elle soupira pour montrer que cette remarque était de trop, qu’elle n’avait pas envie de lui répondre ou quelque chose du genre, mais elle finit quand même par le faire. Elle finit par ouvrir la bouche pour révéler ce qu’il se passait dans sa vie, pourquoi elle était comme ça. « Je savais pas où j’en étais dans ma relation donc, j’ai finis par rompre avec mon copain. » C’était trop difficile de dire ex, vraiment trop pour elle. « Enfin mari puisqu’on est mariés maintenant. Bref, c’est compliqué et je pensais qu’il allait comprendre, qu’il voudrait au moins qu’on reste en contact, mais non. Je sais que c’est idiot puisque c’est moi qui a mis fin à tout ça, mais ça fait mal dans le fond. » Elle haussa les épaules ne sachant pas qu’elle allait en dire autant, qu’elle allait parler autant de sa vie, de son ancien couple ? Son mariage ? Elle avait presque envie de rire, ils étaient mariés, mais plus ensemble pire que ça on ne pouvait clairement pas. Pourtant, elle était toujours autant amoureuse de lui, elle était juste folle de lui, mais elle se posait trop de questions. Enfin elle finit par secouer la tête tout en se ratatinant un peu plus contre le canapé de Mary. « Qu’est-ce que tu fais, ce soir ? » Ouais, elle voulait à tout prix changer de sujet parce que c’était beaucoup trop dur pour elle de parler de Dimitri et elle puis elle ne voulait juste pas en parler, elle préférait largement parler de la vie de Mary que de sa propre vie.
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